Il y a 1 commentaire pour cette histoire
Cette histoire érotique a été lue 5935 fois |
Cette histoire erotique a une note de : 10/20
Noter ce récit erotique !
En ces temps de crise, pas facile de trouver du travail.
Après des mois de galère, je décrochais enfin un job dans une petite entreprise.
C'était une entreprise de confection qui employait 20 salariés.
Sa particularité était qu'il n'y avait que deux hommes, un comptable proche de la retraite et moi qui était chargé de la maintenance des machines et des livraisons.
Le premier contact n'avait pas été brillant mais comme j'étais au chômage depuis longtemps, je n'ai pas fait la fine bouche pour accepter.
J'ai été reçu par la patronne et la responsable de la production.
Elles avaient toutes les deux la cinquantaine.
La patronne grande femme brune et mince, à l'air austère, semblait autoritaire et stricte avec le personnel.
La responsable de production était très ronde et avait l'air plus avenante.
Les premières semaines se passèrent bien et je m'intégrais facilement
J'avais noué des relations agréables avec le personnel en particulier avec une jeune femme de mon age chargée de la préparation des commandes.
Il nous arrivait souvent de prendre notre café ensemble pendant les poses et une fois ou deux d'aller boire un verre à la sortie du travail.
Elle était assez réservée et je ne me pressais pas d'essayer d'aller plus loin avec elle.
.
Début février, NOELLE, la responsable de production me demanda si je pouvais rester un soir pour dépanner une machine qui devait absolument être remise en marche rapidement.
J'acceptais volontiers et me retrouvais seul avec elle après le départ du personnel.
Je me mis donc au travail, NOELLE restant près de moi afin de fermer l'atelier dès que j'aurai terminé mon intervention.
« Vous vous plaisez bien ici » me demanda elle
« Oui le boulot est sympa et je me suis bien habitué à la région »
« Et vous ne vous ennuyez pas trop le soir et le week-end »
« Non, je fais pas mal de sport et je prépare mon diplôme d'ingénieur et puis je rentre à NANTES tous les 15 jours»
«Je vois » répondit elle en se rapprochant de moi, « et côté cœur une compagnie féminine ne vous manque pas ? »
« Je n'ai pas trop le temps d'y penser »
Elle se rapprocha encore et posa sa main sur mon épaule.
« Ça vous dirait de venir dîner un soir à la maison, depuis le décès de mon mari, je m'ennuie un peu et de la compagnie me ferait du bien »
Je compris aussitôt ou elle voulait en venir et je n'avais pas du tout envie d'engager une relation avec elle, tout d'abord en raison de son age et surtout de son physique peu avenant.
« Je vous remercie mais je n'ai pas trop de temps en ce moment »
« Dommage cela aurait été l'occasion de mieux ce connaître et pour vous d'être mieux intégré dans l'entreprise »
Je ne compris pas l'allusion, l'avenir allait me la révéler.
A partir de ce jour, son attitude changea complètement..
Elle devint désagréable avec moi, étant sans cesse sur mon dos, critiquant mon travail, me demandant de faire des heures supplémentaires.
Je décidais de ne pas me plaindre car j'avais besoin de gagner ma vie et me doutais bien qu'on lui donnerai raison.
Un midi, en reprenant mon travail, elle me dit que la patronne désirait me voir à la fin de la journée.
A 18 heures je frappais à sa porte.
NOELLE était avec elle dans son bureau.
Je pensais aussitôt qu'elle avait du se plaindre de moi et allait essayer de me faire virer.
« MARC je vous ai demandé de venir car NOELLE m'a rapporté votre attitude au travail et je m'apprécie pas du tout votre comportement. De plus votre familiarité avec JULIE ne me satisfait pas du tout »
«Mais madame, je fais mon travail correctement et les livraisons sont faite toujours à l'heure, d'ailleurs il n'y a jamais de plaintes des clients.Pour ce qui est de JULIE, c'est vrai que nous prenons souvent notre café ensemble, mais c'est pendant les temps de pause »
« Ça suffit, n'aggravez pas votre cas, j'envisage de vous licencier ainsi que JULIE, mais vous avez une possibilité de l'éviter »
Je me demandais ou elle voulait en venir et j'étais décidé à refuser.
« Si vous ne voulez pas pas vous retrouver à la rue avec votre amie, vous devrez m'obéir et faire tout ce ce que vous demande »
S'il ne s'était agit que de moi, j'aurais démissionné aussitôt mais je pensais à JULIE qui n'y était pour rien et qui risquait de ce retrouver au chômage.
« Bien madame, j'accepte »
« Parfait, je vois que vous êtes raisonnable, qu'en pensez vous NOELLE ? »
« Oui, madame je pense que c'est ce qu'il a de mieux à faire »
« Prenez ce document, lisez le et signez le »
Je pris le papier et le lu.
Il ne faisait que quelques lignes et mentionnait que, en raison de mon travail insuffisant j'acceptais mon licenciement, mais que celui ci serait suspendu si j'acceptais de me plier à toutes les demandes de ma directrice et de sa chef d'atelier.
Je ne voyais aucune issue et signais ce papier.
« Très bien, maintenant à poil et vite »
Je restais hébété devant une telle demande. Dans son coin, NOELLE arborait un grand sourire.
« Dépêches toi, je ne le répéterais pas deux fois »
J'enlevais ma chemise que je déposais sur une chaise puis défit ma ceinture et ôtais mon pantalon.
Je me retrouvais en slip.
« J'ai dis à poil »
Je baissais mon slip et me retrouvais nu devant les deux femmes.
« Belle queue et grosses couilles, ça me plaît, tournes toi que je vois ton cul »
Je me retournais et présentais mes fesses.
« Beau petit cul, qu'en pensez vous NOELLE ? »
« Oui j'aime beaucoup, dommage qu'il nous l'ai caché si longtemps »
« Je trouve que son sexe est trop poilu, on va le raser »
« Bonne idée, je vais chercher des ciseaux et un rasoir »
NOELLE sortit de la pièce et la directrice m'ordonna de m'allonger sur son bureau.
« Tu as un sacré paquet », me dit elle en me prenant les couilles à pleine mains.et en les serrant.
Retour de NOELLE avec ses ciseaux, rasoir et gel à raser.
« Vous voulez que je m'en charge, Madame ? »
« Faites le, je vais regarder comment vous vous y prenez »
NOELLE s'approcha de moi et sans complexe me pris la bite qu'elle dressa et commença à couper les poils du pubis et des couilles le plus court possible.
Elle fit couler du gel sur mon sexe et l'étala généreusement.
« Vous ne croyez pas que sa queue risque de vous gêner pour le raser, ce serait plus facile s'il bandait, attendez, je vais le branler.»
Elle s'approcha de moi et commença à me branler avec douceur.
Ma bite commença à se dresser et je bandais rapidement.
« J'aurais pensé qu'elle était plus longue, mais elle est bien épaisse, allez y rasez le »
NOELLE approcha le rasoir et commença à le passer sur le pubis, puis à la base de la verge, qu'elle plaqua ensuite sur le ventre pour me raser les couilles.
« Il a aussi des poils dans la raie, on devrait lui raser aussi »
« Vous avez raison ça fera plus propre, allez à quatre pattes et écarte bien les cuisses »
Je me retrouvais dans cette position ridicule, le cul offert enduit de gel de rasage.
J'eus bientôt le sexe et la raie des fesses entièrement épilés.
« Restes dans cette position elle m'amuse, je vais faire quelques photos »
Je fus photographié sur toutes les coutures au grand plaisir des deux femmes.
Elles débordaient d'imagination pour me faire prendre des poses humiliantes.
NOELLE eut même l'idée de m'enfoncer une règle dans le cul et de me promener dans l'atelier à quatre pattes tenu en laisse par ma ceinture.
Vers 20 heures, la directrice décida d’arrêter la séance.
« Merci NOELLE, vous avez eu une bonne idée, je me suis bien amusée, je suppose que vous le gardez pour la soirée.»
« Oui madame si vous le voulez bien »
« D'accord, mais demain vous me le laissez »
Je tournant vers moi elle me dit :
« Demain à 18 h 30 dans mon bureau, à poil bien entendu »
J'allais remettre mes vêtements quand NOELLE me dit :
« Avec ce que j'ai envie de faire avec toi, tu restes tout nu. »
Je la suivi donc jusqu'à sa voiture, nu comme un ver.
Elle me fit monter à côté d'elle et prit la direction de son domicile.
« Tu croyais que je laisserai tomber, maintenant tu vas m'obéir et faire tout tout ce que j'ai envie.
En plus tu as la patronne sur le dos, crois moi ce ne sera pas une partie de plaisir »
Arrivés chez elle elle me fit entrer et se dirigea directement dans sa chambre.
« Tu te doutes pourquoi tu es la, tu as intérêt à être à la hauteur »
En quelques instants elle fut nue.
On ne peut pas dire que c'était un top modèle.
Sa poitrine énorme tombait sur son ventre ; ses cuisses étaient pleine de cellulite et ses fesses deux gros lobes flasques.
Son ventre faisait des plis et cachait sa chatte.
Devant un tel spectacle, ma bite restait au repos.
Elle s'abattit sur le lit.et ouvrit largement les cuisses.
« Viens lécher mon minou »
A contre cœur je m'approchais et mis la tête entre les cuisses énormes.
J' avançais doucement la tête et me mis à sucer sa chatte qui heureusement était rasée.
Ma langue s 'aventura dans sa grotte et je commençais à lui sucer la chatte.
Rapidement elle se mit à gémir et à serrer convulsivment les cuisses.
Voyant qu'elle réagissait à mes coups de langue, je décidais de la faire jouir rapidement afin d'en être débarrassé au plus vite.
J'allongeais une main vers sa poitrine que je commençais à malaxer. Ses tétons, gros comme un doigt se gonflèrent sous mes carrsses.
De mon autre main, je me branlais pour obtenir une érection.
Je commençais tout juste à bander quand elle me cria :
« Prends moi, je veux sentir ta queue en moi »
Je remontais vers elle et la pénétrait d'un grand coup.
Sa chatte était si large que je touchais à peine les bords et je lui titillais le clit avec la main pour l'exciter davantage.
Je la ramonais un grand moment et elle s'agitait sous moi, poussant de petits cris.
Un flot de cyprine coulait sur ses cuisses et m'inondais les couilles.
Son plaisir montait de plus en plus et j'accélérais le mouvement jusqu'à ce qu'elle jouisse dans un grand râle.
Je profitais de la situation et la fit se retourner et mettre à quatre pattes.
« Oui prends moi en levrette, cochon, mets moi ta queue bien aufond de ma chatte »
Elle ne se doutait pas que ce n'était pas mon intention.
Je lui écartais les fesses et fis glisser ma bite sur son sillon.
Je m’arrêtais sur sa rondelle et l'enculais d'un grand coup de reins.
L'orifice était plus étroit bien que manifestement je n'étais pas le premier à l'utiliser.
Je me couchais sur elle et ma main atteignit sa chatte gluante de cyprine.
J'y glissais quatre doigts et la branlais avec vigueur.
De nouveau je la sentais au bord de la jouissance et je m'activais de plus en plus dans son cul.
Je jouis en même temps qu'elle emplissant son cul de mon foutre.
Elle s'effondra sur le lit reprenant difficilement son souffle.
« Tu m'as tuée, cochon, qu'elle troussée, tu peux reprendre tes vêtements et rentrer chez toi à demain et sois à l'heure au travail»
je la quittais sans un mot et rentrais chez moi ou je pris une longue douche comme pour me purifier après cette soirée.
La nuit fut peuplée de cauchemars, je me voyais poursuivi par une hordes de femmes nues qui ressemblaient à NOELLE et qui me violaient.
Le lendemain je me rendis au travail avec une boule au ventre en pensant à la convocation du soir chez la directrice.
L'histoire de cette soirée fera l'objet d'un prochain récit
Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net
Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique: