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Je venais juste d’avoir dix-huit ans, et j’étais folle amoureuse d’un homme qui en avait quinze de plus que moi.
Ce jour là je suis chez lui et on doit passer prendre l’apero chez son père et son oncle dans une petite ville à dix kilomètres. Je ne les aime pas trop, je les trouve vicieux. Pour l’occasion, il m’offre une tenue qu’il me force à porter sinon il n’a plus rien à faire avec moi alors je m’exécute et la met.
C’est une petite robe d’été ultra moulante en damier noir et blanc à bretelle et dans mes pieds je porte des escarpins noirs brillant à talon d’haut moins dix centimètres. Dans cette tenue, je m’attends aux pires réactions de sa famille.
_ Ca y est t’es habillé, on peut y aller. Hum t’es sexy comme ça ma petite poule !
_ Ce n’est pas un peu trop sexy d’ailleurs ?
_ Non au contraire on ne voit jamais assez tes belles jambes et tes petits seins.
Nous partons de l’appartement. Il me dit :
_ On n’est garer rue des Halles, vas-y, je te suis de vingt mètres pour voir la réaction des gens.
_ Si ça te fait plaisir. Donne moi les clefs de la voiture, s’il te plait.
Me voila parti devant toute seule pour rejoindre la voiture. Je me retourne pour voir si il me suit. Je le vois en train de me filmer de loin, mais il n’est pas le seul un gars me colle avec son téléphone quasiment sous ma jupe.
_ Non mais ça ne va pas. Lui dis-je.
_ Si tu t’habilles ainsi c’est que tu veux te montrer ! Non ! Et il s’en va. Vexer d’arrêter.
On arrive à la voiture et nous partons. Il me fit conduire, ce qui est rare. Dans la voiture, il me glisse une main sous la jupe et me caresse sur ma petite culotte noire tout en continuant à me filmer.
_ Tu as mis une culotte, tu n’aurais pas dû mais bon !
Je n’ai déjà pas l’habitude de conduire, mais dans ces conditions ce n’est pas facile.
_ T’aimes conduire pendant que je te branle ? Ca t’excite ? T’as vu on te regarde. Me dit il en me montrant le camion juste à coté de moi. Le passager les yeux rivés sur moi.
Puis dix minutes plus tard on arrive chez son père. Avant de descendre de la voiture, tout en continuant à me titiller le clitoris, il m’embrasse vigoureusement et me prend un sein et me le malaxe. Je me laisse faire jusqu’à que je m’aperçois que son père et son oncle nous regardent.
_ Arrêtes il y a ta famille à la fenêtre. T’es fou !
_ Mais non mon père il t’aime bien.
_ Il m’aime bien parce que je suis une petite jeune et aujourd’hui sûrement encore plus habillée comme ça !
Je sors de la voiture et leurs fais la bises. Je rajuste ma robe en tirant un peu dessus mais ça augmente mon décolleté. En plus j’ai les tétons en feu et on le voit à travers la robe.
Nous nous asseyons autour de la table basse du salon. J’essais de croiser les jambes mais c’est encore pire.
_ Tu peux aller chercher mon porte feuille dans la voiture ? Me demande mon copain.
_ Si tu veux.
Je me lève et part le récupérer. Quand je reviens j’entends une conversation entre eux. Ils parlent de moi.
_ Papa et tonton, c’est votre anniversaire alors je vous ai amené Frederique pour la soirée.
_ On peut s’amuser avec comme on veut. Même avec les jeux qui sont dans la cave.
_ Si tu veux, mais il faudra la faire boire un peu pour qu’elle soit plus docile, je pense.
_ Tu as bien choisi sa robe en tout cas, elle est très attirante. Attention elle revient ! Au fait, j’ai placé des caméras un peu partout dans la maison.
Je fais comme si je n’avais rien entendu, lui donne son portefeuille et me rassois. Ils me servent un grand verre de Porto qu’ils me font boire cul sec comme eux puis un autre. La tête ne tarde pas à me tourner.
_ Tu as encore ta culotte trempée ma petite poule. Tu aurais mieux fait de ne pas en mettre comme je te l’avais dit.
_ On peut voir demande son père.
_ Vous n’en voyez déjà pas assez !
_ Tu ne parles pas comme ça à mon père. Tu vas t’excuser tout de suite et lui montrer ta petite culotte. Et reprends un verre de Porto.
Il me sert et me force à l’avaler d’une traite. Je commence à ne plus trop réagir. L’oncle me prend par les bras et me met debout.
_ Vous avez vu cette petite à mis des hauts talons pour être à notre hauteur.
_ Qu’est ce que vous faites, arr…
Mais la langue du père s’engouffre dans ma bouche, puis celle de l’oncle, chacun leurs tour plusieurs fois à la suite. Les bras ballants je les laisse m’embrasser et commencer à me caresser.
Mais je reprend un peu mes esprits et tente de me débattre mais en vain. Puis ils m’emmènent dans la cave et me mettent une poire d’étouffement. Ainsi bâillonner je ne peux plus crier. Ils me ligotent à des cordes de façon que je me retrouve écartée en croix au milieu de la pièce.
_ Tu va voir ma petite poule. Tu es à mon père pour la soirée et il a pas mal d’idée bizarre.
Je tente de me libérer mais ils retendent les liens. Mon corps est écartelé au maximum.
_ Allez tu vois tu nous montres ta petite culotte dans cette position.
Puis l’oncle se met derrière moi et me vrille les tétons pendant que le père me glisse la main dans la culotte et joue avec mon clitoris. Mes tétons gonflent et durcissent tout de suite et je commence à mouillée malgré moi.
_ Tu vois que la soumission te plait et c’est pas fini.
Et il m’enfonce deux doigts au plus profond de mon intimité. L’oncle, lui, se met à tirer et pincer violement mes seins. Je lâche un hurlement de douleur mais le bâillon retient tout. Ils remonte ma robe sans trop de difficulté et font sortir les seins par le décolleté. Ils prennent deux pinces et me les accrochent aux seins. Je sens comme une décharge électrique de douleur.
Ensuite ils me prennent en sandwich, l’oncle force mon petit trou qui ne résiste pas longtemps alors que le père me pénètre sans effort tellement je suis humide. Ils me lèchent et me mordillent le cou, les bras, le visage.
Pendant qu’ils me pilonnent mon copain filme la scène sous tous les angles et en gros plan si nécessaire. Je subissais sans me débattre et je ne me rappelle plus le temps que ça a durée car je perdus connaissance sous l’emprise de l’alcool.
Quand je repris connaissance j’étais chez moi, dans mon lit, avec mon ami. Je pensais avoir fais un cauchemar mais une petite douleur aux seins me fit hésiter.
_ Qu’est-ce qu’on a fait y hier soir ? Demandais-je à mon copain
_ Tu as pas mal picoler, c’est tout et tu as dormi comme une souche ! Me répondit-il avec une voix une peu suspect.
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