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LES FANTASMES D’ISABELLE N° 12
UN WEEK END CHEZ LORD SIMPSON
Je ne sais pas combien de temps je m’étais enfoncée dans ce sommeil profond. Toujours est-il que je fus réveillée par la femme de service qui ouvrit en grand les doubles rideaux lourds de la chambre. La lumière du soleil matinal envahit la pièce. Je levais la tête étrangement lourde comme si j’avais abusé cette nuit de l’alcool, ce qui n’était pas dans mes habitudes.
-Bonjour Madame…je suis Jeanne votre responsable de chambre me dit elle en ouvrant en grand les fenêtres monumentales.
-Quelle heure est-il Jeanne ? Lui demandais je en me frottant les yeux et en repoussant mes cheveux en arrière.
-Il est 10 heures quinze, Madame ! Voulez vous prendre votre petit déjeuner dans votre chambre ?
Jeanne s’était plantée devant moi. Elle me regardait avec tendresse. J’étais nue à plat ventre en travers du lit. Elle avait surtout regardé la grande auréole de ma jouissance qui avait tâché le couvre lit bleu nuit marqué des armoiries brodées or du château.
-Madame a bien dormi ? s’inquiéta t’elle en remettant les lourds oreillers à leur place
-Si on veut ? Tout le monde est réveillé ?
- Monsieur Richard et monsieur Jessey sont partis faire une balade à cheval dans la forêt de Beaugival.
-Ah ? ils auraient pu m’attendre !
-Ils ont dit qu’ils préféraient que vous vous reposiez…
-Je vois. Pouvez vous me passer une grande serviette Jeanne s’il vous plait.
Jeanne alla dans la salle de bains prendre sur l’étagère en inox une sortie de bains blanche. C’était une femme qui devait approcher la soixantaine, avec de longs cheveux blancs ramenés en chignon. Son visage rosé était d’une infinie douceur.
-Vous êtes du village Jeanne ?
-Non je suis de Périgueux, mais j’habite le château depuis que Monsieur Richard a fait les travaux. Nous habitons le personnel dans cette grande dépendance que vous voyez au fond du parc à droite. Je suis venu ici au décès de mon époux, je n’ai plus rien mes enfants vivent à Paris…Ici c’est mon univers à présent.
-Vous êtes gentille Jeanne, merci ! lui dis-je en me levant et en enfilant la sortie de bains. Son regard m’inspecta sur toute la hauteur.
-Vous êtes très belle Madame Isabelle !
-merci Jeanne. J’aimerais bien avoir un petit déjeuner s’il vous plait. Je vais prendre une douche en attendant.
-Vous préférez du thé ou du café ?
-J’ai besoin d’un bon café afin de me réveiller Jeanne !
Jeanne confirma la commande et après avoir replié le couvre lit elle s’éclipsa furtivement par la grande porte en chêne massif de la chambre.
Restée seule, j’essayais de remettre de l’ordre dans ma mémoire, cet élixir, m’avait envouté terriblement me transformant en véritable femelle assoiffée de luxure ! J’avoue que les sensations en terme de pénétration sont décuplées et parfaitement étrange.. ;et cet inconnu qui était il…comment avait il pu pénétrer nu dans ma chambre et me posséder ainsi. Cet homme était un expert en femme ! Rien qu’à penser à ces scènes d’hier soir je sentis mon ventre se contracter et une envie m’envahir à nouveau. Je décidais d’aller sous la douche, me refaire une nouvelle santé… En moins de deux jours j’avais été l’objet sexuel recherché par les mâles du château ! qu’allait il m’arriver avant la fin du week end. J’étais chaude et partie prenante lorsque j’étais à quelques jours de mes règles. C’était dans cette période que je prenais le plus mon pied et je me dis que j’étais prête à toutes autres aventures si elles se présentaient. Pourvu que celles-ci n’arrivent pas avant notre retour…j’avais une envie folle de me laisser aller, alors que l’eau coulait sur ma peau, je savonnais copieusement mes seins, puis mon pubis et mon entrejambe collé par un sperme dont l’odeur envahissait la salle de bains.Les hommes me désiraient et m’honoraient comme je l’aimais. Mais que faisait Jessey ? Hier soir qu’ont-ils fait après mon retour peu hardi dans mes carrés ? Devais-je dire à Jessey ce qui s’est passé cette nuit dans ma chambre ? Après m’être rincé les cheveux, je décidais que Jessey en saurait la teneur qu’en fonction des circonstances. Richard ce vieux coquin voulait mener et organiser ces soirées en fonction de ses fantasmes.Je m’essuyais consciencieusement le sexe puis les fesses puis remis la robe de chambre et alla m’installer au coin du bureau alors que Jeanne apportait sur un grand plateau d’argent mon petit déjeuner agrémenté de toute sorte de confitures et de pains aux céréales.
-Jeanne croyez vous que je puisse avoir un vélo, j’aimerais bien faire une balade dans le pays ?
-Vous avez un vélo dame dans le hangar il est pratiquement tout neuf, je vais demander à Allen de le regonfler.
-Vous êtes un amour Jeanne…je termine mon petit dèj ,je m’habille et je descends.
-A tout à l’heure madame Isabelle.
-A tout à l’heure Jeanne, merci de prévenir Jessey s’il revient, que je suis partie en vélo…
-Ce sera chose faite !
Après avoir englouti mon plateau, repris 3 fois du café, j’enfilais un Jeans et un chemiser blanc, chaussé de tennis, je descendis joyeusement les grands escaliers en chêne. J’étais en pleine forme et heureuse de vivre. L’amour, le plaisir m’allaient très bien.
Sur le perron m’attendait Allen avec son grand sourire édenté. Il s’était changé avec un pantalon de toile beige quelque peu usé aux genoux et une chemise trop grande pour lui à carreaux.
-je peux vous accompagner faire du vélo ? me demanda t’il presque inquiet de ma réponse
-Si tu le veux Allen…m’as-tu regonflé mon vélo ?
-Il est prêt avec le mien. Venez !
Allen me conduisit jusqu’aux vélos. Après avoir vérifié les pneus j’enfourchais le vélo suivi d’Allen heureux de m’accompagner. En passant devant les écuries, le palefrenier se tenait devant la grande porte les deux mains sur les hanches, une cigarette aux lèvres. Il répondit à mon coucou, nous regardant disparaître par le portail du château vers une destination inconnue.
-Tu connais le chemin Allen, il y a un endroit sympa où l’on peut faire tranquillement du vélo ?
-Prenez le deuxième chemin sur votre gauche il conduit à la rivière.
Allen n’attendit pas que je prenne l’initiative et me doubla en faisant carillonner son avertisseur.
-Suivez moi, vous allez voir c est super !
Je dus accélérer mon allure pour ne pas le perdre. On descendit par un chemin caillouteux jusqu’aux bords de la berge. L’endroit était magnifique, nous entendions les oiseaux chanter alors que l’eau chuintait de pierre en pierre dans le lit de la rivière. Nous fîmes ainsi plus de 3 kilomètres en suivant les berges désertes de la rivière. Je demandais à Allen de faire une pose
Afin que je reprenne mon souffle, le chemin n’étant pas très aisé.
Allen me proposa de se reposer sur une avancée verdoyante de la berge sur la rivière. L’endroit était merveilleux. Après avoir posé nos vélos contre un gros chênes presque centenaire, nous nous posâmes sur deux pierres qui devaient certainement servir à quelques pêcheurs.
-Tu viens souvent ici Allen ?
-Quant il fait beau, parfois je viens pêcher le gardon ou parfois la truite.
-Tu en attrapes souvent ?
-Souvent je reviens bredouille, mais cela me fait passer le temps.
Un bruit de mobylette attira notre attention.
-C’est Mathieu… salut Mathieu !!!
L’adolescent stoppa son moteur pétaradant et tranchant dans le calme zenifiant de ce point d’eau. Il s’approcha de nous, l’air surpris de voir Allen en compagnie d’une jeune femme.
-C’est qui cette meuf ? demanda t’il en crachant son mégot par terre
-C’est l’invitée du patron !
-S’emmerde pas celui-là !
-Bonjour Mathieu, moi c’est Isa lui dis je en lui tendant la main
-ouais salut ! Tu fais quoi là ? demanda t’il à Allen
-On se repose !
Mathieu était un grand adolescent qui devait avoir 17 ou 18 ans, l’air costaud, peu souriant, le visage plein de boutons. Il me regardait avec un air bizarre. Allen le prit par le bras et ils s’éloignèrent pour discuter entre eux. Mon attention fut attirée par un poisson de belle taille qui semblait glisser entre les pierres. Puis je le vis disparaître d’un grand coup de queue vers l’autre rivage.
Derrière moi Mathieu et Allen revenaient. Je ne prêtais guère attention à eux plus concentrée sur le trajet de mon poisson. Alors que je ne m’y attendais pas, je sentis deux mains fortes me saisir les bras à l’arrière.
-Que faites vous lâchez moi ! hurlais je surprise
Allen s’était positionné devant moi et me regardait avec son sourire édenté.
-Tu aimes la baise me dit Mathieu en me tirant en arrière. J’en perdis une chaussure.
-Arrêtez ! qu’est ce que vous me voulez ?
-On veut voir ton cul !
Avant que je puisse réagir, Mathieu m’avait renversé en arrière sur l’herbe de la berge, me plaquant mes deux bras au sol avec ses genoux.
-Vas-y défroques la ! grouille cria Mathieu.
Je me mis à me débattre les jambes jusqu’à ce qu’Allen s’asseye sur moi.
-Allen je t’en prie arrêtes tes bêtises…tu n’as pas le droit !
Allen ne m’écoutait pas je vis son regard brûlant se poser sur moi alors qu’il déboutonnait mon jeans avec quelques difficultés.
-Allez grouille ! cria Mathieu…je veux ma part de gâteau !
Allen réussit à dégrafer mon jean et à retirer chaque bouton de la braguette dévoilant mon ventre et le haut de ma culotte blanche.
-Ses nibars , allez ! t’es mou comme mec !
Allen remonta mon chemisier au dessus de mon soutien gorge et se mit à presser chacun de mes seins alors que pour m’empêcher de crier Mathieu enfouit dans ma bouche un mouchoir malodorant. Il me maintint la tête de ses deux mains puissantes pendant qu’Allen découvrait mes deux seins.
-Sont petits mais mignons grogna Mathieu en les pinçant
Allen à présent retirait ma deuxième tennis et se mit à tirer sur mes deux jambes de pantalon dénudant mes cuisses. Il se remit en position assise sur celles-ci, m’empêchant de bouger.
Je pensais que ce jeu allait cesser, ils n’allaient quand même pas me violer là comme cela ! Je me mis à prier que quelqu’un passe sur ce chemin et les fasse fuir.
Mathieu souleva la ceinture de mon slip et mâta mon pubis.
-Une vraie blonde ! Elle se rase, mate un peu !
-je l’ai déjà vu à poils ! souffla Allen en tirant sur ma culotte pour la faire descendre.
Je sentis l’herbe fraîche de la berge me piquer les fesses et le dos.J’étais à présent toute nue offerte aux regards lubriques des ados. Mathieu sentait affreusement la transpiration. Alors qu’il se plaquait sur moi pour regarder ma chatte je sentis contre ma joue la boursouflure que faisait son sexe dans son pantalon.
-Ecartes ses cuisses idiot, allez !écartes
Allen s’exécuta en prenant chacune de mes chevilles et en écartant mes cuisses lui dévoilant mon intimité
-Putain ce qu c’est beau un sexe de gonzesse ! Regardes elle est toute rasée.
Mathieu toujours plaqué sur moi m’étouffait littéralement. J’avais réussi à recracher le baillon qu’il m avait fait.
-laissez moi…laissez moi je vous promets je ne dirai rien !
-Tais toi, on va te baiser d’abord grommela Mathieu en enfouissant sa main entre mes jambes.
Allez baises la, tu en as envie tu me l’as dit tout à l heure
-Allen je t’en prie laisses moi. Je réussis à dégager une jambe alors qu’il était en train de vouloir abaisser son pantalon et je le repoussais violemment. Il tomba à l’envers en jurant de tous les diables. Je sentais Mathieu en train d’explorer ma vulve et l’écarter, puis passer sa main sous mes fesses et pénétrer son index dans mon petit trou. La violence avec laquelle il l’entra me déclencha un cri de douleur. Mais il était déjà entièrement enfoncé dans ma gaine serrée.
-Elle suce tu m’as dit hein ?
-Ouais elle m’a sucé !
-Alors moi aussi je veux. Tu as joui en elle ?
-Elle m’a pompé, c’était super !
-Dis donc tu vas pas jouer ta mijaurée maintenant ! Allez empales la…je te dis qu’elle n’attend que cela.
Je sentis les genoux cagneux d’Allen contre mes cuisses grandes ouvertes.
-C’est beau une chatte de femme, putain !
-t’en avais déjà vu avant ?
-Non mais celle-la elle est superbe !
-Branles la tu vas la faire mouiller !
-elle est sèche, précisa Allen en enfonçant deux doigts dans mon vagin.
-Branles la je te dis elle va mouiller tu vas voir !
Mathieu jouait toujours de son index au fond de mon anus, je ne ressentais plus la douleur, dilatée mon anus ne sentait plus rien sinon l’herbe humide. Allen se mit à me branler rapidement entraînant Mathieu dans son massage de mes fesses. Il se releva, déboutonna sa braguette et sortit son sexe, qui était large et trapus. Il dégagea ses bourses et se remit sur moi.
-Bouffes moi les couilles !
Alors que je refusais de répondre à se demande il se releva à nouveau avec sa main il me força violemment à ouvrir ma bouche et présenta son gland à mes lèvres.
-Suces ! je te dis
-Nooooonnn
Avant que je ne pus resserrer les mâchoires et éviter qu’il me pénètre la bouche, il resserra son étau sur mon menton m’obligeant malgré moi à ouvrir la bouche il en profita pour enfiler son sexe sur toute sa longueur jusqu’au fond de ma gorge. J’eus un haut le corps et il se mit à me pilonner la bouche. Son sexe large emplissait toute ma bouche, il sentait l’urine. Je ne pus résister à un tel assaut alors qu’Allen après avoir retiré ses doigts, présentait son sexe devant ma vulve.
-Elle commence à mouiller ! regardes dit il en montrant ses doigts à Mathieu
-Allez grimpes la tu vois pas quelle n’attend que cela ! Tu bandes comme un âne fiston tu vas te dépuceler.
-J’ai envie de lui en mettre plein !
-Regardes comme elle me suce fils ! Putain je vais partir ! Elle me fait claquer !
Avant que je puisse essayer d’échapper à l’orgasme de Mathieu, il appuya son sexe qui s’enfonça au fond de ma gorge et là il explosa en moi m’inondant toute la gorge et déclencha une quinte de toux qui eut pour effet d’expulser sur son pantalon tout le sperme qu’il avait déverser contre ma volonté ;
-Salope ! tu as souillé mon futal regardes cela
Allen entrait son sexe dans ma chatte petit à petit.
-Elle est serrée ! elle est très serrée !
-Enfonces lui d’un coup et ramones la !
Je sentis le sexe maigrelet d’Allen s’enfoncer au plus profond de moi et ses bourses buter contre le bas de mon sexe. Je me dis que le dépucelage d’Allen était des plus torrides et je décidais de devenir passive, de toute façon je ne pouvais pas lutter contre ces deux excités.
Mathieu sentit que je ne résistais pas, il me remit son sexe encore mouillé de son sperme dans la bouche. Je ne résistais plus. Le goût à la fois acre et amer de son sperme m’envahissait la bouche en même temps que ses coups de bassin.
A présent Allen avait replié mes deux jambes et me labourait le ventre dans un va et vient rapide…
-C’est bon putain ! c’est bon elle mouille je la sens !
-Craches lui tout ce que tu peux ! allez le môme !
C’est un fait que la nature ne pouvait résister à une telle situation et je sentis mon vagin s’humidifier à chaque pénétration du sexe étrangement noueux d’Allen.
Il accéléra le rythme, me battant peau contre peau les fesses et l’entrejambe signe qu’il sentait venir en lui sa jouissance. Je m’apprêtais à le recevoir, les choses en était ainsi. Un cri, une sorte de miaulement sortit de son maigre thorax…
-je vais jouir.. ;oui…je viens…ah ce que c’est bon ! c’est bon mon Dieu !
Je le sentis exploser au fond de moi, je connaissais ces moments d’extase qui paralysaient le cerveau, faisant monter une vague de sang dans les tempes jusqu’à parfois entraîner l’inconscience. Par longues saccades, Allen venait de jouir pour la première fois de sa vie dans le ventre d’une femme. Je laissais retomber mes jambes sur l’herbe humide. Allen resta en moi appréciant cette situation jusqu’à ce que son sexe se détende. Il se retira de mon vagin avec un étrange bruit de succion, laissant échapper sur l herbe sa semence blanchâtre de mon vagin.
-A toi Mat ! la place est chaude !
-je ne veux pas jouir dans ta crème salopard je la veux autrement, tournes la !
-Tu ne vas pas quand même la…
-Si.. ;si si tournes la je te dis !
Lorsque Allen me prit par la hanche pour me faire comprendre qu’il fallait que je me retourne,je ne résistais pas, je n’en avais plus la force. Je me positionnais de moi-même à quatre pattes, appuyée sur mes coudes, les fesses rebondies. Je sentais le liquide encore tiède me couler sur les cuisses.
-Tiens essuies la ! dit il en jetant un paquet de kleenex à Allen
-regardes Mat son sexe est ouvert comme une fleur…Diable cela n’arrête pas de couler, voila 5 mouchoirs que j’utilise.
-Tu n’es plus puceau l’ami dit Mathieu en se positionnant derrière moi. Je craignais le pire et je ne me faisais plus d’illusion.
-Tu as déjà pris une femme par là ?
-Non, mais dans les films elles aiment cela.
Mathieu enfonça à nouveau son index dans mon petit trou en le faisant tourner. Je savais que j’allais avoir droit à une sodomie en règle. Je n’aimais pas particulièrement être prise par mon petit trou secret, mais je savais à quel point les hommes l’apprécie. Au moment où il présenta son gland large et trapu sur mon anus, je savais que si je ne voulais pas avoir mal, il fallait que je pousse afin de décontracter mon sphincter. Le gland butta sur l’orifice, puis s’appuyant sur mes fesses il poussa forçant le sphincter. Je sentis une douleur m’envahir le bas ventre. Il se retira de moi et se représenta, plusieurs fois sous le regard ébahi d’Allen
-Putain elle crache encore mon sperme !
-la prochaine fois saligaud je passe le premier, tu colles avec ton foutre de débile !
-Elle ne dit rien.. ;enfonces lui tout !
Mathieu poussa en force et je sentis coulisser dans mon ventre son sexe.. ;étrange sensation qui n’avait rien à voir avec celle d’une pénétration vaginale. Puis se sentant libre de passage il se mit à me pilonner presque à la verticale de mes fesses. La possession de mon entre reins dura plusieurs minutes, je sentais que Mathieu fatiguait. J’étais à présent bien ouverte mon sphincter ayant pris la forme de son pieu. Il accéléra la cadence, et dans un cri indescriptible il se vida au fond de mes entrailles par de longues et voluptueuses saccades.
Il ne tarda pas à se retirer de moi.
-Voila une femme comblée ! Tu en as eu pour ton compte !
-Vous n’êtes que des voyous
-Peut être mais vous en avez profité !
-pas tant que vous. Dégagez maintenant laissez moi seule, criais je en essuyant les larmes qui coulaient sur mes joues.
Allen s’était rhabillé ainsi que Mathieu ! Ils se tapèrent dans les mains comme le font les sportifs satisfaits d’un résultat !
-Allez on se casse, tu viens Al !
J’entendis la mobylette de Mathieu crépiter et s’éloigner. Je décidais d’aller me laver au bord de la rivière. L’eau froide me fit le plus grand bien à mon anus dilaté. J’en profitais pour laver à fond ma chatte endolorie. Je ramassais le restant de kleenex pour m’essuyer et en enfilant ma culotte, je vis au loin Allen remonter la petite côte en pédalant comme un dératé vers le château.
Cette aventure me déstabilisait. Je ne savais que faire, être prise de force, pour ne pas dire violée, pénétrée sans un réel consentement par deux garnements qui ont vécu leurs plaisirs sexuels. Pour ma part, encore cassée par cette agression, je me demandais si je n’allais pas demander à Jessey de repartir. Allen le maigrelet avait enfin obtenu ce qu’il voulait depuis hier de moi, ce Mathieu son complice était insipide pour moi, trop vulgaire. Il avait utilisé mon corps s’était vidé les bourses, m’avait à sa grande satisfaction sodomisé. J’en avais mal au fesse et me dis que remonter en selle du vélo allait être terrible. Pour me décontracter après m’être correctement rhabillée je décidais de rentrer au château en poussant mon vélo. Et puis basta !
SUITE DANS LE PROCHAIN EPISODE DES FANTASMES D’ISABELLE N° 13
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