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Christine
A cette époque là, j’avais des relations avec deux femmes d’ages comparables (la trentaine jeune) ; Christine était une collègue de bureau et Marie qui, travaillant dans la même société se trouvait à un niveau supérieur au mien mais à un autre endroit.
Christine était devenue ma maîtresse quelques mois plus tôt et nos relations étaient torrides et classiques jusqu’au jour où je lui ai suggéré de se livrer à un jeu Sado Maso où elle serait ma propriété pour une durée de quatre heures ; j’étais relativement inquiet de cette proposition car je m’attendais à une fin de non recevoir et vraisemblablement à une fin tout court. Contrairement à mon appréhension elle m’a dit avoir lu « histoire d’O » en cachette de son mari et s’être souvent caressée en y songeant.
- Qu’est ce qui te fait mouiller Chris dans ce livre ?
- la situation de dépendance ; les ordres ; les coups légers mais pas la douleur
- et l’épisode avec Anne Marie, avec les femmes
- J’ai déjà goûté aux femmes…
- Oui ?
- Avec une maîtresse de mon mari, il y a cinq ans , à trois
- Tu as aimé ?
- Enormément ?
- Bien, on peut songer à trouver une partenaire
- ….
- Dans un premier temps, es tu disposée à m’appartenir ?
- Oui mais ne me torture pas trop, j’ai un peu peur
- Maintenant ?
- Oui mon après midi est libre…
- Va aux toilettes et retire tes dessous (nous étions dans un restau en fin de repas)
- Tu crois ?
- Le jeu commence maintenant
- Je reviens dit elle en rosissant
- ….
- Tu es belle dis je en la regardant s’asseoir
- Merci
- Garde tes cuisses ouvertes dis-je en plongeant pour ramasser ma serviette tombée par intérêt et en admirant sa chatte et la tenue magnifique de ses bas
- Tu apprécies demande t elle ?
- Oui tu es superbe ; au fait, tu t'es touchée aux toilettes non ?
- Oui dit elle courageusement
- Et ?
- C’était bon
- C’est tout ?
- J’ai joui voilà
- Tu as lavé tes mains?
- Non
- Suce ton doigt
- Je l’ai déjà fait
- Bien
- Allons dis je ; dis moi « maître je suis à vous corps et âme » à partir de maintenant et jusqu’à la fin de la séance, tu m’appels ainsi et tu me vouvoie
- Bien maître, je suis à vous corps et âme
- Si tu veux sortir du jeu, le mot de passe est « le ciel n’est plus bleu »
- Je ne comprends pas
- Si tu prononces cette phrase et celle là seulement, j’arrête tout et nous reprenons le cours normal de nos relations
- Bien Maître
Je la conduis à un magasin de bricolage sur la zone où elle me regarde acquérir de la cordelette et des pinces crocos (un petit paquet de huit ou dix) ; je prends également une baguette de 80 cm de long ronde et de 1 cm de diamètre (pour servir de badine)
- C’est tout pour moi Maître
- Bien sur
- J’ai un peu peur
- Sois tranquille, tu es excitée non ?
- Oui Maître
Nous arrivons à un hôtel où je loue une chambre pour l’après midi, payable en liquide bien entendu.
Arrivés dans la chambre je lui ordonne de se tenir debout cuises largement ouvertes et robe relevée jusqu’au nombril ce qu’elle exécute.
- Plus large dis je d’une voix douce, à la limite de l’équilibre
- Comme ça Maître (béante et bien cambrée pour tenir debout)
- Superbe mais dis moi tu es
ouverte et ton clitoris est sorti
- Ouiiii Maître
- Retire ta robe et reprends la position mais les mains sur la tête (je suis en complet cravate, j’ai retiré la veste)
- Voilà maître
- Superbe, tu fais vraiment pute ainsi
- Ohhhhh!!!
- J’aime rassure toi et je m’approche
- Maître c’est dur d’attendre
- Quoique je fasse je ne veux pas d’autres réaction s que des gémissements
- …
Je commence une série de gifles pleines joues, alternativement, de plus en plus soutenues sans être violentes ; elle tente avec difficulté de tenir sa tête droite. A part cela elle me regarde dans les yeux avec aplomb et acceptation.
- J’ai tous les droits sur toi sauf celui d’attenter à ton intégrité physique
- Oui Maître
- Reste bien debout et ouverte, tu as déjà dégusté des seins
- Non maître
- Allons y
- Pas trop fort maître
Cette fois une gifle dure lui fait comprendre l’inacceptable de cette réflexion
Elle réagit bien et me regarde suppliante
- Pardon maître
Je prends ses gros seins (Christine(Christinene fait du 95 D) à pleines mains et les tords assez durement ; elle gémit puis je m’empare de ses volumineux tétons avec les ongles des deux mains
- Aïe dit elle restant immobile
- Je vais te poser deux pinces salope
- Ohhh j’ai peur
Je lui mets les crocos avec précautions ; elle grimace mais supporte ; je coupe deux petites ficelles et les attache aux anneaux des pinces ; je la tiens ainsi par les tétons et lui ordonne de sautiller (le plus ouvert possible) ; pendant ce temps je tire perversement sur les ficelles ce qui lui arrache de petits cris…elle mouille de plus en plus fort.
- Continue salope tu aimes cela
- Oui mais … j’ai mal aux seins
- Superbe dis je en tirant plus fort ; pour ta soumission nous les appellerons « mamelles »
- Oui maître se lâche t elle, j’ai mal à mes grosses mamelles de pute et j’adore cela
Un peu interloqué, ne m’attendant pas à cela, je relâche la tension puis je réagis assez brutalement en lui demandant de rester le plus possible debout sans bouger et sans se plier ; je tire durement les ficelles vers le bas ; elle ne peut pas résister ; elle se plie vers l’avant mamelles étirées.
- Salope tu as failli m’attendrir
- Pardon maître
Je vais m’asseoir dans un fauteuil et lui ordonne d’approcher puis de sortir ma bite durement érigée. Elle s’exécute et sur mon ordre me masturbe doucement
- Je veux une gorge profonde
- Oui maître
- A fond de gorge ; j’exige que ma queue soit enfoncée au maximum et que je te défonce la bouche
- Je ne vais pas y arriver
- Penche toi dis je en tirant sur les ficelle et reste écartée des cuisses ; utilise tes mains pour te tenir
Je pose mes mains derrière sa tête et enfonce ma queue dans sa gorge à fond ; une résistance puis c’est passé. Je tire cruellement sur les seins et sens le fond de gorge qui se contracte ; l’effet sur ma queue est instantané… je me vide … elle ne bouge pas ; elle attendra mon ordre pour se redresser.
- Je giclerai deux fois aujourd’hui, la seconde sera dans ton cul
- NOOON
- Pourquoi s’il te plait (je suis assis, elle est devant moi debout et je lui caresse le clito qui est tout dur déjà
- Je n’ai jamais voulu même avec mon mari … j’ai peur
- Il faut que tu apprennes ….
- Ohhhh pitié
Je sui pose une pince au clito, elle gémit mais se concentre puis la fait mettre debout de dos penchée vers l’avant , béante, les mains ouvrant les fesses.
Je frappe de bas en haut avec la badine afin que les lèvres et le clito torturés soient toujours atteints.
Christine gémit de plus en plus fort et je me rends compte que le rythme devient celui du plaisir… elle crie , elle hurle, elle jouit.
Je suis nu à présent
Nu et fortement bandé, je passe derrière elle et lui ordonne de ne pas bouger. Je la pénètre et lui dérouille la chatte jusqu’à ce que l’orgasme s’annonce ; à ce moment je tire lentement mais cruellement la pince posée sur son clitoris provocant un orgasme délirant et ponctué de tremblements convulsifs et de hurlement assourdissants.
Je ne jouis pas ; je me retire et passe devant elle. Je la prends par les cheveux et l’embouche. Elle me suce avec délectation et j’en profite pour torturer ses mamelles en tirant sur les ficelles
- Tu aimes ton jus ma petite putain ?
- Ouiiiii
- Vas y , à fond de gorge
Elle ne répond pas mais s’enfonce la bouche sur ma queue jusqu’aux couilles et tente même d’aller plus loin. Christine a abandonné sa volonté, elles est à présent réellement à moi et tente de me donner son plaisir.
Je me retire et la fais redresser ; elle est somptueuse avec ses gros seins ornés de pinces et de ficelles et sont clitoris offert également pincé.
- Debout écartée mamelles cambrées salope
- Voilà maître
- Je vais t’enculer ma belle chienne
- Nonnnn pitié
Je donne un coup de badine sur ses mamelles qui lui arrache un cri
- Je vais t’enculer ma belle chienne
- Nonnnn pitié nonnnn nonnnn
Je cingle plus fort, trois coups
- Je vais t’enculer mais seulement avec ton approbation
- Nonnnn pitié …. Si …. Ouiiii
- Comment
- Enculez moi maître
- Plus fort
- ENCULEZ MOI MAITRE vous serez le premier
- Penche toi en avant les jambes ouvertes et le tronc quasiment horizontal
- Voilà maître
- Je vais te préparer
- A votre disposition maître
Je lui retire les cordelettes des seins et j’en coupe des plus longues. Une fois celles ci posées, j’en attache l’autre extrémité aux chevilles ainsi elle ne peut se relever qu’en se faisant cruellement souffrir les seins. A la pince du clito j’attache une ficelle et fais pendre une bouteille de shampooing trouvée dans la salle de bains : au moins 350 g le clito se tend, elle crie un peu puis se contente de gémir.
- Tu vas voir tout à l’heure tu vas avoir mal quand je t’enculerai , ça fera balancer la bouteille ; compte sur moi pour amplifier
- Ohhhhhhhhhhh maître
- Allez écarte tes fesses et demande ta récompense.
Elle le fait et gémit car cela a provoqué une tension de ses seins et un mouvement du lestage de clito
- Défoncez moi le cul maître… D’UN SEUL COUP … TROUEZ MOI
- Encore plus fort
- Allez salaud vas y
Je décide de punir son arrogance en lui tirant brutalement le clito et un sein
- Aaaaaaouuyuuuuhhhhhh
- Je t’écoute
- Défoncez moi le cul … comme vous en avez envie
Elle me présente sa rosette ses mains ouvrant ses fesses.
Je m’enfonce lentement sans à coup mais sans pause, inexorablement
- Aaaaaaouuyuuuuhhhhhh
- Ah j’adore ma pute, tu es étroite, ma queue est en fête
- Ah oh oh oh j’ai mal … mais continuez maître
- Voilà qui est bien
Je commence de lents va et viens et je sens que la corolle s’ouvre, c’est une sensation extraordinaire ; je la travaille avec ampleur faisant bouger le poids et se tendre les ficelles des seins ; ses gémissements sont de plus en plus proches de ceux de l’orgasme… je suis hors de condition de me contenir … je me vide pendant qu’elle jouit
J’arrête la séance et nous prenons une douche.
Je la caresse amoureusement une fois rhabillée et lui demande :
- Envie de recommencer
- Oh ce monde qui s’ouvre devant moi ;;;ouahhhh
- Merci Christine
- J’ai envie de continuer, d’aller jusqu’au bout
- D’accord …Tu te souviens, la semaine prochaine nous passons cinq nuits à Paris, je vais te faire vivre d’autres choses.
- Quoi dis moi?
- Non, je veux ton accord d’avance
- Oui ….Maître
Voilà qu’elle m’appelle ainsi hors séance !
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