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Ce matin là, enfin en cette fin de matinée, Florence était sortie de sa douche et commençait à s’habiller ; comme elle passait près de moi après avoir enfilé sa jupe, je m’amusai à l’attraper, à passer mes mains sous sa jupe, pour caresser ses cuisses charnues que j’adorai.
- Arrête ! on va être en retard !
- En retard pour quoi ? on n’a rien à faire.
Je dégrafai sa jupette puis, je continuai mes caresses en remontant sur les fesses ; elle était délicieusement bandante. Et elle le savait. Cela faisait quelque temps que nous étions ensemble et notre liaison avait commencé de manière très chaude puisque sous la forme d’une partie à 3 ! Le troisième dans la partie n’avait plus voulu suivre Florence dans ses expériences sexuelles et j’en avais profité.
- Tu es très sexy, comme çà ; tu le serais encore plus sans soutif !
- Tu m’as l’air bien en forme …
- C’est vrai … allez enlève ton soutif, pour voir.
Elle me sourit d’un air mutin. Elle se retourna, releva son tee-shirt, se débarrassa du soutien-gorge rabattit le tee-shirt et se retourna.
- Et voilà !
- En effet, voilà un spectacle très excitant.
Et immédiatement, je caressai les deux mamelles par dessus le tissu :
- Tu ferais bander un mort dans cette tenue
- A condition que quelqu’un d’autre me voie …
- Sous ce tee-shirt, on ne sait pas si tu as une culotte ; il est suffisamment long pour la masquer. Mais pas plus …
- C’est excitant !
- Bon, assez rigolé ; on va se baigner ?
- Juste le temps de remettre ma jupe.
- Pourquoi faire ? elle est à peine plus longue que le tee-shirt,
- Tu es bien coquin ! tu as envie d’ameuter toute la plage.
- Çà ne ferait pas grand monde, malheureusement…
Nous étions en vacances aux Canaries. C’étaient nos premières vacances ensemble. Sur l’île de Fuerteventura, avec ses longues plages quasi désertes, je pensais pouvoir amener Florence sans difficultés à de petites exhibs … A 25 ans, cette jolie brune mesurait 1 m 66 et était munie de formes épanouies. J’adorai plus particulièrement sa poitrine abondante (95 D) mais ses jolies fesses étaient également très agréables à contempler et sa taille plus fine rehaussait le tout. Quand je vous aurai dit qu’elle savait s’abandonner à tous les plaisirs, vous aurez compris avec quelle petite bombe j’avais la chance de partager ma vie.
- Après tout tu as raison, il n’y aura personne. Allons-y !
Nous partîmes donc, elle dans cette tenue, et moi en short et en tee-shirt. En partant, j’aperçus son maillot de bain que, dans sa hâte, elle avait oublié de prendre dans la salle de bain de la chambre mais je me gardais bien de lui signaler ! Arrivés dehors, nous gagnâmes la voiture. C’était excitant de la voir en sous-vêtement dans la rue, sans que personne ne se doute de rien ; je regardais si le tee-shirt recouvrait toujours la culotte et c’était limite ! Florence, l’air de rien, ne faisait rien pour se cacher. C’est vrai que cela aurait attiré l’attention sur elle. Je remarquai cependant que les regards de certains passants que nous croisions se portaient sur sa poitrine que l’on devinait libre sous le tee-shirt.
Florence s’instlla dans la voiture, où, une fois assise, un passant traversant la rue aurait pu contempler ses cuisses jusqu’au triangle blanc de sa petite culotte. Je posai une main sur sa cuisse pour qu’elle les écarte naturellement.
- Tu es très bandante, ma chérie !
Je mis le contact et nous partîmes vers une plage peu éloignée ; A l’arrivée, Florence prit conscience de son oubli :
- J’ai complètement oublié mon maillot de bain !
- Et alors ? dis-je simplement
Je fermai la voiture et me dirigeai tranquillement vers la plage. Florence me suivit. Je posai mes affaires et commençai à me déshabiller. La plage n’était pas si déserte que cela, pour une fois, et je m’en félicitai. Florence regardait autour d’elle. Puis me lança :
- Tu disais qu’il n’y aurait personne
- Toi aussi ! allez, j’aimerais bien te voir sur une plage dans le plus simple appareil. Déshabille-toi.
Florence hésitait. Le soleil tapait fort ; je savais qu’elle avait envie de se baigner.
- Allez, enlève ton tee-shirt, tu vas attraper chaud !
En me regardant, elle le fit, dévoilant sa superbe poitrine ; elle n’avait plus pour seul vêtement que son petit shorty en dentelle blanc.
- Allez, enlève ta culotte ; ta petite culotte que l’on voit tes jolies fesses !
- Je peux me baigner comme çà ...c’est pareil !
Elle disait çà en souriant.
- Non, toute nue.
Elle jeta un coup d’œil aux alentours ; les baigneurs les plus proches étaient à une cinquantaine de mètres ; il y avait quelques femmes en mono mais aucun naturiste. Çà renforçait mon excitation. Je commençais à bander. En me fixant du regard, Florence porta les mains à sa taille, passa les doigts sous l’élastique et fit descendre très lentement la petite culotte, en se trémoussant légèrement. Arrivée aux genoux, elle tomba à ses pieds. Florence étaient nue sur la plage. Je bandais ferme.
- Coquine ! toute nue devant tout le monde !
Florence passa le bout de sa langue entre ses lèvres pour me provoquer, l’air de dire « eh oui ! ».
- allez, à l’eau !
Sur le trajet qui nous séparait de la mer, je vis les hommes la suivre ostensiblement du regard. Une fois dans l’eau, je ne me gênais pas pour caresser toute cette chair fraiche. Partout …. Florence se laissait faire avec abandon. Les voyeurs nous regardaient et devaient m’envier car ils ne nous quittaient pas des yeux. Le bain me calma un peu. Nous regagnâmes nos serviettes sous les regards appuyés des mêmes hommes. Sur le court trajet, nous aperçûmes 2 hommes venant directement à notre rencontre. Comme les autres, ils détaillaient Florence avec intérêt. Arrivé à notre hauteur, l’un d’eux demanda :
- Hablan espagnol ?
Je lui répondis que nous étions français mais que je parlais un peu espagnol. Il répondit alors en français :
- Ah, français, cela tombe bien. Je m’appelle Paco et voici mon ami Juan ; nous avons vu ton petit strip tout à l’heure ; est-ce que tu voudrais refaire çà dans mon club, demain soir ? nous aimons bien inviter une amatrice à venir se faire admirer.
Nous en restâmes muets de surprise. Il nous expliqua qu’il était espagnol, mais qu’ayant vécu en France plusieurs années, il parlait un peu le français ; en fait, il le parlait très bien.
- Voici la carte de l’établissement ; vous pouvez toujours passer faire un tour et nous verrons à ce moment ; tu peux même garder ton string, si çà te gênes. Çà nous permet d’apporte un peu de nouveauté à nos spectacles.
En attendant, ça ne le gênait pas de détailler l’anatomie de Florence. Ni lui, ni son ami. Mais Florence avait renoncé à se cacher.
- Euh, nous allons réfléchir dis-je en regardant Florence.
- C’est cela …
- Çà se passe à partir de 23 h 30 ; à demain, j’espère : tu es ravissante, ajouta t’il à l’adresse de Florence.
Aussitôt parti, Florence s’écria :
- Eh bien, ils ne manquent pas d’air, ces deux là !
- C’est inattendu, en effet … mais intéressant !
Nous nous allongeâmes pour nous sécher un moment au soleil, moi en maillot, Florence toujours nue.
- Le copain du gars te dévorait fixement du regard, tout à l’heure, Juan, je crois.
- Oui, il avait l’air d’un gros vicieux.
- Çà ne t’a pas plu ?
- Tant qu’il ne faisait que regarder … c’est vrai que c’était plutôt agréable de l’exciter comme çà, sans rien faire.
Je regardai la carte que le dénommé Paco m’avait laissée.
- Et si tu essayais devant plus de monde ?
- Çà t’exciterait ?
- Je dois dire que … il me semble que tu y trouverais ton compte toi-aussi.
Elle ne répondit pas.
Nous restâmes allongés un moment. Florence semblait avoir oublié sa nudité. En somnolant, je mis alors la main sur un bout de tissu. Sa petite culotte. Me retournant, je m’empressai de la faire disparaitre sous le sable après avoir vérifié que Florence ne s’apercevrait de rien. Au moment de partir, je vis bien évidemment Florence en train de regarder par terre à droite et à gauche.
- tu cherches quelque chose ?
- Oui, je ne retrouve plus ma petite culotte … tu n’y serais pas pour quelque chose, par hasard ?
- Absolument pas ! dis-je hypocritement. Elle a du être ensevelie sous le sable. De toutes façons, avec ou sans, çà ne fera pas beaucoup de différence …
- Tu n’as pas honte de contraindre ta femme à l’exhib ?
- Mais tu vas faire beaucoup mieux demain soir au cabaret …
Florence remit son tee-shirt sous lequel elle était maintenant sans rien. Ses seins faisaient remonter le tee-shirt à la limite de la décence et elle devait le tenir à la main pour être sûre de ne pas trop en montrer.
- Oh la coquine, insistai-je. Elle a perdu sa petite culotte … elle se ballade presque toute nue devant tout le monde.
- Pervers lubrique ! dit-elle en prenant un air faussement offusqué.
Sur le chemin du retour, passant derrière Florence je remarquai la naissance de ces fesses, à peine masquée par le seul vêtement qui lui restait. On pouvait deviner qu’elle était nue sous son tee-shirt. C’est ce que durent se dire le groupe de touristes que nous croisâmes en sortant de la voiture, vu les regards appuyés qu’ils portèrent sur Florence. Arrivé à l’hôtel, je me précipitai sur elle et, relevant son tee-shirt, je pus palper toute cette chair qui me faisait envie depuis un bon moment. Nous fîmes l’amour passionnément.
Florence avait finalement décidé de faire un tour au cabaret. Pour voir. Elle avait mis un soutien-gorge (au cas où) et une mini-jupette facile à dégrafer. De toute façon, elle garderait sa culotte. Il ne fallait quand même pas exagérer. Nous allâmes diner dans la petite station balnéaire. Il faisait très chaud ce soir-là. Je commandai un bon vin blanc Canarien et je veillai à ce que le verre de Florence ne soit jamais vide. Nous parlâmes de tout et de rien, sans jamais aborder le programme de la suite de la soirée. Mais je sentais Florence déjà un peu ailleurs …
Après le diner, nous nous dirigeâmes vers le cabaret privé, qui se situait dans une rue perpendiculaire et un peu en retrait de la rue principale. L’entrée était discrète, comme réservée aux seuls initiés. Le portier nous fit entrer et nous nous dirigeâmes vers ce que nous supposions être la salle de spectacle. Paco était là et se levant, se dirigea vers nous avec empressement.
- Asseyez-vous.
Il nous offrit alors un ron miel, boisson douce typiquement canarienne à base de rhum et de miel.
- Heureux que vous soyez finalement venue ! si vous êtes prête, je vous annonce dans 10 minutes.
Sur la scène une chanteuse assurait le fond musical. Il y avait une quarantaine de personnes, des couples en majorité et plusieurs hommes seuls. Florence ne passa d’ailleurs pas inaperçue. Le vin et le digestif aidant, elle était maintenant très détendue. Je lui glissai :
- Alors prête ?
- Peut-être
- Regarde, il y en a un là-bas qui n’arrête pas de te reluquer ; il va avoir une attaque quand il va te voir monter sur scène.
Florence jeta un œil dans sa direction et rit avec moi.
- Çà va être excitant de te voir toute nue devant ces voyeurs.
- Presque toute nue, corrigea Florence.
- C’est vrai ; tiens, j’aperçois Juan, le copain de Paco. Il ne voulait pas manquer la deuxième manche !
Paco dit alors à Florence:
- Suis-moi
La prenant par la main, il monta alors sur la scène avec elle et déclara alors :
- Aqui esta Florence ; Florence va bailar por nosotros !
Il donna le top à une musique rythmée et laissa alors Florence seule sur l’estrade. Celle-ci contempla un moment l’assistance puis commença à danser lentement au milieu de la scène. Elle était sublime ; la scène étant un peu surélevée, le regard pouvait s’insinuer davantage sous sa jupe et on voyait mieux ses belles cuisses. Au gré de ses petites voltes, la jupette voletait avec grâce. Portant une main à son chemisier, elle commença alors à le déboutonner. Les choses sérieuses commençaient. Un à un, elle fit sauter les premiers boutons. Ce faisant, elle ondulait légèrement. C’était très sobre, mais très excitant. Le soutien gorge rouge commença à apparaître. Complètement prise au jeu, Florence se passa la main sur le front, comme si elle avait très chaud, au grand plaisir de l’assistance, qui approuva dans un murmure. Encouragée, Florence porta alors la main à la ceinture de sa jupette et la dégrafa. Celle-ci tomba mollement à ses pieds. Florence l’enjamba avec légèreté et continua de danser. On voyait sa petite culotte rouge assortie au soutif.
L’assistance était captivée. Je voyais les hommes seuls vider leur verre avec un peu de nervosité. Achevant de déboutonner son chemisier, elle l’enleva face au public et le jeta par terre. Elle était maintenant en sous-vêtements devant un public chauffé à blanc. Elle continua à danser dans cette petite tenue.
- Desnuda te, guapa ! entendit-on dans l’assistance
ce qui était une invitation à continuer son effeuillage. Passant les mains, derrière son dos, elle dégrafa le soutif puis, le faisant glisser lentement, toujours face au public, elle laissa son opulente poitrine apparaître. Quelques sifflets se firent entendre. J’étais aux anges. Elle ne s’était pas dégonflée ; arrivée au bout de son numéro, elle continua de danser au rythme de la musique qui ne s’était pas arrêtée. Je sentais qu’elle était en train de profiter de l’instant, exhibant son corps à ces inconnus. Elle continuait toujours de danser quand je la vis porter une main, puis l’autre, à sa petite culotte. Sans doute voulait-elle aguicher encore plus l’assistance en simulant un strip intégral. Elle éloigna en effet ses mains pour les lever au-dessus de sa tête en simulant une danse du ventre. Quelle coquine ! C’est alors qu’elle abaissa les bras et glissant les doigts dans l’élastique, elle fit lentement descendre son dernier petit vêtement le long de ses cuisses. Lentement. Le haut de sa toison apparut ; faisant une moue faussement offusquée, elle se tourna et montra la raie de ses fesses. Finalement elle se retourna et continua de faire glisser sa culotte qui tomba à ces pieds. Elle était absolument nue devant un public conquis ! A ma stupéfaction, elle continua de danser en tournant sur elle-même en faisant admirer alternativement ses seins, son cul et sa chatte à l’assistance ravie. Elle commençait à se caresser et était même à deux doigts de simuler une masturbation quand la musique s’arrêta.
Paco monta alors sur scène, et tendant un peignoir à Florence, demanda à ce qu’on l’applaudisse, ce qui était inutile. Après ce numéro très réussi, nous retrouvâmes Paco au bar :
- Félicitations ! c’était vraiment torride. Tu es vraiment très chaude.
Puis il enchaîna :
- On pourrait organiser une petite soirée ; j’ai des amis très corrects ; tu feras ce que tu as envie ; elle n’a pas quelques envies inavouées ? dit-il en s’adressant à moi
Florence commençait à se trémousser légèrement sur sa chaise.
- Peut-être, commençais-je
Florence me fusilla du regard
- Quoi ? fis Paco très intéressé,
- Rien ! coupa Florence.
- Je crois que je sais : la sodomie peut-être ?
- Oh !
- Alors la fellation
Florence resta sans voix.
- C’est vrai que tu aimes bien, dis-je
- Mais arrête de raconter ma vie ! se défendit Florence ;
- Et à la fin … elle adore tout avaler !
- Non mais dit donc ! s’offusqua t’elle, en riant néanmoins, un peu gênée.
- Comme c’est intéressant ! Tu es un homme chanceux ! dit Paco dont le visage s’éclaira d’un large sourire. Je connais quelques amis qui seraient ravis de faire ta connaissance.
- Simplement pour me regarder alors, répondit Florence qui avait légèrement rougi.
- Je peux vous organiser une petite réception avec ces personnes ; les choses pourraient ensuite aller plus loin si tu le souhaites.
Paco expliqua alors qu’ils étaient quelques uns à pratiquer l’échangisme sur l’île avec leurs compagnes respectives. Se connaissant depuis un moment, ils ne courraient pas de risque, la contrepartie étant que cela finissait par manquer un peu de variété. C’est pour cela qu’il essayait de repérer des couples intéressés par un extra, essentiellement des couples pour éviter les risques. Mais ils n’avaient jusque là réussi à convaincre que trop peu d’amatrices et tout le monde n’avait pu en profiter.
- Florence pourrait faire de nouvelles expériences gustatives !
Florence se trémoussait en riant pour cacher son trouble.
- Ils sont combien, vos amis ?
- 2 ou 3 couples ; tiens regarde, il y a Manuel et Pedro, là-bas avec leurs copines.
Florence regarda dans leur direction ; les autres lui firent un grand sourire.
- Je vais réfléchir ; en attendant je vais me changer.
Pendant son absence, nous continuâmes la discussion :
- Il faudrait que tu décides ta compagne à tenter cette expérience ; j’ai vu son regard briller pendant la discussion.
- Je la connais assez pour savoir que çà la tente, surtout que c’est sans risque.
- En fait, nous serions plus nombreux … et leurs compagnes ne seraient pas là ; elles sont moins portées sur la fellation que semble l’être ton amie ! Nous l’avons déjà fait une fois avec une touriste, avec Manuel et Andres, un autre de la bande. Elle nous à sucé tous les trois ; son mec n’en revenait pas de la voir tout avaler ; à la fin, il a joui aussi dans sa bouche ; mais c’est la seule fois où nous avons eu de la chance. En fait, nous rêvons tous de rencontrer une vraie gourmande qui nous boirait tous sans même qu’on lui demande !
A cette évocation, je commençais à bander dur.
- Je vais faire le maximum.
Florence revint alors habillée ; nous convînmes d’un rendez-vous trois jour après et partîmes.
De retour à l’hôtel, nous fîmes l’amour de façon torride. Pour finir, je me retirai juste avant de jouir et je lui explosai la bouche de sperme. Après nous être calmé, je tâtai le terrain :
- Çà te plait bien d’avaler le sperme !
- J’ai toujours aimé çà.
- Tu aimes quand il y en a beaucoup ?
- Quand je suis bien excitée, j’adore !
- Hmmm, je te vois bien en train de sucer plusieurs queues pour recueillir la précieuse semence
- Tu te sens bien ?! j’aime bien avaler le tien, mais c’est tout !
- Si çà te plait tant que çà, ne me dit pas que tu n’y as jamais pensé !
- Ce n’est pas faux …
- Quel effet çà te ferait ?
- Je ne sais pas … il faudrait que j’aie déjà essayé.
- Tout le bon jus sur ta langue, dans ta bouche, …
- Eh, mais tu voudrais m’y voir ma parole !!
- Si c’est un phantasme pourquoi pas ? tu n’y as jamais pensé ?
- Si, une fois ou deux…
- Si jamais l’occasion se présente, je te déshabillerai moi-même pour exciter les volontaires !
- Les volontaires, il y en aurait surement des tas !
- Je baisserais langoureusement ta culotte et tu saurais que c’est le moment …
- Je les ferais jouir lentement mais surement … hmm j’aime vous faire languir et puis çà vous fait tellement plaisir, j’aime bien le jus crémeux sur ma langue, c’est chaux, plus ou moins salé … quand je pense à ce que c’est et d’ou çà vient … c’est çà qui me fait jouir !
Florence buvait du petit lait en disant çà ; enfin littéralement en attendant mieux ! Elle m’excitait délicieusement, la coquine
- C’est vrai que çà m’exciterait moi-aussi mais je n’ai pas assez de sperme alors si je trouve des volontaires corrects, tu y gouteras, fait moi confiance. En attendant, nous allons répondrons à l’invitation de Paco,
- D’accord, mais ce sera soft pour commencer.
- Bien sûr ! répondis-je aussitôt.
Florence était prête.
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