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Ma mère m'avait donné un chèque pour que j'aille m'acheter un pantalon. Elle ne voulait plus m'accompagner car elle en avait marre de trainer de boutique en boutique. Tu achètes un pantalon propre pour aller au lycée mais sans excentricités pour ne pas te faire remarquer.
Je me dirige donc en ville et choisis de rentrer dans une boutique de vêtement pour homme. Le magasin est classe, une petite musique d'ambiance l'accompagne et un jeune garçon s'approche pour me demander ce que je désire. Il a un mètre autour du cou et me demande ce que je cherche comme pantalon. Il passe son ruban autour de ma taille et détermine du 38. Il m'attire vers le rayon où sont pendus les pantalons et m'en sort plusieurs qu'il pose sur la tringle en me vantant l'un ou l'autre; la teinte, le toucher, la coupe... Il ramasse tout ce qu'il a sorti et me demande de le suivre vers les cabines d'essayage. Il n'y a personne dans le magasin que nous deux et son collègue resté à la caisse. Entrez, je vais vous les passer les uns après les autres me dit-il. J'enlève mes chaussures et le pantalon que je portais pour me retrouver en caleçon. Il passe sa main en soulevant le rideau et me dit "tenez" et me tend le premier pantalon. J'enfile le nouveau vêtement et il pénètre dans la cabine. Il ajuste le pantalon sur ma taille, passe sa main sur mon dos et mes fesses ; il vous va bien, qu'en pensez-vous ?
Oui bredouillais-je... Mais nous allons essayer les autres c'est sans soucis - je vais aller chercher les autres. Il ressort et revient quelques secondes plus tard avec les autres pantalons sous le bras.
La cabine est assez grande et il décide de rester pendant les changements. Il ferme lui-même la taille et remonte la braguette. Sa main frôle mon sexe qui commence à être excité. Il me demande où je place le sanglier. Devant les points d'interrogation qu'il lit dans mon œil il m'explique en me demandant où je place mon sexe, à droite ou à gauche. Avant que je réponde il approche sa main et saisit mon sexe et me dit ; vous la mettez à droite ou à gauche de la couture ? Toujours bredouillant je lui réponds que je ne sais pas. Il passe sa main sur mon slip et place mon sexe qui commence à durcir à gauche. Comme ça ? me dit-il. Non, lui répondais-je, plutôt de l'autre côté. Il ressaisit mon sexe et l'attire vers la droite. Oui, comme ça c'est peut-être mieux ! Vous gardez celui-ci ou voulez vous en essayer d'autres. Je veux bien en essayer un autre, si vous voulez bien ? Bien sûr, me dit-il en saisissant un autre effet. J'enlève celui que je portais, il m'aide, et place celui-ci sur la paterne fixé au mur. Il m'ouvre le nouveau et m'invite à passer mes jambes l'une après l'autre. Il saisit mon sexe par dessus mon caleçon et le place à droite avant de le boutonner et il remonte la braguette. Il me demande de me mettre face à la glace et me demande mon avis. Il vous plaît celui-ci ? Oui, c'est celui que je préfère. Lui répondis-je. Mais je ne peux cacher mon érection qui déforme ma braguette. Ne soyez pas gêné, j'ai l'habitude, mais on va attendre que tout ça se calme à moins que... Il se met à genoux, dégrafe le bouton, baisse le zip et introduit sa main dans la fente de mon caleçon et ressort mon sexe maintenant très tendu. D'une main chaude et experte, il le décalotte et le dirige dans sa bouche. Sa bouche est douce et pleine de salive et mon gland baigne. Il me lèche, m'aspire, me suce lentement mais avec délice. Je me tiens en m'appuyant sur le mur. Je suis aux anges mais je ne peux pas freiner la montée de ma sève qui gicle dans sa bouche en plusieurs jets. J'entends des hummm de satisfaction et je l'entends déglutir chaque saccades. Il pince bien ses lèvres afin de ne rien perdre et rapidement ma tige se ramollit. Une fois revenue à de plus justes proportions, il sort un mouchoir de sa poche et m'essuie le gland. C'était délicieux me dit-il. toujours à genoux, il saisit son bracelet pleine d'aiguilles et ajuste la longueur de mon futal. Comme ça ? Très bien, je préviendrai la retoucheuse... Il m'enlève lui-même le pantalon et en profite pour faire un bisou sur la pointe de mon gland, et me tend mon ancien. Il me donne le prix et me prie de le suivre à la caisse pour le paiement. Puis il me raccompagne vers la sortie et me glisse : vous savez où je travaille vous revenez quand vous voulez. Et doucement...quand vous avez envie...
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