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Rompu à l’exercice d’écriture d’histoires érotico-pornographiques à l’époque du Minitel (1990-2001), j’ai par ailleurs fait office de rédacteur en chef auprès de pigistes à qui je demandais d’alimenter les rubriques desdites histoires ; aussi bien hétéros, gays que lesbiennes.
Ma plus grande réussite a été le code 3615 BRUNO dont l’essentiel du trafic concernait ses histoires gays qui valurent à ce code une notoriété indiscutable.
J’en viens au fait : j’aimerais reprendre cette activité d’écriture d’histoires, gays de préférence mais pas seulement, vous proposer mes services si tant est que ce travail soit rémunéré.
Veuillez trouver ci-dessous quelques échantillons de ma prose :
HISTOIRE GAY 1
Lorsque je rentre dans cet hôtel minable de Pittsburgh, Pennsylvanie, je suis très loin de m’imaginer que tant de débauche pouvait exister en pareil lieu. Après avoir payé ma chambre à la réception, j’y monte. Bientôt intrigué par les bruits provenant de l'étage du dessus, j’abandonne un instant ma chambre et vais jeter un œil. Un long couloir sombre, se partageant en plusieurs autres, donne l'impression d'un labyrinthe. Il y a quelque chose de sordide ici et, en même temps, quelque chose d'excitant : ça sent le cul à la ronde ! M'arrêtant devant la première porte, je reste un instant immobile, m'interrogeant sur ce qui risquerait d'arriver si on me surprenait ici. Par curiosité, je me penche pour regarder par le trou de la serrure. Et, ô surprise, je vois un cul. Un beau cul cambré de mec, assez massif, immobile. Son propriétaire est apparemment à quatre pattes sur le lit, le visage enfoui dans les draps si bien qu'on ne voit plus que le cul, même pas son dos ni ses épaules. Il est positionné en diagonale sur le lit de telle sorte que son cul est exactement dirigé vers la porte d'entrée de la chambre. Une envie très forte d'ouvrir cette porte me prend mais, en définitive, je n'ose pas. Je préfère passer à la porte suivante, avec une drôle de certitude en tête : ça doit être à peu près pareil dans l'autre chambre. Et effectivement, je découvre, l'œil positionné à nouveau sur la serrure, le même tableau. Cette fois, il s'agit d'un cul plus petit, mais dans une position plus écartée, si bien qu'on peut voir que la raie était totalement imberbe, ainsi que les couilles et la bite qui pendent en semi-érection par en dessous. Cette fois-ci, j’ouvre la porte. Le garçon, un jeune éphèbe d'une vingtaine d'années, ne prononce aucun mot, ni même se retourne. Il se contente de remuer doucement le cul. Je m'approche, m'assieds sur le bord du lit pour voir tout cela d’un peu plus près…
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HISTOIRE GAY 2
Depuis que j’ai ma vie de pédé, je ne pense qu’a une chose : me faire remplir ! En fait, ce fut vital dès mon premier mec, mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, des mecs, je n’en ai pas eu trente-six ! Je n’en ai eu que quatre de sérieux. Je tiens par ailleurs à signaler qu’ils se connaissent ( nous sommes tous les cinq du même département ). Si je fais cette précision c’est qu’ils se sont unis pour me faire le plus beau des cadeaux pour mon vingt-deuxième anniversaire, le plus vicelard aussi !
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Ils arrivèrent chacun à dix minutes d’intervalle. Lorsque Samuel sonna le premier, j’arborais fièrement mon short sur le cul et j’étais en pleine suce, si bien que Marco alla ouvrir la porte la queue raide et à l’air.
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- Tiens, c’est pour toi, petite salope ! Et, n’en mets pas à côté ! me prévint-t-il sur le ton de l’avertissement, sinon, gare à ton cul !
- T’inquiète… t’inquiète ! j’aime trop ça pour en laisser perdre une seule goutte.
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L’instant d’après, j’étais à quatre pattes, avec la bite de Samuel toujours dans la bouche. Sans ménagement Kévin agrippa le tissu du short et tira l’ensemble vers le haut, tant et si bien que ma raie du cul se retrouva à l’air ainsi que ma paire de couilles qui pendait par en-dessous. Il me les empoigna entre ses doigts et les tira vers lui, alors que son gland était déjà fourré en partie dans mon cul. Il faut que je vous dise que la bite de Kévin est l’une des plus larges que j’ai jamais vue, elle fait bien entre 6 et 7 cm de diamètre. C’était d’ailleurs un détail que j’avais oublié.
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HISTOIRE GAY 3
Lui, dès qu’il voit ma queue, on ne le tient plus ! Il se rue sur ma queue comme un affamé. Ouai, Kévin devant mon braquemart, c’est comme un chien qui dévore son nonosse. Et malheur à qui tenterait de le lui prendre. Il est comme un toutou que je caresse pendant que mon zob lui déboîte les mâchoires à chaque va-et-vient.
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Ma pine le tringle jusqu’à la glotte, je la sens buter au fond de son antre buccale.
- Vas-y, pompe ! Tout mon jus sera pour toi, rien que pour ta petite gueule… continué-je de me dire.
N’importe quel commentateur pourrait convenir que « oui, la suce est convenable, bien goulue et adaptée au morceau : nous sommes en présence d’un aspirateur à gland ! »
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Ce con se caresse le trou pendant que je le suce, il ne peut pas s’en empêcher, c’est instinctif chez lui : ce mec est anal, je l’ai su dès le premier regard ! Quant à moi, je danse du cul au-dessus de sa tronche qui est en train de me traire la queue de plus belle.
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Le voilà maintenant qui me suce le fion, oh ! il est trop bon pour ça aussi ! A genoux sur sa tronche, je m’en donne à cœur joie, je la lui balaye avec ma raie… Mes fesses vont et viennent sur sa bouche ouverte, je me laisse complètement aller sur ces bonnes lèvres de velours humide. Maintenant il est grand temps de limer…
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HISTOIRE GAY 4
Liang est le plus passif de nous quatre. Plus salope du cul que lui, tu meurs ! D’ailleurs, à chaque fois que nous sommes réunis, c’est pour cette raison qu’il s’en prend quatre fois plus dans son petit cul de princesse!!! Dans un premier temps il fait toujours celui qui n’a pas envie de passer à la casserole mais il suffit qu’une main lui flatte un peu les fesses pour qu’il se cambre aussitôt comme une vraie petite chienne en manque qui nous dit vouloir se faire sauter au plus vite.
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Mais avant, et comme d’hab’, on va lui chauffer le trou avec nos doigts, bien le lui trifouiller, ça va le faire danser du cul, c’est trop génial à voir ! Un peu de gel sur les doigts de Kang et en avant les phalanges ! Liang se transforme aussitôt en fion sur pattes, il décrit avec sa croupe des cercles imaginaires autour de l’axe digital !
HISTOIRE GAY 5
Tringler mon collègue sur son propre bureau fut vraiment ma plus belle baise du mois passé. Je l’avais déjà peloté et embrassé à la va-vite dans les escaliers mais, par prudence, nous en étions restés là, à mon plus grand regret ! Aussi, le jour où il m’a fait un clin d’œil assorti d’une langue en arrivant à l’heure de l’embauche, j’ai vite compris ce qu’il avait en tête et le post-it que j’ai retrouvé à mon poste de travail m’a révélé ses réelles intentions : « Viens me baiser dans mon bureau. Ludovic » A côté de sa signature, étaient dessinés un cœur et une bite, c’était très clair!
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À nouveau accroupi, il s’est mis à me sucer non seulement le dard et les couilles mais bientôt le trou du cul en prime. Je bandais à mort : cela faisait si longtemps qu’on ne m’avait pas dévoré le cul aussi bien - oui, dévoré ! - et dans un contexte aussi singulier.
HISTOIRE GAY 6
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Je me hasarde dans une ruelle qu’aucun réverbère n’éclaire. J’entends tout à coup une voix me demander d’approcher. Nullement craintif malgré mes 17 ans, je m’approche de la voix… Mes yeux s’habituent peu à peu à l’obscurité mais je ne discerne toujours rien de vraiment précis, aucune silhouette. Je comprends mais trop tard que je suis tombé dans un traquenard lorsque des bras se saisissent de moi. J’ai beau me débattre, rien n’y fait, je suis immobilisé. L’un des hommes me met la lame froide d’un couteau sous la gorge pour m’inciter à me tenir tranquille. Dès lors, je ne cherche plus à gesticuler. Mes assaillants me forcent d’abord à me mettre à genoux et c’est sans ambages que l’un d’entre eux, le plus pressé sans doute, sort sa verge de son pantalon pour me la présenter à la face. Je ne m’attends pas à tomber sur un pénis sentant aussi fort le sexe et l’urine. Je suis immédiatement prié de sucer cette verge qui, dès les premiers va-et-vient, me transperce littéralement la gorge, m’arrachant des haut-le-cœur à maintes reprises. Quelques coups de poings et quelques gifles systématiques sont là pour me faire reprendre ma tâche. Je dois sucer les verges les unes après les autres, à une cadence folle, une bite remplaçant l’autre au bout de trente secondes à peine, comme dans un jeu sordide, tandis qu’on me tire les cheveux au passage et que je m’entends dire qu’il faut « avaler les morceaux plus profondément ! ». Je comprends que mes bourreaux ne sont finalement que de trois lorsque, enfin, la troisième et dernière queue se vide en me barbouillant le visage de sperme, visage que les deux premières ont préalablement souillé jusqu’aux cheveux. La tournante n’est pas pour autant terminée. Les trois mendiants n’en sont qu’au début ! Ils arrachent méthodiquement tous mes vêtements
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HISTOIRE HÉTÉRO
Depuis tout jeune, je suis attiré par les noires. Les bonnes grosses blacks, bien fessues, ouais j'adore! Mais voilà, il y a un sacré problème: neuf fois sur dix les nanas de mon âge (j'ai 24 ans) sont horriblement maigrichonnes. En plus elles baisent mal. Mes potes pensent pareil, ce qui me rassure! Alors, déçu par les p'tites pisseuses, on finit forcément par aller jouer dans la cour des grands, là où sont les vraies femmes, épanouies... En clair, on chasse des salopes qui pourraient être nos mères. Dans mon cas, ce sont les blacks qui m'obsèdent donc. C'est les plus balèzes, les plus gloutonnes, les plus douces et bestiales à la fois. Dès que j'en croise une, j'ai un début de trique, c'est plus fort que moi.
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Bientôt elle a son gros derche en feu. C'était prévu, et ça tombe bien parce que ma queue aussi, elle est à bout! Ca me chauffe des couilles jusqu'au gland. Comme dans un rituel, je lui annonce brièvement: - Je vais te baiser! Mais à ce moment-là, elle ne peut jamais savoir à quel trou je pense. Si seulement moi-même je le savais... - Avant, laisse-moi te sucer! me répond-elle invariablement, un peu comme si elle voulait, elle aussi, profiter d'un hors-d'œuvre avant de passer au plat de résistance.
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- Dépêche-toi! me supplie-t-elle encore, la chienne. - Ca vient, salope, ça vient... Je perds mon sang froid, et plus je m'énerve et moins j'ai de chance d'y arriver, je le sais. Enfin ma queue se libère comme un ressort. Je sais dès maintenant que je vais la baiser comme jamais, à fond contre le mur. Elle va gueuler son plaisir. Peut-être même que ces pieds décolleront. Complètement empalée qu'elle sera! Mais bon, faut pas rêver, j'ai quand même un tank de dix tonnes au bout de la queue ! Et allez manœuvrer ça facilement, vous, moi je peux pas! - Tu l'aimes, ma pine, hein? HISTOIRE LESBIENNE
En cachette, je retrouve donc Ingrid et ses copines... Avec elles, je me libère, je m'explose les sens. Sans dire qu'avec mon mari je sois coincée, je suis en tout cas dix fois plus perverse avec mes amies. C'est un deuxième moi qui s'exprime! Elles ont pour habitude de se retrouver à une douzaine, toujours chez Ingrid. Le jeu est simple: il y en une qui est tirée au hasard et toutes les autres n'auront de cesse de s'occuper de « l'élue » et la faire jouir jusqu'à épuisement. Chacune son rôle: l'une lèche les orteils de droite, une autre ceux de gauche, une troisième et une quatrième tètent chacune un sein, des mains différentes explorent la fente en commun, d'autres distendent le trou de balle. Elles sont une meute de louves avec au centre la petite agnelle qui suffoque de plaisir. Et ce rôle-là, c'est toujours moi qui l'ai quand je suis présente: elles me choisissent d'office !
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Mes fesses, même si je n'ai jamais voulu les laisser sodomiser ou même seulement doigter, je leur laisse quand même le droit de s'y balader. Mais faut être douce avec la langue ! Uniquement butiner, sinon je remballe ! Cependant, j'appréhende parfois de trop me laisser aller puisque je trouve cela si bon. J'ai peur qu'un jour je ne me rende pas compte... et que je me retrouve devant le fait accompli: un gode en pleines fesses! Mon anus est vierge et il tient à le rester, car que dirait mon mari si jamais il s'apercevait de quoi que ce soit... ?
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