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Il y a plus de quarante ans, j’avais 17 ans, et comme beaucoup de jeunes de mon âge on ne savait pas faire l’amour, on baisait, pas de caresses, ni de cunnilingus, tout juste si on s’embrassait avec la langue, les filles ne suçait pas non plus, je ne dérogeais pas à la règle, j’habitais un vieil immeuble de 4 étages dans le centre-ville de Lyon, un grand hall d’entrée, pas d’ascenseur mais de grands escaliers très larges, j’avais remarqué qu’au deuxième il y avait une fille de mon âge moi j’étais au quatrième, je savais qu’elle rentrait tous les midis, je me postais près des boites aux lettres face aux escaliers, à chaque fois qu’elle arrivait je faisais semblant de relever le courrier, en réalité j’attendais qu’elle monte les escaliers pour lui voir les cuisses, elle était toujours en minijupe, elle s’est aperçue de mon manège et un jour au lieu de monter de suite à son étage, après s’être assurée qu’il n’y avait que nous elle est venue vers moi et m’a dit qu’au lieu de lui regarder bêtement les fesses il valait mieux que je les touches, démasqué je me suis mis à rougir de honte, elle a pris ma main et l’a plaquée sur son cul, j’ai cru que j’allais prendre feu tellement je rougissais, elle m’a demandée si j’avais déjà couché avec une fille, j’ai balbutié un timide oui, elle m’a souris, et elle est partie, en montant à son étage elle avait retroussée sa jupe, là j’avais le feu mais pas aux joues, je me suis dépêché de rentrer chez moi, heureusement il n’y avait personne, je me suis enfermé dans les toilettes et je me suis branlé, pendant quelques jours je suis descendu au courrier plus tôt pour ne pas la rencontrer, j’avais honte d’avoir été percé à jour par cette superbe jeune fille de mon âge, un matin la croyant déjà partie pour son lycée je suis descendu tranquillement, arrivé sur son palier j’allais continuer à descendre quand sa porte s’est ouverte, elle me dit attends-moi on va descendre ensembles, tétanisé je suis resté devant sa porte, elle est sortie m’a fait la bise, j’ai senti que je rougissais à nouveau, elle s’en est aperçue et pour me taquiner elle m’a fait un bec, arrivés dans le hall elle m’a pris la main et la plaquée sur sa culotte contre sa chatte, je n’osais plus bouger, ce soir ma mère (une cantatrice de renom à Lyon) a une répétition, si tu veux passe me voir vers cinq heure et demi on pourra parler ensemble, avant de sortir de l’immeuble elle m’a tendue ses lèvres et c’est moi qui l’ai embrassé, un vrais baisé, apprenti dans un garage j’ai pensé à elle toute la journée, dix-sept heure je prends ma douche , je me change et direction la maison, arrivé dans mon immeuble je n’ose pas frapper à sa porte, comme elle m’a vu arriver par la fenêtre elle m’ouvre, je rentre elle me propose de suite ses lèvres, je l’embrasse, elle est collée contre mon corps et je sens le désir monter en moi, elle aussi l’a sentie, elle ne va pas par quatre chemins, direction sa chambre, elle se déshabille, j’en fais de même, elle se couche sur le lit, je m’allonge sur elle, elle écarte les jambes et je la pénètre, je la baise pendant un bon moment, elle se raidit, elle jouis, moi aussi, a y penser aujourd’hui je me dis qu’il nous en fallait peu à cette époque, plusieurs fois par semaine quand sa mère était en répétition, ça nous arrivait aussi le weekend quand elle était en représentation, je couchais avec Anne, enfin coucher est un bien grand mot, mais ça nous suffisait, un soir où elle ne devait pas être là Anne et moi étions en train de baiser, sa mère a ouvert la porte de « notre chambre » surpris nous nous somment affolés, on s’est rhabillés précipitamment et comme elle n’était pas à notre portée de vue je suis monté chez moi en espérant qu’elle ne m’avait pas reconnu, loupé, le lendemain Anne avait cours toute la journée donc elle n’ait pas rentrée déjeuner, quand je suis arrivé chez moi je suis fatalement passé devant chez elle, sa mère qui m’avait guettée par la fenêtre a ouvert sa porte juste au moment où je passais devant, elle m’a attrapée par une oreille et m’a fait entrer chez elle, « alors comme ça tu baise ma fille, petit polisson ? » elle me débarrasse de mon sac où je rangeais mes affaires, me conduit au fond du couloir, ouvre la porte de la salle d’eau et m’y pousse à l’intérieur, j’étais terrifié, pendant ce périple j’avais aperçu brièvement ses beaux seins dans son décolleté, elle m’en joint de me dévêtir, je la regarde éberlué, je ne comprends pas où elle veut en venir, devant son regard sévère je m’exécute, je suis à poil devant cette femme de plus de quarante ans, je ne sais plus quoi faire, elle me pousse dans la douche à l’italienne m’enjoignant de me rafraichir, je lui obéis, je la sens plus que je l’entend arriver, elle entre prêt de moi elle est nue, je comprends de moins en moins, elle se colle contre mon dos, passe une main devant, se saisie de mon sexe et me dit « je vais t’apprendre à donner du plaisir à ma fille » je suis tétanisé, elle ferme l’eau, récupère des serviettes, commence à me sécher de haut en bas, quand elle arrive au niveau de mon sexe, elle s’agenouille le prend dans la bouche, et me suce, c’est ma première fellation, elle ne va pas jusqu’au bout à mon grand regret, elle me prends par la main et m’entraine dans sa chambre la même que celle d’Anne à part qu’elle est meublée à l’ancienne, une grande armoire avec des miroirs sur les quatre portes, une coiffeuse avec un miroir qu’ elle pouvait orienter et enfin en haut de la tête de lit un portrait banal qui se révèle être un miroir quand on le retourne, ce qu’elle s’empresse de faire, j’ai remarqué un petit crochet en bas du miroir, elle pose le bas du tableau sur le crochet ce qui lui donne une inclinaison vers le bas, elle s’assoie au bord du lit, écarte ses jambes et je vois une superbe chatte épilée, là elle m’explique que pour une femme se faire baiser n’est pas l’essentiel, la préparation est beaucoup plus importante, en écartant ses lèvres elle me montre un endroit bien précis, elle me dit ça c’est le clitoris, viens toucher je vais te guider, je n’étais plus dans mon état normal, elle m’a pris la main et m’a fait toucher sa chatte, a guidé un de mes doigts à l’intérieur elle s’est masturbée avec mon doigt, elle a jouis j’ai eu le doigt mouillé, elle m’a expliqué que les garçon quand on jouissait on expulsait du sperme et les femmes elles s’était de la cyprine, elle m’a fait me coucher sur le dos, elle est venue se mettre à genoux sur mon torse, s’est avancée jusqu’à ma bouche, a collé sa chatte sur ma bouche et m’a dit occupe-toi d’elle avec ta bouche et ta langue, je te guiderait, j’ai commençais par embrasser ses lèvres humides par le désir, elle les a écartées, j’ai introduit ma langue en cherchant son clito, instinctivement je l’ai sucé, aspiré, pendant un long moment, elle me dit que j’apprenais vite, j’étais flatté, j’ai eu soudain la bouche mouillée, elle gémissait, j’ai compris qu’elle venait de jouir, elle s’est reculée et quand sa chatte a été en contact avec sa vulve elle s’est empalée, elle a commencée à se baiser par de lents va et viens et elle a accélérée la cadence, elle fermait les yeux, se pinçait les lèvres et elle a jouis en poussant des petits cris, elle s’est laissée descendre plus bas, sa bouche à hauteur de ma bite, elle l’a gobée et m’a sucé jusqu’à ce que je jouisse, elle a avalée mon sperme. Pendant quelques jours je ne l’ai plus revue ni Anne non plus, je pensais que je l’avais déçue, et un après midi ou j’étais de repos elle est venu chez moi pour demander si on pouvait la dépanner, elle n’avait plus d’allumettes, pendant que ma mère allait chercher une boite dans la réserve elle m’a fait signe de descendre chez elle, sous prétexte d’aller voir un pote je suis partis, deux étages plus bas la porte était ouverte, elle m’attendait, j’entre elle referme à clé, elle veut que je l’embrasse, je m’exécute, elle me dit deuxième leçon, quand tu embrasses une fille en même temps tu t’occupes de ses seins, joignant le geste à la parole elle me relève le tricot, me caresse les seins, me triture gentiment les tétons, elle finit de m’enlever le tricot, me bouffe les seins me pince les tétons avec ses lèvres, j’aime donc les filles doivent aimer aussi, elle continue, me prends la main et se caresse la chatte avec, dirige ma main à l’intérieur de son mini slip et se branle avec mes doigts, quand elle pense que j’ai compris, elle arrête la leçon et me dis maintenant ta récompense, direction sa chambre où j’ai mis en application ce qu’elle m’avait enseignée la première fois, on a fait l’amour pendant trois quart d’heure, à la fin j’étais exténué, elle aussi, on s’est allongés cote à cote je laissais mes mains parcourir tout son corps, elle réagissait à mes caresses, je venais de me rendre compte que j’étais devenu un homme, on s’est lavés, elle m’a expliquée qu’elle avait aussi éduquée Anne et que la prochaine fois que je serais avec Anne se serais diffèrent, on fera vraiment l’amour, ça n’a pas tardé le surlendemain je croise Anne dans les escaliers, elle m’invite à entrer chez elle, je n’attendais que ça, on s’est longuement embrassés, je l’ai caressée, me suis occupé de lui enlever la chemisette, son soutient gorge, j’ai embrassé ses deux beaux globes, ses tétons qui ont durcis de suite, j’ai relevé sa jupe, j’ai passé ma main à l’intérieur de la culotte et je lui ai caressé la chatte, elle a enlevé la jupe et son slip, elle été nue dans mes bras, je l’ai faite reculer jusqu’au bord du lit, s’assoir, je me suis agenouillé elle a écarté les cuisses, elle a eu son premier cunnilingus par un homme, les précédents c’est sa mère qui lui avait montrée, un moment après elle a serré ses cuisses m’enserrant la tête, elle s’est rejetée sur le dos et j’ai senti sa cyprine sur ma langue et mes lèvres, j’étais heureux elle avait jouis, je me suis levé, déshabillé, et je l’ai baisée, elle m’a prise contre elle m’embrassait, moi je continuais à la pilonner, quand j’ai senti que j’allais éjaculer, je me suis retenu, elle s’est contractée, j’ai senti son jus sur ma bite et quand elle a gémis, je me suis lâché et je lui ai remplis sa belle chatte de mon foutre, elle a passé ses jambes autour de ma taille pour que mon sexe reste le plus longtemps possible en elle, au bout d’un moment j’ai débandé et bien sûr il s’est échappé, elle a réalisé que je m‘étais occupé d’elle et qu’elle ne m’avait même pas sucée, je l’ai rassurée, on était trop occupés à faire ce que sa mère nous avait enseignée, la prochaine fois on laissera libre court à nos envies.
La suite bientôt.
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