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Cette rencontre s'est passée il y a deux ans. J'avais 24 ans. Nous sommes au mois de mai, fin mai et les prémices de l'été se font sentir. Je suis à la terrasse du café de mon village, devant une bière bien fraîche, le regard ailleurs, à ne penser à rien. Je suis tiré de ma torpeur :
- Bonjour Monsieur, pourriez vous m'aider SVP ?
Mon regard se porte sur un noir, plus grand que moi, je lui donne une cinquantaine d'année.
- Si je peux ....
- L'aide sociale de la mairie vient de me donner un chèque, mais je ne peux pas l'encaisser car je n'ai pas de compte bancaire. Pourriez vous me donner la somme correspondante en liquide ? J'arrive de Guadeloupe, je suis logé dans un hôtel pension, et j'ai besoin de cet argent.
Je regarde mieux ce grand gaillard, c'est un métisse café au lait, avec une petite moustache bien taillée, il a du être beau gosse, car il y a de beaux restes.
- Asseyez vous, voulez vous boire quelque chose ?
- Merci, je veux bien une bière.
La conversation s'engage et très vite, le tutoiement remplace le vouvoiement. Amédée, puisque c'est son nom est né à Sainte Rose et résidait à Gosier. Employé à la poste de Gosier depuis 25 ans, il a demandé sa mutation en métropole afin de fuir un divorce pénible. Il a deux grands garçons et une femme qui lui font les pires vacheries, si bien qu'il a trouvé son salut dans la fuite. Son nouveau poste à la poste se situe dans une grande bourgade voisine, et il prend le bus pour aller au boulot. Il est en train de s'installer et il a des difficultés car il ne connaît personne ici.
Je ne sais pas si vous avez déjà ressenti cela, mais je me sens bien avec Amédée, si bien que mécaniquement je lui fais la proposition suivante :
- Si tu veux, j'ai une grande maison avec un petit studio aménagé à côté du garage, si tu veux tu peux l'occuper pendant le temps que tu règles tes ennuis, et, tu auras une adresse fixe pour tes papiers.
- Je ne voudrais pas de déranger Steph.
- Ne dis pas de bêtises, allons vient, on récupère tes affaires et je t'installe.
Depuis 1 semaine, il occupe le studio et je dois avouer que c'est un bonheur d'avoir Amédée à la maison. Outre sa gentillesse, c'est un cordon bleu hors pair et j'ai l'impression d''être en vacances à la Guadeloupe. Comme tous les samedis matin, je me prépare à mon jogging. Amédée me voit prêt :
- Je peux venir avec toi Steph, ça me fera du bien da feire une peu de sport.
- Pas de soucis, met ton short et arrive !
- Heu....je n'ai pas de short ...
- T'inquiète pas, je vais te donner ce qu'il faut !
Je ramène le short et c'est la première fois que je vois Amédée en slip, c'est impressionnant ! Mon regard fixe cette bosse, je me demande ce qu'elle cache. Mon insistance n'a pas échappé à Amédée.
- Si tu veux savoir, oui je suis bien équipé. On n'en n'a pas encore parlé Steph, mais je sui sûr que tu es homo et ça ne me dérange absolument pas.
- Alors tout est ok !
Et nous voilà parti pour le tour des vignes et de la garrigue. Amédée est surprenant, non seulement il tient le rythme mais il tient également la distance et c'est trempé de sueur que nous regagnons la maison. On quitte nos shorts et nos slips et nous voilà à poil tous les deux. A la vue de la bite d'Amédée, j'ai une érection et je mouille. Ce n'est pas une bite qu'il a Amédée, c'est une matraque !!! C'est énorme, queue et couilles incroyables !!!
- Vient Steph, on va prendre notre douche ensemble.
Amédée commence à bander et alors !!!! sa bite dépasse largement la hauteur du nombril. Me voilà dans les bras d'Amédée, ma main n'arrive pas à faire le tour de sa queue, ses lèvres s'emparent doucement de mes lèvres, on s'embrasse à pleine bouche, on se frotte nos bites l'une contre l'autre et là, je ne sais pas ce qui se passe, je gicle comme jamais je n'ai giclé, je n'ai pas pu maîtriser mon foutre. Malgré ça, ma bite est agitée de spasmes, comme si j'allais remettre ça dans 2 minutes !!! Amédée me serres dans ses bras, je le caresse, sa peau est incroyablement douce comme du satin. J'essaie de le sucer, mais vraiment c'est trop gros et trop long. Je me rabats sur les couilles. Amédée gémit de plaisir, je lui bouffe les tétons, et je recommence à lécher son gourdin, il me doigte le cul, il veut m'enculer !!!!
- Tu vas me défoncer le cul ?
- Non, tu verras, les femmes qui ont essayé on toutes recommencé. Ca fait 1 mois que je n'ai pas eu de rapports avec une femme !!!
- Tu t'es branlé entre temps ?
- Bien sûr, mais c'est pas pareil, et puis je vais te dire que j'ai envie de toi Steph !
Nous voilà à poil sur son lit, j'ai pris du gel pour pouvoir faire passer l'engin. La glace de l'armoire nous renvoie notre image et quand je vois la bite que je vais me prendre dans le cul, je me demande comment ça va faire !!!
Amédée me bouffe le cul et me le dilate avec la langue et les doigts. Et puis je le vois s'enduire son gourdin de gel, puis mon cul à droit au graissage bien profond, 2 doigts, puis 3 doigts, Amédée est doux, calme, on voit qu'il a l'habitude, puis c'est au tour de sa bite de se présenter à l'entrée de mon cul, et je suis surpris, la douleur est supportable, même un certain plaisir, puis un plaisir certain accompagne cet enculage XXL. Je sui à quatre pattes et Amédée me lime le cul doucement. Il ne me rentre toute sa bite dans le cul, heureusement, et dans un râle agité de spasmes, Amédée se vide les couilles dans mon cul. J'ai l'impression de recevoir un lavement, ça ca s'arrêter quand ? Il reste dans mon cul, haletant et me caressant les fesses.
- Tu as été formidable Steph, c'est bon de faire l'amour avec toi !
- Je n'aurai jamais cru que ta bite pourrait rentré dans mon cul. C'est vrai que j'avais une sacrée envie de toi.
Amédée est resté 1 bon mois à la maison, mon cul se souvient de sa présence. De temps en temps, c'est avec plaisir qu'Amédée vient me défoncer le cul.
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