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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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Cette aventure, ou plutôt celle de ma sœur, m’est arrivée quand j’avais quinze ans et elle autour des trente ans.
Je descendais du bus, à Tours, pour aller dire bonjour à Muriel lorsque je la croisai derrière le magasin. C’était une belle journée de printemps.
_ Tu veux m’accompagner chez notre expert comptable si tu veux. Je n’en ai pas pour très longtemps. Il m’a appelé pour que j’aille le voir en urgence. Me dit Muriel, sachant que j’accepterais vu les vêtements qu’elle porte.
_ Euh oui bien sur. Je veux bien.
Alors nous montons dans sa Corsa.où la petite jupe noire qu’elle remonte sur ses cuisses. Je la déshabille du regard et elle le voit.
_ Il fait chaud alors j’ai mis un petit chemisier blanc et une petite jupe noire. Tu ne trouves pas que ça me va bien ?
_ Oh si au contraire. Je ne t’ai jamais vu comme ça.
_ Je viens d’acheter l’ensemble. J’aime bien la jupe avec la grosse ceinture. Par contre, il faut que je porte un soutien-gorge avec le chemisier mais c’est fait exprès.
_ Les chaussures aussi c’est nouveau ? Demandais-je.
_ Oui, elles sont sympa mais il faut que je m’habitus à conduire avec. Elles ont un talon de neuf centimètres.
On lui voit bien son soutien-gorge balconnet blanc et mauve. De plus elle s’est mise du vernis à ongle rose et du fond de teint. Elle est très sexy comme ça.
_ Tu portes des collants avec une chaleur comme ça. Pourquoi ?
_ En faite, c’est des bas. Du coup, quand Jean m’a vu habillé ainsi il a voulu que je face des photos comme souvenir il m’a dit pour les accrocher dans son labo. Je n’aime pas trop car ses copains vont le voir régulièrement dedans.
_ Il a déjà mis des photos où tu poses avec un caraco transparent alors ils sont habitués à te voir. En plus souvent, on peut voir tes petits seins ou ta culotte sous tes robes ou tes jupes. Alors ça ne changera pas grand-chose.
_ Tu as raison, ça ne change rien. Je préfère qu’ils regardent une photo de moi plutôt qu’en vrai où ils essayent de me tripoter.
_ Ca t’est déjà arrivé ?
_ Une fois, c’était son copain, le vieux, ils avaient bu. C’était à la fermeture du magasin. J’étais toute seule avec lui. Il m’a coincé dans le fond du magasin. Mais il a juste eu le temps de me glisser une main sous ma jupe et de m’embrasser avant que je parte. Bon le lendemain il s’est excusé et je n’en ai jamais parlé alors ça reste entre nous.
_ Pas de problème. Si tu veux.
Je trouve que Muriel est différente de d’habitude, elle me parait excité limite aguicheuse.
Nous arrivons chez l’expert comptable, nous rentrons dans la grande cour où il y’a une grande maison. Nous sonnons lorsqu’il ouvre il est surpris de me voir.
_ Bonjour madame Rosa, je pensais vous voir seule. Je suis avec le directeur de votre agence bancaire.
Lorsqu’il nous dit ça, il fixe Muriel de haut en bas.
_ Vous êtes très belle vêtue ainsi. Suivez moi ou plutôt passez devant madame. Mon cabinet est à l’étage. Si le jeune homme veut rester là. Ce sont des affaires d’argent alors… Assis toi là. Me dit-il.
Muriel me regarde et me sourit. Lorsqu’elle monte les marche elle sent qu’il lui regarde sous la jupe voyant ainsi qu’elle porte des bas et un ensemble de sous-vêtement blanc et mauve.
Je les entends discuter et au bout d’un moment je décide de monter sans faire de bruit pour écouter les affaires d’argent. J’en profite pour regarder par le trou de la grande serrure.
_ Pouvez-vous ramasser mon stylo. Demande le banquier à Muriel qui s’exécute, se baisse et le récupère.
_ Ca vous a plu la vue ? Leurs dit Muriel remarquant qu’ils lui mâtent la poitrine.
_ Vous ne vous êtes pas trompé dans le choix de vos vêtements, ils vous vont à ravir. C’est peut-être un petit peu trop au niveau des bas mais ça nous plait.
_ Vous savez j’étais déjà habillée comme ça avant de venir. Donc ce n’est pas pour vous. De plus mon haut avec le soutien-gorge semi apparent est très à la mode.
Ils se lèvent et s’approchent d’elle. Muriel reste assît les jambes croisées au niveau des cuisses.
_ Vous savez que vous nous devez une grosse somme d’argent et que les intérêts montent de jour en jour.
_ Oui mais je vais trouver un moyen de vous rembourser.
Le banquier se met juste derrière elle alors que le comptable s’assoit sur le bureau devant elle. Muriel tire sur sa jupe pour cacher le haut de ses bas. Elle trouve leurs regards de plus en plus insistant. Soudain elle sent deux mains lui masser les épaules. Muriel se retrouve prise dans un piège, elle sait bien où ils veulent en arriver.
Elle tente de se lever mais les mains l’en empêchent. Le comptable lui pose les mains sur les cuisses et lui écarte.
_ Que vous vous rinciez l’œil, ça passe mais c’est tout. Leur dit Muriel.
_ Je crois que vous n’avez pas compris avec ce que vous nous devez vous pouvez aller en prison. Et une prison de femme je ne vous dis pas.
Les mains du banquier sont arrivées sur la poitrine qu’il malaxe sur le tissu, il l’embrasse dans le cou.
Ils mettent Muriel debout, elle essaye de se défendre un peu avec ses mains mais ils lui immobilisent vite dans le dos où ils lui attachent le haut des bras avec une cravate.
_ Arrêtez, je vous en supplie, je rembourserais.
Le banquier lui tire un grand coup les cheveux en arrière et lui dit :
_ On va te baiser que tu le veuille ou non. Je te conseille de ne pas crier sinon je te romps le cou et on considère que c’est un accident d’escalier. Alors tiens toi à carreaux. Pendant qu’il lui tient la tête en arrière il lui roule une longue pelle. L’autre homme lui enlève son chemisier et lui remonte sa jupe sur les hanches. Muriel subit et se retrouve en sous vêtements, bas, porte-jarretelles et sandales à talon.
Ils lui écartent les jambes, prend un club de golf et entame un mouvement de va et vient sur sa petite culotte. Malgré elle, Muriel ne tarde pas à mouiller.
Celui qui continue à lui fourrer la langue dans la bouche lui a maintenant glissé un doigt entre les fesses. Ils lui baissent son soutien-gorge pour laisser apparaître ses petits seins aux tétons roses gonflés par l’excitation. Maintenant celui de devant lui tète un sein en continuant de la branler avec son club, l’autre lui pétrit le deuxième sein et en est au troisième doigt dans son petit trou. Muriel a la culotte toute trempée.
_ Umm Umm Arrêtez je vous en prie Ummm… Gémit-elle.
_ Tu vois tu n’avez pas le choix. Tu es venus habillé comme ça rien que pour nous. Allez, dit nous que tu es une petite cochonne. Allez !
_ Umm, je..je suis une petite cochonne.
Ensuite ils l’allongent sur le bureau sur le dos, lui font pendre la tête dans le vide pour qu’elle les suce. Elle tente de se débattre mais les liens dans le dos sont trop forts. Elle se retrouve avec un sexe en érection au fond de la gorge pendant que l’autre homme, lui ayant écarté les cuisses au maximum, la lèche au plus profond de son intimité. Au bout d’un bon quart d’heure ils tournent car celui qui se faisait sucer lui fait avaler son sperme. Maintenant, il lui enfonce le manche du club dans l’anus, Muriel se cambre comme elle peut mais l’objet rentre sur une dizaine de centimètres. Il la branle avec fougue à tel point qu’elle aura plusieurs orgasmes. Après avoir avalé la semence des hommes, ils la libèrent et l’aident à se rhabiller.
_ Bon bien voila encore une mensualité de payée. Vous voyez madame Rosa. Ca fait déjà la deuxième. La semaine prochaine ne venez pas avec votre frère il s’ennuie en bas tout seul alors que vous…
_ Vous m’avez fait mal aux fesses avec votre truc. Leur dit Muriel.
_ La semaine prochaine vous viendrez à la même heure. Je vous présenterai deux de nos amis et on fera un tour dans la cave. Mais ça vaudra deux mensualités.
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Ecrit par Mumu
Parue le 21 avril 2017
