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Ceci est une histoire vécue que je poste avec plaisir sur ce très excitant site d’histoire érotiques, réelles ou fantasmées.
Cet été, alors que la canicule sévissait, j’ai surpris Véronique, ma voisine en train de nous mater, ma sœur et moi. En fait notre jardin est entouré d’un mur mais elle était montée sur une chaise et nous regardait, ma sœur et moi, en train de bronzer nues.
Elle n’a pas vu que je l’avais surprise en train de nous épier. Je l’ai discrètement dit à Juliette, ma petite sœur et nous nous sommes mises face à Véronique, jambes écartées. Elle avait alors une belle vue sur nos sexes épilés.
J’ai commencé à passer une main sur ma chatte et un doigt dans ma fente. J’ai titillé mon clito d’un doigt. Ma sœur faisait de même et se mettait des doigts dans le sexe.
Après un quart d’heure je me suis relevée et sans la regarder Véronique j’ai dit :
- Il te plaît, le spectacle, Véronique ?
J’ai levé la tête vers elle, et elle est devenue toute rouge.
- Ben… oui… le spectacle me plaît.
- Je ne me permets pas de regarder dans ton jardin, c’est un peut indiscret de ta part de regarder chez nous. D’autant que nous sommes nues, ce que nous avons le droit de faire puisque nous sommes chez nous et que personne ne peut nous voir si ce n’est toi, mais seulement en passant ta tête au-dessus du mur de séparation.
- Je sais, je n’aurais pas dû, mais je suis seule et je vous ai entendues parler. J’ai eu envie de voir ce que vous faisiez
Elle m’a demandé si on ne voulait pas venir lui tenir compagnie…
Nous avons passé un string et une courte robe et nous sommes allées sonner chez elle, la maison juste à côté de celle de nos parents, donc la nôtre. Elle nous a ouvert… Elle était nue.
Elle avait dû se toucher en nous matant car ses tétons étaient durs, ses petites lèvres étaient déjà bien apparentes et sa fente était luisante de cyprine...
En nous a fait entrer et elle s’est excusée de nous avoir épiées mais que nous l’excitions, ma sœur et moi…
Elle a essayé de m’embrasser pendant que ses mains essayaient de me peloter mais je me suis défendue…Il me fallait bien résister un peu, faire semblant en tout cas.…
- Excuse-moi, a-t-elle dit. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
- Ce n’est rien mais moi je sais ce qui t’a pris. Je sais que tu aimes faire l’amour avec les femmes…
Elle a rougi et m’a dit :
- Comment le sais-tu ?
- Je t’entends faire l’amour quand je suis dans ma chambre. Il faut dire que tu ne te gênes pas pour gémir, soupirer et crier ta jouissance. C’est très excitant, crois-moi, tu nous fais mouiller comme des folles, Juliette et moi. Et plus encore quand tes deux amants viennent se faire sucer leurs queues avant de te prendre en sandwich… Tu aimes çà, hein, une queue dans ta chatte et une dans ton cul en même temps. Je crève d’envie de faire la même chose.
Elle était paniquée, se tordait les mains de stress.
- Aurélie, tu ne diras rien à mon mari, hein ? Je t’en prie Aurélie, jure- moi que tu ne lui diras rien !!!!
- Pour qui me prends-tu Véronique ? Pour une délatrice ? Ta vie sexuelle ne regarde que toi.. Quel intérêt aurai-je de prévenir ton mari ? Mes parents et vous entretenez d’excellentes relations de voisinage ce qu’atteste le fait que vous venez régulièrement prendre un verre les uns chez les autres. Et puis… j’aime trop t’entendre te faire défoncer tes trous en feu. C’est trop bon, pas vrai Juliette
- C’est super excitant, après oins e branle comme des folles et on gicle toutes les deux comme des fontaines.
Nous sommes allés dans le jardin. Elle nous a offert un verre d’eau bien frais et je lui ai proposé d’enduire son corps d’huile solaire.
Elle s’est mise sur le ventre et j'ai huilé son dos…J’étalais l’huile doucement, en prenant mon temps, et en la massant…
- Tes mains sont douces, Aurélie…
Je suis descendue sur ses fesses et je m'en suis donnée à cœur joie…mes mains pétrissaient ses fesses, passaient et repassaient dessus. Elle a écarté un peu ses jambes et j'ai passé ma main entre ses fesses... ses gémissements étouffés redoublaient...puis je me suis occupée de ses jambes…je partais des pieds pour remonter au-dessus du dos, et je redescendais en passant mes doigts sur sa raie culière…
Ensuite je l’ai fait mettre sur le dos et j'ai massé ses gros nichons dont les tétons pointaient…je les ai malaxés délicatement, les deux mains sur un sein puis les deux mains sur l’autre sein, puis une main sur chaque sein…Ensuite ce fut au tour de son ventre... son pubis épilé a lui aussi eu droit à mes mains caressantes, qui glissaient langoureusement...mais j’évitais soigneusement sa chatte, pour la faire languir…
Pendant ce temps-là, ma sœur Juliette, qui a 15 ans et demi, me regardait faire.
J’ai écarté les jambes de Véronique et je l’ai massée de la façon suivante. Je partais d’un sein et je descendais sur son ventre, j’évitais la chatte mais une main passait dans l’aine et je m’occupais de sa jambe. Puis je faisais de même en partant de l’autre sein. En massant ses cuisses, j’ai touché son sexe…
- Pardon, ai-je dit, faussement gênée.
Elle a pris ma main et l’a collée sur sa fente… Je l’ai donc huilée. Ma main parcourait délicatement sa belle fente de grosse salope (car c’en est une fameuse) et elle avait un essuie-main sur la bouche pour étouffer ses gémissements… Elle a mis une main sur mes fesses et m’a regardée.
- Tu as un beau cul, tu sais…
- Quand on a 17ans, on a toujours un beau cul. Le tien aussi est très beau et très excitant.
Elle passait une main sur mon cul et puis elle l’a passée sur mon pubis recouvert par le string… Je l’ai regardée avec un petit sourire.
- J’ai aussi une belle chatte paraît-il… Tu peux me donner ton avis ?
Elle n’a fait ni une ni deux, elle a descendu mon string et a passé sa main sur ma fente…Elle m’a attirée vers elle et je l’ai embrassée. Nos langues s’enroulaient l’une autour de l’autre.
Elle passait ses doigts sur ma fente puis elle m’a attirée vers elle et elle m’a fait minette…Sa langue passait sur mon pubis et venait s’insinuer entre ma fente…elle s’attardait sur mon clito qui pointait le nez…
- Tu sais te servir de ta langue, on voit que tu as une sacrée habitude avec tes jolies amies matures.
Je mouillais follement, sa bouche experte explorant la moindre parcelle de ma chatte.
- Tu mouilles incroyablement, ma chérie.
Je me suis retournée et on a fait un 69… Je l’ai léchée avec délectation, passant ma langue dans et sur son sexe torride… Nos doigts entraient et sortaient de nos chattes ouvertes…
Je lui ai demandé de se coucher sur le dos, dans l’herbe chaude et je lui ai bouffé sa chatte trempée.
Ma sœur se doigtait comme une folle.
- Arrête de mater Juliette et viens en profiter. Viens t’asseoir sur sa bouche, elle va bouffer ton abricot juteux.
Ma sœur est donc venue et Véronique lui a fait minette pendant que je le léchais le sien et qu’un de mes doigts entrait et sortait de son cul de salope.
Nous nous sommes levées et nous nous sommes mises en ciseaux pour coller nos chattes l’une contre l’autre… Une fois Véronique et moi, une fois Juliette et Véronique. On s’est frottée tendrement et doucement…
On a joui…en mordant nos lèvres pour étouffer nos soupir et gémissements…
Pour nous calmer, on a bu un verre et on ensuite Véronique s’est de nouveau couchée dans l’herbe et ma sœur et moi on l’a de nouveau massée… Je m’occupais de ses seins et ma sœur lui a massé les cuisses et la chatte… Elle sait y faire ma petite soeur car je voyais le plaisir sur le visage de Véronique…
Véronique a écarté ses jambes et ma petite sœur s’est penchée et lui a fait un long cunni… Pendant que je la regardais faire, Véronique ayant les yeux fermés, concentrée sur son plaisir, j’ai passé une main entre les jambes de ma sœur, en taquinant son clito tout dur. La situation était follement érotique.
J’ai dit à Juliette de se coucher sur le dos et Véronique est venue sur elle. Ma soeur et elles ont fait 69 et moi j’ai fait une feuille de rose à Véronique. J’adore lécher les cul parce que j’adore qu’on lèche le mien.… Véronique réprimait difficilement ses gémissements sous les coups de langues simultanés de ma sœur et moi.
Je l’ai ensuite enculée avec mes doigts bien huilés et peu à peu ma main s’est retrouvée complètement dans son cul. Comme je l’écoute baiser, quand je ne suis pas en cours et qu’elle se fait sauter, je savais que ses amants le lui faisaient.… je l’ai limée avec ma main. Elle gémissait comme une salope contre la chatte de ma sœurette qui prenait son pied… C’est fou ce qu’une main luisante d’huile entre facilement dans un cul qui a été préparé !!!!! Quand je retirais ma main, il était dilaté à mort. Elle aurait pu sans problème faire un double pénétration anale, ce qu’elle ne manquait pas de faire d’ailleurs, avec don maris et avec ses amants.
Ma sœur a joui intensément et Véronique a joui une nouvelle fois.
On s’est reposée et on s’est promis de recommencer, ce que nous n’avons pas manqué de faire toutes les trois depuis cette belle après-midi du moi de juin.
Si le texte vous plaît, vous aurez alors envie de me laisser un commentaire. Si je constate votre intérêt pour mon histoire, qui est totalement véridique (raconter une histoire fantasmée n’a aucun intérêt pour moi, seul compte le fait de réaliser ses fantasmes et de raconter comment cela s’est passé), alors je vous raconterai cela dans un prochain texte.
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