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Claire ouvrit la porte et son amie caroline fonça sur le divan.
— Alors raconte, lança Claire.
— Ta mère est pas là ?
— Non, vas-y, raconte.
— Tu vas jamais me croire, fit caroline, mais il a une teub énorme.
— Non, tu déconnes ?
— Non, je t’assure elle doit faire au moins 17cm.
— La vache ! et ses boules ?
— Vachement grosses et vachement lourdes, je peux te le dire.
— Veinarde. Je suis grave jalouse. Et vous avez…
— Ben, non. j’l’ai juste branlé un peu.
— C’est tout ?
— Ben…
— Dis-moi tout ! je veux tout savoir. On a fait un pacte non ? Et moi je t’ai toujours raconté.
— Ok, ok…
— Alors ?
— Ben… Il a voulu que je le suce. Et je l’avais jamais fait.
— Avais ? Donc ça veut dire que…
— Ouais, la coupa Caroline, un peu.
— Pourquoi, juste un peu ?
— Ben… j’avais peur qu’il balance la purée.
— T’es folle ! Une bite pareille moi je l’aurai sucée jusqu’au bout.
— Ah parce que tu l’as déjà fait peut-être ?
— Non, mais j’aurais pas laissé passé une occasion pareille. Enfin je crois. Et heu… tu l’as trouvée comment ?
— Il est super beau.
— Je te parle de sa queue. Elle était bonne ?
— Ben ouais, j’ai trouvé ça bien.
— Raconte ! Qu’est-ce que ça t’a fait quand t’as commencé à sucer son gros gland ?
Caroline pouffa en répondant :
— J’ai mouillé ma culotte.
— Et tu l’as rentrée complètement ?
— Ben non, elle est trop grosse. Mais j’en ai quand même rentré la moitié.
— Et t’as touché ses couilles en même temps ?
— Ben ouais !
— Putain, je suis grave jalouse. Et tu vas le revoir ?
— Ouais, samedi on va faire un tour au bord du lac avec sa bagnole
— Il a une bagnole ?
— C’est celle de son père, je crois
— Mais il a quel âge ?
— Un an de plus que nous.
— Dix neuf ? Attends, attends, c’est qui ? Il est au bahut ?
— Ouais
— Aller, balance ma vieille de toute façon je finirai bien par le savoir.
Caroline souffla puis lança :
— C’est Yann.
— le Yann qu’est en techno ?
— Ouais.
— Mais il est super beau
— Ouais !
— Ben mince, j’le crois pas. Et comment t’as fait pour le pécho ?
— C’est lui.
— C’est lui qui t’a pécho ?
— Ouais. Il m’a touché le cul à la récré.
— Hein ?
— Il l’avait pas fait exprès je crois, mais après il a pas arrêté de me regarder et moi aussi. Et à la fin des cours il m’attendait et il m’a raccompagné avec sa trottinette.
— Vous vous êtes galochés ?
— Le lendemain, quand il m’a touché les seins.
— Hein ! il t’a touché les seins et tu l’as laissé faire ?
— Ben ouais. Enfin non. J’ai voulu lui dire d’arrêter mais c’est alors qu’il m’a embrassée. Et on s’est encore embrassés quand il m’a raccompagnée et…
— Et quoi ?
— Ben il a passé la main sous mon t-shirt.
— Pour te toucher les nichons ?
— Ben Ouais.
— Et tu l’as laissé faire ?
— Ben ouais parce que c’était pas dégueu et heu… quand il est reparti j’ai frôlé sa queue. Je sais plus si je l’ai fait exprès ou pas.
— Et il t’a montré sa teub quand ?
— Tout à l’heure, dans la voiture, sur le terrain vague.
— Comment ça c’est passé, vas-y raconte, raconte, moi je t’ai toujours tout dit.
— Bon alors il a arrêté sa caisse derrière les ruines de l’usine puis il est monté derrière et il m’a dit : « t’aimerais me voir à poil ? ». J’ai cru qu’il déconnait alors j’ai répondu : « oui ».
— Et il s’est foutu complètement à poil ?
— Ben ouais. Et dès qu’il a retiré son pantalon j’ai vu qu’il avait une bosse énorme dans son caleçon et quand il m’a dit « tu peux toucher si tu veux », j’ai pas osé. De toute façon je pensais pas qu’il l’enlèverait.
— Et il l’a fait ?
— Ben ouais je viens de te le dire et j’ai senti la chaleur partout quand j’ai vu son engin. Tu sais comme quand il fait très chaud l’été. Mais c’était surtout dans le ventre, et j’ai mouillé ma culotte.
— Et après ?
— Ben il m’a tiré derrière à coté de lui et puis il m’a dit « vas-y, touche-là, t’as rien à craindre ». J’en avais vachement envie alors je l’ai fait.
— Elle était dure ?
— Comme celle de la statue du musée. Tu sais le type qui lance le disque. Mais vachement plus longue.
— Et alors ?
— Ben, après c’est venu tout seul. J’ai retroussé la peau et heu… j’ai vu son gland. Il était un peu rouge comme si y’avait plein de sang sous la peau.
— Et ses boules ?
— Ben il m’a dit de les prendre dans l’autre main.
— Tu l’as fait ?
— Ben ouais.
— Et après ?
— Ben j’t’ai dis il a voulu que je le suce. Il m’a dit de m’asseoir sur le plancher de sa caisse, devant ses jambes et heu…
— Heu quoi ?
— Il a appuyé son gland contre mes lèvres.
— Et qu’est-ce que t’as fait ?
— Ben, j’ai pas réfléchi et j’ai ouvert la bouche. j’ai flippé un peu parce que c’était la première fois et je savais pas comment faire.
— Et alors ?
— Ben j’ai passé la langue dessus. Tu sais un peu comme on fait avec les esquimaux glacés. Sauf que là c’était tout chaud et tout doux.
— T’as aimé ?
— Ben ouais, vachement en fait. Mais j’avais peur qu’il décharge.
— Oui mais t’as sucé un peu quand même.
— Ouais, j’l’ai fait rentrer et sortir un dizaine de fois.
— Et après ?
— Ben, j’ai arrêté.
— Et tu l’as branlé ?
— Non, c’est lui.
— Lui ?
— Ouais, il s’est astiqué jusqu’à la fin. Ça m’a fait des frissons partout de le regarder. Tu peux pas savoir. Et puis il est sorti précipitamment pour gicler. Ça allait vachement loin. Après ça, ma culotte ben c’était une vraie serpillère.
— Tu m’étonnes ! Et après ?
— Ben il m’a déposée devant chez toi.
— Et tu vas le revoir ?
— Ben ouais, je crois qu’on est ensemble.
— Mince t’as du bol. Et tu crois qu’il va te ken ?
— Ben j’en sais rien. J’ai un peu la trouille. Mais dis-moi qu’est-ce qu’elle te voulait ta daronne l’autre jour ?
— Me faire chier comme d’habitude.
— C’est à dire ?
— Ben elle avait pris rendez-vous chez la docteure. On y’est allées ce matin.
— T’es malade ?
— Bien sûr que non mais elle voulait absolument savoir si j’étais correctement formée pour mon âge, et tout et tout, parce qu’elle avait eu un retard de croissance.
— Et alors ?
— Ben il m’est arrivé un truc de ouf.
— Raconte
— Quand on est arrivées chez la docteure, la fille à l’accueil nous a dit qu’elle était malade et que c’était un remplaçant. UN remplaçant tu te rends compte ? Un mec ! Elle a demandé si ça nous gênait pas et moi j’avais envie de dire « oui ça me gène, on reviendra » mais ma mère a dit qu’on avait pas fait tout le chemin pour rien et qu’un docteur, c’est un docteur.
— Ben merde, et alors ?
— Alors ? C’était un type d’au moins cent vingt ans ! Ma mère a expliqué pourquoi on était là et il a dit que les problèmes de croissance c’est pas génétique. J’ai cru qu’on allait s’en aller mais ma mère a dit qu’elle préfèrerait être rassurée. Le type a noté des trucs sur un papier puis il m’a demandé de passer dans la salle d’examen. Il a demandé si ça me dérangeait pas qu’elle soit là et je savais pas quoi répondre alors j’ai dit « non ». Quand il m’a demandé de retirer ma robe je suis devenue toute rouge parce que j’avais rien en dessous.
— Hein !
— Ouais, ma mère m’a dit que la docteure voudrait sûrement me voir nue, alors ça serait plus pratique.
— Mais c’était un mec !
— Ben ouais ! je savais plus où me mettre. J’ai croisé un bras devant la poitrine et puis j’ai mis la main devant ma chatte mais ma mère m’a demandé de ne pas faire l’idiote et elle les a ramené le long de mon corps. Le vieux m’a regardé un long moment puis il m’a mesurée. Il a pris mon tour de poitrine de taille et de hanche, et après il m’a demandé de marcher. Il arrêtait pas de noter des trucs. Après il m’a fait venir devant lui et il m’a peloté les nichons. Ça me faisait super bizarre. Ma mère a demandé s’ils étaient pas trop gros et il a dit que ça allait mais qu’il faudrait pas qu’il grossissent encore parce que ça pourrait me faire mal au dos. Il a dit qu’il allait les peser pour être sûr.
— Hein !
— Ouais ma vieille. Il m’a fait poser mes nichons dans des coupelles reliées à un ordinateur. Et ben tiens-toi ma vieille. j’ai le sein droit qui pèse plus d’un kilo et l’autre un peu moins.
— Ben moi j’crois que j’en suis loin, s'esclaffa Caroline avant de demander : et après ?
— Ben après il m’a fait mettre les mains sur une barre qu’était pas très haute et ça m’a obligée à me pencher en avant. Il m’a dit de garder les jambes tendues et de les écarter. Il m’a encore palpé les nénés puis il m’a fait sursauter quand il a pincé, pas fort, mes bouts. Ça m’a fait drôle et ils sont devenus tout durs. Il a dit que c’était bien. Après il est passé derrière moi. Il a posé les doigts sur mon dos et il est descendu le long de la colonne. Ça m’a fait frissonner. Après il m’a palpé un peu les fesses. Il a dit que c’était pour voir s’il n’y avait pas déjà de la cellulite, tu te rends compte ? Il a dit que ça arrivait parfois chez les jeunes femmes et il m’a conseillé de faire de la gym. Après il m’a lâchée. Je savais pas ce qu’il faisait mais quand j’ai compris je suis devenue toute rouge.
— Qu’est-ce qu’il a fait ?
— Il m’a regardé la chatte par derrière, banane !
— Mince.
— Et il a dit à ma mère que j’avais une vulve très bien dessinée. Comme une vraie femme. J’étais super fière.
— La vache y t’as fait la totale
— Attends, c’est pas fini. Après il m’a fait allonger sur la table et il m’a mis les pieds dans des trucs bizarres, je sais plus comment ça s’appelle. Il a dit que c’était pour que je garde les jambes bien écartées. Après il m’a appuyé sur le ventre et il a dit que ça allait bien côté ovaires. Et puis il est arrivé au plus terrible.
— Quoi, quoi ? s’impatienta Caroline
— Il m’a touché le… enfin là… enfin tu me comprends.
— La chatte ?
— Ben ouais ! Il a rentré un peu son doigt pour palper autour. C’était bizarre. Et puis après c’était carrément chelou.
— Qu’est-ce qu’il a fait ?
— Il m’a rentré un appareil hyper froid qu’a écarté mes lèvres. C’était pour voir dedans. Il a dit que tout allait bien. Il a retiré son truc et après… heu… il m’a touché le clito.
— Sérieux ?
— Ouais. Et puis il a dit doucement pour pas que ma mère entende que j’avais un gros clitoris et j’ai demandé si c’était grave. Il a souri et il a dit non. Que toutes les femmes avaient un clitoris différent. Et puis il m’a demandé si je me caressais souvent. Il m’a dit qu’il demandait ça parce qu’il était un peu irrité. Je sais pas pourquoi j’ai répondu aussitôt que je le faisais au moins quatre fois par jour.
— Hein ? Quatre fois !
— Ouais, bon, on va pas épiloguer. J’ai demandé si c’était trop et il a dit « pas du tout ». Il a dit que je pouvais le faire autant de fois que je voulais. C’était normal. Mais il m’a dit qu’il fallait que je le fasse plus doucement et jamais utiliser quelque chose de trop dur. J’ai dit que je faisais des fois avec un gant de toilette et il a dit que c’était trop rêche qu’il fallait juste que je fasse avec les doigts. Après il m’a scotché quand il a demandé si j’avais beaucoup de plaisir en faisant ça. Il m’a demandé si je savais ce que c’était qu’un orgasme. J’te jure il me prenait pour une débile ! heureusement que ma mère a pas entendu, j’aurais eu trop honte ! Alors j’ai dit « oui » et il m’a demandé comment ça se passait quand je jouissais. Il voulait savoir si ça me faisait juste un petit frisson ou si je tremblais de partout et je me sentais bien et détendue après.
— T’as dit quoi ?
— La vérité. Que ça me faisait trembler de partout. Après il m’a montré un petit tube de crème. Il a dit qu’il fallait que j’en mette le matin et le soir après la toilette pour calmer l’irritation et puis il en a pris un petit peu au bout du doigt pour me montrer comment faire. Il a dit qu’il fallait bien faire pénétrer la crème en tournant et ça me faisait des frissons partout. je me suis mordu le doigt pour pas crier.
— Tu déconnes ?
— Ben pourquoi je déconnerais ? T’as déconné tout à l’heure ?
— Ben non
— Alors ?
— Ok et après ?
— Après il a dit que je pouvais remettre ma robe. Et puis il a dit à ma mère que tout allait très bien. Elle a paru soulagée. Après il m’a donné un petit carton avec un numéro de téléphone d’une association et il a dit que si un jour j’avais des questions et que je pouvais pas en parler à ma mère, je pouvais appeler ce numéro. Juste avant qu’on sorte ma mère lui a dit quelque chose doucement. J’ai pas tout compris mais je crois qu’elle lui a demandé si j’étais encore vierge.
— Ah ouais, carrément !
— Et ouais.
Claire se tut un instant puis elle demanda ?
— T’es amoureuse de Yann ?
— Ben non, j’crois pas
— Mais t’as dis que vous étiez ensemble ?
— Oui, mais en fait je sais pas trop
— Mais vous allez vous revoir ?
— Ben ouais, on a rencard ce soir à 17 h00
— Et heu… Tu crois que je pourrais venir ?
— Ben, je sais pas. Pourquoi ?
— Heu… Je… j’aimerais bien qu’il me la montre. Caroline pouffa et Claire ajouta : Ben quoi ? j’en ai jamais vu de grosse pour de vrai. Alors tu crois qu’il accepterait ?
— Attends ! Caroline envoya un texto et le retour fut rapide.
— Alors ? demanda Claire.
— Ben il veut savoir comment t’es.
— Il veut une photo ?
— Il a pas dit ça mais ouais, ça serait top. Et s’il te voit à poil il pourra pas refuser.
Claire réfléchit puis elle répondit :
— Bon, ok, mais alors de dos
Elle se déshabilla entièrement et Caroline la photographia.
— Fais voir ? Ouais, tu peux l’envoyer.
Caroline envoya la photo et la réponse arriva dix secondes plus tard : « elle a un beau cul. Et la face avant ? » Elle montra la réponse puis pianota :
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Rien, je lui réponds.
— Fais voir.
Elle envoya le texto avant que son amie ait pu le lire.
— Tu lui a dis quoi ? demanda Claire, agacée.
— Que tu as promis de lui montrer le reste quand on se verra.
— Mais t’es une salope, hurla Claire
— Oh quoi, c’est une blague.
L’arrivée du texto calma Claire. Elle lut par dessus l’épaule de Caroline : « si elle se met à poil, je me mets à poil ». Caroline échangea un regard avec Claire et répondit « ok » puis elle fit un tour aux toilettes. Claire en profita pour envoyer un autre texto : « si tu te mets à poil, je te suce à fond ».
« Chiche ! » la réponse arriva à l’instant précis où Caroline revenait.
— Tu fais quoi avec mon portable ? demanda-t-elle. Elle lui arracha des mains et après quelques secondes hurla : putain, mais t’es une vraie salope !
— Oh, ça va. C’est juste une blague.
— Mais je passe pour qui maintenant, si je le fais pas ? Bon, j’annule le rendez-vous.
— Déconne pas, l’arrêta Claire. Tu sais quoi ? On pourrait le sucer toutes les deux et c’est le destin qui décidera laquelle recevra la purée dans la bouche.
— T’es pas cap !
— Alors là tu te fourres le doigt dans l’oeil jusqu’au coude.
Caroline éclata de rire.
— T’as jamais sucé une bite.
— Ben, j’ai peut-être un peu menti.
Caroline la regarda ébahie
— Hein ! T’as déjà sucé un mec ?
— Ben ouais !
— J’te crois pas.
— M’en fout, tu verras bien si j’hésite avec Yann.
— Putain j’le crois pas t’as déjà sucé un mec et tu me l’as pas dit ! s’exclama Caroline.
Claire se redressa :
— Ben ouais.
— Qui, qui ?
— Tu le connais.
— Tu déconnes ?
— Non.
— C’est qui ?
— Alex
— Alex ? Alex ton cousin ?
— Ben ouais. Je sais c’est pas top mais on l’a pas fait exprès. Enfin je veux dire qu’on avait pas prévu. c’était à Noel dernier. Tu sais, on était à la Plagne.
— Ouais. Alors ?
— On avait fait du ski toute la journée et après en faisant les cons on est tombés dans une mare qu’était recouverte de neige. Quand on est rentrés on grelottait. On avait tellement froid qu’on a pas réfléchis. On s’est mis à poil et on a couru sous la douche
— Ensemble ?
— Ouais. Après on s’est frictionné avec les serviettes mais on avait toujours froid. Alex est allé nous faire un grog. Puis un deuxième. On a rigolé mais on claquait toujours des dents. Alors on est allés se glisser sous la même couette.
— A poil ?
— Ben ouais. J’crois qu’on était un peu bourrés. On s’est serrés l’un contre l’autre. J’avais pas fait exprès mais ma main était pile poil près de ses boules et à un moment je les ai touchées sans le faire exprès. Ça l’a fait bander grave et il a guidé ma main sur sa queue. Avec l’alcool je savais plus vraiment ce que je faisais alors je l’ai prise.
— Ben mince alors, et après ?
— Ben j’ai commencé à le caresser et lui il a commencé à me tripoter les seins, ça m’a fait tout drôle dans le ventre. Et puis soudain il s’est dressé à genoux dans le lit et il a approché sa queue de ma bouche. J’ai pas réfléchi. Je l’ai prise.
— Whaou ! Et c’était comment ?
— Vachement bizarre au début mais après j’ai trouvé ça super agréable.
— Et tu l’as sucé jusqu’à…
Claire la coupa :
— J’ai pas osé tout recracher sur la couette. Ma mère aurait gueulé. Heureusement il me restait un peu de grog.
— Pourquoi tu m’as jamais dit ça ?
— Sais pas. J’avais peut être honte.
— Honte ? Mais c’est super extra. T’as taillé ta première pipe à Noel. C’était un beau cadeau pour Alex.
— Ouais mais bon c’est mon cousin.
— Ouais, c’est super glauque. Mais si t’as aimé et lui aussi, c’est top.
— Tu parles il arrêtait pas de gémir et il a grogné à la fin.
— Mais toi, t’as aimé ?
— Ben ouais, vachement.
Caroline secoua la tête :
— J’en reviens pas. T’as sucé un mec.
— Mon cousin
— On s’en fout. T’as sucé un mec !
— Toi aussi.
— Oui mais moi j’suis pas allée au bout.
— J’ai pas fait exprès répondit Claire en souriant.
Caroline se laissa aller sur le lit les mains sous la tête.
— Elle est comment ? demanda-t-elle
— Quoi ?
— La bite de ton cousin.
— Pas très grosse.
— Et ses boules ?
— Bien rondes.
— Lourdes ?
— Ouais.
Elle s’esclaffèrent puis commencèrent à fantasmer sur Yann...
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