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Le soleil irradie de ses rayons la terrasse du restaurant où je déjeune avec un couple de clients, nous discutons sur les prochains approvisionnements de produits électroniques pour les 2 années à venir.
Des mois de négociation pour en arriver à ce jour fatidique, la signature du contrat, mes clients des étrangers avaient été très exigeants tout au long de ces mois de palabre commercial, tant sur la qualité de nos produits que sur les coûts et les délais d’approvisionnement.
L’unité de production de nos produits, c’était pliée en quatre pour répondre favorablement au cahier des charges de ces clients, il faut dire que notre société, DigiCorps fabrique et vend des composants pour l’armement et plus précisément pour le guidage des missiles.
Bien sûr mes amis ne manquaient jamais de me faire remarquer que je n’étais qu’un vulgaire « marchand de canons », peu importe, j’oeuvre pour les intérêts de mon pays et de ma société.
Au désert, le porte-parole de mes clients s’exprime dans ma langue natale, une aubaine et une grande marque de respect, toutes les discutions c’étaient déroulées en Anglais et pour m’annoncer la bonne nouvelle, la collaboratrice de mes clients me tend le contrat en me félicitant pour ma pugnacité, un atout qui a séduit ces messieurs.
J’allais commander du champagne quand mon interlocutrice et mes clients se lèvent en regrettant, mais ils ont un avion à prendre dans une heure, je les accompagne jusqu’à la limousine qui les conduira à l’aéroport. Je m’étais mis d’accord avec le sommelier du restaurant, pour approvisionner le bar de la limousine avec l’un de nos meilleurs champagnes.
La lourde voiture s’éloigne en silence sous le soleil de plomb, heureusement, la climatisation apportera de la fraîcheur à ces passagers.
Il me restait évidemment à mettre tout en œuvre pour lancer le programme d’approvisionnement, mais ça, je le ferais plus tard, aussi je décide de rentrer à la maison, ce contrat apportait à notre société du travail pour deux années, 7 jours/7 et 24h/24, j’avais mérité un long week-end.
La maison sereine, retranchée dans un agréable lotissement m’attendait les bras ouverts, je pouvais flâner en toute quiétude en me mettant devant ma chaîne de TV musicale préférée, mon amie ne rentrerait que beaucoup plus tard, j’allais profiter de quelques instants de bonheur..
La grande porte du double garage s’ouvre à l’approche de ma voiture et si je piquais d’abord une tête dans la piscine.
Une idée géniale, l’eau fraîche de la piscine ne ferait le plus grand bien .
Le climatiseur de la maison ronronne silencieusement, la femme de ménage est passée par là, tout respire le propre et le havre de paix, un peu de solitude me sera bénéfique, j’étais fatigué par ces mois de tension intellectuelle.
Le gros réfrigérateur américain me tend les bras, je vais me faire un bon jus d’orange, pour laver les traces d’alcool du déjeuner avec mes clients, je zappe sur la TV et la musique envahie le grand salon, j’allais m’affaler sur le canapé quand la sonnette de la porte d’entrée me fait sursauter.
J’ouvre la porte, Rachel la fille de mes voisins se tient sur le palier, son PC portable sous le bras et m’explique qu’elle a besoin de mes services, elle doit rédiger sa thèse et son PC ne démarre plus.
Moi qui pensant être tranquille, me voici astreint à jouer les dépanneurs informatiques, mais je ne pouvais pas refuser d’aider une fille en détresse.
Vêtue d’un T-shirt rouge à manches courtes sur un Jean’s bleu, j’invite Rachel à prendre place sur le canapé tout en lui préparant un grand verre de jus d’orange bien frais.
Rachel ne mesure pas plus d’un mètre cinquante, pour une cinquantaine de kg tout mouillé, du haut de mon mètre soixante quinze et de mes 80 kg, c’est sûr, je donne l’impression d’un géant.
Confortablement installé sur le canapé en cuir, Rachel un véritable moulin à parole me noie sous un flux de questions, je me tourne un peu vers elle et je l’écoute attentivement, nous nous faisons face, mais sans vraiment me concentrer sur ce qu’elle me raconte, je fixe les lèvres de sa fine bouche et sur sa petite poitrine, je n’avais pas vraiment fait attention les jours auparavant à son physique, mais Rachel est sexy.
Une mèche de ses cheveux barre sa joue, aussi dans un geste tendre, je repousse avec mes doigts ces cheveux rebelles, Rachel un peu surprise recule la tête, je lui explique que sa mèche de cheveux lui confère un air de pirate, elle sourit et reprend son invasion de questions.
La mèche tombe de nouveau sur sa joue, du bout des doigts, je lui remets en place, en disant à Rachel que comme ça elle est plus jolie.
Rachel me laisse donc lui repositionner sa mèche et du bout des doigts, j’en profite nonchalamment pour lui caresser tendrement la joue, Rachel ne dit rien et se laisse faire, je passe ma main derrière son coup et tout en m’approchant de ses lèvres, je l’attire contre ma bouche pour l’embrasser.
Je pose mes lèvres sur ses lèvres, Rachel ouvre la bouche, je sents sa langue venir à la rencontre de la mienne en un baiser passionné, ma main descend sur sa poitrine et comme un collégien je caresse son sein, nous continuons à nous embrasser, aussi je passe ma main sous son T-shirt et je la remonte jusqu’à ses seins, elle ne porte pas de soutien-gorge, ses seins sont menus et fermes, les tétons gonflent sous le contact
Je quitte la bouche de Rachel et à deux mains je lui remonte le T-shirt au dessus des seins, deux petites boules rondes jaillissent du tissu libéré, les aréoles brunes tranchent sur la peau laiteuse de sa poitrine, je passe ma main sur ses seins en jouant avec les tétons que je caresse. Rachel se mordille les lèvres et d’un geste naturel fait passer son T-shirt au dessus de sa tête, elle est seins nus devant moi.
Je demande à Rachel de se mettre debout devant moi, et je défais la ceinture de son Jean’s, il tombe sur ses chevilles, découvrant un string rouge, d’un coup de pieds, Rachel fait voler son pantalon au milieu du salon.
Bien droite devant moi, elle tend le torse, ses seins pointent bien droits, je saisis ses hanches et mes mains courent le long de ses cuisses, puis sur ses fesses, elle a de très belles fesses bien rondes.
Je masse ses fesses et je laisse l’une de mes mains s’égarer sur son entrecuisse, je sents son sexe au travers du frêle tissu, je fais pivoter Rachel pour qu’elle me tourne le dos et je la penche un peu en avant, j’admire le spectacle de sa chute de reins, ses fesses zébrées par le string ressortent davantage, je me lève du canapé et je viens me plaquer contre ses fesses, d’une main je masse ses seins et de l’autre je caresse son sexe, Rachel à la respiration un peu haletante, j’aventure un doigt sous son string pour lui caresser la fente de sa vulve, je trouve l’entrée de son vagin, mon doigt tourne autour de cette antre du bonheur et d’une légère pression, mon doigt disparaît dans le ventre de Rachel.
Je masturbe Rachel lentement, qui râle sous cette introduction, je quitte son vagin pour saisir à deux mains ses seins que je malaxe et j’embrasse ses épaules, je la retourne vers moi et je l’embrasse à pleine bouche.
Rachel s’attaque à mon pantalon, pendant que moi, je défais ma chemise, je suis en slip, je m’assoie sur le canapé et Rachel vient s’assoire sur mes genoux, ses mains trouvent position sur mes genoux, je peux lui caresser la poitrine et les fesses, je suce ses seins pointus alors que mes mains courent sur tout son corps, Rachel sourit.
Mon érection est à son comble, je suis excité par ce corps fragile, j’attire Rachel contre moi, ses seins à hauteur de ma bouche, je suce ses tétons, elle se soulève un peu et je peux bien caresser ses fesses que je pétris comme un boulanger qui prépare sa pâte.
Je baisse le string de Rachel sur ses fesses, mes mains écartent les deux gros lobes et du bout de mes doigts j’explore la fente de sa vulve à la recherche de son vagin, j’attire Rachel plus en avant de moi, son bassin se soulève, je trouve l’entrée de son entrecuisse et je fais pénétrer deux doigts dans son ventre, Rachel respire plus fort.
J’écarte bien ses fesses et mes doigts pénètrent mieux encore son intimité, je commence une masturbation endiablée, qui ne tarde pas à arracher quelques soupirs à mon hôtesse. Je bascule Rachel sur le coté pour qu’elle s’allonge sur le canapé, son string sur le haut de ses cuisses gène un peu, alors je lui enlève, elle écarte naturellement les jambes pour me faire voir son sexe.
J’embrasse l’intérieur des cuises de Rachel en passant de l’une à l’autre, avant de plonger la tête vers sa vulve. Je suce son sexe en plongeant ma langue à l’intérieur de sa fente, je la lèche de bas en haut en insistant vers son clitoris.
Rachel a étendu l’une de ses jambes sur le dossier du canapé et l’autre bien écartée repose sur le tapis moelleux du salon.
De mes mains, j’écarte bien les grandes lèvres de son sexe pour sucer son intérieur, la bosse qui cache son clitoris n’a pas de secret pour moi, j’insiste davantage dessus, son petit bouton sensible grossit, je peux le sentir sur ma langue, je le titille, je l’aspire et je le mors même tendrement, l’effet est immédiat, Rachel respire bruyamment.
Avec mes doigts j’écarte mieux les grandes lèvres et les petites lèvres qui cachent le bouton du plaisir et quand il est à nu, je l’agace du bout des doigts et ma langue redouble de léchages.
Mes doigts frottent le long de la fente de sa chatte et je la pénètre d’abord avec l’un de mes doigts dans le vagin, l’intérieur est déjà moite et visqueux, d’ailleurs en ressortant mon doigt de son ventre, il est tout gluant de mouille, je plonge alors deux doigts dans son vagin ouvert, pour les faire danser.
« Ah….. C’est bon…. Oui….. Je jouuuuiiiiiss ! »
Je masturbe le vagin de Rachel avec violence, enhardit par ses cris d’orgasme, quand elle a fini de jouir, je baisse mon slip et je m’assoie sur le canapé, Rachel se penche alors sur mon sexe pour l’engloutir dans sa bouche.
Tout en suçant mon gland, l’une de ses mains me caresse les bourses, sa bouche monte et descend le long de la hampe de ma verge, cela a pour effet de distendre la bouche de Rachel, j’appuis sur sa tête pour que ma verge s’enfonce au plus profond de sa bouche.
Mon gland butte de temps en temps sur le fond de la gorge de Rachel, le but c’est de s’enfoncer au plus profond, je saisi la tête de Rachel de mes deux mains et c’est moi qui donne la cadence de la fellation.
D’un coup, je m’enfonce dans la bouche de Rachel jusque dans la glotte, c’est comme un vagin buccal, c’est délicieux, Rachel à un haut le cœur et bave sur mes bourses, mais elle reprend sa fellation et une fois de plus je pénètre sa glotte, d’ailleurs le nez de la figure de Rachel, touche mon ventre, je suis entièrement dans sa bouche.
Je quitte la bouche de Rachel, et je l’aide à venir s’assoire sur moi, ma verge tendue au maximum, je me positionne sur l’entrée de son vagin et d’une poussée, je la pénètre sans ménagement, Rachel donne le rythme et c’est elle qui me baise.
Son bassins ondule sur ma verge en une danse rapide, elle se soulève au risque de se désarçonner, mais juste avant elle s’emmanche de nouveau sur mon vit tuméfié.
J’écarte bien ses fesses, pour gagner quelque centimètres précieux afin de mieux m’enfoncer en elle.
Je bascule Rachel sur le canapé, allongée, j’attire son bassin à moi et je la pénètre de nouveau par le vagin, en jouant avec ma verge, je la frotte sur son clitoris en alternant avec les pénétrations.
Je joue aussi avec son clitoris, cette double sensation arrache à Rachel un orgasme, son sexe se trempe d’un seul coup de mouille.
« Je coule… Je Jooouuuuiiiis ! »
Je plie les jambes de Rachel sur ses seins, son bassin remonte haut sur ma verge, la vue de son anus me donne une idée, mais je me retiens, je ne vais pas la sodomiser comme ça, pourtant ce n’est pas l’envie qui m’en manque, mais j’écarte cette pensé.
La vulve de Rachel se serre sur ma verge, elle est entrain de jouir à grands cris, aussi je ne me retiens plus, ma verge gonfle d’un seul coup, je vais éjaculer dans le vagin de Rachel.
A ce moment, Rachel me demande de ne pas jouir dans sa chatte, je la rassure, mais je ne peux pas me retenir, j’éjacule une giclée dans son vagin et je me retire d’un seul coup.
J’éjacule alors sur son ventre et sur ses seins, mais je garde une réserve, j’enfonce ma verge dans la bouche de Rachel et je me vide dans un dernier soubresaut d’orgasme dans sa gorge.
Rassasiée de plaisir et une fois rhabillée, Rachel me demande de vérifier son PC, un désir que je ne saurais refuser de lui accorder.
Apres quelques vérifications, je réussis à démarrer son PC, Rachel sourit et son visage s’illumine de reconnaissance, elle m’embrasse d’ailleurs à pleine bouche et avant de quitter la maison me remercie de l’avoir dépanné.
Mine de rien, j’avais passé deux heures avec Rachel à jouer aux amants étrangers et surtout à me repaître de son corps juvénile.
Cela m’a donné soif d’ailleurs de faire l’amour, mon jus d’orange ayant perdu de sa fraîcheur, je me sers des glaçons au distributeur intégré et c’est à ce moment là, que Anne entre dans le salon, par la cuisine américaine,je ne l’avais pas entendu arriver.
Je l’embrasse sur la bouche d’un baiser chaste et je lui tends le verre de jus d’orange. Anne avait revêtu son tailleur jaune, un blazer et une petite jupe très haute sur ses cuisses fuselées.
Elle dégageait un certain érotisme, aussi je la laisse finir de boire son jus de fruit, puis je viens la prendre dans mes bras.
Je l’embrasse cette fois-ci à pleine bouche et je défais les 3 boutons de son blazer, je le jette au loin tout en admirant le soutien-gorge blanc qui maintient ses gros seins, j’adore ses seins, ils sont lourds, quand le soutien-gorge tombe à terre, les deux seins de Anne jaillissent, je me saisis des bouts qui commencent à durcir.
Anne fait mine de refuser mon avance, mais je la sents bien commencer à fondre, d’autant plus que j’ai glissé une main sous sa jupe et je lui masse l’entrejambe.
Je fais pivoter Anne et je la penche sur l’îlot central de la cuisine, je relève sa jupette et je la libère de sa petite culotte, un beau slip en dentelle blanc qui couvre ses fesses.
Anne lève une jambe puis l’autre, pour se dégager de son slip.
Je m’accroupie et à coups de langue je me mets à lui sucer le sexe tout en écartant les grandes lèvres de sa vulve, sous ma langue, son clitoris gonfle sous la caresse indécente, Anne gémit sous mon insistance à lui sucer son petit bouton d’amour.
Je lèche la fente de son sexe et je m’attarde aussi sur son anus, sa collerette est ferme, ma langue a du mal de la pénétrer par l’anus, mais ce n’est que partie remisse.
Je me libère de la ceinture de mon pantalon et tenant ma verge gonflée d’une main, je pénètre Anne par le vagin, cette pénétration lui arrache un cris, alors tout en la besognant, j’enfile mon pouce dans son anus lubrifié par ma langue.
« Arrêtes….. C’est trop b00nn…. Tu vas me faire jouir ! »
Je ne l’écoute pas, trop concentré sur mon plaisir, notamment de la sodomiser dans la cuisine, je retire mon pouce de son intimité, je pose mon gland sur son sphincter et lentement j’exerce une pression pour la pénétrer.
Les muscles de son anus, résistent sous la pression, mais d’un coup de rein brutal, je fais pénétrer mon gland.
« Oui… Oui… plus fort ! »
Alors sous les ordres de Anne je donne un coup de rein plus fort et ma verge disparaît dans ses reins jusqu’à la garde, tout en faisant des va et vient dans son anus, j’ai enfilé mes doigts dans son vagin, mes doigts dansent dans son ventre comme sur les cordes d’une guitare, Anne n’en peut plus et moi non plus d’ailleurs.
Le vagin de Anne se contracte d’un seul coup sous ma masturbation manuelle.
« Je Jooouuuiiiiiss ….. Je Jooouuuiiiiisss !”
Anne gémit sous le plaisir montant dans son ventre et dans ses reins, aussi je me laisse aller à jouir en même temps qu’elle et j’éjacule dans son anus quelques giclées de foutre tiède, mais je veux finir par jouir dans son vagin, aussi avant d’expulser les dernières gouttes de sperme, je me retire de son anus et je la pénètre dans le vagin sans résistance.
Anne succombe sous un deuxième orgasme et je me vide dans son ventre.
Nous restons un instant coller l’un contre l’autre, reprenant notre souffle, nous nous rhabillons encore tout fébrile.
Nos esprits de nouveau opérationnel, j’interroge Anne sur sa journée et nous discutons à bâton rompu de sujets différents, tout en discutant, je cuisine pour Anne qui a pris place sur le canapé du salon, ce soir nous dînerons frugal.
Une petite Mesclin avec des œufs durs et de la tomate et une entrecôte à la crème flambée au Whisky, Anne adore.
Confortablement installé dans le canapé, Anne termine son rapport et moi je lis un bouquin policier, de temps en temps je lève les yeux sur Anne, en me disant qu’elle est vraiment très belle.
Anne semble alors avoir intercepté ma pensé, elle lève le regard sur moi et me sourit avec un air espiègle à pleine dent et par jeu, elle croise les jambes, mais si lentement que j’ai le temps de voir son entrecuisse nu.
Avant de nous coucher, nous sommes passés par la douche quotidienne du soir, nous entrons tous les deux dans la grande salle de bain et c’est ensemble que nous avons pris notre douche.
Anne me savonne et je fais de même, d’une main elle saisit ma verge et tire sur la hampe pour décalotter le gland, elle laisse l’eau de la pomme de douche bien me mouiller et d’un coup, elle met à l’abri mon gland dans sa bouche.
Je caresse les seins de Anne pendant qu’elle me fait une fellation, ma verge enfle dans sa bouche et sa langue me lèche le gland.
J’aide Anne à se relever et je me blottis dans ses bras, l’eau chaude martèle nos visages et nous fait du bien, avec mes doigts, j’ouvre le vagin de Anne et je la pénètre d’un trait, debout je lui fais l’amour tendrement et plus longtemps cette fois.
Anne étouffe un râle, son vagin se serre sur ma verge, elle jouit, moi aussi, mais la dernière giclée de sperme est pour la bouche de Anne, qui m’avale goulûment…..
Tendrement enlacé dans le lit, Anne ne tarde pas à s’endormir, sa journée avait du être épuisante et il faut dire que je ne l’avais pas ménagé avec mes assauts répétés, je ne pouvais pas m’empêcher d’user et d’abuser de son beau corps.
Même au début de notre relation, Anne c’était toujours montré entreprenante et disponible, elle ne m’a jamais rien refusé, même le jour où je l’ai sodomisé pour la première fois.
Au contraire, elle m’aida même à la pénétrer par l’anus, ce soir là, j’avais pris la virginité de ses reins, elle avait eu d’autres amants qui s’étaient vidés dans son vagin et dans sa bouche, mais jamais elle avait cédé à la sodomie, sauf avec moi.
En pensant à cette sodomie, ma verge a repris de la vigueur, j’ai une terrible envie de faire l’amour avec Anne, mais la pauvre chérie dort comme un enfant gavé par son dîner.
J’ai beau me tourner dans tous les sens, je n’arrive pas à trouver le sommeil, j’allume la lampe de chevet et prend un bouquin qui traîne, mais sans vraiment m’y intéresser, j’ai envie de Anne.
Je tire la couette jusqu’aux pieds du lit, je me tourne sur le coté pour regarder Anne, Anne dort sur le dos, les mains le long du corps, elle porte une nuisette d’un bleu pastel, qui ne cache rien de ses formes, ses seins pointent vers le haut et la toison de son pubis marque comme une ombre noire le secret de son sexe.
Je soulève la nuisette sur le ventre jusqu’au nombril, découvrant ainsi le mont de Vénus touffu et en broussaille, je devine la fente de la vulve, l’entrée du vagin est légèrement ouverte, comme une invite.
Doucement, j’écarte l’ une des jambes en un grand angle pour me ménager un passage jusqu’à cette chatte dormante et du bout de l’indexe et du pouce, j’ouvre la fente, le vagin est ouvert, je pose mes lèvres sur son entrée et j’introduis ma langue à l’intérieur.
Anne remue un peu et ses jambes s’ouvrent comme la corolle d’une fleur sous les rayons naissants du soleil, doucement je suce la vulve sur tout le long de la fente de ce sexe, le clitoris enfle aussi sous la caresse, Anne remue un peu et sa bouche s’entrouvre pour laisser échapper un feulement, je suis en érection.
Je m’allonge sur le coté et j’attire Anne pour quelle me fasse face, d’une main je cherche son sexe, ma verge pointe sur son vagin, je la pénètre en douceur, les grandes lèvres de la vulve me cèdent le passage et le vagin s’ouvre largement sous la pénétration de mon gland. Anne c’est même mieux positionné, elle me laisse guider la manœuvre en se laissant gagner par le plaisir. Quand j’éjacule dans le vagin, Anne gémit en silence.
Anne roule sur le coté et reprend sa position sur le dos, ses jambes restent écartées et son vagin dilaté par le passage de ma verge se referme lentement en laissant échapper du sperme et de la cyprine qui souillent le drap.
En regardant Anne, si sereine, j’ai eu honte de moi, non pas pour lui avoir fait l’amour alors qu’elle dormait, mais pour avoir lâchement baisé une gamine dans l’apres-midi, alors que j’avais tout avec Anne.
C’est un peu tard que je me suis juré alors que l’on ne m’y reprendrait plus, dorénavant, il n’y aurait que Anne, dans ma vie.
Et si je lui demandais de m’épouser ?
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