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Cool!
On est vendredi. Et qui dit vendredi, dit demi-journée. Il nous reste un dernier cours avant d'y aller. Le cours de madame labrune. Elle est prof d'anglais. Très bonne prof, très belle prof.
J'ai oublié de me présenter, je m'appelle Wil et j'assure en classe. Oublier le stéréotype du fayot risé de la classe. Ici tout le monde me respecte. Il suffit d'en donner, du respect et surtout de n'avoir peur de personne. Bref, les collegues m'aime bien et les profs aussi. Surtout madame Labrune. Elle, si mignonne, si pulpeuse.
Oui elle est ronde et s'assume pleinement.
En entrant dant la salle de cours je fus surpris. Elle qui d'habitude s'habille de façon très pudique portait aujourdui un haut rose bonbon sans manche avec des fente sur les coté de la taille certies de petites ficelles. Un spectacle de toute bauté car je pouvais voir ses beaux petits bourlets. Certains ont du mal à me comprendre mais je n'y peu rien, je craque litteralement mais reste calme. J'interiorise. Pour couronner le tout, elle portait un legging tout blanc.
Impossible de me concentrer, je me suis mis à fantasmer pendant tout le cours. Ses fesses sont rebondis, biens grosses, pleines, tout comme ses cuisses. Hmmmmm! Je ravale ma salive et réve que j'embrasse ces cuisses et montant doucement. Mon jean ne cesse de me rappeler à l'odre mais ma bite n'entend plus rien, elle veut sortir.
Une Heure plus tard, le cour est terminé et mes camarades et moi sortons en remettant, à madame Labrune, un devoir qu'elle devra noter. Je ne la reverrais plus avant la semaine prochaine.
Soudain, après avoir franchi le pas de la porte, j'entends une voix crier mon nom. "Will, Will viens voir deux secondes"
Surpris et en même temps envahi par l'envie je fit demi-tour et elle était là. Assise sur une chaise derrière son bureau et toujours ces formes généreuses qui me trouble.
- "Tu as oublié de mettre ton nom sur la copie." toujours avec ce sourire de petit bout de choux qu'elle as à chaque fois qu'elle me regarde.
Elle me fit signe de m'assoir a coté d'elle pour que je puisse ecrire aisément, et je m'assis. Je retourne dans la réalité et écrit mon nom.
-" Ça fait tellement de bien d'avoir un bon elève comme toi."
En entendant ces mots, je senti une chaleur intense s'enparer de mon entre-jambes et poutant ce n'était qu'un compliment de prof satisfait de son élève.
Mais les compliments continuèrent et à chaque mot qu'elle prononcait je bandait un peu plus et cette chaleur... D'un coup, je me levai ne supportant plus la pression. Mon pénis était sorti du sac de mon boxer pour plaquer le long de ma cuisse. Et voyant que j'avais que j'avais du mal à me lever correctement, elle compris.
Qu'est-ce qu'elle allait penser de moi maintenant? J'étais gênée mais elle l'était encore plus. Je me souviens qu'un jour un élève s'est essayé a lui faire du charme. Elle l'a recadré direct. Moi je n'ai jamais osé en arriver là. Maintenant je me tiens devant elle, la bite en érection.
"Il vaut mieux que je m'en aille. Je suis désolé madame" et d'un aire honteux je me tourne vers la sortie.
-"Attend, ...heu Will, t'inquiète pas. Ce sont des choses qui arrive tu sais." et elle se remit a sourrire comme pour me rassurer. Ma réponse fut un sourire géné, tête baissée.
Au abord de la salle, mes amis m'attendais et je me suis joint à eux. Marchant en avant mais regardant derrière cette femme qui me regardais m'éloigner, appuyée sur le cadre de la porte. On dirait qu'elle aussi me désirais. Je n'en pouvais plus. Mon être était resté avec elle. C'est alors qu'un prétexte sorti de nul-part émergea de ma bouche: "Merde c'est pas la bonne feuille ! Allez-y, je vous rejoidrais."
L'air stupéfait de mes compagnon me laissa complétement de marbre. J'accourus. Arrivé à la salle essoufflé je m'appui sur une table et elle, toujours assise sur sa chaise rangeant son sac, nous nous regardâmes un instant.
-"Ferme la porte" me dit-elle d'une voix sûre et je m'exécute.
Après avoir vérrouillée la porte, je me retournai pour mes mains dans ces petites locks décoloré pour l'amener doucement vers moi et l'embrasser sur le frond. Elle souri en ferment les yeux je me permi de l'appeler par son prénom "Ghislaine". Elle lachat un soupir intimidé puis m'embrassa en léchant ma langue avec la sienne. Je me délectais de gauger la pulpe de ses lèvre en gouttant à sa bouche. Je suis descendu jusqu'au coup et suprise par l'exitation elle se mordi les lèvre pour ne pas crier, mais son très aigu sortai de gorge.
Surexité, elle se déshabilla avec violence et à peine ai-je eus le temps de faire même qu'elle me pria de m'assoir. Elle se mit a genoux et mit mon bwa-déssé dans sa bouche. Elle le retira doucement me fixa un seconde et cracha lentement en laissant couler un long fil de bave. Imaginant jusqu'ou elle etait prête aller je me mis a soupirer "oh oui Ghislaine"
Elle mis a lents va-et-viens s'assurant de la bonne luibrificatiln de l'engin entendre couinement de sa bouche humide était un vrai regale. Elle souflait, aspirais comme si elle jouait d'un instruments. Une vraie mozart. Tout en maintenant son rythme s'est mis d'un coup à racler sa gorge pour faire sortir toute la bave épaise qui se mis a écumer sur son menton et couler sur sa poitrine béhante "krrrrhkkrrrrr!" alala ce bruit. La fusion de mes sens solicités simultanément n'ont autre effet que de me faire lacher mon lait qu'elle recrache aussitot sur la mousse recouvre mon pénis. Elle admire maintenant son travail et plonge son visage dans cette flaque pendant que je reprend mon souffle. Je me surprend a penser qu'elle me sucé comme une chienne et le macho qui sommeil en moi s'en trouve suexité.
Je reprend vite mes esprits et l'embrasse à mon tour. Le mélange de fluides sur sa bouche m'atire étrangement. Tout en poursuivant passionnement sur ses tetons, je plongé deux doigt dans son vigin pour prendre la température et ses frémissements me pousse a continuer. Ma bouche, quant à elle, continu de descendre pour titiller son cher clitoris. J'y vais a pleine bouche et ne me prive d'aucun recoin. Pour être alaise, elle couchée sur table et a écartées ses jambes devant moi qui était assis. Elle m'offrais, et là de loin, le plat plus exquis. Du bouton rouge jusqu'au profondeurs en passant par les lèvres, ma langue visitait tout pendant qu'elle pleurait. Oui, elle pleurait de plaisir et tentait parfois de repousser ma tête tout en la serrant très fort. Elle ne savait plus où elle en était je crois. De la cyprine se mit a coulef un peu et cela ma donné une idée pour la fin de ce festin à deux. Avant de passer au dessert j'ai dégusté mon plat de résistance avec appétit et elle aussi d'ailleur. Son trou se trouve être juste a la taille de mon pénis. Ce plaquer contre un corps bien gras est le sommum du confort sexuel et les claquement de ses fesses a chacun de mes coup de rein sera a jamais une musique inoubliable. Des cris, des soupires, des "oh mon dieu, encore, encore, haaaaann" en rales interminables et je m'accrochais a ces bourlets qui m'exitaient tant pendant le cours.
Après m'être fais chevauché comme un bourrin, je lui présentai mon dessert. Je l'ai allonger sur le dos, me tenant a côté d'elle.deux de mes doigts s'enfoncèrent dans son vagin jusqu'a son point G. Et j'ai commencé à masser. Plus j'appuyai, plus elle se tortillais. J'avais peur de m'emballer d'un coup et de lui faire mal mais la cochonne adorait ça. Mes doigts avait du mal a se plier mes comme un acharné j'ai enfoncé le clou pausant main libre sur son bassin. Et c'est là qu'il jaillit. Un jet puissant s'étalla sur la table et par terre. Le plus jour de ma vie.
Sans transition, je me mis accroupi pour ramasser le stylo que j'avais laissé tomber dans un moment de ravissement et elle était là. Assise sur sa chaise, derrière son bureau. Je lui remis me copie et tout en me dirigeant vers la sortie, je pensais à ce qui aurait pût être mais qui n'a pas été. Et qui sait... Un jour peut-être... Cela vaut le coup d'espérer.
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