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BONJOUR
Après ce 1er trio avec Yves,la journée me parut longue,Hervé m a
appelée plusieurs fois au bureau.
Je ne pouvais pas répondre car il y avait du monde autour de
moi,mais ses questions me troublaient et humidifiaient ma culotte.
Ce jour là je finissais à 17h,en arrivant chez nous,Hervé se jette
sur moi et m entraine sur le lit,il enfouit sa tete entre mes jambes
et,écartant ma culotte me passe la langue dans ma chatte déja toute
mouillée.Il me lèche de bas en haut,me relève les cuisses et me
titille l anus,je suis en transes,j ai envie de jouir.
Cessant ses caresses buccales,Hervé me monte dessus et me pénètre
lentement en caressant mes seins,il me demande:
"Il t a bien fait jouir ce matin?"
"Non,je n ai pas joui,mais depuis j ai la chatte en feu et j ai du
me calmer à la pause de midi.Je me suis fait jouir dans les wc".
Je l ai senti évacuer son plaisir dans ma chatte,il s est niché au
creux de mes seins et s est calmé,il n en pouvait plus depuis ce
matin.
Les jours s écoulaient et je devenais de plus en plus salope,je
m habillais toujourss très sexy,parfois limite pute.Souvent Hervé
choisissait mes vetements et sous vetements qu il souhaitait me
voir porter la journée,certains jours c était à la limite de
l émeute,mais j aimais ça.
Au bureau,les remarques de mes collègues féminines étaient compensées
par les regards lubriques des males croisés tout au long de la
journée.Dans le métro ou le bus,je laissais remonter ma jupe
pour que mon voisin ait une vue inoubliable sur ma culotte et
parfois sur les poils de ma chatte en transparence.
L envie de baiser à trois revint me tarauder et souvent quand nous
faisions l amour ,j imaginais un 3eme protagoniste...
Peu de temps après,une de mes soeurs mariait sa fille,nous étions
invités.Comme cela se passait à 80 km de chez nous,nous avions pris
une chambre à l hotel à coté de la salle de mariage.
Suivant les conseils d Hervé,j étais habillée sexy.Une robe bleu nuit
qui arrivait au dessus du genou,dos nu,décolletée grace à de larges
bretelles aux épaules,une large ceinture à la taille et évasée en
dessous de la ceinture.Dessous j avais un porte jarretelles gris
pour tenir des bas couture gris fumé,une culotte tanga en fine
dentelle assortie complètait ma tenue.Des talons aiguilles avec
une bride à la cheville me réhaussait de 10 cm,j étais bandante,
naturellement,vu le décolleté de ma robe,je n avais pas mis de
soutien-gorge et mes seins débordaient de chaque coté.
C était un buffet,les gens se servaient.Hervé s emmerdait et ne me
quittait pas des yeux...Ah si je lui avait proposé une promenade..
Parfois,quand il me matait et s il était seul dans les parages,
j écartais les cuisses et lui faisait voir ma culotte.Je suis une
vraie cochonne.
Les danses commençaient à peine et ma soeur Brigitte qui a 2 ans de
plus que moi vint s asseoir prèsde moi:
"Dis donc ton mari n est pas très causant,mais il est mignon,je me le
taperais bien"
"Impossible,il n aime que moi"
Ma soeur Brigitte est ce qu il est convenu d appeler une"chaudasse".
Elle a toujours aimé le cul et me racontait ses aventures quand nous
étions plus jeunes,j étais plus réservée,je me suis rattrapée depuis.
Elle en est à son 2eme mari,le 1er est parti,il ne supportait plus
ses infidèlités.
"Toujours aussi cochonne,grande soeur?"
"Bien sur,tout à l heure j ai compté,dans ce mariage,je me suis tapé
8 mecs."
"Et ton mari,ça va?"
"Il est cool,il baise bien et il aime me voir baiser avec d autres,
on se tape de ces soirées.Et toi,tu as changé,tu es sexy,ta robe
excite tous les hommes,ils te matent tous.Ton mari n est pas
jaloux?"
"Non c est un vicieux,il adore me voir habillée comme ça,c est un
amour,nous nous aimons comme des fous,il a les idées larges et nous
nous tapons de super délires,il m a rendue accro au sexe"
"Au fait,mon beau fils va passer un stage pour devenir pompier,
pourrais tu l héberger 4 ou 5 jours?"
"Pas de problème,il est comment?"
"Il est gentil,calme,timide,il doit ètre encore puceau,mon mari m a
interdit d y toucher,dommage car je suis sure qu il fantasme sur
moi,il doit prendre mes slips dans le bac à linge sale et se
branler dedans,j ai déja fait l expérience en mettant mes slips à
un endroit précis dans le bac,je les retrouvais à une autre place
avec souvent des trainées blanches dessus"
"Salope comme tu es,tu dois bien l exciter un peu?"
Un peu,je lui montre ma culotte quand je suis assise,je laisse la
porte de la salle de bains entrouverte,et je sais qu il me mate,je
laisse trainer mes sous vetements,ça lui fait du bien."
La soirée avancait,Eric passant vers moi,je l appelle:
"Alors,tu viens une semaine chez nous?"
"Ca ne vous gène pas au moins?"
"Pas du tout,Hervé est enchanté"
Il me détaillait et jetait des regards sur mes seins et mes cuisses,
il mordait à l hameçon.
Plutot beau gosse,une belle plante d 1m90 environ musclé,il respirait
la santé.Arrivèrent les rocks,il m invita,j adore danser,c est pour
moi un aphrodisiaque puissant,c est notre seul point de discorde
avec Hervé,lui,à part les slows avec moi pour pouvoir me peloter
dans le noir....
Eric dansait bien et me faisait tournoyer,ma jupe s envolait et on
devait pouvoir voir mes jarretelles,ça me faisait frémir de plaisir.
Après les rocks,vint une série de slows,Eric devança un grand nombre
de prétendants et me prit dans ses bras.
Les propos de ma soeur,les rocks,la lumière tamisée,la légère ivresse
due au champagne,tout cela fit que je me serrais fort contre lui
en pressant mes seins contre son torse,il me tenait par la taille
et sentait mon porte jarretelles attaché dans mon dos,ses doigts
jouaient avec l agrafe,la situation devenait très érotique,d un
discret mouvement d épaule,je fis glisser la bretelle droite de ma
robe,je fis mine de ne pa m en apercevoir,il devait voir mon sein
en entier,jeposais ma tete contre son épaule,je lui faisais la
totale.A la faveur d un pas de danse,ma cuisse frotta contre la
sienne et je sentis son sexe,il bandait et avait l air d ètre
bien outillé,je ne l ai pas repoussé et avons fini les slows
bien excités l un et l autre.
Revenue à table,Hervé m attendait:
"Tu t es bien régalée avec ton neveu"
"il danse bien et il est très mignon,il m a bien fait mouiller"
"Tu vas te le taper quand il sera chez nous"
"Si tu n y vois pas d inconvénients"
"Au contraire,je bande déja,tu veux faire un tour dehors,il ya un
petit parc?"
Je me suis assise sur une table,Hervé s installa sur le banc et se
mit en devoir de me lècher la chatte,il enleva ma culotte et la mit
dans sa poche,mon clitounet dardait comme une petite bite,sous les
coups de langue d Hervé,je ne tardais pas à jouir en essayant de
retenir mes cris de plaisir.
Hervé bandait,il voulait m enculer pour ne pas laisser de sperme dans
mon vagin car il ne voulait pas me rendre ma culotte.Je m allonge
sur la table et lui offre mon cul,il m embroche et jouit presque
aussitot.Les entrailles pleines de sperme ,nous retournons à la
salle.
Eric revient vers moi avec un grand sourire,il m offre une coupe de
champagne,il a l air bien mordu,j en profite:
"Si tu peux,viens le vendredi soir,on passera le week end ensemble"
"D accord, on se rappelle"
Vers 3h du matin,nous sommes allés nous coucher,Hervé est venu sur
moi et m a limée,c était bon,je voyais un petit jeune se joindre à
nous.J allais bientot me l offrir.
Le lendemain matin nous avons fait le tour des gens encore sur place,
en pensant à Eric,je m étais mise très sexy:une combinaison en
résille noire qui allait du cou aux doigts de pied avec des
ouvertures aux bons endroits,pas de culotte ni de soutien-gorge.
Dessus,un chemisier mauve transparent ouvert largement et une petite
jupe noire,sur mes talons hauts,je faisais très salope,ma soeur en
serait jalouse.En lui disant au revoir elle me dit à l oreille:
"Hier soir,ils étaient 8 et ce matin ils sont 9."
La salope, elle s était fait un mec pendant le mariage.
EN embrassant Eric,je pressais mes seins contre lui,il matait ma
combinaison,j étais sure qu il bandait,j appuyais mon baiser sur sa
joue,il allait avoir des traces de mon rouge à lèvres.
"A bientot"lui dis je avec un regard de chienne pour le faire
patienter 15 jours.
BAISERS CHANTALOUETTE
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Ecrit par CHANTALOUETTE
Parue le 01 juin 2009
