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La dame du trafic
Préface
Dans cette histoire, comme dans la vie réelle, il existe autant de faits véritables que de faits fantasmés. Qui sait ce qui a été vécu et ce qui a été imaginé? Peu importe, bien souvent, la réalité nous réserve des situations bien plus étonnantes et bien plus cocasses que la fiction elle-même. L’histoire commence à la fin des années 80. Une référence pour comprendre à la fois le fonctionnement interne d’une mafia et ses dangers réels aujourd’hui. Comment expliquer que le trafic de drogue ne cesse d’augmenter alors que le nombre de saisies et de condamnations n’a jamais été si élevé? Quel rôle joue l’évolution du marché des drogues et de la consommation dans cette situation paradoxale? Où en est le droit international et comment le faire progresser? Ce livre dresse un panorama des différents types de drogues et montre à quel point le développement fulgurant des drogues de synthèse et leur vente sur Internet bouleverse la donne. Celle-ci est d’autant plus complexe que le contrôle international doit tenir compte des prérogatives des États.
Francesca se passa le visage sous l’eau et s’appuya sur le lavabo, victime d’un léger étourdissement. Elle se sentait épuisée, victime de cette maudite chaleur, mais aussi de son rythme de travail effréné. Francesca ne savait pas si elle était belle, ça la genait. Elle vivait avec Marcolla depuis 5 ans, elle le connaissait deuis 10ans, elle avait juste 30 ans. Elle marchait dans la rue, comme tout les jours pour cette baguette de pain obrigatoire et quotidienne, pour ce diner sans saveur ou seuls les rires et sourires des jeunes hommes lui arrachait à son tour. Le sousrire de son mari était bien, Son époux souriait, dînait, rregardait la télé, maais elle ne savait pa si qu´elle était belle.
Clone de Marylin Monroe, un corps parfait, longues jambes et gros seins fermes. La belle Blonde, vêtue d’une courte robe légère et fleurie, au décolleté avantageux canicule oblige entra dans la pièce principale et s’approcha de son mari en roulant des hanches. Frrancesca ne possédait pas un corps de sylphide, mais ne pouvait être qualifiée de dodue, elle se définissait comme voluptueuse, elle présentait des rondeurs sensuelles aux endroits idoines, la poitrine, les hanches et les fesses. Sans pour autant ignorer son regard de braise et ses lèvres pulpeuses, elle déclenchait chez les mâles des environs frissons et regards de convoitise. Elle se pencha un peu, feignant de ranger la table basse, mettant sous le nez de son mari ses atouts les plus précieux. Vive l’égalité des sexes.
- Ma douce, ma soumise, as-tu déjà songé à être prise par d’autres hommes devant moi? lui murmura-t-il doucement, ses yeux brûlant de désir. L’idée de te voir jouir sous leurs caresses, de sentir ton plaisir en sachant que c’est moi qui t’y ai amenée, m’excite incroyablement. Qu’en penses-tu, mon amour?
- Cette idée m’excite un peu, mais elle me fait très peur aussi, avoua-t-elle, hésitante.
-Tu as été incroyable, je t’aime, murmura Marcolla déposant un baiser tendre sur ses lèvres.
Un
Pour vous dire Francesca est une vraie assoiffée de sexe, elle en demandait constamment. A ses premiers mois de mariage, elle restait à la maison à la recherche. Sa femme donc se prénomme Francesca elle est une magnifique et délicieuse créature de 25 ans 1m67 pour 54kg. Je la regarde dans les yeux, je lui caresse les cheveux. Ses yeux bleus l'hypnotisent et ils sont clairs comme l'eau des lagons de l'Océan Atlantique. Elle a commencé à songer à se trouver un amant, que ce soit pour un one-shot ou bien pour une relation suivie... Et discrète. Cependant, elle a longtemps réprimé cet écart de conduite car même si son mari ne comble pas son appétit sexuel, elle l'aime. Le désir trop intense et la libido en ébullition, Carine a fini par céder à la tentation...Son mari devai assouvir sa soif sexuelle.
- Pourquoi tu me regardes comme ça? Me demanda-t-elle.
- J’ai envie de toi, mon coeur.
- Ah ah j’adore, ahh les gros pénis. Je suis une pute à bites.
- Tu veux en profiter?
- C’est un site de rencontres libertines? C’est ça. Mon chéri ce n’est qu’un jeu, pour s’amuser. Je suis une femme libre, je fais ce que je veux, je couche avec qui je veux, dit-elle d’une voix mal assurée.
- Petite… Perverse!
- Tu vas être cocu mon chéri demain... Je suis prête, fit-elle.
- Mon amour... Non... Je t'en prie. Francesca.. Mon coeur... Mon amour... Mon unique aamour... Mon émoustillante... Ma mystérieuse.
- Je suis amourreuse de vous.
- Je vais faire quelque chose à son plaisir.
- Mes sentiments por vous sont plus que ça. Je ne dirrais à personne que tu veux être cocu. C´est ça que tu veux?
- Tu trouveras une solution, d´accord?
- Je vous assure que....
- Les femmes chaudes sont très grand dangers.
- Les hommes qui ont des grosses bite aussi. J´ai une folle envie de sexe.
Maintenant Francesca n'a plus de scrupules pour cocufier son mari , son mari c'est lui. Elle se sent libre , elle est ouverte à toutes propositions coquines . Elle ne s'est pas encore débarrasser de, ce type de mari qu´a un pouvoir sur elle . Elle ne veut plus le voir mais chaque fois qu'il l'appel elle répond présent et va à ses rendez-vous. Ça fait maintenant une dizaine de fois qu'il la saute le. Il est toujours grossier mais elle s'est habituée à ces mots. Elle porte maintenant des robes très courtes et ne met plus de culotte. . C'est pour obéir à son maari qu'elle fait ça mais elle a découvert que ça lui plaît d'être nue sous sa robe. Même au travail elle y va en robe courte et sans culotte . Marcolla lui a ouvert sa petite porte de derrière, elle ne voulait pas mais maintenant elle commence à s'habituer.
- Francesca, je t’aime bien, mais il faut que tu fasses quelque chose. Ça ne peut pas durer comme ça. Je pensais de plus en plus que je devais être cocu.
- Ça marche! Dit-elle. De toute façon, les maris c’est tous les mêmes. Les femmes mariées ne sont pas des propriétés privées impénétrables.
- Ok, je fais au mieux! Les fantasmes ne sont que fantasmes tant qu'ils ne sont pas réalisés.
- Vous devez lassées de porter des cornes en raison de son épouse nymphomanie. T´as vraiment une p’tite bite!
- Ok, je fais au mieux! Moi le cocu, j'attends ma femme avec inquiétude et impatience. Tu es une nouvelle femme, libre émancipée une femme moderne et volage.
Il faut une unité de lieu. Il faut une durée, un temps, enfin, une mesure appropriée. Et pour parfaire, l’architecture comme partie intégrante du projet. Voilà qui peut faire l’harmonie. Pour cette fois, il faudra considérer l’espace de cette construction aux lignes de béton horizontales comme le contrepoint de ma propre verticalité?; de ma présence mobile dans cette vaste agora close.
Une semaine s’est écoulée depuis ce fameux orage du dix-huit août. Elle voit bien que ça l'excite, sa libido explose. Francesca sort de la salle de bain, maquillée avec goût, elle est splendide elle met des escarpins à haut talons, Francesca habiller comme ça sur tous quand il a vu le décoller plongeant avec une paire de seins bien gros du 110 D environ peut être plus et encore bien compresser dans le soutien-gorge il regarde son entre cuisses il vois sa petite chatte bien lisse, cette petite chatte qu'elle vas donner a un autre. Il bande, elle prends son sac à main, prend les clés de la voiture. il fixait sur ses mains glissant sur mes pieds un regard d’expert qui n’était pas dénué d’une marque d’érotisme. En voiture. Est-il aimanté par le galbe d’un mollet, le secret d’une cuisse sous la chute d’une robe?vêtue en femme sexy, en femme désirable, et si le bottier ne semblait me voir que par mon pied, par le cuir des escarpins, d’autres avaient jeté leurs yeux au-delà de la limite décente du tissu de ma robe. Francesca regarde ses cuisses, sa robe est remontée bien sur, elle ne cache plus rien quand elle va monter monter dans la voiture et le jardinier Baptiste il va pouvoir admirer sa chatte.
- Oui ça m’excite énormément » lui dit Baptiste.
- Je ne savais pas quoi dire.
- Je suis assez vicieux et j'adore le sexe et voir une femme céder et subir tous les "outrages" .
Elle était ravissante, très appétissante, silhouette parfaite, très belles jambes, poitrine généreuse et accueillante, et ce regard bleu insistant, dirait-elle provoquant? Elle a remarqué que le Jardinier possède une énorme bosse dans le pantalon au niveau de l’entrejambe. Elle réfléchit tout haut. Elle a décidé d'essayer de changer la dynamique sexuelle avec le jardinier. De lui dévoiler le côté salope qui sommeille en elle. Francesca s’éveille doucement, ses longs cils papillonnent.
Son amant l’observe avec tendresse, son coeur s´affolant devant tant de beauté. Elle ouvre les yeux et pose sur lui un regard reconnaissant empli de désir, un sourire éclatant illumine son visage alors qu’elle se blotit davantage. La blonde croisait et décroisait ses mains pour tenter de contrôler sa nervosité et un petit tremblement. La blonde sentait petit à petit chacun des muscles de son corps se détendre. Elle apprivoisait doucement la situation. Elle se sentait presque bien. L’audace des timides, sans doute. Sa respiration redevenait plus fluide. Elle recommençait à bouger d’elle-même. Elle se sentait belle. Elle se sentait pleinement femme. Peut-être plus qu’elle ne l’avait jamais ressenti. Elle était sûre de l’effet que ferait sur son homme.
- Vous êtes très belle , je voudrais pas vous importuner mais si vous voulez vous pouvez venir dans mes bras. Ton mari veut être cocu , qu'il ne soit pas surpris que sa femme rentre sans culotte! Tu as de si belles jambes. Tout en toi me plaît. Tu es une vraie déesse.
- S’il bande dur, on devrait bien pouvoir s’amuser un peu. Donne-moi ta bite pous la sucer.
- Vous êtes parfaite. Ce sera très réussi.
La blonde eut pour effet de se désinhiber totalement. Elle aimait séduire depuis toujours et en maîtrisait parfaitement les techniques, elle l’observait avec amusement et intérêt. Des jeux sexuels osés, un peu exhibe. Un peu perverse, lui faisant découvrir (eh oui, il n’y a pas d’âge) des sensations nouvelles, des actes sexuels qu´elle n’avait que fantasmé. A ce moment elle a une petite pensée pour son mari, il veut être cocu, elle n'a pas de raison de ne pas se laisse aller. Elle défait la ceinture de son amant, ouvre la braguette et descend pantalon et boxer .
- Il te convient? Super! super pour moi! J'adore faire des cocus! juste pour satisfaire ton mari.
- Oui, mais elle est grosse? “Qu’est ce qu’elle est grosse, et belle, et grosse, comment tu fais avec les filles?
Il veut aussi qu'elle le suce. Elle enlève sa ceinture de sécurité et se penche pour satisfaire son amant . Elle commence par lècher la tige , puis le gland humide tout en le masturbant. Le jardinier lui a passé la main derrière, il lui caresse le cul. La blonde ouvre grand sa bouche bouche et enfourne doucement le gros sexe . Elle en a plein la bouche, le jardinier attrape la chevelure blonde et force à le rentrer au fond de sa gorge . Elle tombe du ciel cette magnifique blonde pour lui. Il réalise pas encore ce qui lui arrive. Sera-t-il capable de la satisfaire, il a pu constater qu'elle a des besoins importants.
- Que c'est bon cette liberté se dit-elle, que c'est bon d'avoir un mari qui aime être cocu. C'est trop bon , baise moi dit-elle! Mets-la-moi! Vite! Bien profond! -Ça me rend folle!
- Tu aimes grosse salope?
- Oh oooouuuuiiii, c’est trop bon!
Très excitée par ce qu’elle vient de se dévoiler, cuisses écartées, elle approche son sexe de sa fente. Avant de le faire pénétrer, elle passe le gland sur son bouton. Cela lui plaît, elle n’en revient pas que je lui laisse prendre des initiatives aussi osées. Baptiste va l’enfiler de toute la longueur de son phallus Il la besogne avec avec vigueur, les va et vient sont de plus en plus rapide . Le pistons coulisses parfaitement dans la matrice. Impressionnée au départ par la taille de l'engin, Elle le trouvait maintenant tout à fait bien adapté pour satisfaire les fantasmes de son cocu. Elle s’est transformée en une bête de sexe. Le puissant mâle lui donne un deuxième orgasmes. En bouquet final , il lâche sa semence en elle et lui envoie des scandales de spermatozoïdes dans les profondeur vaginale. Laa blonde sent une coulures de jus descendre le long de sa cuisse. Francesca est satisfaite, elle peut maintenant rentrer chez elle. Que va elle dire à son mari?
- Je vois dans son sourire que je suis cocu. Tout cela me donne une drôle d’envie.
- J’ai couché avec lui, Baptistte mais rassure-toi, il ne sait pas que tu es au courant. Tu veux savoir si tu es cocu tu veux savoir si tu es cocu? tu es bien cocu chéri! Ça te fais quoi? Baiser, branler, sucer, baiser, branler, sucer, je ne pense qu’à ça. Je suis certainement possédée du démon!
- Moi? c'est bizarre, je te désire encore plus mon amour, je t'aime! Mais je vais chercher son baiseur pour sucer sa bite. tu es bien cocu chéri Ça te fais quoi ?
- Moi? c'est bizarre, je te désire encore plus mon amour, je t'aime! Tu as envie de sexe, et plusieurs fois de suite, tu ne peux pas se retenir!
- C´est Baptiste. Mais faut reconnaître qu'il sait bien se servir de sa queue! j'espère que tu es satisfait? Tu vois , c'est pas si terrible! Et je suis sûr que ça t'excite!
- J´ai trouvé avec lui tout que j´esperais du sexe. . J’ai besoin de queues, de mâles!
Après cette nouvelle dynamique sexuelle, Francesca a décidé de lui parler ouvertement de ses envies et de ses besoins sexuels. Elle lui déclare que sa libido est grande et qu'il n'a jamais su lui satisfaire. Son maquillage coule, ses cheveux défaits volent. L’odeur de sa mouille, de sa sueur, de son sperme poissant l’intérieur de ses fesses tout cela fait disparaître le parfum qu’elle portait auparavant. L´époux mis sa main, récupérant de la sauce sur ses doigts qu'elle porta à sa bouche , goûtant la semence du mâle de son épouse. L´époux saute sur son épouse, la suce, la branle, se régale de voir gicler sa semence dans sa bouche ou ses doigts et la mener au septième ciel autant de fois qu’elle le désire.
- Oui, je crois que vous avez raison! Qoui plus?
- Il demandait si mon cocu était satisfait? Il pouvait t´enculer aussi, si tu le veux. Alors lèche moi mon beau, fais-moi jouir avant le dîner.
Son excitation redoublée, je me suis replongée dans sa chatte, aspirant avec gourmandise ce qui devait être le mélange de sa mouille et du sperme de son amant.
Cocaïne, le product le plus luxueux de l´univers des stupéfiants. C´est un commerce très rentable, três compétitif. Il y a une dynamique diférente, mais les fundamentaux économiques sont différents sont les mêmes, parce que c´est illégale. Le seul homme dont il a jamais eu peur était une femme. Du nom Francesca Borges colombienne avec un corps de damner un saint.
Tranquillement installé sur la terasse de leur grande maison entouré d´un espace vert tout aussi volimeux à l´abri des regard indiscret, dans une viie plaisible, agrréable et peu commune, dans un quartier résidentielle, le besoin ne plus un obstacle dans leur vie, le bonheur rèine dans votre couple. Il ne serait pas qu´une illusion. Le couple semble solide, Marcolla chef du trafic de drogue en São Paulo où a présent commence à gagner beaucoup d´argent par jour. Le problème est l´infidelité de sa femme la belle Francesca de 25ans. Dans un premier tempps il consomme beaucoup de films X dans son coin rapidement cela ne suffit plus à satisfaire ses besoins, il cherche la satisfation sexuel dans les urinoirs publics dans la ville. Il a besoin de faire sexe avec des hommes.
- Tu me plais et je te trouve sympa, Baptiste Je sais que tu as baisé avec mon épouse. Non elle ne me l’a pas dit ! Rassure-toi.
- Comme tu veux. J’aime bien les surprises, répondit Baptiste.
- Tu es vraiment très beau! Comment c’est pour toi, le sexe avec Francesca? Donc, tu l’as baisée!
- C’est… incroyable, magique… Cette femme est faite pour l’amour. Elle m’a appris beaucoup de choses sur moi-même. Elle m’a permis de me retrouver.
- Oui… je peux facilement comprendre ça. Moi, tu sais, je suis gay, je me sens gay à tout point de vue, cela faisait des lustres que je n’avais pas baisé avec une femme.
L´infidélité viens s´instaler au sein du couple. Il s´agit de protèger ses secrets. Leur rrelation évolue côté sexe, jeux érotique. Il va rencontrer l´amant de son épouse il voit son pénis à demi-dur et ce n’est pas si ma,l il voulait une vraie queue, grosse et dure et lui offre son cul et quel plaisir, il lui baise doucement et il adore. Il voulait pouvoir apprécier la sensation du foutre en lui. Après quelques allers-retours et quelques maigres jets de sperme, Il a pris une sacrée dose de sperme, il avait mis le paquet.
- Elle te plaît cette queue, t´aime bien mes couilles? Elles sont encore pleines. Son épouse l´adore. Je ne sais pas si ce sera aussi bon pour toi, tu es mon premier!
- Vas-y Baptiste, encules moi!
- Tu ne peux pas trouver mieux pour un cocu? Tu vas te faire enculer! Lui répond Baptiste.
Il se positionne encore en levrette et il sent son gland devant d´entrée et il glisse merveilleusement bien lui. Doucement il fait de doux va et vient et il l´accuille en lui, cela prend quelques minutes, mais c´est tellement bon qu´il incite à appuyer afin de bien lui baiser.
- Tu as aimé?, me demande-t-il?
- Quelle question? Aurais-je pu jouir comme ça sans plaisir? Tu as une bitte merveilleuse, c´est pour ça mon épouse est folle de vous.
Quand il repart de chez lui, il se retourne et regarde avec tendresse la maison où il vient de connaître des moments si forts, si inattendus et, il pense à sa femme! Pourrait-elle se joindre à nous? Est-ce souhaitable?
Voilà bientôt deux heures qu´elle rentrée, que son mari arrive. Il est vingt heures. On atterrit sur le canapé. Le sourire d’une femme peut lui faire littéralement craquer. Évidemment, il ne faut pas que son corps soit difforme, mais si la silhouette n’est pas trop maigre, c’est des lèvres de cette personne que viendra sa première émotion. En second, les yeux! Elle lui prend la nuque, et l’embrasse sauvagement.
- Mais tu peux me dire pourquoi tu me regardes comme ça? Tu me trouves drôle, peut-être? Ça t’amuse de me voir dans cet état?
- J’ai tellement envie de toi!
- Tu l’aimes ? C’est ça. Tu es jalouse et je t’ai blessée ?
- Non ! Oui ! Enfin…
Au savoir que son amant Baptiste avait enculé son mari, l´épouse croit, elle a confiance il lui raconte tout depuis le debut.. Elle lui raconte aussi tout absolument tout.. ses pires secrets, son mal-être, ses mensonges pour paraître heureuse, ses flirts.. ses amants virtuels... Ses plaisir solo, à ses pensées avec des femmes des hommes qu´elle aimait le sexe, Puis elle lui dit qu´elle veut qu'on se libère sexuellement.. tenter de nouvelles expériences, des clubs échangistes, libertin, plan à 3, qu'il se fasse plaisir avec un homme seul avec lui, que si il voulait etre avec des hommes, qu´elle était d'accord.
- Je savais que t’étais pédé mon amour, mais en plus tu es un petit branleur. Ça me conforte encore plus dans le fait d’aller voir Baptiste. J’ai souvent taquiné mon homme en lui disant que j’adorerais voir umon mari sucer autre homme.
- Fais tout ce que tu veux de moi!
- Quelle heureuse surprise, j’ai cru vous avoir perdue! Non, rien de grave. Tu aimes quoi?
- La queue de Baptiste.
- Mais tu ne m´as rien dit? Et qu’est-ce qu’elle te fait la queue de Baptiste? On a envie de te faire l’amour, tu es d’accord?
- J’aime qu´il… Baisiez ma femme… J’aime que vous la fassiez jouir… J’aime imaginer votre… votre queue qui s’enfonce en vous… Elle m’encule. Il élarge mon peti trou.
- Mon coeur… Profites à fond de la soirée. Tu sais Chéri, Baptiste et moi nous aimons les plaisirs du sexe.
- Laisse-toi faire, tu verras, c’est bon!
- Tu as envie de t’amuser un peu plus?
- Je veux pas changer, je voudrais simplement varier les plaisirs
- Je ne t’en ai jamais parlé parce que je n’ai pas trouvé le courage de le faire.
La nuit était déjà bien avancée quand, sous les réverbères, une fine pluie tombait sur le pavé paulista dans le quartier huppé de ce Club Libertin. Le couple Marcolla et Francesca ils sont depuis 5 ans quand ils commence à fréquenter un club échangiste de la région pour tenter dallumer la flamme dans leur mariage. Leur mariage était un peu ennuyeux ils veulent ajouter un peu de piquant dans la relation. cette robe était à la fois classe, terriblement sexy, et indécente... Ça ressemble à une sorte de chasuble, en soie blanche, complétement ouverte sur les côtés, à part deux crochets au niveau de la taille. On la fait blouser avec une ceinture nouée. Les emmanchures sont si larges qu'on voit ses seins, de profil, quand elle bouge. Et le décolleté en V est si plongeant que ses seins sortent régulièrement. La robe s'arrête à mi-cuisses, mais elle s'ouvre jusqu'à mes hanches, quand je bouge ou quand elle marche. Pour mettre en dessous, Marcolla l'avait acheté aussi un petit string en dentelle blanche. Les ficelles remontent très haut sur ses hanches, si bien qu'on peut croire qu
elle n'a rien sous sa robe. Et, cerise sur le gâteau, le string est ouvert et permet qu'on touche sa chatte à tout moment...
- Mais tu ne vas pas sortir comme ça!
- Pourquoi qu'est qui ne va pas? Tu es impatient, n’est-pas mon petit cocu?
- Le tissu est si fin qu'on fait plus que deviner la pastille de tes tétons!
- Et alors c'est joli et sexy,
- Tu es si belle, mon amour. Il n'y a qu'avec toi que je veux vivre ça.
- Mais Francesca! On voit ton cul, le tissu laisse deviner la raie de tes fesses.
- Ils sauront aussi que je n'ai pas de culotte! Je suis certaine que ça te fait bander de savoir que ta femme, va se faire mater, allez je file mon amour, je t'aime.
- Tu oublies de plus en plus souvent d'enfiler une culotte.
- Oui c'est mon nouveau style, je sais que ça te plait énormément. Dis-moi. Qui a voulu que sa petite femme ait des amants?
- Il ne fallait pas ouvrir la boite de Pandore.
- Ça te plais? tu as envie de continuer?
- Si tu veux tout savoir, sache que j’en ai besoin, c’est une soupape de sécurité pour moi, je me masturbe en lisant ces aventures réelle.
Le club Luxurie est une sorte de barre fréquentés par des couples, les gens se rencontrent, il choissisent un partenaire sexuel, ils vont l´arrière où il y a des chambres pour faire l´amour. Les gens adeptes de l´amour libre qui vont dans ce genre d´endroit pour essayer de tenter de trouver des partenaiires à leur goût. dans ce club. Il avait convenu son épouse d aller dans un club libertin du secteur pour trouver. Sa femme était prête pour le fameux plan à 3… Des relations sexuelles avec d´autres, beaucoup d´aalcool et beaucoup de cocaïne à dispositions. Gens de Marcolla qui vendait la drogue dans le stationnement. Marcolle est le chef de ce commerce illicite.
- Tu crois que cela va me plaire?
- Voyons toujours..."
- Alors prête ma Francesca?
- Même si je suis nerveuse, je me sens prête, j’ai vraiment envie de découvrir de nouvelles choses !
- Dis-moi ce qui te rend nerveuse?
- Me retrouver dans une situation gênante ou être touchée par des inconnus qui ne me plaisent pas !
- C’est toi qui fixe les règles, si tu te sens mal à l’aise on s’en va...
C’est ainsi qu’a commencé sa vie de femme alors qu´elle ’ignorait bien des choses surtout sur le sexe. Ils arrivent à un portail que le vigile ouvre immédiatement pour faciliter leur passage. Dans cet univers feutré, le bar n’est pas qu’un décor, il est le fil conducteur d’un ballet sensuel, où chaque geste semble calculé pour séduire, pour attiser l’envie sans jamais tout offrir. La musique, du jazz électro issu d'une compil à la mode, était juste assez forte pour couvrir les conversations, sans pour autant masquer des cris que la pudeur qualifieraient de "sensuels". Francesca, malgré l'alcool, ressentait plus que de l'appréhension. De l’extérieur, le bâtiment est immense mais très discret. Il lui prend la main pour lui donner du courage. Ils sont accueillis par une hôtesse en guêpière et shorty sexy. Elle les donne un bracelet qui lui permet d’avoir accès aux vestiaires et de régler ses consommations.
- Tiens mon coeur, c´est pour toi.
- J’aimerai commencer par prendre un verre. Dit-elle.
- La soirée est à vous, cela débutera par un apéritif suivi d’un cocktail dinatoire. Bien sûr, répond-t-elle en se laissant conduire comme toute bonne salope.
- Tu es sublime mon amour! Ta robe te va merveilleusement bien. A ta santé. Tu es parfaite, j’adore! Ta poitrine est somptueuse et fait très envie. Tu es vraiment aussi irrésistible que désirable. C’est tout ce que j’aime.
- Décidément aujourd’hui c’est la réunion des grosses queues! S exclama Fraancesca.
Marcolla regarde donc son épouse, ses jambes fines, longues et surtout bronzées, lui donnaient l’air d’une estivante, repartir sur ces talons regagner l'autre bout du bar pour rouler une pelle très chaude à cet inconnu. Les regards se tournent vers la jolie blonde de 25 ans aux yeux clairs. Furtivement ils viennent vers eux, pas besoin de lunette pour voir la bosse qui déforme leur maillot cyclisteJe porte le coup de grâce en mordillant son cou et son lobe d’oreille, chose qui la fait littéralement fondre, ses doigts tirent sur une lèvre, elle écarte les pieds, son index et son majeur trouvent le chemin du vagin bien mouillé.
- T’es plus qu’un cochon! T’es un gros salaud! Chéri? Ton fantasme est réalisé… Inutile de nous cacher, mon mari adore me voir caressé.
- Ça devenait réel. Tu es ici au paradis.
- Tu vois, ce n’était pas si terrible cette première expérience, me glissa-t-elle. . Mon Dieu, je vais mourir!
Dommage que l'idée n'ait pas été qu'elle finisse jambe écartée sur le bar en train de se faire lécher la chatte, le propriétaire aurait adoré. L'homme était prisonnier de ses lèvres... Et il aimait ça. Il y prenait du plaisir. Il l'entendait soupirer, gémir. Sa respiration n'était déjà plus la même. Ses lèvres allaient et venaient sur son gland... Et il aimait ça. Il y prenait du plaisir. Un pénis, c'est fragile. C’est là qu´il i découvert que Francesca était une exhibitionniste.
- Sublime… Ne contrarie pas tes sens… Ça va mon amour?
- Merveilleusement bien chéri.
Il faisait bien attention à ne pas y mettre les dents. Mais là, c'était pour de vrai. Il appréciait l'attitude de cet homme. Il se laissait faire. Il aimait ça. C'était lui qui lui donnait du plaisir. Son pénis avait beau coulisser entre ses lèvres... C'était lui, en réalité, qui le prenait. Sur cette pensée, il s´est senti puissant. Par contre, force a été de constater que son inexpérience était criante. Elle s'en suis particulièrement rendu compte au fur et à mesure que le sexe de l'homme progressait dans sa bouche. À plusieurs reprises, j'ai dû ralentir le rythme afin d'être en mesure de retrouver son second souffle. Une fois encore, le comportement de son amant a été à la hauteur de ses espérances.
- Tu me plais, tu sais. Je pourrais te faire ce que tu veux.
- Oui, tout est permis…
Celui-ci grogne de volupté tandis que Francesca dégage délicatement son sexe du boxer. Un sexe énorme, que les petites mains agiles parcourent tout entier, l'allongeant encore, comme aspiré par un ballet de doigts experts.
- Goujat jusqu’au bout.
- Maintenant je vais pilonner ta chatte.
- Hhooooooo ! Chéri tu crois que ça va rentrer?
- La tête est passée …si ça te fait mal tire toi de là
- Non! ça va aller!
- HAHAHHAHAHAHAH !!!!!!!! c’est gros !!! Enfin une queue et quelle queue chéri je suis comblée dans tous les sens du terme - Enfin une queue ! et quelle queue chéri je suis comblée dans tous les sens du terme!
- Ça y est chérie il te baise ! Allez y doucement hein? Ça y est chérie! tu es belle et bien prise!
L'énorme gland disparaît pourtant progressivement dans le vagin, alors que la vulve terriblement dilatée ne laisse plus apparaître que les grandes lèvres qui forment un bourrelet distendu autour du monstrueux pal qui s'enfonce inexorablement. En agissant très lentement, pour ne pas déchirer les chairs qui pourraient céder sous une pression trop forte. À force de coups de reins, il arrive à enfoncer lentement, centimètre par centimètre, le gigantesque pénis dans la gaine vaginale distendue à l'extrême.
- Ah!... Doucement, mes Amours! Ah!... Ooooh! Mon Dieu!.... C'est divin! Aaaaahh!.... Oh! Oui! Oh ! Encoreeee!
- Putain de salope ! Elle est trop bonne.
- Je sentais le sperme pleuvoir sur moi, mais c’était tellement bon!
- J´aimerais lécher ton con.
- Tu es irrespectueuse! Il y a des gens qui nettoie ici et il salit tout, nettois moi!
Elle s'évanouisse sous les orgasmes multiples qui agitent ses sens exacerbés à leur paroxysme. Le jeune homme blond se glisse sous le corps de Francesca, enfilant péniblement son gros dard dans la chatte baveuse de foutre. L'onde de jouissance qui déferle sans interruption entre ses cuisses et sa vulve déclenche une frénésie hystérique. A peine le temps de le trouver qu´il sent des gouttes chaudes lui couler dans la bouche. Avec sa langue je pénétrais donc son sexe à la recherche de son urètre, pour être sur d'être au bon endroit. Il doit avouer trouver un certain plaisir à "boire" sa belle blonde. Les gouttes se transforment en jet et il'a du mal à avaler en même temps.
- Ça va chérie? tu es calmée?
- Il jouit comme un malade. Endiablé et intense.
- Il avait une grosse bite?
- Oui. Superbe! J'adore les longues queues bien dures. Elle est énorme, épaisse et longue, une vraie belle queue.
- Il savait s'en serbir?
- Oh oui! Il est magnifique.
- Tu as aimé ? pour moi j’ai adorée, et j’ai aucun regret.
- Oui j’ai aimé. Ce soir, tout est permis! Un pouvoir qui lui monte à la tête, autorise toutes les folies. J’espère que le séjour vous a été agréable.
- Très ouverte et dégoulinante de sperme, le clitoris d’un rouge vif…
- À toi de nettoyer le reste.
Tous ces regards chargés de désir flattent son ego, elle se sent malgré elle la femme la plus belle et la plus désirable. Elle se perd dans un couloir. Décoration propre et raffinée où des couples aux corps de rêve se croisent, se plaisent, s'échangent ou se mélangent. Les femmes y sont divines, superbes, élégantes et distinguées. Une invitation à la tentation. Ambiance glamour et feutrée qui fascine et émoustille. Une promesse à l'amour. Un univers incroyable s'offre à elle, un monde qui bouge, qui vit, qui aime, qui brave les interdits, où chacun assouvit ses passions et ses envies avec une frénésie virevoltante.
- Tu n'as pas encore tout découvert, et je suis sur que ce qui suit va te plaire.
- Mon amour, tu sais que j’ai terriblement envie. Tu as enfin prévu quelque chose.
Francesca est épuisée mais heureuse d’avoir découvert des plaisirs inédits.. Elle se demande ce qui les attend. Des plaisirs inconnus certainement. En effet, son mari est un gros pervers qui prend son pied à la voir en compagnie d'autres hommes que lui! Il aime la voir soumise aux désirs de ces hommes. Il veut qu´elle retrouve à quatre pattes en train de sucer une bite tout en lui faisant baiser par un autre type. Il faut qu´elle écarte ses cuisses pour laisser une bite inconnue lui pénétrer et lui baiser à souhait, qu´elle montre ses petites fesses pour qu'une queue bien raide vienne se nicher dans ses fesses et l'offrir ainsi une bonne sodomie bien profonde... Bref, son mari aime lui mater.
Francesca avait beaucoup de points commun avec Marilyn Monroe!Adorable, ingénue, jolie, avec une joie de vivre constante! Elle n'en a pas le visage, mais, elle a le même corps que celui du calendrier sur fond rouge! Et surtout, elle est hypersexuelle comme Marilyn !a, depuis le début, toujours connu son penchant pour les hommes ce qui l’a tout d’abord un peu dégoûté, puis a fini par l’exciter. Mais un femme hypersexuelle, si vous ne la laissez pas libre, elle devient malheureus!
- J'ai envie de lui! Il me baise comme un dieu! Il me plait de plus en plus! Ca m'excite comme une folle!
Il fantasme de plus en plus à l’idée de la partager. Il l’imagine se faire prendre devant lui, se laissant aller à son plaisir de femme pendant qu´il se délecte du spectacle. La laissant découvrir ce qu’est le sexe pour le sexe, elle qui n’a connu que le sexe par amour avec lui. Il aimerait qu’elle se fasse littéralement baiser. Avec le temps, ils avaient commencer à inverser les rôles.
- Certaines choses sont beaucoup, beaucoup plus durs que tu ne pourrais jamais l'imaginer. Bon, je vais vous aider alors, dit l´épouse.
- Je me sens prêt, j’en meure d’envie et je sais qu’au fond de toi tu en as envie autant que moi.
- Moi aussi! Même si j'adore baiser avec les autres, c'est différent avec toi.
- C'est normal! On s'aime! Mais dis-moi, tu t'es jamais attachée à un de tes amants?
Un appartement luxueux a été réservé par celui qui va lui voler sa femme ce soir. Son torse est poilu et musclé, il est très dessiné. Je craque totalement pour lui. Il lui fait énormément envie. Sa femme veut que ce jour soit entièrement le sien, il ne peut s’empêcher d’avoir encore plus envie que la bite d’un autre pénètre la femme qu´il aime. Francesca est submergée de nouvelles sensations, en posant ses mains sur le crâne de son premier amant. Elle est emportée par un plaisir immense. Son pouvoir de séduction l'enivre, elle existe! Et tout son corps réclame du sexe! Elle est bien plus perverse avec ses amants, qu'avec lui,
-J’ai rêvé de toi!
- C’est bien! Fais-je.
-Et cela toute la nuit!
- J’espère que c’était en bien?
- Plus que ça, si tu veux savoir. A un tel point qu’au réveil je me suis caressée. Je suis la femme la plus heureuse du monde, là!
- Francesca, est-ce que tu te sens belle ? désirée ?
- Bah, euh… oui…
- Tu es belle! Tu es magnifique. Tes formes sont juste parfaites. Quand on voit ce décolleté, on meurt d’envie de voir ce qu’il y a dessous. Ce n’est pas étonnant que son mari t’ait fait des propositions indécentes!
- Viens! On va prendre notre temps! J'ai envie de toi.
- Francesca, tu es un fantasme pour moi ! Tu me plais trop.
La verge trouve le chemin de ses lèvres.
- C’est une belle petite poupée! Ton épouse.
- Oui, c’est une belle femme.
- J´aime la bite de baptiste, dit le mari.
- Il te plait? Je suis trop contente!
- Orhhhh. Putain! Baptiste, j'ai jamais été comme ça! Tu me rends folle! Je te veux! Tu me fais trop bien l'amour.
- T’aime ça mon salaud… bourrer le cul de la femme de ton patron?
- Baptiste, j'aime trop ça ! Baise moi, devant lui!
- Tu aimes ma bite? Tu mouilles comme une salope.
- Oui, j’aime la bite, ta bite, ton gros sexe.
- Je n’ai pas entendu, tu veux être ma pute?
- Oui, je souhaite être ta pute.
- Je vais faire de toi une belle salope, comme tu ne l’imagines même pas. Moi, je veux te baiser devant ta femme!
- Si tu savais, comme il est bon, ma chérie! Non, mon amour, il t'appartient! Tu fais ce que tu veux avec! C'était bon?
- Hummm! Parfait! Il m'a bien fait jouir! Cela vous plaît Chéri?
- J'aime beaucoup ce que tu fais Francesca. Je veux la faire jouir.
- Vite… vite… vite… prend moi vite… j’ai vite besoin d’être remplie…
C’est lui, assis comme un roi sur sa chaise, sexe bandé. Baptiste l´attrape par les cheveux. Ça l’excite de faire ce show sexuel.
- Qu’est-ce que t’attend pour me sucer? Suce-moi.
Soumis, excité par ses ordres, il tombe à genoux et dévore sa bite. Il avait apprécié le compliment et il continuait de pomper son homme avec vigueur.
- Tu aimes la bite?
- J’adore.
- Tu aimes te faire enculer, hein, petit salaud?
- J'ai envie de te sodomiser Marcolla.
- Hmmmm allez y mais lubrifiez bien votre sexe aussi stp. J´adore.... J´adore prendre des grosses bites dans le cul.
- Alors? Elle est bonne la bite de mon mec?
- Regardes chérie, comme il est bien ouvert et bien mouillé! Il est fait pour se prendre des bites!
- Hmm , cocu, j'adore ton cul. J'avais très envie d'enculer ton petit cu.
- Hmmm Baptiste c'était trop bon. C'est la première fois que j'essaie la sodomie de cette manière.
Le gros gland vient plusieurs fois lui forcer l'anus. Puis, dans une ultime poussée, il lui transperce d'une traite!
- Putain, ce que j'aime me faire baiser!
- C'était bon, chéri?
- Hummm! Excellent, Il est parfait. Même ça. Il le fait bien.
- Elle te plait la queue de mon amant?
- Il m'encule trop bien, Mel ! J'adore ça! Tu voudras, toi aussi?
- Oui, je veux moi aussi.
- Il m'encule trop bien ton mec! C'est génial J'aime trop ça!
- C'est bon de t'enculer!
La violence c´est son quotidien. São Paulo au Brésil, la plus grande ville du pays le théâtre d´affrrontements meuttriers entre gangs pour le contrôle du trafic de drogue. Les histoires controversées à son sujet n´ont pas manqué son impliquation dans le trafic de drogue et les effusions de sang ainsi de sa soif de gloire et de pouvoir sont connu de tous. Histoire à la fois passionnante et tragique impliquée dans une relation complexe. Cette saga tumultueuse où les émotions brûlantes les mènent à une conclusion à la fois inattendu et déchirante.
Ici au Brésil deux gangs de bandits et trafiquants de drogue Pcc et Comandement Rouge) dominent le commerce et exportation de la drogue. Pcc de São Paulo a le contrôle d´une grande partie du trafique de drogue vers l´Europe et États-unis. La gang de São Paulo Pcc (premier commande de la capitale), c´était une organisation très, très, très violente, bilan 52 morts et 35 policiers. La décaptation était quelque chose connu comme une marque du Pcc .
- On exige d´être traités comme des êtres humains.
- Ils sont comme des animals, tuent des policiers, dit un chef de police.
- C´est pour ça qu´on est en guerre.
Le samedi matin arrive avec le flamboiement d´un soleil de fin d´été. La belle blonde Francesca Borges c´est la plus proche collaboratrice de Weber Willians Camacho le chef du Pcc.Il dépensait l´argent du trafic comme s´il coulait à flot, les vêtements chers, dans sa garage une Porsche Carrera un Jupe Cheroki, BMW, Ferrari, il avait trois Rolex. La secrétaire celle qui sait tout surtout. Elle était dans tout eles confidence du chef. Marcolla comment est-il connu dans le monde du crime. Elle avait trouvé un personnage chemise à carreaux, un peu cowboy donc c´était assez décalé un échange ça se crée plus intime. Il avait de belles voitures, bons restaurants, les bons hôtels, les beaux voyages. La voiture de sport la vitesse les motos. Ils se vantaient de ça quoi la police ont beau chercher personne, mais il avait beaucoup des ennemis. Francesca devenir la maîtresse du patron. Elle connaît tous les relations du trafic du Marcolla. Elle retrouve une libido qu’elle croyait perdue et s’étonne de prendre autant de plaisir à recevoir. Alors il faut en tirer les conséquences. Un chef du trafic insaisissable qui sait jouer de la police pendant des années. C´est au moins une dizaine d´homicides.
- Il y a des jours comme ça où l’on est heureux sans trop savoir pourquoi.
-? C’est une adulte, il a le droit de circuler comme bon lui semble. C’est la liberté de circulation, le droit de tout citoyenne.
- J’aime Marcolla, j'apprécie sa brutalité, son côté un peu ringard et volontairement macho. J'adore la façon dont il me prend, avec vigueur et sans chichi, quand il me dit que je suis sa petite catin, et qu'il imagine qu’il abuse de moi.
- ?Hummm, salope, mais t’as le feu au cul, aujourd’hui! Le feu aux fesses… Dit-il de façon laconique.
-?Mon chéri, tu es formidable.
-?Tu sais, tu m’inquiètes un peu ma chérie.
-?Pourquoi donc?
-?Tu étais très mignonne en jean. Pourquoi as-tu passé cette robe si… sexy?
-?Pour te faire honneur, d’ailleurs, je ne te quitterai pas de la soirée.
-?La soirée risque d’être courte, je suis crevé, tu sais.
-?Je ne sais pas comment faire… J’aime mon mari mais j’ai besoin de…
-?Tu as besoin de sexe… n’ayons pas peur des mots, c’est ça?
-?Oui, j’ai honte, mais c’est ça. Oh… Francesca, pas là…
-?N’aie pas honte d’aimer faire l’amour, on n’est plus au Moyen Âge.
Déjeuner du matin. Il a mis le café dans la tasse, Il a mis le lait dans la tasse de café, il l´a mis de sucre dans le café au lait et avec l apetite cuillère il a tourné. Il a bu le café au lait et il lá reposé la tasse sans lui parler. Il a allumé une cigarette, il a fait des ronds avec la fumée, il a mis des cendres dans le cendrier, sans lui parler sans lui regarder, il s´élever, il a miis son chapeau sur sa tête. Il a mis son manteau de plue parce qu´il pleuvait et il est parti sous la plue, sans une parole sans lui regarder. Elle a pris as tête dans sa main et elle a pleuré.
- Je suis libre et aventureire.
À vingt un elle est déjà une figure connue du monde de la nuit qui adorait la vie à croquer à pleines dents. C´était três belle fin. Elle prend d´abord la cocaïne pour s´amuser, mais très vite elle sombre dans le Krach et les cristaux de méthanphétamine accroc et elle arrrivait de se prostituer pour acheter la drogue. Elle vivait au jour le jour à chercher de quoi payer sa dose.
Indignation et colère dans les faveles du Rio de Janeiro, présisement, la colline du Dendé. Territoire été domine par commandement Rouge gang du trafic de drogue. Au moin 22 personnes ont été tuées au cour d´une opération policière. L´opération visait l´unes des principales factions criminelles du pays.
- Les criminels ont tiré um grand numéro de munitions, ils n´ont pas d´autre choisi que de faire face au nível de force que les crimiinels ont déchaînés, dit le chef des opérations.
Marcolla demande à Francesca de se préparer pour une nouvelle expérience libertine. Il ne lui en dit pas trop, à part la manière de s’habiller. Elle doit porter des bas avec porte-jarretelles, un soutien-gorge redresse-seins, des gants en dentelle, de grandes bottes à talons et un imper pour couvrir le tout. Noirs, tous ces habits doivent être noirs. Ils se dirigent vers leur voiture, un grand monospace, idéal pour ce nouveau défi. Il ouvre la porte arrière et y installe Francesca. Puis il monte à l’avant et prend la route. Sans dire un mot, ils roulent pendant quelques minutes.
Pour la TV elle apprit que Marcolla est detenu pour trafic international de drogue et plusieurs assassinats. Six mois plus tard il est condamné à plus de 300 ans de prison. Francesca sans l´argent allait voyager au Rio de Janeiro et va se trouver avec Marcinho VP dans la célébre boîte de nuit Bahama´s au centro de la ville merveilleuse. Alors elle a reçu une lettre de Marcolla en prision.
“Le matin je m´assombris, de jour se fait tard, le soir le fait Jour, de nuit je brûle, à l´oest la mort, contre quis je vis, prisioner du sud, l´est est mon nord.” Marcolla.
- J´ai besoin de partir pour vider ma tête. Aujourd´hui le sais ce que je veux. Je suis prête à ouvir un nouveau chapitre.
L’été n’était pas fini, il faisait encore assez chaud et Francesca s’était habillée avec une petite robe assez légère. Là elle avait reconnu le responsable pour destribuition de la drogue du commandemant Rouge Marcinho VP. il est presque minuit et l’ambiance est déjà électrisante. Leur respiration est contrôle, les battements de leur coeur ne connaissent aucun frémissement anarchique, elle ne ressentait aucune angoisse, aucune hesitations, elle ne commetait aucune erreur. Le contrôle est total. La Femme était d´une rare beauté, mais, si dealers fantasme certainement sur son corps de déesse, elle sentait la chaleur monter dans tout son corps, son souffle court, l’adrénaline coulant dans ses veines. C’était une petite robe légère qui la mettait en valeur. En dessous, elle avait mis son plus beau body, car elle savait qu’il adorait ça, que ça l’exciterait. Le regard plein de passion et de désir qu’il lui décrocha lui confirma qu’elle ne s’était pas trompée, ce qui l’excita davantage. Une vague de chaleur la transperça. Un étrange sourire ilumina un instant, son visage avant de devenir inquiètant, angoissant pour qui aurait l´observer dans ce moment précis. Il savait capable de tant de chose, de tant de proueses.
- ?Salut, Francesca, qu’est-ce que tu fais là? Ça me fait plaisir de te voir. Assieds-toi! Tu bois un coup?
-?Avec plaisir, mais je suis pressée. ?C’est fou, tu ne changes pas. Comment tu fais?
- ?C’est sympa, mais je t’assure que je vieillis comme tout le monde.
?- Tu ne changes vraiment pas, tu es toujours aussi gentleman. C’est toi, le vrai prince charmant.
-?Tu sais, on a une machine pour payer si tu veux. Comme ça, tu peux rester ici avec nous.
- Je suppose que tu sais apprécier les choses de qualité.
- J´ai bosculé la femme idéale.
- Ce qui, le garrs, la-bas?
- C´est mon chef Rodolfo Meirelles.
- Tu bosse pour lui?
- Tout le monde bosse pour lui. D´une façon ou d´une autre.
- J´ai un kilo de cocaïne colombienne pure.
- Tu es pas une dealeuse, rassure-moi?
- Non... Je suis l´amant de Marcolla du Pcc. Tu défend ton boulot.
- Marcolla? Il se fini avec 300 ans de prison sur les dos.
- C´est pour ça que j´ai la drogue.
- Tu es sexy à tomber. Kojack des nichons.
- J´ai une meilleur idée, viens avec moi.
Francesca se sent encore bouillante de désir, prête à tout pour assouvir ses propres pulsions. Elle est submergée des sentiments de satisfaction d’avoir mené son plan à exécution. Cette femme que son collier de perles et son air guindé l’avait fait classer dans la catégorie bourgeoise guindée et « coincée du cul ». De taille moyenne, les cheveux châtains courts maintenus en place par un serre-tête, elle avait une silhouette charmante pour son âge. Ce soir-là tu portes une robe légère assez décolletée, boutonnée sur le devant de haut en bas; en femme libérée que tu es, comme souvent, tu ne portes pas de soutien-gorge et, ce soir, je te trouve particulièrement épanouie et attirante.
- Puis-je faire pour vous?
- J´ai la coke que tu devrais goûter, on a un kilo de cette merveille, elle est super, dit Francesca.
- Tu es colombienne?
- Oui... Vous avez l´oeil.
- Un kilo de la cocïne colombienne $ 30.000 dollars.
- Tu dois comprends que dans mon business, il faut de la quantité. Qu´est-ce que je vais faire avec un pauvre kilo?
- J´ai plus trente kilos, cen kilos, une tonne.
-?Elle est belle, ta femme. On sent qu’elle a un corps fait pour aimer et être aimé, lui chuchote le chef.
- Tu es un homme intéressant.
- Touche-le.
- Vous voulez que je Touche votre nez?
- Oui. Touche en douceur.
- Il est impressionant Edu.
- Est énorme, surrtout, pas vrai?
- Je n´ai connu de plus gros.
- C´est le diiable en forme de Femme.
- Alors, l´affaire est conclu?
- Oui... Francesca Borges. Voilà son argent.
- Merçu beaaucoup.
- Allez. Faut fêter ça, ma jolie. Fautt fêter ça.
- Et maintenant?
- Venez...
- J´ai envie de baiser et que c’est tellement plus simple, Dans mon envie de faire bander un homme, de me faire chienne. Une envie encore plus perverse me traverse.
Les dix premières minutes, ils sentirent légèrement gênés, mais étant donné que toutes les personnes présentes au bar, une trentaine de personnes environ, en grande partie hommes de bonne maturité, étaient totalement nues également, Il sont rapidement habitués à déambuler en complète nudité et avaiient même apprécié cette situation assez inhabituelle. Francesca attira tout de suite beaucoup de regards. Il est de ces moments où tout bascule. Il est de ces moments où tout bascule. L’instant d’avant, il semble que la situation est tranquille, sous contrôle, et l’instant d’après, tout se précipite. Au fond du hammam, juste à l’entrée de la pièce plongée dans la vapeur la plus dense et l’obscurité la plus totale. Une sorte de back room qui ne dit pas son nom mais dont s’échappent des soupirs, des bruits de mouvements saccadés, des visions à peine esquissées de corps qui se meuvent.
- ?Tu aimes toutes ces bites?
- Oui, j’aime!
- ?Tu aimes être une bouche à bites?
- ?Oui!…
-?Je veux qu’ils te baisent tous! Je veux que tu vides les couilles de tous les hommes de la boîte!
- Je peux? Demanda un black.
- ?Elle a besoin d’être baisée, elle aime ça!
Elle est plus grande que la moyenne, elle mesure un mètre soixante-dix. Elle a une poitrine lourde, aux bouts épais et sensibles qui supporte un bonnet C. Sa toison est fournie de soies brunes et douces desquelles dépassent des lèvres pendantes qui enserrent un clitoris épais qu’elle aime caresser, elle se masturbe très régulièrement. Francesca est vêtue de sa petite robe courte achetée dans un salon de l’érotisme qui lui va si bien. Décolletée, elle tire malgré tout toujours dessus toutes les cinq minutes pensant que ses cuisses sont trop grosses et que cela fait vulgaire de les montrer. Elle se trompe fortement. L’atmosphère sexy et provocante et louche qui règne dans ce genre d’établissement. Le plaisir de la séduction, sans réclamer, par curiosité. Certains hommes aiment bien les femmes androgynes, lui non. Une femme, elle doit avoir des formes, pas une boule non plus, mais la féminité ce sont les voluptés des courbes, pas les traits droits d’un crayon. Ils ont mis leurs plus beaux atours, avides de séduire, prêtes à vivre des moments troubles, pourvu qu’ils soient excitants. Et, amoureuse, elle lui raconte ses jeux sages, et sent qu´il la pousse à des scénarios toujours un peu plus poussés. Le contexte idéal pour elle: une boîte de nuit, la danse, pour que son joli corps s’épanouisse… Avec elle, mais pas que. La salle commence à se remplir, ils allaient prendre une table au bord de la piste.
- Tu portes une tenue très sexy qui suggère, sans exhiber. tu croises tes jambes, je peux sentir l’excitation ambiante monter d’un cran. Ta poitrine généreuse est merveilleusement mise en valeur par ta tenue.
-?Mmmmmmmm, oui c’est vrai, ça m’excite. ?Chut… Tu ne le regretteras pas mon ange.
-?Tu aimes ça salope. Serais-tu exhibitionniste sans le savoir?
-?Tiens, quelque chose déforme ton pantalon. Regarde, c’est par là…
-?Arrête ça, j’ai pas envie de rire.
La crudité des mots est libératoire, la bacchanale est ouverte, la civilité est autorisée à s’effondrer le temps d’une soirée. il releva sa robe dévoilant ses magnifiques fesses. Involontairement ses jambes s’écartèrent afin de lui offrir l’accès. La jeune femme savait ce qu’elle désirait, ayant tout fait pour le pousser à bout et le forcer à reprendre la main. Place à l’animalité. Soudain, un éclat de rire nous fait tourner la tête. Il s’agit d’une blonde un peu vulgaire qui a manifestement trop bu. Elle franchit une étape en faisant descendre les bretelles de sa robe. Sa tenue maintenant remontée à la lisière de son string ne les pose aucun problème d’accès à ses cuisses. Une chacun, ses mains vont et viennent plutôt de la lisière des bas vers le creux de l’aine où la peau est si douce. Sa chevelure blonde tombait sur ses épaules, renforçant le rouge de ses lèvres justement maquillées. Le vin aidant, c’est le rose aux joues, les yeux brillants de mille feux qu’elle a attaqué les profiteroles. Son corps diabolique et sensuel, de son plaisir affolant. Fou aussi d’admiration, de plaisir lorsqu’elle l’offre de tels instants! Déjà, bon nombre de regards se posent sur elle, se faisant brusquement plus curieux.
-?Qu’est-ce qu’il fait chaud ce soir.
-?Il me plaît, je le prends.
- Tu aimerais que je le fasse? Ça me fait un peu peur.
- ?À toi de décider.
-?Tu t’amuses?
-?Oui, et même j’ai trouvé de bons cavaliers potentiels!
- ?Tu t’amuses ou tu es excitée?
- En effet, j’ai de la chance. Il semble y avoir du monde ce soir en ce lieu voué aux plaisirs de la chair.
- Tu es sûre? On ne va pas tomber dans un guet-apens?
- Si tu veux, on peut y jeter un œil.
- Je suis cocu. La salope! Cocu chez moi! Dans mon lit.
-?C’est vrai, mais c’est totalement masculin de parler de «?salope?».
-?Tu aurais préféré qu’il dise : garce, traînée, débauchée, pute?
-?Encore moins. Le terme approprié, si ce qu’il raconte est vrai, c’est: «?femme infidèle?».
-?Un amant? Surprendre?? Mais c’est lui qui voulait?! Je ne comprends plus.
- ?Moi non plus. Comment, tu veux dire qu’il voulait?
- C´est un voyeur, cocu concentant, c´est ça. ?Écoute. Tu vas me promettre de ne le répéter à personne. Mais je ne veux pas passer à tes yeux pour une menteuse. D’accord?
- ?Je sais ce que c’est. Continue.
-?D’un mari cocu… Je te laisse le soin d’organiser cela.
-?L’idée vient de qui?
-?Nous deux.
-?Il est très fort à ce petit jeu.
Immédiatement, son éphémère compagnon de bar se place derrière elle et plante sa bite congestionnée dans ta chatte. Il doit être déjà au bord de l’orgasme, car après quelques va-et-vient il décharge bruyamment. Sa queue devenue molle en ressort lentement, accompagnant le filet de sperme qui s’écoule d’entre ses lèvres gonflées de plaisir. Décharger leur semence dans un flot continu de gémissements. Elle est recouverte de ces giclées de sperme. Elle jouit rapidement une troisième fois sous mes profonds va-et-vient et il se retire pour éjaculer abondamment sur son sexe et sa toison. Marcinho VP s´agnouille pour lécher tout le sperme du black. Il fait tout la nettoyage de son sexe de son púbis. Le jeu est fini.
-?Dis-moi mon cochon, je vois que ce spectacle te fait de l’effet. -?Oh oui, c’était super.
Quelques couples les observent du coin de l’œil. Après une douche ils décident de repartir pour se changer les idées et récupérer de cette expérience nouvelle.
- Je n´oublierais jamais cette journée.
- Moi, aussi.
- Dans la vie une femme doit être forte, en particulier avec les hommes.
- Il nous croient naïves et fragiles.
- On n´a pas le droit à l´erreur.
- Pesonne se mettre en travers de mon chemin. Je ferais tout ce qu´il faut pour réussir ici.
- Francesca! Je vais dérouler le tapis rouge à vous. Je rêvait avec une Femme vicieuse en sexe par mon épouse.
- Sur le trafic de drogue? J´ai transporte cocaïne de São Paulo à New Iork pendant 10 ans.
- !0 ans?
- C´était mieux que sucer des bites toute la Journée.
- On est associes.
- Moi? Tu vas étre un mari cocu? ?Pourquoi pas? Ça va nous faire du bien. Bah alors, on aime le spectacle, pervers?
- Cocu et concentant, à la fois voyeur de mon épouse.
- Pour moi, il est hors de question d´échouer, si tu permets, je vais vous aider.
- Je souhais que tu as un amant qu´ il l’a caressée, pincée, pétrie, léchouillée, léchée, sucée, mordillée, a pénétré plusieurs fois dans son corps, dans diverses positions, par plusieurs entrées, sans frapper, mais en cognant gaillardement son ventre contre des fesses très accueillantes…
- C´est três facile, mon amour. Aveuglement consensuel.
- ?Ma superbe épouse est encore plus resplendissante qu’à son habitude. Ma belle garce, tu n’as pas remis ton soutien-gorge…
- ?Ni ma culotte, mon chéri, ils sont dans mon sac.
-?Pas mal, chéri, pas mal, mais surtout très appliqué…
Francesca est assez grande également, au corps parfaitement dessiné à ses yeux. Elle est ce qu’on appelle pudiquement une femme forte, taillée comme un sablier: de grosses fesses et des hanches larges, une taille très marquée et une opulente poitrine. Son corps est resté ferme même si le poids des ans et la gravité ont fait leurs œuvres.
Marcinho VP s´est ppassé comme entreprenneur tape à l´oeil qui a tout ou presque se situe entre les plus riches du quartier. Il habitait dans un endroit superbe, sa plus grande maison qui personne avait jamais vu, La maison est immense, c´était superbement aménagé, tout ce qu´il avait dans cette demeure était de qualité. Avec la résence de la belle Francesca il avait venir um architete d´intérieur, le l´endroit avec raffinement il y avait beaucoupp des voitures allemandes de luxe depuis longtemps et il les adorait. mais tout ça ne suffit pas. Il est considéré que c´était là quintessence du luxe. Il fallait toujours ce soit quelque chose d´unique. Quand il monte dans la Mercedez Benz il a comprit qu´il était au sommet. Une vie privé de magnate. Il promenait avec une malette rempli de dollars et une vie secret sordide y avait un autre visage. Il adorait sa belle femme mais était un homme bisex. Il y avait pouvoir et les bijoux de la drogue et le sexe tout ça dans la même affaire, une célèbre figure publicitaire dans la dernière vente va virer au desastre.
Chemise blanche, cravate noire et pantalon sombre… C’est reparti pour une soirée de service! Dix ans qu´il fait le pingouin dans des soirées guindées où l’odeur de l’argent est plus forte que celui des petits fours. Il remarqué la belle blonde qui était à ses côtés. Elle doit mesurer un mètre soixante-cinq, elle est fine, la coupe au carré, elle a un joli postérieur et un décolleté discret très mignon. Mais au-delà de la beauté de la dame, c’est son visage qui lui dit quelque chose. Ses copains lui jetaient un drôle de regard en lui voyant manger avec la patronne, se posant mille questions.
-?Et quoi, mec? Tu fantasmes sur la femme du big boss?
- ?Je suis Madame VP, lui répond-elle du tac au tac. Je n’aurais qu’à dire que tu es mon serveur personnel!
- Faut dire que t’étais déjà méga-bonne à l’époque et que tu savais déjà séduire aussi.
-?Tu veux que je te baise comme une vulgaire salope, c’est bien ça?
-?On se revoit plus tard pour le dessert, dit-elle.
- Jolie, mais bizarre. Ah, ces bourgeoises…
Francesca rigole, l’adresse un clin d´oeil et repart en exagérant le mouvement de ses hanches. Elle n´est sans doute pas fait pour avoir ce genre de relation, puisque sexuellement elle aurait largement de quoi se satisfaire. Son mari restait parfois là à les regarder en se masturbant mais ne la touchait jamais. Il l’encourageait, lui félicitait, l’engueulait quand il n’y allait pas assez fort.
Osmar, c’est le genre de mec sur lequel les femmes se retournent: grand black d’un mètre quatre-vingt-dix, des épaules de déménageur, un sourire à la Omar avait des mains de pianiste d’une dextérité incroyable. Mais il est en vrai un tueur à gages. Le patron est une terreur. Froid, cassant, exigeant et, qui plus est, beau mec, il écrase tout de sa classe.
Le Jour suivant...
Une nouvelle semaine passe dans une monotonie relative. Les derniers événements ont beaucoup perturbé Francesca. Celle-là dans sa mini-robe verte lui plaît bien. Les deux autres hommes la regardent passer. Elle commence à être troublée par le comportement de tous ces hommes. Il peut deviner une belle paire de seins qui ballottent à chacun de ses mouvements et ses fesses bien rebondies lui ouvrent l’appétit. Vicieuse en sexe elle blonde Francesca contrainte d’aller un soir dans les toilettes municipales de la gare d’une ville voisine de la sienne. Elle n’aime pas aller en ces lieux car ils sont souvent sales et ne ferment pas. Mais l’envie pressante prend le dessus sur sa répugnance. Une fois entrée, elle est surprise de voir des croquis et des inscriptions qui se répandent sur les murs et la porte de la cabine. On y déchiffre même des numéros de téléphone.
Accroupie au-dessus de la cuvette (hygiène oblige), elle voit des dessins de bites, de cuisses ouvertes, de vulves, plus ou moins stylisées avec plus ou moins de goût et de talent des propositions de rencontres, de participations à des partouzes; ou encore des textes plus ou moins bien écrits qui racontent des scènes d’une très grande obscénité et vulgarité. En observant bien, elle s’aperçoit qu’il s’agit en fait d’échanges et de correspondances: des hommes proposent leurs performances sexuelles à des femmes et visiblement. Elle était dans les toilettes publiques pour femmes, certaines sont intéressées car il s’ensuit des rendez-vous. La blonde très surprise… Elle croyait qu’à l’heure d’internet, ce genre de littérature n’avait plus lieu d’être sous cette forme. Une fois levée et rajustée, son regard est attiré par une inscription:
- Regarde et dis-moi si ma bite t’excite.
Francesca cherche sur le mur s’il y a quelque part un dessin ou une photo à regarder. Rien! Elle est déçue. Elle avoue que cela ne s’excitait pas particulièrement, mais éveillait simplement sa curiosité. Elle se prépare à partir quand, en se retournant pour tirer comme il convient la chasse d’eau, elle trouve la photo! Elle était glissée entre le réservoir et le mur, à peine dissimulée. C’est une image en noir et blanc d’un homme exhibant ses attributs sexuels, de très bonnes proportions, au demeurant! C’est un tirage photo sur papier glacé et non la page d’une revue porno quelconque. Elle se surprend à vouloir prendre la photo, mais elle se ravise; visiblement, elle est adressée à quelqu’un. Cette idée lui fait sourire, mais en même temps, l’intrigue.
Les jours suivants, elle se surprend à penser à cette cabine des toilettes publiques, et à chaque fois, elle est étonnée de constater qu’un certain trouble envahit son bas-ventre. Semblant «?maîtresse?» d´elle-même, la blonde tente hypocritement de repousser ces sensations qu´elle reconnait bien comme étant celles du désir interdit. En vain: ces pensées et leurs conséquences corporelles continuent malgré elle à se tenailler.
-?Osmar... Il me propose d’aller en haut, tu en penses quoi?
- ?En haut? Il reste figé.
- ?Si tu n’es pas d’accord, je lui dis non.
- ?Tu en as envie on dirait, il te plaît?
-?Un peu… Pourquoi pas?
-?C’est toi qui décides. Il te parlait de quoi.
- ?Qui? répond-elle innocemment.
- ?Omar.
- ?De tout et de rien, de lui. On se connaît si peu.
-?Tu en as envie.
- ?Euh! … Pourquoi pas? Ce n’est pas la première fois. Mais je peux essayer de le séduire.
- ?Tu espères qu’il est aussi bien monté.
Elle choisit de mettre une petite robe plissée avec un beau décolleté qui met sa gorge et sa poitrine en valeur sans être vulgaire tout en camouflant son petit ventre. Elle se regarde dans la glace et est très contente de son effet. Elle s’arrête de respirer. Le sang lui bat les tempes. Elle a l’impression que son coeur bat tellement fort qu’on peut l’entendre à cent mètres à la ronde. Elle voit de l’autre côté son employé Osmar en train d’uriner sur la voiture. En fait, elle ne voit que le sexe mou de l’homme, duquel s’échappe un gros jet d’urine. Il a retroussé la peau de son gland et un fois qu’il a fini d’uriner, il la fait aller et venir afin de se débarrasser des gouttes qui restent. Il remballe son sexe dans son bleu de travail et se dirige vers la benne. Le temps qu’elle réfléchisse à tout ça, il est trop tard. Osmar voit la patronesse assistir la pisse.
- ?Alors, ça te plaît de me mater en train de pisser? ?Alors, ça t’a plu?
- ?Je suis désolée, je ne voulais pas… Je venais me faire enregistrer…
- ?Ouais, je vais t’enregistrer, t’en fais pas.
- ?Oh, mon Dieu, elle est grosse.
-?Plus grosse que celle de Marcio?
-?Oh oui!
Elle n’a pas le choix, elle descend de voiture. Il ouvre la porte de sa caravane et lui indique de monter. Elle sent son regard sur elle. Elle sait qu’il regarde ses fesses et ses jambes.
- ?Rentrez, soyez pas intimidée.
Il referme la porte derrière lui.
- Ça t’a plu de me mater? Moi, j’aime bien te mater et je vois que tu as fait des efforts aujourd’hui. Ça te plaît de m’exciter, je le sais. Et je suis sûr que tu es toute excitée, toi aussi.
Que fait-elle là? Elle regarde autour d’elle. Elle ne fait pas partie de ce monde et pourtant presque mécaniquement elle défait la fermeture éclair qui se trouve sur le côté de sa robe. Elle retire une première bretelle, laissant apparaître un sein prisonnier dans un soutien-gorge couleur chair. Puis l’autre bretelle tombe et la robe glisse sur ses hanches. Elle a encore un geste de pudeur en plaçant un bras sur sa poitrine. Elle ne se rend pas compte qu’en faisant cela elle exhibe un peu plus ses seins lourds devant son voyeur. Il observe sa proie avec son petit sourire en coin. Il est fasciné par le spectacle. Il n’en rêvait pas autant. Il aime ses courbes, son petit ventre lui donne plus de charme. Il se retient de s’approcher et de la peloter. Il veut qu’elle s’abandonne à lui.
- ?Tourne-toi, que je puisse te voir entièrement.?T’es vachement bien foutue, tu sais. Faut que je prenne quelques souvenirs!
- ?C’était vachement bien! Tu m’as excité à mort. Regarde!
- ?Vous êtes si belle, lui dit-elle en prenant ses deux gros seins dans ses mains.
La belle Francesca est très excitée par la situation et elle finit par l’admettre. Elle commence par tourner sur elle-même sous les flashes de l’autre. Il prend autant de photos qu’il peut. Elle commence à prendre des poses. D’abord en lui tournant le dos et en tendant ses fesses vers lui. Elle essaie de se cambrer au maximum. Elle transpire. Elle se replace face à lui et se malaxe les seins. Ils sont lourds sans être trop fermes. Les tétons sont tendus. Elle se caresse la toison qu’elle a fournie. Se retourne et écarte les jambes. Elle lui offre une vue des plus érotiques sur ses deux orifices. Sa chatte s’ouvre et Osmar peut voir qu’elle mouille en abondance. Elle se retourne et s’assoit devant son voyeur. Quel spectacle elle vient de lui offrir! Il est heureux, jamais il n’aurait cru cela possible. Elle le regarde comme enfiévrée. Il dévorait sa bouche et glissai sa main vers son bas-ventre, où elle sentit sa virilité dressée dans son pantalon.
- ?Mmm, une belle queue comme ça, ça ne se refuse pas. Bien longue, bien dure…
- ?Baisse la tête! Tu veux qu’on te traite comme une chienne, tu seras traitée comme une chienne!
- ?Tu es un gros égoïste, minauda-t-elle.
- ?Mmmm, votre queue semble être faite pour cette pratique. Il faut quelque chose de motivant, je crois.
-?Tes nichons me semblent eux aussi naturellement faits pour ça, ma jolie.
Elle lui prend la tige et commence à le branler. Il continue à prendre des photos le salaud, mais elle est trop excitée pour s’en faire et cela participe à son excitation. Elle se découvre une nouvelle facette, l’exhibitionnisme. Mais elle n’a pas le temps de penser. Elle ne le suce pas. Mais le branle vigoureusement.
- ?Prends-moi... Prends-moi, prends-moi, dit-elle de plus en plus fort, murmure-t-elle.
- ?Je veux encore te faire jouir, je veux me vider tout au fond de toi, je veux voir mon foutre déborder de ta chatte.
-?Oui Osmar, baise-moi bien profond, plante ta queue en moi et inonde-moi de foutre, défonce-moi et fais-moi hurler, vas-y, plus fort, viens, viens! ?Embroche-moi, enfonce ta queue, baise-moi comme la traînée que je suis, vide-toi dans ma chatte… Viens, viens…
-?Si tu le veux, je vais te faire découvrir des plaisirs inconnus, puissants, mais aide-moi.
Il accéléra ses pénétrations, je serrai mes jambes autour de ses reins pour qu’il lui prenne encore plus profond, ses gémissements de plaisirs étaient décuplés par les bruits obscènes que produisait sa chatte tapissée de mouille et perforée par son gland ravageur. Francesca sentit sa semence brûlante envahir son sexe en même temps qu’une coulée de sa propre liqueur inonda son entrecuisse surchauffé.
-??Lèche-moi encore la chatte et fais-moi jouir! ?Vas-y, enfonce ta langue dans ma moule, fais-moi mouiller, bouffe-moi le clito, baise-moi avec ta langue…
- ?Jouis, ma belle, jouis sur moi, laisse couler ta fontaine d’amour, laisse-moi boire ton plaisir et donne-moi ton cul…
- Oh oui c’est bien ta belle et grosse bite qu’il me faut..
... Tarde pas à rentrer. Le mec a déchargé son foutre au fond de son vagin et son mari est arrivé quelques minutes après. Elle s´est mise sur le canapé, jambes écartées et lui s’est mis, tête penchée, au-dessous de sa chatte. Elle a expulsé le sperme du mec qui a coulé dans la bouche de son mari. Il a joué avec ce jus un moment et l’a avalé complètement! Il l’a longuement bouffé la chatte pour lui nettoyer les lèvres du foutre du gars.
Une lettre de Marcinho VP sur la table de la salle de dîner.
“Que les très laides me pardonnent, mais la beauté est fondamentale. Il faut, dans tout cela qu'il y ait quelque chose d'une fleur, quelque chose d'une danse, quelque chose de haute couture, dans tout cela (ou alors que la femme se socialise élégamment en bleu, comme dans la République populaire de Chine). Il n'y a pas de moyen terme. Il faut que tout soit beau. Il faut que, tout à coup, on ait l'impression de voir une aigrette à peine posée, acquière de temps en temps cette couleur que l'on ne rencontre qu'à la troisième minute de l'aurore. Il faut que tout cela soit sans être, mais que cela se reflète et s'épanouisse dans le regard des hommes comme vous Francesca. Il faut, il faut absolument, que tout soit beau et inespéré. Soit belle, ou qu'elle ait au moins un visage qui rappelle un temple; et Qu'elle soit légère comme un reste de nuage: mais que ce soit un nuage: mais. Avec des yeux et des fesses. Les fesses c'est três importante... Oh! Surtout qu'elle ne perde jamais, peu importe dans quel monde, peu importe dans quelles circonstances, son infinie volubilité.”.
Marcinho VP”.
Il n’est pas rare qu´elle se balade au dehors ainsi, à la plus grande joie de sun mari qui est à la fois un voyeur et un vicieux qui aime s’exhiber. Surtout quand elle ne porte strictement rien sous cette robe! Elle est habillé une mignonne robe bleue (plutôt ciel) sans bretelles, dont le bustier est élastique. Le vent qui pénétrait dans son entrejambe sur le trajet aura au moins eu la vertu de refroidir le feu qu’elle a ressenti dans son ventre toute la nuit. Elle est très bien dedans, le tissu est léger et la robe met bien en valeur son corps, ce que lui confirme à chaque fois son mari et aussi parfois d’autres hommes. Francesca aime séduire et cherche un amant disponible aussi le week-end. Elle commence en effet à sentir monter en elle un désir mélangé: envie d’exciter encore plus son homme et envie d’être remplie, envie de vraiment sentir, goûter à la verge. Ses regards se croisent, il lit le plaisir incroyable qu’elle vient de prendre, et ne peut s’empêcher d’esquisser un léger sourire. L’alcool avait transformé la petite femme en prédatrice sexuelle.
-?Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… Ouvre bien les yeux. Quel plaisir coupable, quelle vicieuse je suis ! Lui dit-elle.
- ?Ça peut peut-être s’arranger.
- Regarde bien, je vais prendre du plaisir rien que pour toi. ?Jusqu’à quel point je puis me permettre d’aller.
- ?Vous êtes magnifique! Une vraie femme!
- J’aime cette sensation de pouvoir leur appartenir, qu’ils puissent tous deux réaliser leurs fantasmes les plus vicieux en se servant de moi comme un objet sexuel…
- C’est peut être l’occasion d’aller au bout de nos envies. Tu souhais un vrai étalon, parce que tu es insatiable. C´est la personne la plus sexuelle que j´ai jamais vue.
Pour la première fois, ce matin, elle a osé. Osé troquer ses sempiternels tailleurs-pantalons noirs pour un autre genre de tailleur, noir aussi, mais nettement moins conventionnel. Oser remplacer les petites bottines pointues, aux talons raisonnablement hauts, par des escarpins dont les aiguilles en métal doré me font gagner dix bons centimètres. Oser enfin, surtout devrait-elle dire, laisser au placard les jolis dessous de dentelle qui voilent et emprisonnent habituellement les parties intimes les plus sensibles de son corps. Oui, à part l’étroit porte-jarretelles qui ceint sa taille et tend sur ses cuisses les bas de nylon gris, elle n’a rien sous ses vêtements. Dans l’échancrure de la veste très cintrée et épaulée, les poires lourdes de mes seins vibrent à chaque attaque du talon sur le bitume et oscillent, libres de toute retenue. Ses tétons dardent en se frottant contre la soie du fin chemisier, envoyant des ondes de désir au creux de ses reins. Et la douce brise qui s’insinue sans difficulté, tant elle est courte, sous la jupe moulante comme un gant, caresse son sexe nu et intégralement épilé. Le frottement de ses cuisses, au rythme de la marche, provoque un discret mais explicite crissement électrique dont elle ressent les effets jusqu’au fond de son ventre. Impossible de ne pas me rendre compte qu´elle est humide.
Elle semblait très nerveuse. Peut-être la surprise prévue l’inquiétait-elle. Marcinho était voyeur, pervers, vicieux, méchant. C’était troublant! Mais elle avait une petite idée… Francesca s´exprime pour la première foi le désir de tuer son mari. Elle rêvait deviant la reine du poudre. Elle avait recruté Osmar pour faire le service. Elle va être accusée d´un complot criminel à tueur son mari. Alors, il reçoit une balle dans la nuque et tombe inanimé au sol. Dans la maison luxueuse ses employés son les premiers témoins du drame.
La fenêtre était entrouvert don ils avaient entendus un bruit. un bruit de coup de feu. C´est vraiment une déflagration et une voiture partir à toute vitesse du parking de la maison. Le pompieu. Samu, la police criminelle sont déjà sur la place. Le mari de Francesca est mené vers l´hôpital dans un état critique. il décèdera de jour plus tard de suite de sa blessure. L´épouse affirmait être service d´une faction rivale.
- C´est un ordure à moins dit un policier.
Fin
Ivan Ribeiro Lagos
Ivanribeirolagos20@gmail.com
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