Parue le 20 février 2023

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Et maintenant...

Rien n´arrive sans raison Réfléchisseez- y un instant. Tout vos efforts personnels professionnels, charnels ne sont que les sclaves serviles d´un résultat prédéterminé par les cosmos, comme si on n´avait aucune prise, et a fortiori aucune responsabilité, Sur les moments clés de notre vie, si vous voulez trouvez um bout à votre vie, Commencez par renverser l´idée que rien n´arrive sans raison redéfinissez-la, n´en faites pas l´explication future d´un drame horrible, ou d´un exploit inoubliable, mas la validation des choix délibérés qui vous ont mené à ces moments charnières rendez-vous maître du hasard du futur et du destin cari l est vrai que rien n´arrive sans raison , et cette raison est vous.
Pour connaître le sucéss Vous devez être pret à faire des choix ddifficiles, des tâches dépresantes à risquer vous meilleurs atouts, et à vous débarasser des chaînes imposés pour la société pour vous limiter l´amour, le mariage, les enfants et par-dessus tout, les considérations Morales intrusives de ceuz que vous sont inférieurs. Car rien qui n´en vaille la peine, n´est jamais possible, sans sacrifices . Et la vraie grandeur ne se presente qu´à ceux qu ila convoitent à tout prix.
eUn an plus tard, Mesdame et Monsiers Et Mme Sean Denovan!

- Un instant Mademoiselle! Je peux vouz aider? C´est encore vous Mademoiselle Dennovan?
- Bonsoir. Desolée.J´ai de papiers juridiques pour Mme Montgomery.Il me faut justesas signature.
- Je dois l´appeler d´abord. Quelle pluie , dites donc,Attendez... Attendez.
- Ici, Lisa Donovan, je dois parler à mon mari., tout de suíte.
- Ohé, vous m´entendez? Merde. Sean?. Arrêt tout.

Trois jours plutôt le temps sera venteux aujourd´hui à Búzios.

- D´accord jái compri Castro. On ca se promener. Je m´habille et on sort, laisse-moi deux minutes.
- Oui, je te vois. Tu seras là à notre retour pour vrai câlin.
- Si seulement. Je dois passer au labo avant première apresentation. Voir se mes documents ont été transférés.
- Je comprends. La première fois sera la plus dure, il faut rester concentre. Ne pas penser à ce qui échappe à ton controle pour mon premier matche em AAA. Les recreteurs des Giants étaient là.
- Et si je panique.
Dans le American Bar de Bùzios, la bourgeoise exmine le garçon. Quelle carrure, enfin un mâle dans toute sa splendeur! Ses yeux caressaient les larges épaules. Côté face, pas mal non plus, brun, l’œil vif, souriant à pleines dents. elle s´habillé d´une petite robe courte. Ce serait dommage de ne pas profiter des premiers rayons de soleil du printemps.

- Ce jour je vais prendre mon martini gin une olive bien corsé
- Je ne vous avais pas vu.
- Quel gin vouv voulez?
- Lequel vous preferez
- Je prefere de vodka
- Je vous aurais apporté
-Je n´aime pas boire seule
- Servez-vous une vodka
- Pas le droit. Il est interdit.
- Á votre santé.
- Je ne dirais rien
-Je ne vous ai jamais vue ici.
- Vous êtes à hotel?
- Non....
- Vous habitez loin? Il pleut à torrent.
- J´ai un chauffeur, Il a um parapluie.
- Il peut nos emmener où vous voulez. Après votre servisse.
- Non, merci. Ça me flatte, mais... Je suis mariée.
- Je proposé juste de vous déposer.
- Merde, je suis, pardon oubliez que j´ai dit ça.
- Parfois enfin de soarée, certaines personnes deviennent um peu
- Aguichesse,
- Et vous fait ele quoi?
- Je ne fais rien. Je suis marié.
- C´est vrai...à la fille emotive qui vient de se donner em spectacle.
- C´est la personne qui compte le plus pour moi. Et elle a passé une sale Journée.
-Bonne vodka.
- À votre tour d´être mal compris.
- On est quitté.
- Très bien. Mais vous avez piqué ma curiosité. De ce que je vois, elle a beaucoup de chance.. Votre Femme.

La vie, parfois ne tient pas à grand-chose. Une jolie bourgeoise qui s’ennuie et sirote du champagne au soleil, le long de sa piscine. Elle attend le retour de son industriel de mari. Elle appréhendait plus ou moins consciemment la venue de ces hommes rustres, forts, suants. Elle imaginait quelque chose comme Marlon Brando dans Un tramway nommé désir. En fait de Marlon Brando. C’est juste un délire, un rêve, c’est pour rire, qu’est-ce qu´elle était en train de faire ?

- Parlez-moi d´elle. Tu peu arreter ici.

La épouse de Donavan allait au bureau de Montegomery. Elle porte une robe courte et moulante noire dont les bretelles sont descendues pour laisser apparaitre son énorme poitrine. Le tissu s’arrête à mi cuisse et ses mollets sont entièrement recouvert par des bottes de cuire de la même couleur que sa robe

- Bienvenie, je vais la prevenir de votre arrivé. Si vous voulez bien me suivre, Mme Montegomery vas vous rejoindre.
- Bonsoir- J´ai peu de temps dit Montegomery.

Elle était dans une tênue outrageuse em tênue plus osé à provoquer des désires en Sean. Elle est blonde belle et milliardaire. Elle veux baiser avec Sean. Elle sai qu´elle lui plaît.

- Vous devez être lise
- Oui. Merci de nos recevoir.
- Je irai droit au bout.
- Non pas besoin.
- Je fais mes recherches et vous ne seriez pa là.
- J´agi en fonction du potentiel. Et je pense que votre societé en regorge. C´est sur vous que j´ai des doutes.
- Je peux le dissiper?
- Avez-vous lu mon livre?
- J´ai le étudié.
- Vraiment?
- Alors dite-moi, Vous pensez avoir des enfants?
- Oui, un jour. Pour instant je me concentre sur Emigen 100%. Je sais que le lien entre sacrifice personnel et succès, et la pierre angulaire de votre doctrine.
- Je veux dire que je sui prête à saisir cette chance, rien n´est plus importante,
- Pas même votre couple.
- C´est quoi cette question?
- Une question pour votre Femme.
Elle croise et decroise se belles jambés presque lentement comme dans le film Basic Instinct regardant tout le temps à Sean sans se importer laavec sa presence de son épouse. Elle est folle de désirs de lui.

- Sean a dû vous raconter notre rencontre.
- Il a dit qui vous aviez discute au bar de l´hôtel
- Il a mentionné qu´il croyait que j ele dragauis?
- Sean plaît auzx femmes inteligentes.
- Donc même si avait vraiment voulu séduire votre mari?
- Sean ne me tromperait jamais. J´ai confiance en lui.
- Riem n´est plus dangereux que la confiance.
- Mais admetton um instant, qu´il ne trompe pas.
- Que vous autorisiez notre liaison, accepteriez-vous cette condition pour que je finance votre société?
- Échanger mon mari contre ma societé?
- Vous pouvez reembaler votreconditions.
- Elle veut coucher avec toi. Tirez faiblesse de nous.Pour elle tu es mon point faible.
- D´après mês calculs environ 80 milhões. Je ne prends pas um investissement à la légère. Prête à tout pour garantir le succès de la société.
- Une nuit avec son mari. Mon offre est valabre 24 heures
- Laissez moi aller la baiser. Sera seulement pour une nuit. Il son 8 millhões dans la compte de notre société. J´ai besoin d´une confiance totale. Vous êtes invencible.
- Et notre amor?
- La première chance de payer toutes les dettes. C´est seulement une nuit. On accept alors?
- Si ça te vas.
- J´accept
- Ok... j´envoie une voiture.

Les deux dans la maison luxueuse de Montegomery:

Montegonery est vraiment séduisante?! Son rouge à lèvre rouge vif est une invitation au baiser?; son mascara, un appel au tête-à-tête; son chemisier rouge décolleté, une convocation à lui empoigner les seins. Belle à faire se retourner tous les mâles hétéro et les autres aussi, parfois même des femmes qui ne cachent pas leur penchant.
- Ta naïveté et ton innocence me tuchent... Je t´ai même pas dit ce que j´attendait de toi. Reste à poil, chéri.
-?Tu es une femme très bandante, tu sais…?J’ai trop envie de vous prendre!
- La nouveauté ? Le gros diamètre de sa bite? Le côté un peu sordide de la situation? Il bandait fort et la blonde ne pouvait s’empêcher de regarder cette belle hampe orgueilleuse.
Mais qu’elle a envie d’essayer de plus gros calibres. Elle en caressant la hampe luisante de sa salive, mais attends un peu.

Elle s’agenouilla sur le canapé à sa gauche et m’offrit la vue sur son sexe. De ses doigts elle écarta largement ses lèvres. Elle attira sa tête entre ses cuisses et se la plaqua contre sa vulve ravagée par le désir.

- ?Viens… laisse-toi aller… Ouvre bien les cuisses.
-?J’ai envie que tu me baises, soupire la blonde en écartant ses bras et ses jambes. Ohhh! Grosse bite. Doucement! Doucement! implore Madame d’une voix tremblante de petite fille.

Le très large gland du Sean est entrain de disparaitre dans la chatte, et voit ruisseler, de la femme. Elle effleurait son gland avec sa chatte qui coulait sur lui. Son gland trouve l’entrée de son sexe et d’une poussée il la pénètre. Il donne quelques coups de reins à sa rencontre pour accélérer la venue de son plaisir. Il se cramponnait à ses hanches. Le balancement de sa généreuse poitrine témoignait de la vigueur des coups de reins. Il voit son visage se crisper légèrement, pourtant elle gémit en même temps.

-?Tu veux ma queue, ma princesse?
-?Oui je la veux mon jument!


Il fait délicatement coulisser son mât en elle et après quelques centimètres la bloque. Il la soulève légèrement et quand il la fait redescendre, Sean s’enfonce un peu plus. La blonde se cache totalement et en même temps qu’elle hurle son orgasme, Il voit du liquide transparent couler de sa chatte à ma tige. Sa jouissance est, étonnamment, plus courte que d’habitude mais semble tout aussi puissante. Alors qu’elle reprend lentement ses esprits, elle continue de monter et descendre sur lui mais se fait rapidement sortir.

- Mme est… une bombe. Des formes, de la sensualité ! Et elle aime le sexe, je vous l’ai déjà dit. Finalement, c’est notre seul point commun.

Elle était heureuse, en vie et au lit,
-?Tu me prêtes encore ton mari? dit-elle en baisant encore sa bouche.
Le soir en rentrant je brûlais d’impatience et d’inquiétude. Son épouse paraissait fatiguée. Elle alla se coucher plus tôt.
Montegomery avait rigolé, l’adresse un clin d’œil et repart en exagérant le mouvement de ses hanches. A ce soir Une fois arrivée chez elle, elle se précipite dans la salle de bain pour se doucher longuement en essayant, mais en vain, de vider sa mémoire de ce qu’elle vient de vivre. Son mari ne rentre que fort tard, comme bien souvent. Son mari cocu concentant, un voyeur pervers, voulait savoir:

- C’est vrai que tu t’es laissée piner par un mec?
- Oui... Um super mec. Je veux plus....
Bien plus tard dans la soirée, Solange, assise devant sa coiffeuse passe, lentement une brosse dans ses cheveux. Totalement épanouie à la suite de son après-midi torride avec son jeune amant, elle a revêtu une chemise de nuit longue en soie légère, couleur mordorée. De fines bretelles passent sur ses épaules pour se croiser dans le dos à moitié dénudé. La brosse glisse dans ses cheveux épais en mouvements souples et caressants, laissant à la belle bourgeoise tout le loisir de s’observer dans son miroir.


L’élégant décolleté arrondi de dentelle transparente dévoile largement le satiné de la peau de sa poitrine. Il offre la vision de la délicieuse naissance de ses seins qui tendent encore fièrement le doux tissu. Selon ses mouvements, son regard plonge dans la vallée profonde qui sépare ses deux globes voluptueux balançant en harmonie avec son brossage sensuel. Ses tétons se durcissent progressivement alors que ses yeux caressent son reflet dans le miroir. Elle repense aux mains de son amant glissant sur sa peau et son regard se trouble. Elle croise ses jambes pour comprimer sa vulve qui s’humidifie sournoisement. La sage bourgeoise prend conscience de son pouvoir de séduction et de son immense besoin de volupté

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Fin
Ivan Ribeiro Lagos
teresinapr@hotmail.com

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