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L’entretien 2 : le RDV
Comme vous pouvez vous en douter, je passais une bonne nuit peuplée de songes fort agréables. J’avais RDV à 11h00, l’entreprise était située à 30 minutes de chez moi en métro. Parfait, je pouvais m’accorder le luxe de rester un peu au lit ce matin !
Je me levais cependant pour prendre un café et réfléchir à ce que j’allais mettre. J’avais quelques tenues en vue, mais mon choix se porta sur un tailleur jupe assez classique couleur chocolat avec de fines rayures. La jupe d’une longueur raisonnable était tout de même égayée d’une fente sur le coté remontant jusqu’aux cuisses. Debout on ne voyais rien mais assise, la jupe retomberais sur le coté de mes jambes.
Je ne m’en souciais guère, en général ce type d’entretien à lieu dans de sombres salles de réunion avec de grandes tables en bois et des chaises rigides autour.
Je pris des bas couleur chair et sortait des sous vêtements. Mon choix se porta sur un ensemble soutien gorge et string en dentelle blanc classique. Ce serait parfait avec le chemisier en soie crème.
Le chemiser était légèrement transparent et si je ne gardais pas ma veste on verrait facilement la dentelle de mon soutien gorge et l’ombre de mes tétons à travers. Je décidais de ne pas ôter ma veste pendant mon entretien.
Je me maquillais légèrement et me parfumais. J’essayais plusieurs coiffures et choisis finalement de laisser mes cheveux lâchés pour donner un coté moins rigide à ma tenue.
Un dernier regard au miroir et j’étais prête !
J’avais mis des talons hauts pour me donner plus d’allure dans ma jupe et enfilais un imperméable rapidement.
Une vraie business girl ! C’est sur j’allais l’avoir ce poste !
Je me rendis à mon rendez vous, j’arrivais 5 minutes en avance. Le responsable de ressources humaines Mr H vint me chercher et me jeta un regard approbateur.
J’étais contente d’avoir choisi la bonne tenue. J’avais gagné un point.
Je le précédais dans l’escalier et je sentis son regard appuyé sur mes fesses et mes jambes. Mon petit coté coquin repris le dessus et je décidais de lui offrir un petit plaisir en accentuant le lever de mes genoux en montant les marches, cela eu pour effet de faire remonter un peu ma jupe et de laisser entrevoir la dentelle de mes bas.
Nous arrivâmes dans la fameuse salle de réunion et j’eus la surprise de découvrir une salle plutôt grande, bien éclairée et dotée de toute l’électronique que pouvais avoir une salle de réunion : écran, vidéo projecteurs, caméras et matériel de conférence à distance.
Je m’installais sur le fauteuil confortable que m’indiquais le RH et découvris ce que je n’avais pas vu tout de suite en entrant, la table en verre transparent !
J’essayais de m’asseoir de façon à ne pas trop faire remonter ma jupe, mais les fauteuils étaient plutôt confortables et profonds et je me débattais du mieux que je pouvais pour sauver un peu les apparences. Le tout sous l’œil amusé de Mr H qui ne se gênait pas pour mater.
Je réussis tant bien que mal à m’asseoir décemment et décidais de mettre mon bloc note devant moi de manière bien étalée pour cacher ma jupe qui remontais sur mes bas.
Ceci dit, c’était illusoire parce que le RH était placé face à moi et qu’il avait une vue plongeante sur mes jambes et mes cuisses.
Avant de commencer l’entretien, il me dit que mon futur responsable viendrait nous rejoindre et que s’ils le jugeaient utile, nous nous connecterions avec le responsable France en Visio conférence.
Il faisait très chaud dans cette salle et je commençais à vouloir enlever ma veste, mais retint mon geste au moment de faire glisser la veste me rappelant le chemisier que j’avais choisi. Mr H avait de son coté retiré la sienne et me dit que je pouvais en faire autant. Il avait une étincelle amusée dans son regard qui semblait me dire « comment allez vous faire pour vous en sortir cette fois ? ». Je maintins son regard et les yeux fixés aux siens, je retirais ma veste et la posa sur le dossier de mon fauteuil. Son regard se posa automatiquement sur ma poitrine et sur mon soutien gorge en transparence. La chaleur dans la salle avait collé le vêtement sur ma peau et on pouvait voir distinctement deux ombres au niveau de mes tétons.
Il me posa quelques questions de routine auxquelles je répondis plutôt bien. Il entrepris ensuite de me parler du poste un peu plus en détails. Il me dit qu’il fallait une grande disponibilité, et que Mr C mon responsable était un homme très exigeant. Les compensations à ce poste sont une possibilité d’évolution importante et un salaire confortable. Sur cela, il m’annonça un chiffre qui me fit presque sursauter sur mon siège ! Je n’avais jamais espéré autant. Il me fallait ce poste coûte que coûte ! Finis les problèmes de factures et de banque !
Je me projetais ainsi quand la porte s’ouvrit. Je découvris ainsi mon futur patron Mr C. Plutôt bel homme, charismatique, grand, musclé… Tout à fait mon type d’homme. D’ailleurs il dut se rendre compte de mon regard appuyé car il garda ma main un peu plus longtemps de nécessaire dans la sienne et plongea ses yeux dans les miens. Ses yeux descendirent sur moi et m’inspectèrent, il s’attarda sur mes jambes que je serrai pour tenter de ne pas trop montrer mes bas, bien entendu c’était peine perdue.
Son regard se posa ensuite sur mon chemisier et sur mes seins que l’on pouvait deviner dessous.
Je baissais le regard et attendis qu’il s’asseye. Ce qu’il ne fit pas à mon grand étonnement. Il se mit à coté de moi assis sur le bord de la table et commença à me poser des questions.
Il demanda au RH si celui-ci m’avait parlé du poste. L’autre répond que oui. Il me demande alors ce que j’ai retenu de la description.
Je donne quelques détails et juge bon de dire qu’il fallait une grande disponibilité et qu’il était un homme plutôt exigeant. Je terminais ma phrase avec un sourire.
Il avança un bras vers moi et caressa mon épaule lentement en me demandant si je pensais correspondre au poste. J’étais troublée, je ne savais pas trop comment réagir. Je fis comme si de rien n’était et tentait de montrer un peu d’assurance en répondant oui.
Il fit glisser sa main sur ma nuque et mes cheveux et me demanda si le fait qu’il était exigeant ne me dérangeait pas trop.
Je ne bougeais plus, je restais figée sur mon siège, comme hypnotisée, par ce regard perçant. Je répondis un non mal assuré.
Il dit qu’il voulait être sûre que je serais à son entière disponibilité s’il m’embauchait, qu’il ne pouvait pas se tromper dans le recrutement. Et ce faisant, il fixait mes seins. Il avait une jolie vision en hauteur et pouvait voir pointer mes seins à travers le tissu fin de mon chemisier.
Je ne bougeais pas non plus quand il descendit sa main vers mon chemisier pour dégrafer les boutons de mon chemisier.
Je ne savais pas trop comment m’en sortir, il voulait juste voir ma poitrine, finalement, ça n’était pas si grave et puis je suis assez coquine donc cela ne me dérangeait pas en général.
Je le laissais faire, il déboutonna le chemisier en entier dévoilant ainsi ma poitrine dans son soutien gorge en dentelle blanche de grande marque.
Il émit un petit sifflement « mademoiselle a des goûts de luxe, joli, très très joli… qu’en pensez vous Mr H ? » Il interpella son collègue qui jusque là n’avait pas bougé. Il prit cela pour une invitation à se joindre à nous et se rapprocha de nous.
Il se positionna derrière moi. Je ne le voyais pas. Il répondit qu’effectivement c’était pas mal mais qu’il souhaitait en voir plus.
Le patron me demanda si j’étais d’accord pour en montrer d’avantage à Mr H. Je ne dis rien, je trouvais la question saugrenue. Et puis, je ne savais pas quoi répondre, un non aurait mis fin à cet entretien bizarre, certes mais aussi à ma potentielle carrière dans cette société, un oui aurait été une invitation à aller plus loin.
Je décidais de rester muette.
Il pris cela pour un oui (qui ne dit mot consent, n’est ce pas ?) et, d’un regard, demanda à Mr H de dégrafer mon soutien gorge. Trop content de participer, il se mit derrière moi et fit glisser le tissu de mon chemiser sur mes épaules et mon dos. Il dégrafa d’un geste expert mon soutien gorge et le fit descendre sur mon ventre dévoilant ainsi mes seins ronds. Etais-ce la différence de température ou la situation, mes tétons pointaient, à ma grande gène.
Je tentais de penser à autre chose pour les faire retomber, mais ne trouvait rien d’approprié.
Vérifions s’ils sont vrais Mr H, qu’en pensez vous ? Le collègue acquiesça bien entendu, et ce faisant commença a caresser mes seins par derrière. Le patron l’observait et finit par approcher deux doigts de l’un de mes tétons pour le faire rouler doucement. Sous la caresse j’émis un petit gémissement. Que j’étouffais tout de suite ! Mais trop tard, le patron l’avait entendu.
Mr H, je crois que cette demoiselle apprécie beaucoup nos attentions, si nous lui en donnions un peu plus ?
Leurs regards se croisèrent et d’un coup le RH se dirigea de l’autre coté de la table et il appuya sur quelques boutons. Cela eut pour effet de faire apparaître un visage sur le grand écran. J’eut un sursaut en l’apercevant et voulu remettre mon chemisier en place. Le patron m’en empêcha d’un regard. Je n’osais plus bouger, je ne regardais surtout pas le visage du « nouvel » arrivant.
Il ne parut pas surpris de me voir ainsi et dit qu’il était ravi d’être convié à cet entretien d’embauche. Il se présenta, Mr E responsable France.
Il demanda ensuite à ses collègues si j’étais docile. Le patron répondit que pour le moment tout se passait bien mais qu’ils n’avaient encore rien fait.
Cela me révolta ! Je me dis que je devrais me lever et sortir de la pièce pour tout arrêter. Je me remémorais l’endroit où je me trouvais. Un hall, des secrétaires, du monde. Je renonçais à bouger. Et puis j’avais besoin de ce job.
Le patron demanda à Mr E sur l’écran ce qu’il souhaitait. Il répondit qu’il souhaitait voir mes jambes.
Mr H et le patron s’approchèrent de moi et me firent me lever. Ce faisant, ils firent glisser mon chemisier et mon soutien gorge à terre. Pendant que le patron me caressait les seins pour me garder dans l’ambiance, Mr H déboutonna le bouton de ma jupe et la fit glisser sur mes jambes.
Je me retrouvais presque nue dans cette salle avec un homme à mes pieds qui récupérait ma jupe et un autre qui me caressait les seins et soufflait dans mon cou. Il se collait un peu plus à moi et je sentis que la situation ne laissait pas indifférent. Il mit sa verge un peu plus contre moi pour la glisser du mieux qu’il pouvait entre mes fesses.
Le patron regarda vers l’écran et l’autre lui fit signe de me retourner, il voulait voir mon cul. Mr H dut se décoller et je me retournais pour montrer mes fesses.
Mon petit coté exhibitionniste ressortit et je voulais les montrer sous leur meilleur jour. Je me cambrais donc un peu pour montrer le galbe de mes fesses. Mon string dans la raie de mes fesses leur offrait une jolie vision.
Le patron caressa un peu mes cuisses, les bas mettaient en valeur mes jambes fines et longues. Mes cheveux lâchés faisaient un joli tableau.
Le patron me fit mettre mes mains sur le bord de la table et pencher en avant. Je commençais à prendre goût au jeu sans me l’avouer et sentis une humidité arriver entre mes jambes. Je priais pour que cela ne se voie pas trop.
Il passa une main entre mes jambes jusqu’à mes cuisses et força un peu pour les écarter. Le visage derrière l’écran avait une vue parfaite de mon derrière ainsi. Mais il voulu en voir plus et dit que le string le gênait pour bien se faire une idée.
Mr H intervint cette fois et tout en descendant ses mains sur mon dos fit glisser mon string sur le bas de mes jambes. Il le récupéra et le rapprocha de son visage. On voyait nettement une petite humidité au milieu, il passa son doigt dessus et sentit.
« Décidemment cette petite est remarquable dit le patron »
Le type derrière l’écran acquiesça et demanda à en voir un peu plus. Le patron me fit me pencher un peu plus. J’avais les seins sur la table de verre et la croupe bien en arrière, ils avaient une vision de mon minou de dos et de mon anus tout lisse.
Le patron s’empara de mes fesses et les caressa, il leur donna quelques claques sonores, je tressaillis sous l’offense et voulu bouger, mais Mr H me tenait les mains. De toutes façons j’étais allée trop loin pour reculer. Le patron recommença ses claques sur mes fesses, il les faisait rougir et je commençais à trouver cela douloureux. Des larmes perlaient à mes yeux mais je me refusais à crier. Mr E derrière l’écran l’encourageait en lui disant que j’étais une cochonne et que j’aimais m’exhiber ainsi devant des hommes et que cela méritait une punition. Les claques retentissaient dans ma tête. Et d’un coup ça s’arrêta. Mr E lui dit d’écarter mes cuisses pour mieux lui montrer mes fesses et mon petit trou.
Le patron Mr C empoigna mes fesses et les écarta de manière indécente. Mon anus était visible de tous. Mr H s’approcha et mis un doigt sur ma colonne vertébrale, il le fit descendre doucement le long de mon sillon, s’attarda sur mon anus et poussant légèrement et continua vers mon sexe qui était maintenant trempé. Il rentra sans beaucoup de peine son doigt dans mon sexe le fit tourner un peu et le ressortit trempé de mon excitation. Il le porta aussitôt à ma bouche pour me le faire lécher.
Le patron avait dégrafé son pantalon et sortit son sexe dur, me voyant offerte ainsi, il jeta un œil à l’écran et enfonça d’un coup son membre dur dans mon sexe. Cela me surpris mais compte tenu de la situation depuis le départ, je jouis quasi immédiatement sous ses assauts. Mr H avait toujours son doigt dans ma bouche et je le happais littéralement. Il s’en rendit compte et décida de remplacer son doigt par son sexe.
Mr E derrière son écran était aux anges et dirigeait toujours les opérations. Il n’en perdait pas une miette. Et on voyait un léger mouvement de son bras, il était en train de masturber devant la scène.
Mr H se déshabilla et passa de l’autre coté de la table. Il me donna son sexe tendu à sucer. Je ne pouvais pas le prendre en main vu ma position et il le guida dans ma bouche en imprimant la cadence.
Ces deux sexes tendus et durs en moi allaient et venaient au même rythme. Mr H me maintenait la tête de sa main et bougeait son bassin pour entrer et sortir de ma bouche. Mr E dit au patron de me donner encore quelques fessées afin de me faire bouger un peu. Ce que celui-ci fit volontiers, il me pénétrait et claquais mes fesses et moi j’ondulais du bassin pour permettre au patron de rentrer plus profondément en moi.
Il allait de plus en plus vite et, sans ce sexe dans ma bouche, je serais en train de crier. Il sortit d’un coup et dirigea son sexe vers mon anus. Je le laissais faire au départ, puis réfléchissant ensuite, je me dis que je ne pouvais décemment le laisser faire. Je voulus me reculer, mais cela ne fit que rentrer un peu plus le sexe de Mr H dans ma bouche. J’ondulais du bassin pour me reculer, ce que le patron compris et il empoigna mes fesses à deux mains pour me faire tenir tranquille.
Mr E lui dit de me caresser le sexe et de s’imprégner de ma sève pour pénétrer mieux dans mon cul. Mr C mit donc sa main sur mon sexe pour caresser mon clitoris complètement sorti et tendu. Il l’affleurait lentement, la douce torture. Je commençais à oublier où j’étais et les circonstances pour ne penser qu’à mon plaisir.
Je le laissais donc faire, et je suçais en signe de contentement le sexe de l’autre de manière plus marquée. Celui-ci appréciait la caresse et son sexe commençait à augmenter carrément de volume. Ce qui n’était pas pour me déplaire.
Le patron fit glisser un doigt vers mon sexe pour l’y enfoncer et le ressortir à plusieurs reprises. Il faisait cela pour l’imprégner de mouille, car il n’avait pas changé d’avis sur mon anus. Il fit glisser son doigt vers mon anus et rentra son doigt d’un seul coup jusqu’au fond. Je tentais de me retirer mais j’étais bloquée. Il le fit bouger à l’intérieur lentement et finalement lui fit faire de grands allers retours. Fort agréables, je dois dire et je me laissais faire, j’appréciais tellement que je bougeais mes fesses pour leur donner le mouvement que je souhaitais. Mr H appréciait et Mr E dit que finalement je n’étais pas si rebelle, que j’étais une bonne fille et que j’étais une petite cochonne qui adorait qu’on la prenne brutalement.
Je n’avais cure de ses dires et ne pensais qu’à mon plaisir immédiat.
Mr H fut tellement content du sort de son sexe dans ma bouche qu’il jouit intensément au fond de ma gorge. Ma position ne me permettait pas de me reculer, je dus avaler toute sa semence à sa grande joie.
Il se recula pour mieux apprécier la scène qui allait venir.
Mr E dit que j’avais droit à une récompense pour avoir tout avalé. Il demanda à Mr C de me pénétrer par derrière. Il était déjà en train de me doigter et il retira son doigt pour le remplacer par son sexe. Je ne voulais pas, j’avais goûté de son sexe dans le mien plus tôt et avais pu en apprécier l’épaisseur. Je ne voulais pas avoir mal.
Il me maintint à deux mains tandis que Mr H me collait le buste à la table. Il entra doucement centimètre par centimètre. Et ne bougeait plus, puis il faisait des vas et viens et ne bougeait plus de nouveau.
Mis à part l’obligation, l’exercice se révélait plutôt agréable finalement. Mais il était hors de question de l’avouer.
Mr E conseilla au patron de me fesser de nouveau pour me faire bouger un peu le cul afin qu’il puisse entrer plus facilement. Celui-ci ne se fit pas prier et, de nouveau, je sentis des claques sur mes fesses. Elles devaient être très rouges maintenant.
J’ondulais du bassin pour arrêter la torture, mais finalement les claques ne faisaient qu’accentuer les sensations. Ses coups de reins dans mon cul se firent plus profond, ses claques à chaque fois qu’il entrait par mouvement amples me faisaient gémir, je refusais de crier. J’allais jouir c’est sur et tout cela devant eux, je ne voulais pas. Malgré moi j’aimais beaucoup ce qu’on me faisait. Je tentais de me concentrer sur le fait qu’il était en train de me fesser devant deux autres hommes et cela ne faisait qu’accentuer le plaisir. Mon minou allait exploser de plaisir tant il était gonflé et humide, presque dégoulinant.
Il entra encore et je ne pus retenir un puissant orgasme qui me fit contracter et rétracter mon anus convulsivement. Mr C jouis lui aussi mais en moi, au fond de moi. C’était la première fois qu’un homme jouissait dans mon cul. J’étais complètement en nage, et des traces humides se faisaient voir sur la table de verre.
Mr H me relâcha et Mr C m’aida à m’asseoir. Il me fit asseoir sur la table de verre, les pieds sur un des fauteuils. Tous deux avaient jouis en moi, mais le spectateur ne semblait pas encore satisfait.
Mon corps luisait de transpiration tant l’exercice avait été long, et tant j’avais eu chand. Mes fesses nues sur cette table de verre étaient une bénédiction car cela atténuait le feu provoqué par les fessées.
Mr E s’adressa au patron de nouveau pour lui demander de me faire écarter les cuisses. Mr C me mis les pieds sur les accoudoirs du fauteuil. Mon sexe était ouvert aux yeux de tous, il était luisant de mouille et on voyait distinctement mon clitoris tendu comme en attente de caresses.
Mr E s’adressa à moi en me demandant de me caresser comme je le faisais chez moi quand j’étais seule pour me faire plaisir. Avec ce que je venais de subir, il ne me vint même pas à l’idée de désobéir. J’écartais les cuisses de plus possible de je commençais à me caresser le minou. Les deux autres regardaient fascinés par le spectacle.
Je mis un doigt sur mon clitoris et commençais mon va et viens de haut en bas lentement. Je m’appuyais sur mon autre bras et penchais la tête en arrière pour offrir la vision de ma poitrine et de mes tétons qui pointaient. Mr E ordonna à Mr C et à Mr H de s’occuper de ma poitrine sans lui cacher la vue de ma main qui caressait mon minou.
Il voulait voir cette petite cochonne se donner du plaisir et jouir. Mr C et Mr H se placèrent chacun sur un coté et commencèrent à malaxer mes seins et à caresser mes tétons. Ils pointaient de plus en plus sous la caresse et durcissaient.
Je continuais mes vas et viens sur mon clitoris de plus en plus rapidement. Mon clitoris gonflait et se durcissait, je commençais à haleter. Mr H se pencha et pris mon téton en bouche, il joua avec sa langue et le fit enrouler autour comme un petit sexe.
Mr C trouvant l’idée intéressante, se pencha également mais attrapa mon téton du bout des dents. Il le mordillait et chaque coup de dent rendait mon clitoris encore plus dur et sensible.
Sous les assauts de mon doigt de plus en plus rapide, et ceux de Mr C et Mr H, je jouis de nouveau intensément. On pu voir un peut de liquide blanchâtre s’échapper de mon minou comme une petite éjaculation. Les spasmes de mon vagin étaient intenses et je dus m’allonger sur la table.
Les deux me laissèrent reprendre mes esprits, mais cet exercice les avait fait bander de nouveau. Ils décidèrent que je les finirais à la bouche.
Mr E leur dit de me mettre à genoux pour être au niveau de leur sexe et de me présenter leur sexe tendu pour que je les lèche à tour de rôle.
Ce qu’ils firent. Je me retrouvais à genoux avec deux sexes tendus vers ma bouche et obligée de les sucer alternativement pour les faire jouir. Je prenais celui de Mr H en bouche et faisais des vas et viens, puis celui de Mr C et ainsi de suite jusqu’à ce que Mr C en premier me tienne la tête sur son sexe pour accélérer la cadence et venir dans ma bouche.
Ce fût le tour de Mr H, il me maintint la tête et de nouveau vint au fond de ma gorge.
Mr E avait jouis aussi et on voyait à son air hagard que cette jouissance fut intense.
Je m’asseyais sur un fauteuil et reprenais mes esprits, je tentais de localiser mes vêtements. Mr H et Mr C se rhabillèrent.
Je remettais mon soutien gorge, quand Mr E demanda à Mr C de me le confisquer. Mademoiselle dorénavant, si vous souhaitez travailler pour notre société, vous ne devrez pas porter de sous vêtements. Mr H me tendis mon chemisier que je remis, il collait à ma peau tant j’avais transpiré. Mes seins se voyaient à travers comme si je ne portais rien.
Je remis ma jupe et perdais tout espoir de revoir mon string.
Ils me remercièrent pour le moment passé avec eux et me raccompagnèrent à la porte. En sortant, je tentais de prendre un air normal. Je vis les regards que me jetèrent les deux vigils à l’entrée, et d’un coup, je me rappelais les caméras que j’avais vu dans la salle de réunion. Ils s’étaient certainement rincé l’œil et assisté à toute la scène.
J’étais mortifiée, je rentrais chez moi, ne sachant pas trop si je devais me réjouir de mon nouveau job. Je commençais le lendemain même.
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