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Tous les ans nous passions le mois de juillet à la campagne et j'adorai me retrouver avec les enfants du village; Nous avions tous entre 14 et 17 ans et nous nous adonions à des jeux de campagne ; dans les bois, dans le foin, au bord de l'eau. Pour ce que j'ai vécu en vrai c'était dans le foin. Le fils du fermier qui comme moi avait quatorze ans nous entraînait souvent dans le foin où nous construisions des cabanes avec les bottes. Nous avions donc bâti une pièce et je m'y étais étendue jouant à la châtelaine. J'avais un t.shirt et une petite jupe courte d'où s'échappait mes jambes fines et lisses. Mon voisin vint s'étendre à côté de moi et se tourna vers moi. Sans un mot il passa sa main sur ma poitrine naissante effleurant le bout de mes tétons dressés. Au premier passage, les mamelons se redressèrent et me donnèrent un frisson que je ressentis jusqu'au bout des jambes. Je me laissais faire et mon voisin repassa une autre fois puis encore une autre fois et je sentis cette décharge électrique jusqu'à la naissance de mon sexe. Il se pencha vers moi et me déposa un baiser sur les lèvres. J'entrouvrais légèrement les lèvres et délicatement il plongea sa langue qu'il fit tourner dans mon palais. C'était mon premier baiser et il m'a étourdie au point que je le laissais faire. Tout en m'embrassant il avait passé sa main sur ma cuisse et la remontais lentement. j'étais dans tous mes états et mon sexe commençait à secréter un liquide que je ne pouvais contrôler. Une fièvre montait en moi et naturellement j'écartais les jambes. La main contourna l'élastique de ma petite culotte et vint caresser mes petites lèvres enduites de cyprine. Ce liquide coula sur l'intérieure de mes cuisses : j'avais du plaisir. Ses doigts habiles entreprirent de fouiller mon intimité et j'en sentis un qui pénétrait dans ma chatte et qui s'avançait assez profondément. Je lui demandais d'arrêter car j'avais peur qu'il me fasse mal. Il retira sa main et me demanda de toucher à son sexe. J'avançais ma main et caressa son sexe dur à travers le tissu de son short. Je découvrais le sexe masculin que j'avais vu avec mon frère mais que je n'avais jamais touché. Pendant ma caresse, il défit le bouton de son short et baissa son zip, puis il se souleva et baissa carrément le tout à ses chevilles. je regardais ce corps imberbe et ce sexe dressé droit où l'on pouvait voir la moitié de son gland. Il prit ma main et l'approcha de son petit membre tendu. Je fus surprise pas la douceur et la finesse de la peau de son sexe. Je caressais aussi ses petites boules. Il me demanda de le prendre dans ma bouche et je refusais immédiatement. Puis peu à peu il réussit à me convaincre et j'ouvrais enfin la bouche pour gober ce gland décalotté et me mis à le sucer comme un sucre d'orge. Il lâchait quelques petits gémissements de plaisir et ma bouche allait et venait sur ce sexe que je trouvais finalement délicieux. Son bassin ondulait et ma bouche pleine de salive glissait amplement sur ce membre. Le mouvement s'accéléra de plus en plus, puis il me saisit ma tête et la maintint fixement alors que je reçus plusieurs saccades de jus dans le fond de ma gorge. Le goût étrange de son sperme dans la bouche me dégoûta d'abord puis comme j'avalais au fur et à mesure je m'y habituais et trouvais son goût acceptable. Je restais un long moment la bouche pleine avant de le laisser fuir entre mes lèvres.
Il resta un moment immobile comme figé et exténué. Son sexe reprit sa dimension initiale et se posa sur sa cuisse intérieure. "C'était très bon tu sais" me dit-il. Je vais te faire jouir comme ça sans te pénétrer. Il descendit son visage à la hauteur de mon entrejambe, écarta l'élastique de ma culotte et de sa langue me lécha d'abord les lèvres toujours lubrifiées de mon sexe et de la pointe de sa langue tourna autour de mon petit bouton. Mes cuisses étaient largement ouvertes et sa langue allait et venait entre l'entrée de ma petite chatte et le clitoris. Je sentis rapidement monter le plaisir en moi et d'un seul coup une décharge de plaisir plus important qui me fit hurler. Je découvrais ce premier orgasme qui fit trembler tout mon corps. Le plaisir était tellement fort qu'il me faisait mal au point que je repoussais violemment mon petit amant et resserrais mes cuisses pour atténuer cette première jouissance.
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Ecrit par Jacqueline
Parue le 14 mars 2017
