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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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Dans la commune tout le monde connaissait JOSEPH.
C'était un garçon pas très futé qui se louait à la journée pour faire les jardins chez les bourgeois du secteur.
Il avait environ 40 ans et vivait avec sa mère car il était incapable de se débrouiller seul.
Sa vie se déroulait tranquillement et il n'avait que peu d'exigences, pourvu que ses propriétaires le nourrisse, lui donne un coup à boire, quelques légumes et un billet en fin de journée.
Il souffrait un d'être exploité et d'être traité comme quantité négligeable des notables locaux, mais il sentait bien qu'il devait s'en accommoder.
Pourtant un jour sa vie a basculé et il a pris sa revanche.
Un mardi en fin de matinée, alors qu'il terminait de bêcher le jardin du Notaire il fut pris d'une envie pressante. N'étant pas un adepte des toilettes il se dirigeât vers le jardin d'agrément pour se soulager.
Il n'avait pas remarquer que la femme du Notaire une pimpante quinquagénaire était en train de cueillir des fleurs.
Il sortit son engin et commençât à pisser.
Il faut dire que la nature l'avait doté un engin hors du commun.
L'épouse du Notaire, entendant du bruit s'approchât de la haie derrière laquelle il se trouvait.
Elle fut toute émoustillée en apercevant la bite énorme que JOSEPH tenait à pleine mains.
Elle n'était pourtant pas très portée sur le sexe mais son mari lui préférant de petites jeunes, elle était en manque.
Aussitôt elle eut envie de s'occuper de cette magnifique queue et elle prépara un plan pour arriver à ses fins.
Vers 17 heures quand Joseph eut fini son travail, il se présentât à la maison pour recevoir son salaire.
Elle l'attendait, vêtue d'une robe courte et légère.
"JOSEPH j'ai de vieux vêtement de mon mari. Il ne les porte plus mais ils sont en bon état. Je vais vous les donner, je pense qu'il sont à votre taille,je vais les chercher"
Joseph attendit son retour en sifflotant son verre de vin.
"Voila" dit elle en posant un tas de vêtements sur la table.
"Vous allez les essayer pour voir s'ils vont bien"
Il la remerciât et pris le paquet de fripes.
"Essayez les maintenant"
Ne voyant pas la malice de sa patronne il enlevât sa chemise, mit une des chemises proposée.
"Elle vous va très bien, essayez ce pantalon à présent"
Après avoir retiré la chemise il baissât son pantalon. Il portait un slip en coton comme on en fait plus. Le sous vêtement était un peu douteux mais elle s'en moquait et gardait les yeux rivés sur la grosse bosse qui déformait le slip.
Il enfilât le pantalon, et elle s'approchât de lui et dit : "il a l'air de vous aller, peut être un peu serré" et elle s'approchât glissant sa main à la ceinture et lui frôlant le sexe.
"Non, il vous va bien, vous allez essayer le reste."
Lorsqu'il fût de nouveau en slip elle lui présentât un boxer.
"Je pense qu'il est plus confortable que votre slip"
Joseph n'avait pas trop de notions de la pudeur et la nudité ne le dérangeait pas. De plus il n'avait jamais connu de femme et quand la nature le démangeait, il se branlait sans penser à mal.
Il retirât donc son slip et son énorme engin apparut. Bien qu'au repos, il mesurait au moins 20 cm. De plus il était doté d'une énorme paire de couilles.
"Hé bien Joseph vous avez un membre de belle taille, vous permettez que je le touche.
-Ben si vous voulez" répondit il étonné de cette demande.
Elle s'approchât et saisit la bite à pleine main.
"Ho qu'elle elle grosse" dit elle en commençant à le branler
Comme il n'était pas de marbre sa bite commençât à se redresser et son volume à augmenter.
Elle se mit à genoux pour voir ce phénomène de plus près, lui soupesant les couilles. Elle le décalottât faisant apparaitre son gland déjà luisant.
N'y tenant plus elle prit la queue dressée en bouche et l'avalât jusqu'à ce qu'elle touche fond de sa gorge.
La bite avait un gout acre, l'hygiène n'étant pas la principale qualité du garçon, mais elle s'en moquait se délectant que cette énorme bite qui lui déformait la bouche.
Elle le pompât de plus en plus fort.
Sentir ce mandrin fiché dans sa gorges l'excitait beaucoup et elle sentait sa culotte mouillée coller sur sa chatte.
Malheureusement pour elle, Joseph qui n'avait pas souvent l'occasion de se vider les couilles, ne tardât pas à jouir.
Il ne cherchât pas à se retirer l'inondant d'un flot épais de sperme qu'elle avalât jusqu'à la dernière goutte.
Il voulût remettre son slip mais elle lui dit :
"Restez tout nu encore un peu, je vous donnerais un billet"
L'opportunité de recevoir cette prime le réjouit et il obtempéra à la demande en pensant malgré tout que sa patronne avait de drôles de demandes.
Elle espérait qu'il banderait de nouveau assez vite et fit en sorte pour l'y aider.
Effectivement un quart d'heure plus tard la bite reprit peu à peu de la vigueur, bien aidée par les mains de sa patronne et fut rapidement bien dressée aussi dure que le godemichet dont elle faisait usage pour compenser les absences de son mari.
"Prends moi vite" dit elle en enlevant sa robe sous laquelle elle était nue.
C'était la première fois qu'il voyait une femme nue et son érection devint encore plus dure.
Il bredouillait des mots incompréhensible et ne sachant comment s'y prendre, c'est elle qui prit l'initiative.
Elle s'assit sur le bord de la table, les cuisses largement écartées sa chatte trempée offerte.
Elle l'attirât vers lui et prenant la bite entre les mains la dirigeât vers sa vulve.
Il la pénétrât d'un grand coup se rappelant le taureau du voisin.
Elle ne pût retenir un cri de douleur tellement la queue était énorme. Elle sentait cette bite qui remplissait son vagin et cela la fit mouiller encore plus, ce qui facilitât largement les choses.
Il entrepris de la ramoner à grand coups, ses grosses couilles velues venant s'écraser sur les cuisses de sa partenaire.
Elle jouit rapidement mais lui continuait à aller et venir en elle.
Elle se sentit partir de nouveau et cette fois il se libérât en même temps qu'elle, le liquide chaud remplissant sa chatte brulante.
Repu, il se retirât, repris son slip et l'enfilât.
"Bien sur Joseph tu n'en parles à personne. Reviens demain, il y a encore des travaux à faire et tu auras encore un billet."
Cette bonne aubaine lui convenait car il se doutait bien qu'il y aurait une nouvelle séance de jambes en l'air, ce qui lui semblait plus agréable que ses branlettes habituelles.
le notaire rentrât vers minuit, après un repas d'affaire. Elle n'était pas dupe sur le véritable motif de ces soirées mais elle s'en moquait en pensant à la bite virile de Joseph qui valait beaucoup mieux que le petit engin de son mari.
"- Tu as fait de bonne affaires ce soir?
- Oui, la soirée a été fructueuse et toi ta journée s'est bien passée?
- Oui très bien, le jardinier est venu, j'en ai profité pour lui donner de vieilles affaires à toi.
- C'est très gentil de ta part de t'occuper de ce brave garçon, il n'est pas très futé mais il rend bien service.
-Effectivement il rends beaucoup de service, heureusement que je l'ai pour s'occuper des gros travaux, parce que toi, tu n'est pas très doué pour ces choses là. D'ailleurs je lui ai demandé de revenir demain, je voudrais qu'il me rende quelques services
- Tu fais comme tu en a envie. Bon je vais me coucher, bonne nuit ma chérie
- Bonne nuit à toi aussi"
Ils gagnèrent leurs chambre, lui, pensant à sa soirée avec sa secrétaire qui avait simulé un orgasme pour se faire bien voir et elle, à la partie de baise avec son étalon de jardinier
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