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Femme de chambre dans un Love Hôtel
Ma meilleure amie m’a fait lire le récit de Tatiana (Rendez-vous à l’hôtel de passe), qui raconte son passage dans un hôtel de passe. Est-ce le Love Hôtel où j’ai travaillé plus de nombreuses années ? Peut-être que oui, peut-être que non. En tout cas c’est un récit très excitant et qui m’a rappelé de magnifiques souvenirs.
Je cherchais du travail et je suis tombée sur l’annonce d’un hôtel qui cherchait une femme de ménage. J’ai téléphoné et le lendemain matin, 8 heures je me suis présentée à l’hôtel.
La propriétaire, une dame très charmante, m’a reçue et m’a expliqué ce qu’il faudrait faire : une fois un couple parti, préparer la chambre pour les clients suivants : changer les draps prendre la poussière, laver bidet, douche ou baignoire (selon les chambres), et être capable de recevoir les clients quand elle serait absente. Elle m’a parlé de l’horaire et du salaire. Le tout me convenait parfaitement, j’ai signé le contrat.
La patronne m’a fait faire le tour du propriétaire. Au rez-de-chaussée, deux chambres, à l’étage, 10 chambres.
Quand la patronne m’a montré le couloir de l’étage, trois chambres étaient occupées, et il y avait deux chambres où les dames gémissaient et criaient de plaisir. C’était incroyablement excitant. La patronne m’a regardé avec un grand sourire.
- C’est l’ambiance quotidienne, la grande majorité des femmes manifestent bruyamment leur plaisir. Si on vient ici c’est pour faire l’amour et oublier tout le reste. Ici, on peut vraiment donner libre cours à son plaisir, à sa jouissance. Ici, on peut se lâcher totalement, sans se préoccuper des enfants. C’est la raison d’être de l’hôtel.
Ceci dit, il y a des femmes qui restent silencieuses. Je trouve ridicule d’être pudique ici à l’hôtel, alors que chacun vient ici pour se donner du bon temps.
Moi, cette ambiance me plaisait déjà bien. Et au fil du temps, j’allais me souvenir des prénoms sous lesquels les femmes réservaient, car, curieusement, ce sont essentiellement les femmes qui téléphonent pour réserver. C’est amusant mais c’est comme ça.
Assez rapidement, j’ai associé le prénom donné au visage. Ensuite, sachant qui était dans telle ou telle chambre, j’ai eu l’occasion d’écouter attentivement les couples pour repérer ceux où les femmes se lassaient aller, gémissaient, soupiraient, parlaient, criaient, jouissaient de façon totalement libérée. Ceux qui restaient silencieux aussi, bien sûr.
Dès lors un simple coup d’œil au tableau des réservations et j’ai vite su à quoi m’attendre.
La première semaine, j’ai eu un aperçu de la vie de l’hôtel. Les couples défilent du matin au soir. Il y a des périodes assez calmes. Cela peut être le matin ou l’après-midi de n’importe quel jour de la semaine. Il n’y a pas de règle, on ne sait jamais à l’avance comment se déroulera la journée. Ceci dit l’hôtel ne reste jamais totalement vide, il y a toujours bien un couple présent. En juillet, c’est plus calme.
Une grosse surprise pour moi a été le jour où la patronne m’a dit que, contrairement tous le couples ne sont pas constitués uniquement d’un homme avec sa maîtresse ou d’une femme avec son amant, ce que j’imaginais naïvement. Des couples mariés viennent faire l’amour à l’hôtel.
En un mois, j’avais pu découvrir la vie de l’hôtel et la très grande variété des couples : un homme et une femme, deux femmes, deux hommes.
Quant à l’âge, cela va des couples qui sont dans la vingtaine (parfois, assez rarement, on a des couples de 18 ans) pour plus jeunes, aux couples sexagénaires ou septuagénaires pour les plus âgés, et entre ces deux extrémités, on voit défiler toutes les tranches d’âge.
Quelques fois, des escortes girls arrivent et attendent un homme ou rejoignent un homme (ou une femme) s’il est déjà dans la chambre.
En tout cas, une chose est sûre, hommes et femmes viennent assouvir le feu qu’ils ont entre les jambes, et c’est très bien ainsi.
Le jeudi de ma seconde semaine de travail, ce fut une après-midi terriblement excitante, plusieurs couples étaient déchaînés. J’étais excitée à mort. Quand toutes les chambres étaient en ordre, je me retrouvais dans une pièce du rez-de-chaussée avec la patronne en attendant le départ des couples et le nettoyage des chambres. La porte était ouverte sur le hall d’entrée et l’escalier. On entendait des cris venant de différentes chambres. On entendait aussi ceux des chambres situées au-dessus de la pièce où on se trouvait.
- Excitant, pas vrai, me dit la patronne ?
- Très.
- Ça donne envie de faire l’amour, tu ne trouves pas ?
- J’avoue que oui, ai-je répondu d’une voix hésitante.
- Ne sois pas gênée, moi aussi cette ambiance me donne envie de sexe, c’est naturel, dans une telle ambiance.
Cette confidence m’a permis d’être de plus en plus à l’aise avec elle, dans cet environnement de plaisir.
Chaque jour, j’attendais impatiemment l’arrivée des couples. Je profitais de devoir nettoyer une chambre pour écouter et me rincer l’oreille.
Fréquemment la patronne m’aidait et lorsque les femmes prenaient leur pied, on arrêtait de travailler un bref instant et nous étions deux à écouter les ébats des couples.
Il arrivait que la patronne soit absente une journée. J’avais l’hôtel pour moi toute seule. Quand la patronne n’était pas là et qu’il n’y avait pas trop de couples ou que les couples étaient discrets, j’étais déçue.
Par contre, quand dans plusieurs chambres les couples manifestaient leur plaisir, c’était une belle cacophonie de gémissements, de cris, et parfois de hurlements de plaisir. Je mouillais comme une folle et je devais aller dans une chambre vide pour me masturber furieusement.
Je n’ai jamais oublié ma troisième semaine de travail car l’après-midi, il y a eu une première nouveauté pour moi : un couple est arrivé et m’a dit qu’un autre couple allait arriver pour les rejoindre. La patronne leur avait réservé une des chambres du rez-de-chaussée. Un quart d’heure plus tard, le second couple est arrivé et ont rejoint leurs amis. La patronne m’a dit que c’étaient des habitués qui venaient quasiment toutes les semaines, ce que j’ai vite constaté, et qu’en outre les hommes se suçaient et s’enculaient.
Souvent il y avait même un troisième couple qui rejoignaient les deux autres. A six dans la chambre, j’ai eu l’occasion d’entendre ces dames avec une queue dans chaque trou ainsi que les hommes se suçant et s’enculant à tour de rôle. Incroyablement excitant. Je mouillais comme une folle. Et je mouille pendant que je rédige mon texte.
Ces quatre personnes étaient dans la cinquantaine. Ce fut une incroyable expérience pour moi car pour la première fois de ma vie j’ai entendu des femmes se faire prendre côte à côte puis se faire prendre en sandwich à tour de rôle. Elles jouissaient comme des folles et criaient de plaisir quand les queues des deux hommes remplissaient leur chatte et leur cul en même temps.
J’écoutais cette séance de sexe torride, avec la main droite sous ma jupe, dans le couloir près de la porte. Je n’ai pas entendu la patronne arriver. Quand je me suis retournée, pour continuer mon travail, mon cœur s’est arrêté. J’ai cru que j’allais être virée mais elle m’a rejoint et a simplement dit :
- C’est follement excitant entendre des femmes faire des doubles pénétrations, c’est un plaisir vraiment très particulier, vraiment très intense, qui procure des sensations uniques, une expérience que toute femme devrait connaître une fois.
Elle n’a rien dit de plus, mais en réfléchissant à cette phrase, le soir, chez moi, je me suis demandée si elle n’avait pas déjà fait un sandwich ou si elle ne le pratiquait pas régulièrement.
Un jour où on écoutait une femme se faire prendre par deux hommes, elle m’a dit que le sandwich était le plaisir maximum.
Ce jour-là, je me suis dit qu’elle avait vraiment pratiqué la chose. En fait je n’en sais toujours rien avec certitude mais cette remarque me fait dire que oui.
En tout cas, j’ai suivi son conseil, et maintenant je suis une grande adepte de la double pénétration, et parfois de la triple pénétration. La patronne avait raison, le plaisir est dingue, ce sentiment d’être remplie procure un plaisir unique, à nul autre pareil.
Rien qu’à parler de cela, je mouille de plus belle.
La surprise suivante, ce fut l’arrivée de deux dames. Manifestement elles aussi étaient des habituées car la patronne et elles papotaient chaleureusement.
La patronne m’a confirmé que ces femmes étaient clientes de l’hôtel depuis le début de sa gestion de l’hôtel. En fait elles étaient collègues de travail, étaient mariées, mais adoraient faire l’amour ensemble, à l’insu de leurs maris.
Elles sont montées à l’étage où dans deux chambres, les dames gueulaient sous les coups de queues de leur mec.
J’ai vaqué à mes occupations, la mise en ordre des chambres laissées libres par des couples avant l’arrivée d’un autre couple. A un moment donné, j’ai dû aller chercher une paire de drap dans le petit local réservé à cet usage.
La patronne qui était censée passer un coup de serpillière dans une chambre était en fait dans le couloir, près de la porte où les deux femmes étaient en train de s’aimer et elle se passait la main entre les jambes, sur son pantalon en écoutant les deux femmes gémir de plaisir. Je l’ai regardée un petit moment et je me suis éclipsée.
J’ai remarqué rapidement que la patronne était toujours très excitée quand une femme réservait une chambre et qu’elle savait déjà, en notant ce nom au tableau des réservations, que la dame en question viendrait avec une femme.
Un autre très grand moment dans mon travail a été la première fois que deux hommes sont venus ensemble. La patronne les accueillait également avec beaucoup de chaleur.
- Tout le monde mérite d’être heureux et de prendre son pied dans un lit. Peu importe avec qui cela se passe, m’a-t-elle dit après que le couple soit monté vers sa chambre. C’est pour cela que l’hôtel est gay friendly.
Je suis bien d’accord avec elle, le sexe c’est bon et chacun le pratique comme il l’entend pour autant que cela fasse du bien. Et ça fait du bien, beaucoup de bien.
N’empêche que la première fois que vous entendez un homme dire « Oh oui, continue, c’est trop bon, je sens bien ta grosse queue dans mon cul », cela ne vous laisse pas de marbre, loin sans faut. Après, vous vous rendez-compte que c’est ce que vous dites quand vous avez la queue de votre mari dans le cul, donc c’était une exclamation fidèle à la vérité, une queue dans le cul, c’est trop bon.
Cette première découverte du sexe entre deux hommes m’a excitée d’une incroyable façon. Ils se sont sucés et se sont pénétrés plusieurs fois, l’un l’autre. Je mouillais abondamment et j’ai dû aller me branler dans une chambre.
Les hommes venaient en couple mais parfois ils étaient trois, ce qui rendait les ébats encore plus chauds.
Un mardi, la patronne était absente pour la journée, je venais de prendre la relève de ma collègue. J’étais donc seule. Le téléphone interne a sonné, c’était une chambre occupée par deux hommes. Ils ont demandé un café. Dix minutes plus tard, je suis montée leur apporter. Un des hommes se faisait enculer et gémissait de plaisir. J’ai un peu écouté leurs ébats mais je devais livrer le café avant qu’il ne refroidisse. J’ai frappé et après quelques secondes, on m’a dit d’entrer.
Je ne les ai pas vus car Ils étaient allés se cacher dans la douche le temps que je dépose le plateau sur la petite table. J’avoue que j’aurais aimé les voir baiser. Je ne le savais pas encore mais ce souhait allait être exaucé bien plus tard.
J’arrête ici pour aujourd’hui mais je posterai un autre récit détaillé de certains moments très chauds que j’ai vécu dans cet excitant endroit dédié au sexe.
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