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Mon week-end allait prendre fin, avec Gérard mon amant de vacances amoureuses retrouvé chez lui à Nantes, il me fallait bien reprendre le train pour rentrer chez moi.
Je préparais ses légumes pour son dîner, que j'épluchais avec soin dans la cuisine pour lui faire plaisir.
Mon amoureux avait de la peine à me voir partir. Il allait me le montrer.....
Je ne portais qu'un petit slip sur mon petit popotin cambré comme celui d'une fille. Il m'enlaçait pendant mon travail, et recommençait notre jeu préféré, il caressait dans tous les sens mes petites fesses, miam j'adore, mon ventre puis mes tétons, il les tripotait doucement, ses doigts tournaient sur mes pointes dressées gourmandes. C'était très excitant d'être peloté alors que j'étais occupé avec les légumes.
- Arrête coquin, tu me troubles
- Non non non je continue
- Tu me donnes des envies........
Et ce diable continuait de plus belle.
C'était irrésistible, il le savait bien ! Je commençais à me cambrer, transpercé par des ondes de plaisir et de désir, j'ondulais mon petit popotin tout bien cambré qui frottait son short, je sentais bien sa queue devenue vite bien dure, je haletais, je soufflais, je râlais mes désirs, et lui devenait plus empressé.
Plus il tripotait mes tétons, plus j'ondulais des fesses, devenu une petite chienne lubrique, je n'en pouvais plus.
Il embrassait mon cou, il me léchait le bout des oreilles, c'était excitant, je lui rendais avec ardeur mes baisers.
J'ai lâché mon épluchage de légumes et me suis retourné, j'ai ouvert son short, ai baissé son slip et caressé sa queue déjà dressée en hauteur, je la léchais en tournant autour et finis par engloutir son gland, en l'aspirant de plus en plus, mon amant gémissait de plaisir.
- Oh comme tu suces bien mon petit chéri, ne t'arrête pas.
- J'aime ta queue, disais-je entre deux sucettes.
Je continuais et au bout de quelques minutes me suis retourné, lui offrant mes fesses. Je plaçais sa queue sur mon dos, sur mes petites fesses de gamin, je lui lançais des invitations à me pénétrer en me courbant comme soumis, en plein désir à assouvir. Lui n'y tenant plus a enlevé son short et son slip, puis le mien. Sa queue arquée frottait de plus en plus ma raie, et cherchait mon entrée. Il n'a pas mis longtemps pour la trouver. Je couinais en soupirant de plus en plus. Le gel étant à portée, il m'a lubrifié et en a mis aussi sur sa verge tendue, j'étais excité à l'idée qu'il allait me prendre, comme ça dans sa cuisine, nous debout dans sa cuisine, juste avant mon départ.
Son membre touchait ma rondelle toute humide et prête, alors il a introduit doucement son gland mouillé, il poussait et franchissait mon sphincter, cela a fait un "flop" humide, ça y était j'étais pris, il me tenait, je ne pouvais plus m'échapper. Je me cambrais encore plus, penché en avant, arque-bouté sur le plan de travail de la cuisine, ayant fait valser épluchures, couteau et le reste. Je mouillais du cul, lui mouillait abondamment et cela rendait sa pénétration intolérablement délicieuse.
Il s'enfonçait en me tenant les fesses, il poussait, il avançait de plus en plus dans mes entrailles follement excitées, comme un roi, mon seigneur à moi.
Le voilà tout enfoncé en moi, je savourais sa présence dans mon intimité, je voulais sentir sa verge s'agiter en moi et me rendre fou.
- Je veux, je te veux ! lui répétais-je
- Oui, c'est notre cadeau d'au revoir, mon chéri
Lui se cambrait en arrière pour bien me posséder, les jambes légèrement fléchies, et commençait ses va et viens, je dégustais avec délices ses mouvements de bassin, ses coups de piston fougueux, j'en voulais toujours plus et haletais comme un damné, je me tortillais sur son membre, je m'emmanchais en profondeur sur ce manche bien raide. Il me fouettait de l'intérieur, il me ramonait sévèrement, il me limait, j'étais empalé sur son bâton raide, il me perforait, me forniquait de l'intérieur. Au bout de 10 minutes de ce jeu, on sentait tous les deux la jouissance approcher à grands pas. Il attrapa ma queue diaboliquement dressée et humide de liquide, il la tenait serrée, montant et descendant lentement sa main.
Ma jouissance allait exploser, je me suis redressé, cambré comme un fou, j'ai crié, crié encore et encore, poussant des HA et des HA, HA, HA... et n'y tenant plus j'ai explosé contre le meuble de cuisine, mes jets de sperme jaillissaient en m'étourdissant totalement, il me vidait de toute ma semence, il provoquait mon orgasme qui n'arrêtait plus. Je jouissais de ma queue qu'il tenait encore serrée dans sa main, et en même temps de mon cul brûlant qu'il possédait, les deux à la fois, c'était une extase inouïe jamais connue. J'étais secoué d'un immense spasme dans tous les sens, ma queue en folie dans sa main serrée, mon cul en feu avec sa verge tendue en moi, je giclais tout ce que j'avais, je râlais, j'étais un pantin désarticulé de plaisir. Je serrais tellement mes petites fesses qu'il ne pouvait s'en échapper. Il était visiblement fier de me faire tant jouir en secousses successives, et cela le faisait bander encore plus.
Lâchant ma queue, il m'a attrapé sauvagement par les hanches et martelant mon petit cul de fillette, a accentué ses coups de piston, 4, 5, 6, 7, 10, 15. Alors il s'est raidi, est resté immobile une seconde, puis dans un long hurlement de joie, a lâché en moi ses gerbes chaudes, 1, 2, 3, 4, 5. Mon amoureux m'inondait, me remplissait, me possédait, il me comblait, on jouissait tous les deux collés, serrés, on n'arrêtait plus de râler et de jouir de nous deux, il était toujours en moi, on était secoués de tremblements convulsifs merveilleux. Je ne tenais plus sur mes jambes flageolantes où coulait lentement sa semence, malgré son pieu encore tout enfoncé dans mon ventre. Heureusement il me retenait debout en me tenant serré par la poitrine.
Il est resté allongé sur mon dos, cherchant à reprendre son souffle, pendant que je tentais de reprendre mes esprits. Oh ça c'était de le bonne cuisine !!
On s'embrassait en balbutiant des mots tendres. L'amour entre deux amants affamés n'en est que plus intense.
- Mon petit chéri
- Mon amant merveilleux.
Bien plus tard, habillé pour le voyage avec ma petite valise, je montais dans le train, on se saluait de la main, on s'envoyait des bisous discrets.
Vivement le mois prochain que je le retrouve pour un nouveau WE !
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