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Alors que je revenais d'un long voyage je longeais à cheval la propriété de la marquise de Lignac, la plus belle femme de la région,aussi la plus audacieuse avec les zizis des hommes.
J'étais chevalier du roi, la quarantaine, j'étais beau et j'aimais les femmes.
Il y a bien longtemps que je n'étais plus puceau et que j'étais conscient
d'avoir une queue.
Très top je me suis adonné à la masturbation en rêvant de la moule idéale, sans abuser de ce plaisir solitaire.
Mon goût pour les femmes était très prononcé, bien que ayant séjourné longtemps aux armées je n'avait pas encore trouvé l'âme sœur idéale.
M'arretant pour pisser, j'étais assez fier de mon membre et de ma virilité.
J'étais loin de penser à ce qui allait m'arriver.
Approchant d'une rivière je voulu me laver et je me mis entièrement nu, un léger vent carressant mon penis et mes couilles, je ressentais un bien-être indéfinissable dans mon corps d'homme.
L'eau chatouillait gentiment la raie de mon cul poilu.
Tel ne fut pas ma surprise en sortant de la rivière de voir que mes affaires avaient disparues.je m'apprêtais à devoir rentrer nu.j'avais le pressentiment d'être observé dans le moindre détail.
En marchant, il me semblait me perdre, mon cheval aussi avait disparu.
Je ressenti soudain comme un coup derrière la nuque.
Au réveil, il me semblait que j'étais dans une vielle bâtisse dans un lit immense.
Alors que j'essayais de comprendre ce qui m'arrivait, je découvrais avec stuppeur que mes yeux etaient bandés, mes poignets étaient attachés à un lit.
Au bout d'un moment qui fut une éternité, il me semblait soudain que quelqu'un était près de moi.
Mon bandeau fut délié, une femme brune, d'une beauté plus que parfaite était là.
Marquise lancais-je.
Taisez-vous, voici ce qui arrive aux hommes qui approchent de ma propriété.
Qu'allez vous me faire.
Ce qu'une femme peut faire à un homme.
Elle baissa lentement ma culotte, et contempla mon sexe.
Belle taille monsieur.
Elle commença à caresser mes couilles, ma queue devint gigantesque monstrueuse.
Mon visage devenait livide et mon membretendu à l'extrême, mes testicules étaient remontées dans mes bourses.
Elle se déshabilla entièrement, je découvris sa touffe noire son mont de vénus et sa chatte très belle et dentelée à souhait.
Ma queue était maintenant immense, en érection totale.
Elle la saisie et commença à me branler.
Bientot j'allais ejaculer.
Elle approcha sa bouché et avala goulument mon sperme.
Durant huit jours je du satisfaire cette femme, puis, assommé de nouveau, je me retrouvait hors de sa demeure.
Ma bite était en feu pour le trajet du retour.
J'étais heureux et furieux d'avoir été le jouet sexuel d'une femme.
Je pensais déjà à lui infliger une revanche.
Ma bite était ravie !
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