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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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La journée aurait pu être sympa si je n'avais pas croisé la route de de Madame GERARD.
Je faisais, comme tous les lundis soirs une ballade à vélo.
La départementale avait été fraîchement goudronnée et il fallait faire attention aux graviers.
Arrivé à l'entrée d'un virage, je vis une voiture qui arrivait à vive allure et qui se dirigeait vers moi en dérapant.
Malgré mon écart, je fus heurté par son rétroviseur et perdant l'équilibre, je tombais et glissais sur plus de10 mètres.
Je restais allongé , sonné par le choc.
Un bruit de portière, des pas qui s'approchent, une voix de femme
« Vous êtes blessé, c'est de ma faute, j'allais trop vite »
« Rien de cassé ça ira »
« Mais vous êtes couvert de sang, il faut appeler les pompiers »
« Non pas la peine, ce sont juste des égratignures »
Je me relevais et m'approchais d'elle en boitant un peu.
Effectivement ma glissade sur les gravillons avait laissé quelques traces.
Tout mon coté droit était râpé du genou jusqu'à la hanche , ainsi que mes mains et mon coude.
« Je vais vous emmener chez le médecin, venez avec moi »
J'acceptais car malgré mes paroles apaisantes, j'avais mal et mes plaies étaient couvertes de gravillons qui s'étaient incrusté dans ma peau.
Je montais dans la voiture, abandonnant mon vélo qui ne risquait guère d'être volé.
Le cabinet médical n'était qu'à quelques kilomètres et mon « écraseuse » y arriva en quelques minutes.
« Je vous accompagne »
Arrivés à l'accueil, la secrétaire appela aussitôt le médecin.
« Pouvez vous venir, docteur, il y a un blessé à l'accueil »
Quelques instants plus tard, le médecin arriva. C'était une jolie femme d'environ quarante ans qui pris aussitôt les choses en main.
Sans poser la moindre question, elle nous fit entrer tous les deux dans son cabinet.
« Allongez vous sur la table d'examen, madame aidez le
Ressentez vous des douleurs, mal de tête, avez vous envie de vomir ?»
« Non tout va bien à part ces plaies »
« Je vais les nettoyer et les désinfecter »
Elle s'approcha de moi, remonta mon tee shirt et fit glisser mon short et le posa sur une chaise.
Elle prit un flacon d'alcool à 90 et des tampons de gaze et commença à nettoyer la plaie.
Avec un pince à épiler elle retirais les petits graviers incrustés dans la peau.
Arrivée au niveau de la hanche et commença à soulever mon slip pour nettoyer ma hanche.
En voyant ma grimace de douleur, elle prit une paire de ciseaux et découpa le slip qui était collé à la peau par le sang qui avait commencé à sécher.
Elle l'écarta un peu, dévoilant la base de ma queue et nettoya la plaie.
Puis elle s'occupa de mon côté de mes mains et de mon coude.
« Il faut laisser les plaies à l'air libre, la cicatrisation sera plus rapide»
Se tournant vers mon accompagnatrice elle lui dit :
« Vous avez vu comment j'ai pratiqué, il faudra nettoyer les plaies de la même façon jusqu’à complète cicatrisation, surtout, surveillez le bien pendant deux ou trois jours et à la moindre alerte, il faudra aller à l’hôpital
Je vais vous faire une ordonnance, vous pouvez vous rhabiller. »
Un peu abasourdis par la rapidité des événements, aucun d'entre nous n'a songé à lui dire que nous ne nous connaissions pas.
Je me relevais et descendais de la table.
Je tentais d'attraper mon short de ma main la moins blessée essayant de retenir ce qu'il restait de mon slip de l'autre main.
Bien entendu je ne pu le retenir et le me retrouvais le sexe à l'air devant le médecin et une femme que je ne connaissais pas.
Gêné je me retournais et enfilais mon short maladroitement.
En sortant, je lui demandais de me raccompagner chez moi.
« Qui va s'occuper de vos soins ? »
« Je vais appeler une infirmière »
« Vous vivez seul ? »
« Oui »
« Il n'est pas question que je vous laisse seul, vous avez entendu ce qu'à dit le médecin ? »
« Non, ne vous inquiétez pas tout va bien »
« Inutile de discuter, je vous emmène chez moi, je vais m'occuper de vous »
« Je ne veux pas vous déranger »
« Je suis seule à la maison, mon mari est en déplacement à l'étranger et mes enfants en vacances chez mon frère »
Devant son insistance, j'acceptais.
Elle habitait un joli pavillon dans un coquet lotissement à la sortie de la ville.
« Je vais vous installer dans la chambre d'amis »
La chambre était meublée avec goût et donnait sur le jardin situé à l'arrière de la maison.
«Allongez vous, je vais essayer de vous trouver des vêtements »
Elle s'absenta quelques instant et revint avec un pyjama.
« Tenez, c'est tout ce que j'ai trouvé qui puisse vous aller, mon mari est assez corpulent et ses vêtements sont trop grands pour vous »
Je m'assis au bord du lit et commençais à retirer mon tee shirt en grimaçant.
« je vais vous aider »
Avec délicatesse, elle retira le tee shirt, puis se mettant au genoux devant moi, défit les lacets de mes chaussures qu'elle retira ainsi que mes chaussettes.
Elle prit mon short et prenant soin de tendre l'élastique pour ne pas le faire frotter sur les plaies et le fit descendre doucement.
Mon slip, que le médecin avait coupé glissa avec le short et le me retrouvais nu devant elle.
Elle se mit à rire.
« Excusez moi, je ne me moque pas de vous, mais on ne se connaissait pas il y a deux heures et vous êtes la, chez moi, tout nu »
Je me mis à rire également.
Au bout de quelques minutes de fou rire nous avons repris notre sérieux.
« Bon assez ri, je vais vous aider à mettre le pyjama, mais avant, voulez vous vous laver un peu, vous êtes couvert de poussière ? »
« Oui je veux bien »
« Suivez moi, je vais vous montrer la salle de bain »
Je la suivais, toujours nu, en clopinant.
Arrivés dans la salle de bain, elle fouilla dans l'armoire pour y prendre serviette et gant de toilette.
« Vous n'allez pas y arriver avec vos mains blessées, montez dans la baignoire je vais vous aider »
Au point ou j'en étais je ne refusais pas et enjambais le rebord de la baignoire.
Elle fit couler l'eau doucement sur le gant de toilette et commença à me frotter les pieds et la jambe.
Ses mains étaient douces et lorsqu'elle arriva à la cuisse, ma queue commença à se redresser.
Elle leva les yeux vers moi en souriant/
« Ne vous impatientez pas, je vais tout laver » dit elle en saisissant ma bite.
Elle la savonna, faisant glisser la peau pour nettoyer mon gland et la souleva pour me laver les couilles qu'elle faisait rouler dans sa main.
Maintenant elle me branlais et se va et viens étaient de plus en plus précis.
Laissant ma bite au garde à vous, elle pris la douche et me rinça.
« Voila vous pouvez sortir »
J'étais frustré de ce début de branlette mais n'osais pas pas aller plus loin.
Elle m'enveloppa dans une grande serviette et me sécha, ses mains insistant sur ma queue qui était toujours aussi raide.
« Voila qui est fait, je vais prendre une douche aussi »
Avant que je n'esquisse le moindre geste elle a retiré tous ses vêtements et se retrouve nue.
Elle est bronzée intégralement, sa poitrine est menue et son sexe totalement épilé.
Lorsqu'elle se retourne pour monter dans la baignoire, je vois son cul qui n'a rien à envier au reste de son corps.
Elle fit couler la douche et commença à se savonner. Je remarquais que ses tétons pointaient.
Sa main descendit vers son ventre et vint se glisser entre ses lèvres. Elle commença à se caresser ses doigts pénétrant sa chatte lisse.
Son manège dura plusieurs minutes et elle se rinça et sortit de la douche.
La serviette dans laquelle j'étais enveloppé faisait une grosse bosse.
« Je ne suis pas sympa avec toi, je te provoque et ne te donne rien, viens je vais me rattraper »
Elle me pris par la main et m’entraîna dans sa chambre.
« Allonge toi sur le dos »
Elle m'écarta les jambes et avança la tête entre mes cuisses.et commença à passer des petits coups de langue sur ma bite qui n'avait pas débandé.
Elle remonta doucement le long de ma verge, redescendit puis avala ma queue toute entière.
Sa bouche était chaude et avide, pompant avec ardeur ma bite dressée.
Se retirant, elle vint s'asseoir sur mes cuisses, jambes largement écartées.
Elle jouait avec ma queue, la frottant sur sa chatte trempée.
Relevant les fesses, elle vint s'empaler sur mon membre.
Elle ondulait au dessus de moi en faisant coulisser ma bite sur son sexe.
Peu à peu, elle accéléra la cadence et se mit à gémir doucement.
Je sentais son vagin se contracter autour de ma bite me provoquant un énorme plaisir.
Son souffle devenait court et ses gémissement firent place à de cris de plaisir.
« Je vais jouir, vas y lâches tout en moi, je veux sentir ton foutre me remplir »
Excité par ses paroles, je jouis à longs jets.
Elle ralentis le rythme et resta un moment empalée sur moi.
Puis elle de dégagea doucement et vint nettoyer ma bite trempée de sperme et de cyprine d'une langue gourmande.
« C'était trop bon, toi je te garde jusqu'à ce que tu sois rétabli. J'espère que tu ne vas pas cicatriser trop vite »
C'est ainsi que je passais deux merveilleuses semaines m'abandonnant à ses mains expertes.
Les habitudes furent vite prises : soins, fellation, repos, partie de jambes en l'air, soins....
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Ecrit par ARCAY
Parue le 07 juin 2014
