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Des conséquences d'une relation avec un élève

Ecrit par Anne cecile
Parue le 03 avril 2007
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 12601 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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Prison des femmes de C… Trois mois déjà que je suis incarcérée, pour un rapport sexuel consenti avec un de mes étudiants, le dernier jour des cours. La porte de la cellule s’ouvre.

Une jeune femme en larmes est introduite dans la cellule. Johanne était une jeune enseignante de musique, elle aussi s’est donnée à un étudiant, ella aussi va le payer.


Je la prends dans mes bras pour la consoler. Je suis sexuellement frustrée par la détention et je me sens attirée par elle, mais je n’ose pas franchir le pas. C’est le soir et l’extinction des feux. Je sens ma codétenue très agitée. Personne ne dort la première nuit. Le lendemain matin, c’est le matin des douches. Nous sommes extraites de la cellule. Nous nous voyons nues toutes les deux pour la première fois. Elle est canon. Les gardiennes la mâtent. Nous nous rhabillons. C’est l’heure de l’atelier. Elle n’a pas l’habitude de ces tâches idiotes et répétitives. J’essaie de l’aider. C’est enfin le retour dans la cellule. Je lui dis que je l’ai trouvée très belle. Elle me sourit enfin. Nos bouches se rapprochent et je commence à dégrafer sa blouse, sortant sa magnifique poitrine que j’avais admirée. Je commence à lui caresser les seins. Elle est réticente, a peur des sanctions, mais lui dis de ne pas avoir peu. Elle accepte de dégrafer son soutien-gorge et je prends dans ma bouche la pointe de son sein gauche, qui durcit immédiatement.


Pendant un long moment, je lèche sa poitrine. Le contact charnel commence à m’exciter. Cela fait déjà trois mois que je suis en taule, et ma codétenue précédente était horrible ! Puis, je descends son pantalon et sa culotte. Elle écarte d’elle-même les jambes. Je la caresse longuement, partant des chevilles pour remonter jusqu’aux cuisses et atteins sa touffe. En prison, on peut faire des statistiques sur les femmes rasées, les femmes ayant conservé leurs poils… On se voit toutes à poil plus ou moins. Ma langue remplace bientôt mes doigts, mais je la fais languir. Je n’atteins pas encore les zones érogènes. C’est elle qui finit par me supplier.

Ma langue prend possession de son sexe.
J’écarte ses lèvres, et je commence à la lécher intimement, dégageant son bouton. Puis je la pénètre avec mes doigts. Johanne commence à atteindre la jouissance. Elle se caresse vigoureusement les seins pendant que je vais et viens en elle. Elle se mord les lèvres. C’est l’orgasme, mais il ne faut pas ameuter les gardiennes. Elle est calmée, je la prends dans mes bras et la caline. Je lui explique que l’expérience qu’elle vit est dure, mais qu’il va falloir essayer de la supporter ensemble. Elle est toujours nue dans mes bras, elle se met à nouveau à sangloter. Elle me dit qu’en plus elle a peur d’être enceinte, parce que son élève sautée sans capote et qu’elle n’a pas pu prendre sa pilule à cause de l’arrestation. Elle craint que la pilule du lendemain qu’on lui a donnée à son entrée en détention ne fasse pas effet. J’essaie de la rassurer, lui disant que j’avais eu le même problème. Johanne me demande de lui raconter les raisons pour lesquelles je suis incarcérée.



C’était le dernier jour de l’année scolaire, un beau jour de printemps. Je veux réaliser un de mes fantasmes. J’arrive dans ma salle avec une veste de tailleur sombre, un corsage blanc et une jupe courte, jambes nues, sans soutien-gorge, avec une petite culotte. C’est le soir. Après le cours, je faisais venir au bureau un élève, Jean-Michel, sur lequel je flashais : je savais que c’était réciproque. Je lui souris d’un air enjôleur, il comprend et m’embrasse sur la bouche. Je prends appui, assise sur le bureau. Il trousse ma jupe, fait glisser ma culotte jusqu’à mes pieds, la retire et la met dans la poche de son blouson. J’écarte les jambes. Il commence à me faire un cunni puis remonte m’embrasser, écarte les pans de ma veste et ouvre mon corsage. Il caresse mes seins. Il me dit qu’ils lui plaisent énormément et se met à les sucer. Il sort son membre viril, en parfait état de marche. Je suis assise sur le bureau, jupe relevée, jambes écartées. Il frotte son sexe contre le mien et me pénètre. Il va et vient en moi tout en me serrant contre lui et en m’embrassant. Il murmure à mon oreille : vous prenez la pilule ? Je lui réponds par un gémissement indistinctible. De toutes manières, il est trop tard. Mon élève a envoyé de longues giclées de sperme dans mon intimité.


Nous croyions le lycée vide. Hélas, le proviseur ouvre la porte de la salle juste au moment où mon élève jouissait en moi. C’est le scandale. En fait, nous avions été vus depuis la cour par des élèves encore présents et leur agitation avait donné l’alerte. Il dit à Jean-Michel de l’attendre dans son bureau et m’avertit : « Mlle D…, c’est très grave, je dois appeler la police ». Je le supplie de n’en rien faire, mais il est inflexible. Je me rajuste, sans culotte puisque c’est Jean-Michel qui me l’avait « confisquée », et je dois le suivre. La police arrive quelques minutes plus tard. Les faits sont rapidement établis. Je ne peux qu’avouer. C’est à la fois « atteinte sexuelle par personne ayant autorité » et outrage public à la pudeur. Je suis arrêtée, menottée et conduite au commissariat. C’est la garde à vue : 48 heures. Je suis ensuite déférée devant le juge d’instruction, qui me signifie ma mise en examen. Mon avocat demande ma remise en liberté avant le procès. Peine perdue. Le juge des libertés et de la détention signifie ma mise sous mandat de dépôt. Je pars pour la prison. Au lieu de passer l’été en vacances avec mon amoureux, je suis en geôle.



Johanne semblait touchée par mon histoire, qui lui rappelait la sienne, à cette différence près que c’est chez elle qu’elle s’était accouplée avec son élève. Je lui raconte également mon inquiétude passée. Quand j’avais cédé à Jean-Michel, je ne pensais pas que les choses iraient si loin et si rapidement. Or, nous tentions d’avoir un enfant avec mon amoureux, et je ne prenais pas la pilule. Evidemment, je ne souhaitais pas un enfant de lui, ni mener une grossesse en prison, d’autant plus que je ne savais pas pour combien de temps j’en avais. Heureusement, on m’avait donné une pilule du lendemain., et tout s’était bien terminé.
Johanne était toujours nue, et moi toujours habillée. Elle me dit qu’elle n’avait jamais fait jouir une femme, mais qu’elle voulait bien essayer. Je commençai à ôter un à un mes vêtements.



Johanne était assise sur la couche du bas, tandis que je me déshabillais. J’ai descendu doucement ma culotte. Sa bouche était à la hauteur de mon sexe. J’écartai légèrement les jambes. Elle commença à m’embrasser les lèvres du bas. Puis sa langue commença à me donner du plaisir. Je commençais à oublier le lieu où nous étions. Pour plus de facilité, je m’allongeai sur la couche. Johanne se coucha sur moi, m’embrassa sur la bouche, frotta ses seins contre les miens et attaqua à nouveau ma zone la plus érogène. C’est la première fois depuis trois mois que j’atteignais le plaisir autrement que par la masturbation. Johanne était une amante extraordinaire, et je doutais de la justesse de son aveu de son inexpérience avec les femmes. Je ne voulais pas que nous en restions là. Je demandai à Johanne de changer de sens. Nous étions tête-bêche, chacune suçant et pénétrant de ses doigts fins le sexe de l’autre. L’orgasme était proche, lorsque le regard dans la porte de la cellule s’ouvrit brutalement. Pas de chance pour nous, les gardiennes faisaient leur tournée du soir. Nous étions surprises entièrement nues, en position de soixante-neuf, c’est-à-dire en train de commettre un « acte lascif illicite ».



La porte de la cellule s’ouvrit. La gardienne entra et s’adressa à moi : « Mlle D…, à quelques jours de votre procès, ce n’est pas très malin de vous prendre un rapport pour une affaire sexuelle ». Je savais en effet ce qui nous attendait : un rapport écrit versé au dossier, puis une comparution devant le prétoire de la prison, et il sera fait état de tout cela lors du jugement. Elle ajouta toutefois : « Vous êtes vraiment bien foutues toutes les deux, je n’ai rarement vu des taulardes aussi sexy ». Elle s’approcha de moi et se mit à caresser mes seins. Je compris que les choses pouvaient s’arranger si nous étions dociles. Johanne ne savait vraiment plus où elle en était. Quelques jours auparavant, elle était une sage enseignante de musique hétéro et, pour s’être livrée à un de ses élèves, elle se retrouvait dans un univers d’où le lesbianisme n’était pas absent. La gardienne commença à multiplier ses attouchements et s’aperçut vite à l’humidité de nos sexes que nous avions joui. Elle ôta son uniforme. Nous n’eûmes pas besoin d’attendre des ordres pour lui retirer ses sous-vêtements. Elle s’allongea sur la couchette et Johanne et moi commençâmes à nous occuper d’elle, l’une mordillant les seins, l’autre suçant son clito. Elle jouit rapidement, se réajusta, sortit de la cellule en nous disant que ça irait pour cette fois.
Le lendemain, j’avais un parloir avec mon amoureux. J’aimais bien les parloirs pour le voir, mais la fouille à corps imposée avant et après était assez pénible. C’était la gardienne de la veille qui vint me chercher dans ma cellule. Elle me dit que si j’étais de nouveau complaisante, elle pourrait ne pas trop surveiller la parloir



Pour la fouille, nous devions mettre un pied sur un tabouret, de manière à être mieux ouvertes. La gardienne s’accroupit, passa la langue entre les petites lèvres, les ouvrit, puis s’attaqua au clitoris. Je dégoulinais. C’était difficile à admettre : trouver du plaisir d’un acte humiliant, voire imposé. Je me rhabillais après la fouille. Mon amoureux m’attendait au parloir. L’étreinte fut longue. Il m’embrassa longuement, me caressa les cheveux. Il me demande si je supportais l’enfermement. Bien obligée. Je savais qu’on nous laisserait libre d’aller plus loin. Je m’assis sur ses genoux. Il me caressa la poitrine. A sa grande surprise, je lui ouvris son pantalon, le masturbai. C’est interdit, me dit-il. Je continuai pourtant. Je soulevai ma jupe, écartai ma culotte, me saisis de son membre et l’introduisis en moi. Il était estomaqué. Moi, j’avais du plaisir : première pénétration depuis trois mois. Je le chevauchai, en me mordant les lèvres pour ne pas crier, tout en le conjurant de se retenir. Peine perdue. L’excitation, le bruit qui lui fit craindre le retour de la gardienne : il éjacula en moi. C’était un peu la panique. 1 - La gardienne allait trouver le foutre lors de la fouille. 2 - J’essayais de calculer de tête, par rapport à la date de mes dernières règles, si j’étais ou non dans une période fécondable.



Le soir, lors de la tournée qui précédait l’extinction des feux, j’ai demandé un rendez-vous avec le médecin pour le lendemain, comme le precrivait le règlement. Je fus extraite de la cellule le lundi matin puis conduite devant lui. Il me demanda quel était mon problème. « J’aurais besoin d’une pilule du lendemain ». Il eut l’air surpris : « vous êtes en préventive, Mlle D…, vous n’avez pas eu de permission ». Il jeta un coup d’œil à mon dossier et découvrit le rapport de la gardienne. « J’ai compris, fit-il, vous ne voulez pas de bébé parloir ! ». Il me dit qu’il allait m’ausculter. Je me déshabillai et m’allongeai sur la table d’examen, les pieds dans les étriers, cuisses écartées donc. Je trouvais son examen un peu curieux, plus des caresses que des gestes médicaux. Il rougissait, et une bosse apparaissait dans son pantalon. « Je n’ai jamais vu une si jolie détenue parmi les délinquantes sexuelles », murmura-t-il. Il hésitait et finit par lâcher : « tant pis, j’en ai trop envie ». Il s’agenouilla et commença à me prodiguer un savant cunni. Puis il se redressa, ouvrit son pantalon. Son sexe était en érection. Il s’approcha de moi et me pénétra. Je n’y croyais pas. Le médecin de la prison était en train de profiter de l’examen pour me violer ! Ses mouvements étaient rapides, il me pétrissait les seins en même temps. Les pieds dans les étriers, j’étais impuissante, même si je gigotais pas mal.

Il finit par s’immobiliser : il était en train de jouir dans mon intimité. Il se retira, le sexe flasque, alla chercher un gant de toilette pour nettoyer le sperme qui sortait de mon sexe, deuxième ration depuis la veille. Là, la pilule du lendemain était vraiment indispensable. Il me la délivra d’ailleurs sans barguigner, puis appela la gardienne pour que je regagne la cellule, où je devais attendre mon procès.



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