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La femme de ma vie
Aujourd’hui nous fêtons nos 10 ans d’anniversaire de mariage, mais cela fais en vérité 15 ans que nous nous connaissons. Je me rappel encore ce jour, ce jour ou par hasard je suis allé manger dans ce restaurants du 15éme arrondissements. Ce soir la avec mes amis, nous fêtions notre réussite a nos examens, tous avions parfaitement clôturé notre vie étudiante et allons commencer une nouvelle vie, mais c’était sans savoir qu’en plus de fêter notre fin d’étude j’allais faire la rencontre la plus importante de ma vie.
Elle était serveuse dans ce petit bistrot spécialisé dans la dégustation de fromage et de vin, deux chose que j’ai toujours aimé associer comme tout bon français qui ce respect. Elle devait avoir 20 ans et ne semblais pas avoir ce travail depuis longtemps car je devinais une certaines appréhensions lorsqu’elle s’avançait voir les clients.
Comme elle s’approcha de notre table pour pendre notre commande je sentais monter le sang a mon visage et sans doute qu’il devint rouge comme le vin de cette délicieuse bouteille de saint-émilion poser en face de moi, mais le moment le pire fut le moment ou elle me regarda pour me demandé ce que je désirais manger, je fus compléments perturbé et les mots que je sortie ne fus pas du tout ce que j’avais prévus, car pris de panique j’ouvris la carte et je commanda le premier plat que je pu lire, « blanquette de veau », j’aime pas la blanquette de veau, mais trop tard je ne voulais pas avoir encore plus l’air idiot donc je ne rectifia pas le tire.
Contrairement à ce que j’avais pensé, cette belle et jeune serveuse n’avais surement pas du me trouvé idiot, ou pas complètement, car en fin de repas au moment du café, sur la serviette en papier glissé sous la tasse étais écris a l’encre noir, un numéro de portable accompagne d’un doux nom féminin qui résonna dans ma tête tout le long de la soirée « Aline ».
Dés le lentement matin, je composai le numéro sur mon vielle appareil qui me servais de portable, une sonnerie, deux sonnerie, trois sonne… non, elle décrocha « allo », une fois féminine que je ne reconnu tout de suite, laissa trahir le faite que je la levé du lit, mince quel idiot évidement une jeune femme qui travail tard dans un resto ne seras pas debout si tôt, il n’est quand même que 8h30, tout de suite je m’excusa de la réveiller si tôt mais que l’envie de prendre de ces nouvelles étais trop grande. On discuta 10 à 15 min au téléphone avant de convenir d’un rendez vous, on se retrouva donc dans l’après midi même dans un petit café dans le 1ere arrondissement, pré de la rue Saint-Denis qui a mon grand étonnement n’est pas composé que de sex-shop et de vendeur de kebab.
L’après midi passa très vite, trop vite, tellement vite que nous décidions de prolongé cette après midi directement avec un diner, je la laissa choisir l’endroit ou elle voulait manger et c’est dans un petit restaurant asiatique qu’elle m’emmena, cela tombé bien, car j’étais friand de tout ce qui touché a la culture asiatique.
Nous avions vraiment passé une soirée agréable, mais malheureusement je dus la raccompagner chez elle car toute bonne chose a une fin, elle n’habitait pas très loin de la où nous avions passé la journée. Arrivé devant la porte de son appartement, il y avait comme un moment de flottement, je pense que tout les deux attendions la même chose, mais étant trop timide ce fut elle qui fit le premier pas, elle se rapprocha de moi, je vis sont beau visage s’avançait vers moi, ce genre de moment dure une à deux seconde, mais pour moi il semblait duré des heures car j’attendais avec impatience le moment ou c’est lèvre charnu viendrais ce collé au mienne. Mon dieu que c’était merveilleux, nos lèvre et nos langue joué l’une avec l’autre comme deux dauphins nagerais ensemble, tout étais parfait, ni trop de langue ni pas assez, ni trop de lèvre ni pas assez, comme si nous nous étions consulté pour nous dire ce que l’autre attendais exactement, sauf que non, ici ça avais été naturel, ce qui avais fais que ce baisé étais parfait.
Le retour chez moi en métro, étais des plus déprimant, savoir que j’avais du laissé cette si belle femme sur le pas de la porte pour rentrais chez moi, me rendais vraiment triste, le plus embarrassant étais de dissimulé aux autres voyageur le témoin du plaisir que j’avais pris en l’embrassant car même si cela faisait 5 min que j’étais partie, sous mon jeans persisté une légère érection, vestiges de ce moment particulier que j’avais passé avec elle.
Pendant tout le voyage une question me trottait dans la tète, aurait-elle voulu que je reste avec elle ce soir, pas forcément pour allé plus loin, mais juste pour être la, avec elle. La réponse me viens directement de sa pars, car je reçu un message écris sur mon portable « dommage que tu sois partie, je ressens un grand vide à coté de moi dans mon grand lit, mais pas seulement, quand nous revoyons nous ? »
Je descendis à l’arrêt qui vint, je fis demi-tour et je remontai la ligne dans l’autre sens, 15 min plus tard j’étais devant sa porte, je frappai, à peine elle ouvrit que je ne lui laissai pas le temps de dire quoique se soit, car je l’attrapai par les hanches et je répondis en même temps à sa question : « maintenant !»
Elle sauta dans mes bras, et tout en s’embrassant j’avançais dans son appartement, je ne savais pas trop ou j’allais, mais heureusement son appartement n’étais pas grand, j’aperçus son lit, la je descendis délicatement pour la déposé dessus, je me retrouva allongé sur elle, ce fut elle qui, comme tout à l’heur fit le premier geste, elle sorti ma chemise de mon pantalon, puis elle la déboutonna en commençant par le haut, une fois fini elle me l’enleva et me caressa le dos, le ventre, et en même temps vint m’embrasser le torse délicatement, en s’intéressant tout particulièrement à mes tétons avec les lesquels, elle aimé jouer avec ca langue. Ce fut a mon tour de lui retiré son chemisier, ce qui laissa apparaitre une poitrine magnifiquement bien ronde, le soutient gorges ne tarda pas a partir également et ce fut moi qui maintenant jouer avec ma langue sur tout son torse, j’aimais me promené un peu partout, sur le ventre autour du nombril sur les coté au niveau de la taille, puis je remonte le long des cotes pour aller jusqu’au cou, et je termine par la poitrine et les tétons. A l’approche de cette région, je senti son souffle s’accélérait, et son corps faire des petits mouvements d’ondulations, je me rentais bien compte qu’elle appréciait ce que je faisais, tellement qu’un moment donné elle me repoussa violement pour me mettre sur le dos, la elle me demanda de ne rien faire et de juste regardé, tandis que j’étais allongé sur le dos elle ce mis debout au dessus de moi et tout en dansant, elle hotta ces vêtements, j’étais aux anges, son corps était magnifique, quand elle eu finit de retiré tout ces vêtements elle s’attaqua au miens, elle s’approcha de moi, déboutonna mon pantalon et doucement tira mon jean, ensuite d’un geste vive elle vis sauter mes chaussettes, car même si elle ne gène en rien, comme moi, elle devais trouvé ça ridicule de faire l’amour tout nu en chaussette . J’étais donc toujours sur le dos mais cette fois en caleçon et la elle vint ce mettre à califourchon sur moi, et tout en frottant ça poitrine sur mon ventre et sur mon sexe elle recommença toute une série de bisous et de jeu de langue sur mon torse. Doucement elle descendit avec sa langue, jusqu'à arrivé juste au dessus de l’élastique de mon caleçon, la, tout en me regardant dans les yeux elle tira mon caleçon pour me l’enlever, mon corps tremblé, soit d’appréhension soit d’excitation je ne savais plus très bien, mais quand elle m’attrapa le sexe pour commencé une douce masturbation, la j’étais sur que je tremblé d’excitation. Tout en continuant de me regarder, elle descendit tout doucement ça tète en direction de mon pénis, afin de remplacé sa main par sa bouche, l’effet ne ce fit pas attendre, à peine ses lèvre poser autour de mon sexe, je senti un frisson remonté tout le long de ma colonne vertébral, et les mouvement de vas et viens n’arrangeas pas les choses, elle savais a merveille associé les mouvement des tète, la positions et le serrage des lèvres ainsi que les petit jeu avec la langue, le tout faisais un cocktails de plaisirs indescriptibles. Tout en faisant cette délicieuse fellation, a l’aide de ça mains droite, elle me caressé les testicules, ainsi que la partie entre l’anus et mes testicule, partie que je découvrais être extrêmes sensible.
Sans étais trop, malgré le plaisirs que je ressentais je devais l’arrêtais, car sinon cela aurais compromis tout le reste de nos ébats, c’est donc moi qui cette fois ça la pris pour la renversé sur le dos, afin de pouvoir m’occuper d’elle. Contrairement a elle, je préféras commencé par le bas pour remonté, c’est donc au niveau de ses pieds que je commença ma grande remonté de bisous, puis le long de ses mollet puis derrière les genoux, l’intérieur de la cuisse, pour finir autour de son sexe déjà humide par tout le préparatif, je ne suis pas allé directement droit au but, j’ai préférais la faire languir encore un peu, donc avec ma langue g lécher tout le tour de sexe, les grandes lèvres, puis un petit peu sur le haut de l’intérieur de la cuisse. Je sentais au mouvement de son corps ainsi qu’a sa respiration qui ne faisait qu’augmenter, que l’effet voulu était atteint et la réaction ne ce fit pas attendre plus longtemps, avec ces demain elle attrapa mes cheveux afin de prendre ma tète et de la mettre entre c’est deux cuisse juste en face de son sexe, le message étais clair elle voulait que ma langue rende visite a son sexe, s’en plus attendre je réalisa ses désirs. Avec douceur je passa une première fois ma langue tout le long de son sexe, de bas en haut, pour finir au niveau de son clitoris, la plutôt que de tenter de faire quelque chose de technique ou je me laissa guider par ses réactions en fonction de l’endroit ou s’aventurait ma langue, c’est comme ca que je su qu’elle préférait que j’utilise la pointe de ma langue plutôt que l’ensemble, qu’elle préférais que je fasse des petit mouvement dans tout les sens plutôt que quelque chose de rapide et sans variation, parfois je laissé le bout de ma langue venir chatouiller son clitoris, mais pas trop souvent car les sensations y sont tellement forte qu’avec insistance elle peuvent en devenir désagréable. Après avoir passé un moment à m’occuper de son sexe avec ma langue, je remonta doucement le long de son corps avec ma langue qui a des endroits stratégique s’arrêtait pour la chatouiller, je m’arrêta un peu au niveau de ça poitrine puis repris mon assenions jusqu'à son cou, la en même temps que je l’embrasser, ma main descendis entre c’est cuisse et lui caressa le sexe doucement, en restant pour le moment à l’extérieur, quand j’entrepris de glisser un doigt a l’intérieur de son vagin, sa mains vins me le repousser et au même moment pris délicatement mon sexe pour me faire comprendre qu’elle préférais que se soit lui qui entre le premier.
Délicatement j’avança doucement mon bassin et je laissa sa main guider mon sexe à l’intérieur de son vagin, au même moment que mon sexe s’avançait elle remonté un peu c’est genou et pencha la tète en arrière, je fais des mouvements de va et viens tout en continuant de l’embrasser dans le cou et de lui caressé les tétons avec ma langue, après quelque minute elle vint s’assoir sur moi et ce redressa, le spectacle de son corps superbe se trémoussé sur mon sexe, avec l’éclairage tamisé de son appartement rendez la scènes vraiment incroyable.
Tout était parfait, son corps qui dansait sur mon pénis, la vue sur la poitrine légèrement éclairé par la lumière de sa lampe de chevet et son regard posé sur moi avec ce sourire aux lèvres me rendait complètement fou. Je me redressa pour être également assis en tailleur et d’une main que je posa sous ses fesses, j’accompagna son mouvement de bassin pour qu’il soit un peu plus ample, de l’autre je lui attrapa pas les cheveux que je tira doucement en arrière, j’aimais jouer sur la sensation ambiguë de plaisirs mélangé a celui de douleur, et visiblement, ça lui plaisais également.
Tout d’un coup elle accéléra d’elle-même l’intensité de ses mouvements, elle accélérait et en même temps le plaisirs augmentait jusqu'au moment ou tout les deux eu la même réaction, elle, elle laissa échappé un léger cri qu’elle voulu retenir pour ne pas faire de bruit et moi je tressaillis en laissant échappé quelque chose qui était de l’ordre du souffle mais tout en ayant les dents serré, tout mon corps ce contracta, chose qui ne m’étais jamais arrivé avant, nous avions jouit en même temps.
Elle vint s’allonger à coté de moi, me pris dans ses bras et me serra fort, la je ne sais pas ce qui me pris mais comme ci c’était une évidence, je me tourna vers elle et lui chuchota dans l’oreille « je t’aime », après coup je me rendu compte que ça pourrais paraitre prématuré et que ça pourrais l’effrayer, mais trop tard c’était dis, je vis a sa réactions qu’elle fut surprise et elle me répondit qu’elle ne s’était jamais senti aussi bien avec quelqu’un et que aussi bizarre que ça puisse être elle m’aimait aussi.
Après cette nuit, nous nous sommes jamais quittais et cela fais maintenant 15 ans que nous sommes ensemble et comme dis en début d’histoire, nous fêtons aujourd’hui nos 10 ans de mariage, nous avons deux merveilleux enfants, qui sont se soir chez leurs grand-mère, car elle ma cuisinais un bon petit plats … de la blanquette de veau, qui depuis, est devenu mon plats préféré.
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