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LE HAREM DE PATRICK
19ème EPISODE
Murielle, ma future belle-sœur.
Murielle et Xavier arrivèrent vers 21:30. Murielle salue avec enthousiasme ses parents et sa sœur tandis que Xavier semble mal à l'aise. Emilie me présente à lui et il me serre la main timidement, semblant mécontent d'être là.
Emilie me présent Murielle:
- Et ce beau mec est mon fiancé Patrick. Patrick, c'est ma sœur Murielle.
Je prends sa main tendue et lui dis « Salut » avant de la tirer vers moi et de l'embrasser sur le bord des lèvres. Murielle instantanément essaie de s'écarter mais je la maintiens contre moi pendant quelques secondes, et ne la libère que lorsque je sens le bout de sa langue commencer à s'enfoncer dans ma bouche. C'est une "chaudasse", c'est certain.
Murielle est énervée quand je la lâche, surtout si l'on considère ce qu'elle a commencé de faire.
Quelques minutes plus tard en portant les valises de Murielle j'ai chuté et elle m'a rattrapé. Levant ma tête, nos bouches étant face à face, elle me donne un baiser et sa langue a rapidement pénétré à l'intérieur de ma bouche pour s'enrouler autour de la mienne plusieurs fois avant qu'elle ne me lâche.
Peu de temps après Jacques a chuchoté quelque chose à Murielle, puis ils sont partis vers le haut, en disant" bonne nuit les enfants" Emilie m'a fait un clin d'œil et Murielle la regarde toute étonnée.
- Que ce passe-t-il ici, on dirait deux adolescent amoureux, Emilie en souriant répond:
- Oui, exact, Mumu, ce n'est pas beau ça?
- Mais moi je dirais plutôt comme un chien et une chienne en chaleur et arrête de m'appeler comme ça, tu sais bien que je n'aime pas !
Puis elle continue.
- Ils n'ont jamais agi comme cela, Emilie. Ce n'est pas normal…. ou est-ce que vous les avez drogués…ou c'est à cause de Patrick?
-Allez, Mumu, admets que c'est vraiment agréable de voir nos parents agissant comme des amoureux et pas comme des vieux mariés.
- Putain, je t'ai dis de ne pas m'appeler comme ça!
Et elle saute sur Emilie et elles tombent sur le sol dans un combat de chatouilles.
Xavier et moi nous les regardons s'agiter et se tortiller sur le sol pendant un instant avant d'entendre la voix de Christine crier,
- Oh mon Dieu, Jacques, baise moi plus fort ! C'est ça, oh ouiiiii, comme ça…c'est si bon ! Oh Dieu, tu me fais jouiiiirrrr ! Oooohhhh… Ouiiiii… plus vite Jacques, donne-moi ton sperme ! Oh ouiiiii, vas-y… baise moi encore et remplis-moi
- Emilie, est-ce que nos parents…?
Murielle reste la bouche ouverte avant de continuer:
- Je n'ai jamais entendu un cri pendant leurs rapports sexuels. Zut, je ne savais même pas quand ils le faisaient.
Et à ce moment là, la voix de Christine retentit à nouveau quand un nouvel orgasme la fait vibrer. Le silence revenu, Murielle regarde Emilie d'un air incrédule, puis en levant deux doigts elle ajoute;
- Et maman est venue deux fois ! DEUX FOIS ! Comment c'est possible? Je n'ai jamais entendu quoi que ce soit comme ça quand nous étions jeunes. Xavier, muet est évidemment très mal à l'aise. Emilie leur assure que c'est bien vrai.
Quelques instants plus tard des cris de plaisir résonnent de nouveau dans la maison et Murielle dit :
- Je ne peux plus entendre ça. Je vais me coucher avec mes bouchons d'oreille ce soir!
Nous dirigeant tous les 4 vers l'escalier, Xavier et Emilie montent les marches et quand ils disparaissent dans le tournant je retiens Murielle en lui demandant d'attendre une minute.
Elle se tourne vers moi avec un regard exaspéré sur le visage, un regard qui disparait rapidement quand je lui roule un patin du diable.
Dans le couloir Emilie et Xavier se dirigent vers leurs chambres et quand je passe devant Murielle pour rejoindre Emilie, elle me retient et c'est elle qui m'embrasse et verrouille ses lèvres sur les miennes avec sa langue qui se noie dans ma bouche sans se préoccuper de la présence d'Emilie ou de son mari.
Elle ne s'arrête que lorsque Xavier se gratte la gorge deux fois. Nous nous souhaitons bonne nuit et Murielle et Xavier entrent dans son ancienne chambre à coucher, qui est juste à côté de la notre. Emilie me dit alors;
- Je crois bien qu'elle ne va pas résister longtemps.
Emilie, tout en parlant, caresse ma bite et quand elle a en mains un bâton bien dur elle dit,
- Assez parler! Maintenant monte sur moi et baise moi! J'ai attendu ça depuis ce matin!
Emilie a été beaucoup plus bruyante que d'habitude pendant la monté de son plaisir et au summum de son orgasme ses cris de joie non jamais été aussi forts.
Je pense que certains de ses cris étaient plus au profit de sa sœur que pour nous ou ses parents. Pendant une bonne heure Murielle a du entendre les rounds successifs de ses parents et de sa sœur.
Le matin de Noël, Emilie et moi nous réveillons autour de 06:30, elle rampe rapidement sur moi en position 69 et nous avons tous deux travaillé nos sexes jusqu'à l'orgasme… en fait elle en a eu trois... avant d'aller en bas.
Elle a mi son léger peignoir et j'ai juste enfilé un pyjama short. Christine commençait tout juste à faire du café, alors je m’approche derrière elle et je lui fais un gros câlin par derrière en l’embrassant dans le cou.
Christine se tortille et me prie d'arrêter, mais au lieu de cela, je me presse contre son cul et je lui pelote les seins.
Dès qu'elle a mis le café en route elle dit :
- Oooh, tu es le diable en personne !
Et elle se retourne et s’agenouille devant moi, respire l’odeur de ma bite et commence à me sucer désespérément.
Emilie prépare 3 tasses à café et s’installe pour nous regarder. Christine pompe la bite savoureuse qui devient de plus en plus dure, choquée elle-même de l’ardeur avec laquelle elle est en train de sucer Patrick.
Elle avance davantage son visage, plus près de la base velue, écartant les mâchoires autant qu’elle peut, mourant d’envie de prendre en bouche toute cette colonne charnue.
La queue énorme répond à sa succion dure et humide par un grossissement en taille et en raideur. Le gland énorme pointe de façon obscène vers le haut, tressautant contre sa luette.
-" Ummlllppp, " s’étouffe Christine.
Ses bruits obscènes de succion et ses gémissements de contentement sont devenus très fort.
Fébrilement elle commence à hocher la tête de haut en bas, baisant sa bouche avec la grande queue.
Ses doigts sont serrés comme ils peuvent sur la base de son membre.
Elle commence alors à secouer vigoureusement le mandrin tout en suçant l’extrémité, faisant tourner sa langue autour du gland, l’arrosant de salive, aspirant quand elle le sent qui ruisselle.
" Hhhmmm, je vais juter !" gémit Patrick.
- Ooohhh! Cà vient! Je vais tout lâcher tu sais! Ah, suce-moi, suce-moi à fond! T’es une suceuse fantastique!"
Ce compliment est musique à ses oreilles. Christine commence à pomper la grosse tige aussi dure qu’elle peut, ses joues gonflées par l’épaisseur et la raideur de la trique.
Sa main est devenu un piston qui va-et-vient sur le membre gigantesque. Elle a hâte maintenant de sentir la décharge dans sa bouche, hâte de devoir avaler aussi rapidement qu’elle le pourra tout le sperme dégorgé par ce boutefeu.
Il saisit sa tête enfonçant sa tige de quelques cm supplémentaires entre ses lèvres. Christine commence à s’étouffer au moment où ses talents de suceuse obtiennent leur juste récompense. Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé, se répandant dans sa gorge de belle-mère si affectueuse.
" Ummmllppp!" glougloute Christine.
Le sperme se répand dans sa bouche, sur ses amygdales et glisse vers le fond de sa gorge. Elle s’accroche à l’énorme bâton crémeux, appréciant le goût du liquide.
Elle continue néanmoins de secouer et de sucer en même temps, ne voulant pas libérer la pine avant d’avoir pompé jusqu’à la dernière goutte de cette crème salée.
Après presque trente secondes, l’orgasme se termine, et Christine a obtenu ce qu’elle désirait tant.
Elle relève la tête de l’entre cuisses de Patrick, léchant ses lèvres encore pleines de son sperme.
Elle respire fort, et sa chatte est si humide qu’elle est complètement inondée.
- Patrick, ta crème est onctueuse et je souhaitais que tu commence bien cette journée de noël.
- Attention Christine, je pourrais certainement m’habituer à que genre de baiser, c'était incroyable !
Et je l’embrasse pour déguster avec elle les saveurs de sa bouche écrémée. A ce moment, j'entends Jacques en haut des escaliers qui dit ;
- Le café est prêt ?
Christine baissant les yeux, elle me remonte vite fait mon short en disant :
- Cache-moi cette chose qui me donne des picotements dans ma chatte !
Et elle avale un peu de café pour masquer l’odeur de sperme juste avant que Jacques ne s'approche d’elle et l'embrasse durement sur la bouche.
Quand ils arrêtent de s’embrasser, il lui dit bonjour et me regarde d’un air interrogateur.
Puis il quitte ses pensées et nous dit « bonjour mes enfants ».
Emilie m'a poussé sur une chaise à la table et chaque fois que son père ne la regarde pas elle tripote mon sexe pour le maintenir au trois-quarts bandé.
Emilie vient juste de remplir ma tasse de café que Murielle entre dans la cuisine.
- Bonjour, ça a l’air d’aller... vous qui ne dormez pas quand vous allez au lit ?
Chacun d'entre nous la saluons gaiement tout en ignorant sa remarque.
Christine lui verse une tasse de café et quand elle se retourne elle cogne de sa hanche Murielle qui en position instable tombe sur moi et finit assise sur mes cuisses.
Je la maintiens et elle m’embrasse pendant que ma main derrière sa tête intensifie la pression sur nos lèvres.
Peu avant, Emilie avait enfoncé ma bite dure entre mes jambes pour la cacher et lorsque Murielle c’est assise ce n'était pas un problème.
Cependant, elle n’arrête pas son baiser et bientôt ma bite s’échappe d’entre mes cuisses et vient frapper contre elle.
Les yeux de Murielle s’ouvrent soudainement et elle regarde ce qui appuie contre elle et hâtivement elle saute hors de moi en disant :
- Oh mon Dieu ! En évitant de regarder sa sœur. Emilie prend les choses en main et donne un gros câlin à sa sœur.
- Bien le bonjour, sœurette ! Désolé si nous avons fait trop de bruit la nuit dernière. Mais... Patrick est un sacré baiseur et je ne résiste pas ! Murielle commence à rougir et Emilie continue.
- D’ailleurs tu as l’air d’apprécier ses baisers, hein, sœurette ?
Murielle manque un peu d’air et très embarrassée dit :
- Hum, oui...il embrasse bien. Excusez-moi de m'être laissé aller comme je l'ai fait !
Je ne...Je ne sais pas ce qui m’a pris.
Tout en disant ça, Murielle regarde mon entrejambe où ma bite est toujours fièrement à l'intérieur de mon short en faisant une immense toile de tente. Lentement, elle remonte à mes yeux et dit doucement,
- S'il te plaît, pardonnes-moi, Patrick. Je lui prends sa main et lui fais une bise en disant :
- Je n’ai rien à te pardonner ! Elle nous regarde, Emilie et moi plusieurs fois et je continue ;
- Cependant, ma réaction est aussi extrêmement inopportune, donc, s’il te plaît, excuses moi de mon état.
La journée se passe sans incident. Dans l’après-midi, Murielle entre dans le salon et s’assoie en face de nous.
- Emilie, est-ce que tu vas enfin me dire ce qui arrive à maman ! Je ne l’ai jamais vu comme ça et je suis sur que tu y es pour quelque chose ! Emilie regarde sa sœur pendant plusieurs minutes avant de dire ;
- Peut-être que nous venons de trouver ce que nous recherchons depuis longtemps. Je sais très bien ce que moi j’ai... et elle me donne un baiser mouillé avant de continuer ;
- Ou, peut-être qu'il fallait trouver le déclencheur !
Murielle nous regarde en réfléchissant avant de dire ; - Non, ce n’est pas possible, c'est tout simplement impossible !
Nous avons tous apprécié le repas délicieux que Christine a préparé. Une fois le dernier cadeau ouvert et le désordre nettoyé, le téléphone sonne.
- Tiens, bonjour Tom, bon Noel! Paul écoute son patron pendant plusieurs minutes avant de dire:
- OK, je serai à l'aéroport à 7 heures. Vous vous assurez que le jet de la compagnie est là, et nous serons chez nos clients avant qu'ils ouvrent.
Il raccroche le téléphone doucement:
- Eh bien, Tom vient de me donner une promotion et augmente mon salaire en conséquence. Christine crie de joie et saute dans ses bras, et j'entends Murielle tranquillement demander à Emilie:
- Qui sont ces gens? ! Et où sont nos parents?
- Je suis heureuse de dire, qu'ils sont justes là devant nous!
Nous avons eu une agréable soirée, Murielle est restée songeuse mais ça n'a pas duré très longtemps.
Dans la cuisine avec Murielle, alors qu'Emilie est avec Xavier au salon, Murielle a remarqué que je suis directement sous le gui et respectant la tradition, elle se place face à moi et m'embrasse sur les lèvres en gémissant doucement quand nos langues se réunissent et entament une danse lascive dans ma bouche.
Son baiser se poursuit et elle resserre son emprise autour de mes épaules et je sens sa chatte se frotter sur ma cuisse.
Après deux ou trois minutes, elle réalise ce qu'elle est en train de faire et s'écartant de moi:
- Oh mon Dieu, je suis désolé, Patrick. Pendant un moment j'ai pensé que tu étais Xavier ! Pardonne-moi! Oh ce que va dire Emilie?
Je la resserre contre moi en lui murmurant;
- Je n'ai toujours rien à te pardonner, Murielle. Et ta sœur t'aime plus que tu ne le penses. Ce petit baiser que nous avons partagé ne la dérangera aucunement.
- Vrai? demande-t-elle incrédule, C'est si peu pour vous? Vous avez une curieuse façon de voir les relations de couple.
Avant que je puisse répondre elle continue de parler:
- Pas la peine de répondre, je connais la réponse! Vous jouez les couples libérés. Mais j'ai encore une question. Comment fais tu pour qu'Emilie, euh… se déchaîne comme elle le fait et n'est tu jamais fatigué de …euh…tu comprends? Et ses joues rosissent a vu d'œil.
- Oh, oui je pense avoir compris. J'adore Emilie et je fais tout ce qui peut lui faire du bien et la rendre heureuse. Et je suis en assez bonne forme, c'est assez rare que je sois trop fatigué pour arrêter.
- De plus, même si je suis fatigué, elle sait très bien me faire oublier ma fatigue et me remettre rapidement en forme! Mais pourquoi me demandes-tu ça, Murielle?
- Oh, je ne sais pas… ou… et bien… je suppose je suis tout simplement jalouse. Je ne pense pas qu'il me soit possible de crier comme elle l'a fait hier soir!
- Oh, il ne faut jamais jurer de rien! On ne sait jamais ce que la vie vous réserve.
Cinq minutes ne se sont pas écoulées avant que Murielle ne murmure à l'oreille de Xavier et qu'ils se lèvent et montent se coucher après avoir marmonné bonne nuit.
Une fois dans la chambre d'Emilie, nous pouvons encore clairement entendre les cris de plaisir, provenant de la chambre des parents et les encouragements de Christine pour que Jacques la baise plus fort.
De l'autre coté du mur, on entend facilement Murielle supplier Xavier de ne pas s'arrêter mais apparemment ce n'est pas ce qu'il fait car elle doit rester insatisfaite et je l'entends brièvement sangloter de tristesse.
Emilie me raconte que sa sœur lui a fait une confidence, Murielle voudrait tant un enfant mais son mari est stérile et tous leurs problèmes de couple viennent de là.
Ensuite, Ensuite elle m'a grimpé dessus et j'ai oublié tout le monde dans la maison..
Je suis réveillé, comme bien souvent, par Emilie qui me fait une pipe fantastique et peu lui importe ce que je peux faire ou dire.
Récit d'Emilie.
Je le saisis deux mains, et ma langue fait plusieurs fois doucement le tour de la partie découverte par le prépuce, je lui lèche à petit coup le frein, le bout ma langue s'insinue dans la fente du méat, cela suffit pour lui donner de la vigueur.
Ma langue lèche le cylindre monstrueux sur toute sa longueur, il a le goût légèrement salé de son foutre.
Puis je saisis son bélier dans ma bouche et en fait entrer le plus possible, il est tellement gros que je ne peux en avaler la totalité.
Je sens un gourdin énorme déjà tout dur que je n’arrive pas à enserrer complètement. Ca ne fait que multiplier mon excitation et je commence à le branler doucement.
Je n’en peux plus d’excitation et je veux maintenant m’occuper de sa queue. Je le fais allonger, prends son énorme bite et commence à la sucer. Quel monstre !
…Qu’elle est grosse ta queue !...J’adore la sucer ! …Hhhhmmm !...
J’ouvre très grand la bouche pour prendre un maximum de son énorme membre, j'adore sucer sa queue. J’adore la faire durcir dans ma bouche et la sentir m’étouffer, tellement son diamètre est exceptionnel.
Ma langue glisse lentement le long de cette magistrale hampe, aucun millimètre n'est épargné, même ses couilles sont passées en revue pour son plus grand plaisir alors que je le branle lentement de mes deux mains.
Il attrape ma tête et me place son gland dans la bouche. Il n'attend pas que je reprenne mes esprits et commence à se branler en laissant son gland énorme dans ma bouche.
Sa semence ne tarde pas à monter et voilà que des jets à hauteur de la bête m'envahissent la bouche, une quantité telle que je ne peux tout avaler et que par un haut-le-cœur je recrache directement autour de son gland en toussant.
Le calme étant revenu dans ma bouche et dans mes entrailles, il me demande de le nettoyer proprement ce que je fais avec grand plaisir.
Son sperme épais, bien blanc a laissé de longues trainée sur ma main et sur sa hampe encore raidie. Je lèche minutieusement chaque goutte de son foutre et je lui montre que j'avale tout en ouvrant ma bouche en grand.
Une fois bien certaine de n'avoir rien perdu, elle saute du lit :
- allez, debout! Je veux dire au revoir à papa et Xavier avant qu'ils partent.
Ses parents sont déjà habillés et prennent leur petit déjeuner, Xavier est en train de charger sa voiture. Murielle est assise à la table le regard dans le vague.
- Oh, Emilie, tu es levée, déclare sa mère avec enthousiasme. Que dirais-tu de t'habiller et de nous accompagner, ton père et moi à l'aéroport. Murielle n'est pas très bien et je ne veux pas y aller toute seule. Patrick peut rester ici pour tenir compagnie à Murielle puisque Xavier part en même temps que nous.
Après nous avoir quittés, (Christine et Emilie m'ayant toutes deux souhaité bonne chance) je demande à Murielle,
- Alors, Murielle, qu'est ce qui ne va pas ce matin ?
- Oh, je suis tellement fatiguée ce matin. Je n'ai pas bien dormi la nuit dernière.
- Ohhh, c'est dommage, moi j'ai dormi comme une souche.
- Je me demandais quand vous alliez finalement vous décidé à dormir!
Je lui lance un coup d'œil innocent, et elle continue.
- Je ne sais pas comment vous faite et excuses mon langage, mais j'avais l'impression qu'Emilie se faisait sauter par une équipe de football:
- C'est de votre faute aussi! Je vous entendais, je suis sure que Emilie a jouis au moins 3 fois! Elle s'arrête et prend une profonde inspiration puis;
- je me suis retrouvée tellement… tellement excitée que je n'arrivais pas à m'endormir.
Je veux dire, que…chaque fois que je fermais mes yeux je te visualisais sur ma sœur en train de … faire… et puis j'ai commencé à pleurer, et...et...
Je mets mon bras autour d'elle et elle appuie sa tète sur mon torse.
- Ne t’inquiètes pas, Murielle, je suis certain que ça finira par aller mieux pour toi et Xavier. Il me semble être un gars beaucoup plus agréable que ton père m'a amené à le croire.
La suite au prochain épisode.
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