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Il jouit dans ma bouche, mais il ignora mon con et mon cul
J'étais lavée et parfumée avec "Gucci Envy" et ça sentait extrêmement bon. J'étais nue et j'étais allongée sur le ventre sur un banc. Un homme passa, qui avait belle allure et il était parfumé, est-ce que c'était "Gucci Envy" ? Je ne savais pas. Peut-être que Gucci fabrique des parfums pour les hommes. Il avait une magnifique chambre à coucher et il souriait toujours, mais ne disait rien à part d'acquiescer. Sur la table il y avait des flacons contenant diverses huiles. Il en prit un, s'enduit les mains et le frotta. Il posa ses doigts chauds sur ma nuque et étala l'huile sur mes omoplates.
Une merveilleuse sensation apaisante se propagea lentement dans tout mon corps, lorsqu'il passa son pouce autour de mon cou qu'il massa avec ses deux mains. Il lui fallait infiniment de temps pour me masser de haut en bas sans s'arrêter, puis il alla à côté de moi et me prit le bras, massa tous les muscles de mon bras sans aucune dureté mais avec une grande tendresse. Puis ce fut le tour de mon avant bras, puis le tour de mon ventre où tous les muscles furent massés avec...de l'huile de carthame. Il remarquait chaque centimètre sur mes fesses qu'il massait avec une grande douceur, il massait sans aucune connotation sexuelle.
Il ne disait rien, mais il fredonna une mélodie inconnue. Mes deux jambes se retrouvaient dans des lieus célestes. Je pensais, "Mon Dieu, je ne peux pas rester ici pour toujours!" Il a parcouru tout mon corps avec ses mains de masseur. Petit à petit il termina avec mon cul et me donna une petite tape en me disant "tourne-toi". Commençant par le cou, j'étais tout à fait ailleurs, je ne vis rien, c'était simplement merveilleux, encore plus merveilleux, extraordinairement merveilleux. "Oh ! Personne ne pouvait décrire cette sensation de bonheur. C'était bon. Maintenant, je m'aperçu qu'il était nu aussi. Il avait une bite très raide, pas très grosse, mais agréable à voir avec un peu de foutre qui luisait sur la pointe. Je ne pouvais pas manquer ça, il me la fallait cette pine, je ne sais ce qui me poussa à agir ainsi, mais je libérais mes mains, je pris la bite et la porta à ma bouche et je commençais à la lécher. J'étais en train de savourer le goût de son foutre, quand il vint comme la foudre dans un ciel clair.
"Qui vous a donné l'autorisation de lécher mon foutre ? "Retourne- toi sur le ventre maintenant". Il n'était pas question de me tromper, c'était un ordre et j'obéis presque automatiquement." Excusez vous," hurla-t-il en me donnant avec la paume de sa main une claque sur ma fesse gauche, puis une autre claque tout aussi violente s'abattit sur ma fesse droite. Je ne me résigne pas à son commandement, je m'accrochais mais je ne disais rien. Une claque sur la fesse gauche, une autre claque sur la fesse droite. J'ai compté 50 claques violemment appliquées sur mon cul, mais je ne veux pas m'excuser.
Mon cul devait être très rouge maintenant et une sensation de chaleur très jouissive se propagea de mon cul dans ton mon corps. Ma chatte pouvait chanter..Mais ce ne fut pas le cas, par contre je jouissais, je jouissais, j'aurais voulu que çà dure un siècle.... Etrangement, j'espérais qu'il ne s'arrêterait pas, car je voulais que l'onde de plaisir qui parcourait mon corps dure le plus longtemps possible. Il était visiblement fatigué et je vis qu'il avait dans sa main quelque chose qui ressemblait à une grosse bite, c'était un gode de couleur blanche. A l'extrémité il y avait des lanières en cuir, peut-être une sorte de fouet.
Il l'a utilisé pour donner de légers coups sur mon cul, j'étais dans un autre monde, il avait oublié de me demander si je voulais m'excuser. Les coups me procuraient un bonheur infini et il me fit un cul tout rouge. Je ne vous parle pas du nombre de coups que je reçus sur mon cul, peut-être 500 coups ou davantage. Puis il m'ordonna : "Tourne- toi". Je m'allongeais sur le dos. Mon cul devait être chaud et bien rouge, je le sentais, cependant je n'éprouvais aucun mal, mais j'étais envahie par une délicieuse sensation de plaisir. Il prit une goute d'huile de massage et en enduit le godemiché. Je reçu le gode dans mon con, puis dans mon cul, il ne m'a pas fait mal, car ma chatte comme mon cul étaient bien lubrifiés. Il a passé sa langue sur mon clitoris et il tournoyait tout au tour. C'était bon.
Si ma chatte pouvait chanter...Mais ce ne fut pas le cas et je jouissais, je jouissais, c'était bon j'étais au septième ciel, et je souhaitais que ma jouissance durât un siècle... Je ne sais pas comment et quand, mais je le vis à califourchon sur moi me tendant sa bite chaude que j'embouchais. J'ai attendu un long moment, puis il enfonça sa pine profondément dans ma gorge. Avec ses deux mains sur ma tête il appuya et baisa pendant une éternité ma bouche en faisant entrer et sortir sa grosse bite de mon orifice buccale.
Enfin il déchargea en criant sa victoire. " Tu es une sacrée salope." Il se vida pendant plusieurs secondes dans ma petite gueule d'amour. J'avalais tout son foutre, et comme si ça n'était pas suffisant, je léchais ses couilles, je passais ma langue entre ses couilles et il se mit à gémir. J'ai léché sa bite molle comme un petit oiseau boit la rosée du matin. Il glissa calmement de mon minou, posa un doigt sur un de mes mamelons et s'endormit. Je ne voulais pas le réveiller. Il dormait comme un bébé.
J'ai regretté qu'il ne m'ait pas enculée, et j'espère qu'il ne m'a pas engrossée.
C’est très rare qu’un homme ne s’intéresse pas à la chatte et au cul de la fille qui se trouve au lit en sa compagnie. Moi j’étais beaucoup trop timide pour lui demander de me baiser en con et en cul. Naturellement c’était très agréable de recevoir son foutre dans ma gorge et l’avaler. Mais j’étais en manque quand même, j’aurais voulu sentir sa grosse bite dans le petit trou de mon cul et la sentir aussi dans mon trou à bébé. Recevoir sa semence dans ma bouche me rappelait mes premières expériences avec mon frère et mon cousin à une époque où nous étions relativement jeunes pour découvrir l’amour.
J’avais 18 ans et t mon frère avait 19 ans et voulait goutter à ma chatte et à mon trou du cul. Je me souviens qu’il retirait sa pine de mon con, prêt à décharger et glisser sa bite dans le petit trou de mon cul, parfois il n’avait pas le temps de l’introduire dans ma délicieuse caverne et jutait à l’entrée de mon trou du cul, et je me sentais très frustrée. Mais souvent il réussissait à enfoncer brutalement sa belle bite dans mon petit trou d’amour et il me comblait. Je me rappelle que son foutre était bouillant et que j’étais au septième ciel. Il avait peur de m’engrosser et souvent il me demandait de sucer sa bite ou de m’enculer. J’étais contente car c’était bon, oui vraiment bon.
Mon cousin qui avait 18 ans était un amant très timide et commençait pas me donner une fessée, ses mains claquaient sur mes fesses, il me demandait de compter les claques qui commençaient à faire rougir mon popotin. Une fois j’en ai compté 200 sur la fesse gauche et 500 sur mon demi-cul droit. Naturellement je suçais sa bite, je lui offrais mon con et mon cul et il me faisait bon partout..
Mon cousin ne s’intéressait pas au cul de sa sœur de 19 ans, car il le réservait pour ses meilleurs copains qui venaient parfois dans son lit à six ou sept.
Je pense que la demoiselle a dû recevoir plusieurs bites dans son con et dans son cul. Son trou du cul devait être dilaté à l’extrême.
C’est beau de contempler un cul bien distendu.
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