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Jute dans ma chatte, jute dans mon cul
Pascal nous embrasse alternativement avec effusion, nous serre ensemble dans ses bras et ne sait plus laquelle déshabiller, mais il me connait déjà, il se tourne donc vers Corinne qui luit fait plein de sourires, elle est gentille et comme moi elle aime faire l'amour, nous passons dans la chambre et nous nous installons sur mon lit, bien sur Pascal s'allonge au milieu sur le dos, ouvrant les draps, Corinne se love amoureusement contre lui en caressant sa bite raidie, je m'agenouille et je lui caresse les tétons, il est aux anges "embrassez vous", il rapproche nos deux têtes au-dessus de lui, sous ses yeux fascinés.
Nous échangeons un baiser langoureux, il se redresse et allonge sa langue pour se joindre à nous tout en saisissant un nichon de chacune, nous nous caressons réciproquement les mains passent d'un corps à l'autre, les peaux sont douces, nous changeons de position, la double fellation est un plaisir particulier, je prends la bite de Pascal dans ma bouche pour le taquiner de la langue, tandis que Corinne se penche entre ses jambes, pour stimuler ses couilles et le petit trou de son cul, il se renverse sur les oreilles et nous encourage à continuer,"c'est super, j'adore", bientôt il n'y tient plus, il se relève et prend Corinne en levrette, je pense qu'il va la baiser dans son con et puis aussi dans son cul, elle à l'air d'apprécier si j'en juge les soupirs qu'elle émet.
Placée derrière lui, je caresse son dos avec mes doudounes et ses couilles avec mes doigts, tandis qu'il continue son va et vient dans sa chatte et dans son cul. Cela ne dure pas longtemps il jouit en criant puis s'écroule sur le lit, nous l'entourons amoureusement, il ferme les yeux, Corinne et moi nous échangeons un petit sourire complice. Corine lui demande s'il désire lui lécher le petit trou de son cul, ce qu'il fait avec un plaisir intense. Corinne est au septième ciel. Il lèche son petit trou d'amour pendant 10 minutes et en redemande encore et encore. Dans le feu de l'action en sa compagnie je l'aide à se retenir, à prendre le temps et et à faire durer le plaisir de la pénétration, "viens doucement, respire, regarde moi, bouge un peu, arrête toi, respire un peu.
Gérard est surpris de constater qu'il contrôle son éjaculation, la lenteur lui permettant de rester vigilant, à plusieurs reprises il s'arrête pour me crier son désir, mais au bout d'un moment il murmure à mon oreille, "je n'en peux plus de me retenir, j'ai envie de jouir maintenant, je lui dis "jouis" si tu le désires maintenant, mais soit conscient que tu le fais exprès, c'est ton choix. Il s'arrête et réfléchit, finalement je préfère me retenir encore un peu, je l'encourage d'un sourire complice, bien sur faisant endurer le plaisir, plus tard il décide, "j'ai envie de me laisser aller, je jouis, j'approuve, oui maintenant et pour le recevoir j'associe mes mouvements aux siens, ma respiration à la sienne, je me laisse aller aussi à l'orgasme, nous jouissons presqu'ensemble, puis il pose sa tête contre mon épaule, essoufflés nous reprenons nos esprits en silence.
Roger est un amant fougueux mais attentif, pour me prouver sa virilité, il se retient pendant des heures, il met un point d'honneur à me faire jouir plusieurs fois, mais je l'invite à se laisser aller à son tour, il n'y arrive pas, les efforts désespérés pour décharger n'aboutissent pas, il est coincé, je m'exclame, «tu es trop retenu, il s'écroule près de moi épuisé et déçu, il regarde mes mains posées sur ses genoux, tu m'intimides un peu, je ne réponds pas et je m'approche de lui, lentement les corps se rencontrent, la peau soyeuse glisse et frissonne, les mains caressent, le souffle devient plus profond, il m'entraine vers son lit, "viens", enlacés nous roulons en un corps souple et doux, il presse sa bite en érection contre la peau de mon ventre et me dit "attend il faut que je mette un préservatif, je décale un peu mon corps et je souris, "tu vois nous avons changé de registre et d'expérience".
Sans répondre, il me prend dans ses bras et murmure " tu me plais , j’adore ton ventre, ton con, ton cul, ta peau, je m'enroule autour de lui, puis il se redresse, fouille derrière lui dans un tiroir de sa commode, il trouve un préservatif qu'il s'ajuste en un instant, il se tourne vers moi me montre sa bite triomphale capuchonnée, me pénètre bientôt, il s'active amoureusement, je le laisse faire sans réagir, il s'en aperçoit subitement et surpris s'interrompt, il m'observe attentivement et demande "tu es bien ?", je suggère" tu es d'accord pour faire lentement", je n'arrive pas à suivre quand ça va vite, confus il bredouille "bien sur, bien sur excuse moi", il reprend son geste lentement d'un air appliqué, "vous voila presque débandé".
J'accompagne sans succès les ondulations de ses hanches, puis je me redresse, il est couché sur le dos, je m'installe à genoux près de lui "tu vois nous avons encore changé de registre, quand je suis arrivé, tu m'as reçu avec ta tête et tu voulais comprendre, quand tu m'as touché tu as laissé dominer ton plaisir et tu as cessé de penser, quand tu t'es inquiété de moi, ton désir s'est trouvé relégué à l'arrière plan et ta solitude t'a éloigné de toi même," maintenant tu es dans la confusion n'est-ce pas ?". Boudeur il rétorque " attend je te désire" "oui tu me désires avec ta tête, ton corps n'y est pas, mais c'est maintenant que tu es là, si je bande ce soir tu sauras par qui, m'as-tu fait venir pour avoir un relation sexuelle ordinaire, tu en trouveras facilement des filles avec qui tu peux passer un moment agréable au lit, je pratique la sexualité dans le cadre d'une démarche de développement personnel, oui, oui, respire, soit attentif à ce que tu ressens, son corps qui s'était raidi et immobilisé se détend et revit, il me sourit, "tu es belle", je souris aussi, "
Fais ce que tu as envie de faire", il me caresse, sa respiration devient plus régulière et plus profonde, je le caresse aussi, je pose ma main sur son torse au milieu" tu sens ton cœur, il me sourit "oui", son regard aussi devient caressant, nos respirations s'harmonisent, sa belle bite redevient grosse, nous faisons l'amour doucement, sans s'inquiéter du désir, au bout d'un moment je ressens sa respiration s'accélérer, je ressens son corps se cabrer, son regard se tourne vers le haut, je l'imite en tout point, nos corps synchronisés nous emportent vers un orgasme simultané, je cris, lui aussi, puis vient le détente, il est couché sur moi, je le tiens entre mes bras et entre mes jambes alanguies, je suggère "laisse peser ton corps, te tête aussi", il se laisse aller souplement, nous respirons et puis il se redresse, souriant, léger, "c'était vraiment super".
J’aime qu’on décharge dans mon con, et aussi dans mon cul, c’est doux, c’est chaud, c’est bon. Naturellement lorsque je baisais à l’âge de 15 ans en compagnie de mon cousin qui avait 21 ans ou de mon oncle je préférais être enculée, car je craignais de tomber enceinte si la bite d’un garçon venait chatouiller ma chatte.
Pourtant cette aventure m’arriva avec le curé de ma paroisse qui un dimanche m’a baisée après la messe. Il a déchargé dans mon con plusieurs longs jets de foutre et il m’a engrossée lorsque j’avais 13 ans. Je lui avais demandé de m’enculer pour éviter qu’il me mette en cloque, mais il a refusé car il ne voulait pas me faire souffrir, sa bite étant trop grosse pour glisser dans mon trou du cul trop étroit.
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