Parue le 09 juin 2010

Il n'y a pas de commentaire pour cette histoire

---

Noter ce récit erotique !

---

BONJOUR

De retour chez nous,Nadine me fait essayer le prototype de la robe que
je lui avais demandée,elle va bien,les bretelles couvrent bien mes
seins en laissant deviner le galbe arrondi sur les côtés,la taille
très basse laisse deviner le début de la raie de mes fesses dans le
dos,et sur le devant,elle s'arrête au dessus de ma toison,environ une
dizaine de centimètres au dessous du nombril.
Où pourrais je porter cela?Peut être chez Gianni ou en soirées privées,
elle est terriblement sexy:
"On ne peut rien mettre d'autres que des bas auto fixant,pas même un
string,on verrait la ficelle au dessus de la taille?"
Nadine a une idée:
"Si,peut être une combinaison en résille qui va de la tête aux pieds,tu as ça chez toi ?"

Pas bête du tout,je vais chercher la dite combinaison,je l'enfile et
remets ma robe par dessus et là l'effet est saisissant,c'est tout
bonnement renversant,Hervé est sous le charme,je me regarde dans le
miroir du salon,je vois super salope en personne,si avec ça on ne
met pas la main au fesses,c'est à désespérer des mâles...
"C'est bon,tu m'en fais trois,une en imprimé panthère,j'ai toujours
aimé ce tissu,une en lamé noir et une en lycra moulant bleu roi."

"Ok,je m'en ferai aussi pour moi,c'est super sexy,il faudrait que
l'on sorte un soir habillées comme ça toutes les deux,demain je m'y
attelle,en trois jours c'est fini"

Nadine doit rentrer chez elle,Hervé la raccompagne,il va sans doute
se la taper encore une fois,quelle santé il a depuis qu'il la
connait.
Je me retrouve seule,j'appelle ma soeur Brigitte,elle a le moral dans
les chaussettes,ça ne va pas fort avec Eric,il a trouvé une copine et
il n'est pas souvent à la maison:
"Même si je m'y attendais,c'est dur quand ça arrive,surtout que dans
le coin,il n'y a pas beaucoup de mecs disponibles,j'ai la chatte qui
miaule sans arrêt,je baise avec mon voisin,mais je voudrais me taper
d'autres queues bien dures"
"Vends ta maison qui est trop grande maintenant,et viens vers nous,tu
achètes un appartement,et là tu auras du mâle à volonté,si tu veux,
on peut t'héberger pendant tes recherches,Hervé ne dira pas non"
"Comment va t'il mon beau frère chéri?"
"Il pète le feu,on a trouvé une femme adorable,il la baise depuis
hier soir,elle a un cul superbe et elle est super,il faudra que
je te la présente"
On se quitte.A peine raccroché,le téléphone sonne,c'est mon chéri:
"Mon amour,Nadine me propose de passer la nuit avec elle,elle en
veut encore et moi aussi,tu es d'accord?"
"Bien sur mon chéri,mets lui un coup de langue sur la chatte de ma
part,amusez vous bien,à demain"
C'est la première fois qu'Hervé découche,ça me fait drôle,il y a
bien longtemps que je n'ai pas couché seule.Un peu de repos fera
du bien a ma chatte car demain je revois Vladimir et j'ai envie
de lui faire le grand jeu,je le sens bien celui là,j'ai le flair
pour les bons coups,et il doit en faire partie,je repense à ce
gland démesuré entrevu au parking...ma chatte en mouille déjà..

La nuit a été difficile sans corps à portée de main,je me lève de
bonne heure,je fais ma gym,puis déjeuner,douche,maquillage,le rituel
classique...
Pour le faire craquer,je veux être ultra sexy,limite pute,je mets
un serre taille noir en dentelle,le string assorti,des bas nylon
couture noirs tendus par de fines jarretelles,pas de soutien gorge,
juste un bustier blanc décolleté laissant apparaître mes tétons
et mes aréoles parfaitement rondes et brunâtres sous le fin tissu.
Je prends une mini jupe plissée noire à pois blancs,un boléro assorti
et des talons vernis noirs avec une petite bride à la cheville,je
sens mon petit minou s'humecter à la seule vision dans mon miroir.
Nadine m'appelle avant de partir:
"Hervé est crevé,il dort encore,mais quel baiseur,il est venu sur
moi au moins quatre fois dans la nuit,après ce que l'on a fait hier
soir,je n'en reviens pas,j'ai mal au cul ce matin,je lui dis qu'il
t'appelle à son réveil,je t'embrasse,je vous aime tous les deux!!"
"Je t'embrasse ma chérie,je t'adore"

En marchant,mes seins serrés et compressés dans le bustier sautent
à chaque pas,j'ai un collier de perles blanches qui passe dans
l'étroit sillon entre mes deux magnifiques globes dont je suis si
fière.
Je ne passe pas inaperçue dans le métro,ni en arrivant au bureau,je
suis souvent habillée sexy,mais là je me surpasse;mes collègues
sont vertes de rage et doivent parler dans mon dos,j'imagine leur
vocabulaire:"pute,salope,vulgaire,racoleuse,exhib .....
Et oui,je suis tout cela,et j'assume,je me sens bien vêtue ainsi,
elles ne peuvent pas se le permettre,avec leurs maris et copains,
je les vois parfois à la sortie du bureau,ça craint pas mal..

Même mon patron est époustouflé,il est venu trois fois chercher des
dossiers,autant qu'en un an environ,il matait mes seins au dessus
de moi,il avait une vue imprenable...

Dix heures,j'appelle Vladimir,et lui donne rendez vous dans un square
à cinq minutes à pied de ma boite?Je suis impatiente et le son de sa
voix avec son accent inimitable me font déjà envie de lui...
Mon chéri me joint peu après,il est nase le pauvre chéri,il a du
éjaculé une quinzaine de fois ce week end,quelle salope !!!!
Je lui décris ma tenue et lui rappelle mon rendez vous de cet après
midi:
"Fais toi bien défoncer le cul ,ma petite pute d'amour,à ce soir"
"Je t'aime mon chéri..."
Je sors à quinze heures et rejoins le square quasiment désert,Vladimir
est là,il m'attend,quand il me voit il se jette sur moi et me serre
dans ses bras,il m'embrasse dans le cou ,il est rassuré:
"Je me demandais si tu allais venir,j'ai tant envie de toi,de ta
bouche,de tes merveilleux seins et de tout le reste que je dois
encore découvrir,tu es si belle!!!"
"Moi,j'ai autant envie de ta queue et de tes caresses sur tout mon
corps,ma culotte est trempée,touche.!!"
Il s'assoit sur un banc en bois,pour ne pas froisser ma jupe,je la
soulève et pose mes fesses à même le bois,le contact m'excite la
vulve,ça promet...Vladimir passe sa main sous mon bustier et sort
seins,il les embrasse,les lèche,et mordille les tétons,il est fou
de ma poitrine,bienvenue au club...
Je m'abandonne à ses caresses,je les ai tant attendues que j'en
profite à fond,ses baisers et ses caresses me font perdre la raison
et je le laisse passer sa main entre mes cuisses,il sent mes bas,
mes jarretelles et ma peau nue en haut de mes jambes,il veut voir
et relève ma jupe,il est admiratif,des poils passent sur les côtés
de mon string,ça le rend fou,il veut passer sa main dessous pour
caresser ma chatte,mais le triangle de ma culotte est plaqué contre
mon pubis et le gène pour arriver à ses fins:
"Enlève ta culotte,je veux ta chatte"
Je me lève du banc,remonte ma jupe et saisis l'élastique de ma culotte
pour la baisser,en faisant cela,j'aperçois en face de nous,sur un
banc,un jeune gars,un livre à la main,il ne perd pas une miette du
spectacle offert,ça me fait un effet de me savoir observée,ma fente
est un cratère bouillonnant,je fonds,mes jambes tremblotent,je me
rassois en laissant ma culotte noire à hauteur de mes chevilles,le
triangle de dentelle bien visible,je suis une fontaine,Vladimir a
investi ma chatte et me doigte enfonçant son doigt à fond dans mon
petit minou,ça fait un bruit de cloaque,j'écarte mes cuisses au
maximum,j'ai la jupe relevée à la taille,je n'ai plus aucune pudeur,
c'est trop bon de montrer sa chatte et ses dessous à un inconnu,
pendant qu'un gars à peine mieux connu me doigte le minou et le trou
du cul maintenant....
J'ai envie de toucher sa queue je passe la main dans son pantalon,il
bande dur,le contraire m'aurait déçue,je malaxe le membre désiré,je
veux le sortir,mais Vladimir,plus raisonnable que moi coupe mon élan
et me propose:
"Arrête,on va finir au poste,tu veux venir chez moi?"
Si je veux?,j'irais n'importe où pourvu que je puisse avoir sa belle
bite en moi..
"Ok,on y va,c'est loin?"
"A peine cinq minutes,je suis en voiture"
"Je ne sais pas si je vais tenir aussi longtemps!!!"
Je me relève,réajuste mon string,en prenant mon temps pour ranger la
ficelle dans ma raie du cul,notre mateur est cramoisi,Vladimir est
malade:
"Tu es une belle salope,le faire bander comme ça."
Je me rajuste,en gardant cependant mes seins à l'air sous mon boléro
un peu froissé déjà,puis je me dirige vers le jeune voyeur et en
lui faisant mon plus beau regard langoureux de pute je lui dis:
"Jeudi,quinze heures,ça te va?"
Il est d'accord,je touche sa queue à travers son jean,il a un gros
morceau bien dur,je repars en tordant mon cul et au moment de quitter
le square,je remonte ma jupe et lui montre mon cul.
"Tu aime te montrer petite chaudasse"
"Allez,vite chez toi avant que je te saute dessus ici même...

A SUIVRE
A BIENTOT CHANTAL

CARESSES A TOUS?JE VOUS AIME

---

Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net

---

Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:

Pseudo (*):


       Votre commentaire sur cette histoire(*):

Les champs marqués d'une étoile (*) sont indispensables.