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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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Aucune semaine ne rassemble à la suivante mais il serait faux de dire que chaque semaine j’ai vécu quelque chose de rare et d’exceptionnel. Ce n’est pas vrai. Mon travail consistait à nettoyer les chambres dès le départ des occupants pour qu’elles soient rapidement disponibles pour de nouveaux ébats.
Il arrivait de connaître une semaine calme, pour on ne sait quelle raison. L’hôtel n’était jamais vide, c’était rarissime qu’une seule chambre soit occupée, il y avait toujours bien ou trois ou quatre chambres occupées en même temps. Ceci dit, on peut dire que trois couples au même moment ce n’est pas énorme.
Alors j’avais un moment de repos où je n’avais rien à faire, qu’à attendre l’arrivée d’un couple. La patronne et moi, on papotait de choses et d’autres. Bien sûr on entendait les gémissement et cris de plaisir des occupants présents, du moins ceux qui se lâchaient.
Mais la très grande majorité du temps, il y avait une belle activé dans l’hôtel. Parfois il était l’hôtel était plein, toutes les chambres étaient occupées en même temps. Je vous laisse imaginer le bruit qui régnait… Et le travail à faire ensuite.
Dès qu’une se libérait, nettoyage et un autre couple venait la remplir de son plaisir. Soupirs, gémissement et cris à tous les étages. Un régal et une excitation totale. Je mouillais en travaillant et je regrettais de ne pas avoir le temps de me mettre devant une chambre pour écouter ce qui s’y passait.
Un soir, alors que trois chambres du palier étaient occupées, un couple est arrivé sans avoir réservé préalablement et a choisi une des chambres disponibles. Ils ont choisi la seule où on peut entrer de deux côtés. Et cette chambre est la seule qui permet de coller son œil dans le trou de la serrure. Il est donc possible de voir ce que les couples font.
Une demi-heure après leur arrivée, je suis allée faire la voyeuse. La femme était en levrette au bord du lit et son mari, les pieds par terre qui était en train de la prendre. Je regardais sa queue sortir, entrer, sortir en rythme régulier. C’était excitant, évidemment. Un moment donné la femme s’est retournée et a pris la queue de son amant (terme qui peut désigner petit amis, fiancé, mari, concubin ou réel amant).
Elle le suçait avec tendresse et passion, passant sa langue sur toute la tige, et engloutissant le membre dans sa bouche.
Après 5 minutes de ce délicieux traitement, elle a fait mettre son homme sur le dos, transversalement, il a relevé ses jambes et elle, à genoux sur le sol, elle a commencé à lui lécher le cul. Elle passait sur ses couilles, sa queue, elle redescendait jusqu’à sa rondelle. Elle a ensuite mis un doigt dedans, puis a ajouté peu à peu tous les doigts, l’homme s’est retrouvé avec la main de la dame dans son cul. Elle faisait un mouvement de rotation de droite à gauche. Il gémissait copieusement. Ils ont fait une pause et comme je ne pouvais pas rester là indéfiniment, je suis redescendue, excitée par ce que je venais de voir.
Dans les trois chambres donnant sur le palier, c’était une belle symphonie de gémissement divers.
Un quart d’heure plus tard, un des couples est descendu, a payé et je suis allé faire la chambre. La patronne m’a accompagnée. On était donc dans une chambre, entourée de couokes qui -baisaient. Comme on était sur le palier, on entendait absolument tout ce qui se passait et se disait.
Avant de redescendre, la patronne est allée dans le couloir. Je ne l’ai pas suivie. Elle est restée un bon moment et m’a retrouvée en bas. Elle n’a rien dit mais j’imagine quelle aussi avait regardé par la serrure puisqu’aucune chambre n’était à faire.
Le lendemain, un vendredi, j’ai commencé ma journée vers 13 heures. Il faisait chaud. Quand je suis arrivée, deux chambres de l’étage avaient leurs fenêtres ouvertes. De l’une on entendait des gémissements et des cris de plaisir.
Quand je suis entrée ma collègue m’a dit que la patronne était avec son mari qui était venu lui faire un petit coucou. Ma collègue était seule j’ai demandé où ils étaient. Elle a fait un signe avec sa main pour me montrer l’étage.
Je l’ai regardée sans comprendre.
Elle m’a fait sortir et m’a montrée la chambre d’om venaient les soupirs et râles de plaisir.
- Tu es sûre ?
- Il y a une demi-heure qu’ils sont montés. Regarde le tableau des réservations, cette chambre n’est pas réservée pour cette heure-ci, c’est donc eux.
Nous sommes montées sans faire de bruit, et nous sommes allés devant la porte de la chambre en question.
Pas de doute, c’était bien la voix de la patronne.
- Vas-y, continue, plus fort, ne t’arrête pas, je te sens bien en moi.
- Qu’est-ce que tu mouilles.
- Oui, depuis le matin je n’arrête pas d’entendre des femmes se faire démonter. Je suis excitée et je veux que tu t’occupes de tous mes trous.
Le mari s’est exécuté et a limé sa femme. On entendait claquer son ventre contre le cul de sa femme.
Inutile de vous dire que ma collègue et moi étions excitées d’entendre notre patronne se faire mettre.
Il a fallu redescendre car un couple descendait l’escalier. On a encaissé le prix de la chambre et on s’est mis à nettoyer la chambre. Sur le palier, on entendait les cris venant des chambres, et pas que de celle où se trouvait la patronne.
Un couple est arrivé. C’était leur première fois à l’hôtel. Je les ai conduits dans la chambre qu’ils avaient réservée, Elle était contigüe à celle occupée par la patronne. Quand je les ai fait entrer, on l’entendait gémir et crier de plaisir.
- Vas-y, mon chéri, c’est merveilleux, continue de m’enculer, j’adore ça.
Le couple a eu un sourire, moi aussi.
- C’est naturel, la patronne dot toujours que quand un couple vient ici c’est pour en profiter et se lâcher complètement.
- Bien, on va donc faire de même, a dit la dame, avec un grand sourire.
Je suis allée retrouver ma collègue et je l’ai fait venir pour écouter la patronne se faire défoncer le cul. C’était très chaud.
On est redescendue, j’ai abaissé mon pantalon et mon string, je me suis couchée sur le divan et j’ai commencé à me masturber devant ma collègue. Elle m’a regardée puis elle m’a écarté les jambes et elle m’a fait minette. J’ai dû étouffer ma jouissance. Je me suis rhabillée et je lui ai rendu la pareille.
Elle est rentrée chez elle. Je me suis installée dans le salon et j’ai mis de la musique.
Après une demi-heure, la patronne est redescendue avec son mari.
- Je viens d’arriver, Olivia vient de partir.
- J’étais à l’étage en train de mettre une chambre en ordre. Il y aurait une chambre à faire que Olivia n’a pas eu le temps de nettoyer. C’était celle qu’elle venait de quitter à l’instant
Je suis montée nettoyer la chambre et enlever les draps qui venaient de connaître ses ébats chauds et excitants. Dans la chambre où j’avais fait monter le couple, l’ambiance était chaude.
La chambre à peine terminée, dix minutes plus tard elle était occupée par un nouveau couple. La routine.
La journée s’est poursuivie et j’ai eu pas mal de travail, les couples se succédant sans arrêt. Ce fut une journée de grosse activité sexuelle. Je ne m’en suis pas plainte, bien sûr.
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