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Son corps quasi inerte gît devant moi. Les draps blancs du lit donnent à sa peau un reflet de rose, flétri ici et là du bleu de la meurtrissure du froid qui cristallise sa chair…nerveuse, ses pieds sont engourdis de glaces. Ma voix chaude lui murmure que très bientôt son corps sera transporté dans les sphères habitées par dieux et déesses. Mes yeux d’homme fondent sur le corps sans malice de mon amoureuse, splendide, il lui va parfaitement. Passion et tendresse miroitent constamment dans le bleu de ses yeux. Ce soir, for my eyes only, nue devant moi, la gloire de cette déité rayonne dans le rosé des vallons, là où naissent ses seins, ses fesses et l’entrée de son jardin secret…
Le crépitement de l’huile velouteuse réchauffée qui dégoutte dans un bol de céramique encore embrasé porte à son oreille la curiosité d’une vierge de découvrir pour une première fois le débordement de la passion qui l’habite. Cette huile envahit mes mains, les prépare à suivre le chemin tissé par la connexion de ma bien-aimée à son corps, sa réponse à l’éveil sensuel d’un massage, du questionnement incessant à savoir si ces sensations sont causées délibérément par les mains de l’adorateur. Le transfert de chaleur débute enfin, cette sensation de bien être intérieure, cette même chaleur qui est installée dans son nid et qui procure un état physique paradisiaque à mon membre chaque fois qu’il s’y trouve. Mon général durcit à entendre les tout premiers sons qui s’échappent de la bouche de la déesse. Au contact de sa peau, l’huile recouvrant mes mains et mes doigts va doucement envahir le dos si droit de cet être. Sa peau, si douce, glissera sous la mienne, des vagues formera et l’écume de l’huile mêlée à son odeur corporelle y jaillira pour venir nourrir mes sens et le feu montant dans mon gland. Mimiquant le mouvement de va-et-vient qui caractérise l’acte intime, mes mains brûlantes jouissent dans le creux de ses reins, là où la rondeur de ses fesses se dresse, l’humidité de sa sueur se mêle à l’huile qui inonde la noirceur de la crevasse que mes doigts séparent. Pour que ce joyau puisse briller de toute sa splendeur, serviteur de sa majesté, je déverse une cascade d’huile chaude qui perle sur son divin cul. Celui-ci embrasse cet élixir et le pousse plus bas vers une chatte impatiente de se faire adorer. Les quelques minutes vouées à la messe chantée par mes mains tantôt sur ses hanches et entrecuisses, tantôt sur l’amont de chair tout autour de son sexe, ont enduit les mûrs de sa caverne d’un baume sensuel, l’huile des déesses les plus allumées. Derrière elle, mes pouces serrent la pomme de son fessier, et poussant vers le haut, ils exposent cette petite boule de plaisir gonflée, durcit de désir, qui brille comme un diamant. Ses lèvres protectrices laissent s’écouler un crémage transparent, celui-là même qui laisse entendre un crépitement si distinct quand l’entrée de sa caverne s’ouvre lorsque mon gland enflé au point de rupture pénètre et vient caresser toute sa féminité.
Sa tête tournée je peux l’épier. Sa bouche est soudainement défoncée par sa langue qui vient lécher ses lèvres. Dans les limbes, en transe, je peux entendre la musique de sa langue qui chatouille mon membre. Je peux sentir la succion de ses baisers quand ils cueillent la lubrification incontrôlable de ma queue. Elle anticipe l’explosion de mes boules quand je raidis encore plus. Soudain, avec un synchronisme parfait, elle forcera ma verge plus creux, ma semence fera chanter sa gorge, j’y nage dans un état absolu d’abandon à ma déesse. Ces limbes sont ma maison…
Mes pouces glissent toujours plus près de son nid d’amour. Telle des charbons ardents, ils brûlent de tentations le sexe de celle dont je suis serviteur. Soulevant cette délicate peau d’un geste obscène, des sons et des bruits intimes émanent qui feraient rougir de jalousie n’importe quel esprit du monde divin ou charnel. Au travers le velours épais de sa boursouffle je taquine sa bille, la tire du haut vers le bas, tente de l’étourdir. Ne voulant pas se laisser engourdir un tant soit peut, elle force sa maîtresse à gémir de plus en plus, elle convulse son corps entier jusqu’à faire bientôt crôchire ses orteilles. Elle ne demande qu’une seule chose : me sentir au plus profond de ses entrailles. Elle se meurt de faire pénétrer mon membre virile tout au fond de son puit, là où l’amour rassasie. L’être divin qu’elle est, lance un dernier appel en dressant tout droit ses fesses rouge comme si on les avait frappées. De son cul émane cette unique senteur, lourde et cochonne. Je ne peux plus résister. J’arrache mes vêtements collant de sueur. Mon caleçon est enroulé tout près de mon gland qui baigne dans le liquide visqueux qui est le fruit de mon désir de servir ma déesse.
Je monte sur le lit et l’enfourche sauvagement. La bête qui monte en moi me fait peur, je ne connais pas cet animal. Attiré par l’éclat du trésor qui se trouve entre mes jambes, mon pouce caresse un trou pendant que mon gland frappe à l’entrée de son jardin. Je sens my lady nerveuse, effrayée de ce que cette petite partie de son corps peut faire si elle le laisse aller. Comme un lion qui enfonce ses longues dents dans la chair de sa proie, mon membre poignarde la chatte de ma proie, si creux que la tête de celle-ci se lève vers l’arrière au moment même ou toute sa passion, son désir et sa soif de chair font éruption dans ses entrailles et se propage jusque dans chaque goutte de sang qui la garde en vie. Elle connaît ainsi la mort de son être physique, renait dans sa composition spirituelle et retourne humaine dans chacune de ses respirations…elle sent le chatouillis de la coulée de ma semence qui se répand, chaque petite vague d’euphorie qui s’écoule du bout de mon gland d’acier. Lui aussi brûle… Sa chaleur vient masser et caresser les parois de sa chatte, ma queue l’empâle avec ses veines soufflées, accompagnées du rebord exagérément grossit de mon gland, elle entraine dans sa fougue le sexe de la déesse à se contracter, son désir de plus en plus ardent construits ma verge, il limite même sa liberté. Ce membre viril lui appartient, il lui obéi et se soumet volontiers au demande de la déité. Soudainement, du fond de sa gorge, le langage de la déesse change. Toujours à plat ventre, elle se dresse sur ses mains et les incantations de sa messe se font entendre. Elle veut ce nouvel orgasme comme si c’était le tout dernier qu’elle connaitra. Avec elle, elle m’emporte dans un nouvel univers… La suivre, je désir ardemment, je ne peu aucunement me déconnecter de son corpus….
Brusquement, tout se bouleverse, déconnecté bien malgré moi, l’univers transparent de ma déesse de désagrège en un instant. Me voilà de nouveau dans notre chambre. Fantasme si réelle. Mes mains tangences toujours sur sa peau et mes yeux reprennent tant bien que mal focus sur le corps de celle que j’aime. Mes yeux fixent le divin fessier qui s’offre à moi pendant que mes mains réapparaissent de l’entrecuisse de cette nymphe. Que c’est-il passé? Vénus m’a une fois de plus totalement ensorcelée… Mes mains reprennent leur cheminement. Tout ce que je veux c’est que ma tendre Dame soit bien. Qu’elle sente une paix intérieure et quoi de mieux qu’un massage pour réunir corps et âme. Je dois me plier à sa félicité, c’est mon ultime désir, ma raison d’être…
Je me laisse guider par ce désir inné qui est en moi. Mes caresses anesthésiques rejoignent maintenant ses pieds. Ceux même qui la porte vers moi quand elle en a besoin. Je veux efflorer chaque pli qui habite cette partie de son corps. De leur rugueux touché, ses talons viennent meurtrir la peau de mes doigts. Mais ce n’est pas long avant que ceux-ci s’adoucissent et accepte le don d’amour qui les caresse. Ma bouche vient même les attendrir de ses baisers, ma langue chaude et humide les adorent, mes lèvres iront même jusqu’à sucer ses orteils pour que la chaleur qui m’habite puisse déferler dans son corps. Ses murmures me disent que je réussi, que je pénètre son corps…ma queue agit comme une antenne et me laisse savoir qu’il est temps de lever l’intensité de mes signaux… D’une voix toute douce je la ramène vers moi et lui dit qu’il est temps pour elle de se tourner sur le dos. Ses yeux me font voir qu’elle était dans un univers parallèle. Doucement, comme au ralentit, elle largue son corps vers la droite. Ses yeux restent fermés. Ses seins valsent sur sa poitrine et de la main elle se pousse vers le haut pour que ses fesses puissent s’aplatir contre les draps. Je rêve instantanément d’être ces draps. La sereine beauté de sa morphologie, son cou, sa taille qui s’impose, ses hanches et cuisses qui donnent sur ses mollets, ce visage qui m’a si longtemps hanté, donne tellement envie de m’y fondre, n’être que un avec elle, elle ma déesse, mon tendre amour, ma douce, ma Nathalie.
Je dois me rendre à l’évidence : ses seins, sa poitrine, ses mamelles, ses mamelons, ses tétons, m’ont diaboliquement envouté. J’y laisse alors suinter des gouttes d’huile chaudes. Aussitôt, elles viennent changer l’apparence de ses mamelons. Tenté par la brûlure de ce liquide, ils flétrissent. Eux qui tantôt écrasé par le corps de la déesse se sentait en sécurité, à l’abri, se retrouve en soudaine insuffisance d’attention. Les mains du serviteur les caresseront. Les mains du serviteur vont les chatouiller, les frotter et les enlacer. De leurs chatteries ils vont assujettir les désirs de la déesse. Elle concédera, soumettant le serviteur à son charme, même inerte, immobile. Guidé par les désirs de sa reine déesse, il reste consensuel, il demeure attitré aux plaisirs de la déité. Il est souscrit à ses croyances, assujettit à la domination de la déesse sur l’homme de chair qu’il est. Sa force. Son corps. Sa raison d’être avec elle. Sa raison d’être.
Éternellement il veut être sienne. Vers son nombril, vers sa boursouffle, il masse de ses mains. Pétrissant sa peau, sa chair, ses chaudes glissades viennent affermir la sensualité de la femme en elle. Elles dirigent la vigueur de l’âme sexuelle vers le bas, vers son sexe, son intimité. Précipitamment, le sexe de la divinité s’engage dans une folle course. Son dos, ses jambes et son tronc entier se mettent de la partie, comme si son petit trou du ne pouvait plus tenir sur le lit. Canalisé par son érotisme, la déesse veut se délecter des plaisirs de son corps. De la main de l’homme que je suis elle goûtera à sa propre chair. Moi aussi d’ailleurs. La féerie est sublime. Les jambes de la déité se sont écartées d’elle-même. Entrouvertes, elle laisse percevoir la femme fatale qui l’habite. Mon œil s’est alourdit. Il tarde à savoir ce qui est le plus important. Le visage marqué de désir de cette femme ou la chatte de celle-ci qui dégouline à en être presque entendu, tellement elle ronronne de chaleur, tellement elle est cochonne, tellement elle veut se faire mettre…
Mes mains se gorgent d’huile et caressent autour de son sexe. Elles vont taquiner et bientôt exaspérer son bas-ventre, les plis de peau tout autour de sa boursouffle. Elle secrète de la cire, un lubrifiant qui ne ment pas sur ce qui se passe dans ses entrailles. Mes mains serrent de plus en plus fort l’amont de chair qui restreint le bassin de la fée, pincent les lèvres de son sexe, emprisonnant sa billette qui bientôt sera dure comme le verre d’une bille. Mes mains tiennent, tirent et arrachent la sensuelle peau visqueuse de son sexe. La porte de son jardin s’expose et laisse voir l’ouverture de la mer de plaisir qu’elle habite. Aussitôt vue aussitôt descendu vers ce délices des dieux. Mes oreilles et mes joues viennent se frôler aux cuisses de ma reine. Sans attendre, sans asticoter, ma bouche grande ouverte gouttera à ce fruit. Les frissons internes de ma proie se font sentir avec les boutons d’érotisme qui se forment sur la chair de sa chatte. Ma langue se noie dans ce jus divinement déposé. Elle goute l’irremplaçable délice des dieux. Ma bouche et ma langue sont submergés par cet élixir. Humecté de sa divine chair, ma langue, engourdie reste coriace et liche sans relâche. Mes lèvres sucent délicatement sa bille. Ma bouche toute entière, embrasse l’entrée de son jardin, méticuleuse, elle puise de la riposte de ma déesse, incessamment dans les verbalisations de ses délices, ses désirs intimes, ceux dont elle n’a jamais osée même parler, jamais osé demander, elle qui pourtant, déesse. D’une main vigoureuse, elle tire ma face entière contre son sexe et extirpe chaque caresse de ma langue, et de l’autre, ses doigts s’enfoncent s’imposant sur ses seins, fermement. Bombardé par son côté charnel, elle jouit ardemment, son corps soumis à ce supplice tant requis de la déesse en elle.
L’homme charnel que je suis se sent inapte et incompétent face à l’érotique sensualité de la femme qui est à ses côté. Elle, encore endetté envers sa féminité, reste déesse. Elle demeure, sans le vouloir, l’habitacle par qui tout cet univers reste accessible. Celle qui accepte, celle qui demande, celle qui veut, celle qui laisse, celle qui accorde… celle qui donne chaleur humaine grâce à sa divinité et ce, même sans le savoir.
Éreinté, peinant à me redresser sur mes jambes, je constate à quel point la nymphe est conquise, assujettie à sa chair. Ses jambes restent mortes au bord du lit. La peau qui entoure son sexe, sa boursouffle, son entrecuisse, est reluisante du nectar qui s’écoule encore de sa chatte, son odeur a pris captive la chambre entière. Mon visage est peint de cet élixir, il coule encore sur ma langue, dans ma gorge. Il nourrira mon corps entier, mais surtout, il aura fait de moi le serviteur d’une déesse.
Dort-elle ou est-elle coincée dans les limbes? À quoi rêve-t-elle?
Mes yeux se prosternent. L’homme en moi rampe devant sa magnificence. Médusé, mon regard remarque que sa poitrine se dégonfle faisant dandiner ses seins. Ils cherchent à se redresser, tirés vers le côté. Lourds. Gorgé du sang de secousses d’euphories qui se sont déchainées dans son corps, ses mamelles sont plus rose qu’à l’habitude. Un picotement les habite. Le même qui fourmille profondément tout autour de son nombril rempli de sueur. Ses joues aussi sont étreintes de rose, elles perlent de l’asphyxie de ses orgasmes. Ce chatouillis est-il responsable du léger sourire que portent ses lèvres?
Ses yeux s’ouvrent tout doucement. Une brèche laisse s’évader le scintillement du bleu au travers duquel elle voit son univers. Encore saoule d’extase, elle tente de s’asseoir. Ses mains et bras peines à l’aider. Gardien de la déesse, je saisi ses doigts et l’approche vers moi. Délicatesse, douceur et tendresse sont palpable. Elle tente de dénuer sa langue. Droguée d’amour passionné, sa concentration se fait tardive. Ses mains vont dépoussiérer ses yeux. Un mignon filet de bave inattendu s’évadera par le coin de ses lèvres. Se sentant un peu gauche, elle l’essuiera. Son regard reste perché. Des frissons viennent s’abattre sur son corps. Ses mamelons rétrécissent, pointant droits devant. En un clin d’œil ils sont passés de rosé au brun-rose des mamelles de la femme qui a enfanté. Humaine elle redevient. Encore servant de sa messe, je m’agenouille tout près d’elle sur le lit. Mes bras s’ouvrent tout grand pour enlacer tout la phosphorescence de son aura. Elle rayonne. Sa divinité l’enveloppe comme un manteau. Blotti dans mon poil, je la sens, archange, séductrice et ensorceleuse. Je n’ai vu le temps passer. Naïf, l’adolescent en moi aura sût comment abdiquer une part de toute la passion dont elle m’inspire, illuminant mon être de sa force, sa ferveur, là où l’amour gravite, sa chaleur. Sa chaleur humaine. Celle qui fait de moi l’homme le plus chanceux qui soit : celui qu’elle a choisi pour être serviteur de la déesse qu’elle est, et ce, bien malgré elle…
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