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J'allais de Paris à Toulouse et incident, le train était bloqué à Brive. On nous a annoncé qu'il y aurait deux heures d'attentes avant un nouveau train pour Toulouse. Le trajet déjà long, il fallait encore patienter ! Je ne connaissais pas la ville de Brive et je décidais d'aller me promener aux alentours de la gare.
En descendant sur la gauche, je vis "Sex-Shop". N'y étant jamais entré, je décidais de faire cette découverte. Je poussais la porte en verre et arrivais dans cette boutique où étaient étalés des gadgets divers, god, vibro...et beaucoup de rayonnage de DVD à vendre ou à regarder sur place dans une cabine. Je ne voulais pas m'encombrer et j'optais pour une vision cabine et je choisis un DVD . Le patron très sympa m'indiqua le prix de 8€ et me pria de le suivre. Il me présenta la cabine avec son écran de vision et m'indiqua la façon de regarder en faisant avancer le film ou le retardant. Dans cette cabine il y avait un fauteuil et sur le mur une paterne pour suspendre sa veste. Je déclenchais le film et, comme il faisait chaud j'enlevai ma veste pour la suspendre. Le film se déroulait où l'on voyait des filles magnifiques se faire prendre par des hommes au sexe démesuré. C'était très excitant ! Seul dans ma cabine, je déboutonnais mon jean' et fit sortir mon sexe en abaissant l'élastique de mon slip sous ms testicules. Je bandais comme un malade et lentement me caressais la tige.
Soudain, j'entendis du bruit qui provenait de la cabine contiguë à la mienne. Probablement un autre client venu se branler en matant un DVD me suis-je dit. Le son de sa télé était fort et je pouvais entendre les gémissements des actrices de son film. je restais planté devant mon écran et continuais ma branle.
Surpris, juste à côté de ma veste, il y avait un trou d'une dizaine de centimètres où je vis paraître lentement un bite bien décalottée. Je regardais cet engin et du bout des doigts commençais à le caresser. À chaque caresse, il faisait des soubresauts. Je le pris à pleine main et commençais à le branler. C'était la première fois que je touchais la bite d'un inconnu. Elle était belle et bien moulée. Au toucher je la trouvais douce, chaude et lisse. Je me mis à genoux devant et j'ouvris la bouche pour la gober. J'étais super excité ! La bite fit des mouvements et entrait et sortait de ma bouche comme si celle-ci était un vagin. Je m'appliquais à bien la sucer, usant de ma langue et de mes lèvres avec une légère aspiration. Je l'enfonçais le loin possible dans mon palais et je pinçais bien les lèvres en me retirant. La tige se fit de plus en plus dure et j'entendis un grand gémissement au moment où je reçu plusieurs saccades de sperme dans le fond de ma gorge. J'avalais tout ce jus au fur et à mesure qu'il s’échappait de cette bite. J'en découvrais le goût et j'ai tout de suite aimé. Mais celle-ci perdit de sa consistance et finalement se retira. J'aperçus une silhouette sans voir qui c'était par ce trou mais l'homme que je venais de sucer quitta sa cabine.
Je repris mon siège, tout retourné des moments que je venais de vivre.
Je repris la lecture de mon film et ma branle.
Sur le mur d'en face, je vis un autre trou et deux doigts étrangers qui frottaient la paroi. C'était une invitation. Je me mis debout et avançais ma gaule tendue dans l'orifice. Celle-ci fut aussitôt happée par une bouche chaude. J'étais déjà très excité par ce que je venais de vivre et par les images de l'écran que j'eus du mal à me retenir d'éjaculer. Mon suceur s'y prenait bien, suçant rapidement puis lentement pour enfin recueillir tout mon jus qu'il avala lui aussi.
Épuisé par ces deux intermèdes, je me rhabillais et quittais la boutique pour revenir à la gare pour repartir pour Toulouse.
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