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Me voilà un vendredi après-midi. Emmerdé, avec rien à faire de ma peau. Même ma guitare ne m’attire pas. Le téléphone sonne. Ma mère est dans la salle de lavage alors je me lève et répond. La dame se présente, avec sa voix un peu sablée elle me dit que son nom est Sylvie et qu’elle est la meilleure amie de ma voisine Danielle. “ J’habite à une rue de chez toi vers le parc. Je me demandais si tu serais libre ce soir pour garder mon jeune fils, Danielle m’a dit que tu étais fiable et qu’au cas où, ta mère n’est pas loin.” Après avoir vérifié auprès de ma mère je lui demande à quelle heure je devrai me pointé chez elle. Je la salut en la rassurant que je serai à l’heure, je raccroche le téléphone. Le gaillard en moi ne peut s’empêcher de se demander ce que Danielle a bien pue lui raconter sur moi…
En arrivant devant la maison je reconnais la voiture dans laquelle Danielle est montée l’autre soir. Elle m’invite à l’intérieur. Je ne me sens pas aussi confortable que chez Danielle. Cette dame est beaucoup plus à l’aise financièrement que nous. Mais, elle dissipe un peu de ma gêne par ses farces drôles et son langage un peu ordurier. Elle jure comme un bûcheron! Son fils arrive en courant et me salut.
Depuis mon arrivé elle s’arrose le gosier de Merlot. Elle me dit que ce soir elle participera à une soirée où on souligne la retraite d’un des avocats du cabinet où elle est secrétaire. Après avoir fait des arrangements pour un taxi, elle s’occupe de border son fils. En arrivant au salon elle me dit que si j’ai une fringale de me servir sans me gêner, que la télé a toute les chaînes disponibles sur le câble. Je sens qu’elle sait quelque chose sur mes vilaines habitudes d’ado. Son taxi devant la maison, elle quitte en me disant ”À plus champion“.
Je suis bouche bée. Femme mature, elle me lance une invitation. Je suis au septième ciel. D’ailleurs ses courbes on éveillées en moi le voyeur. La nervosité qui m’envahissait m’a donnée une envie de pisser. Je me rends à la toilette. Cette maison est énorme. Dans le couloir je passe devant sa chambre. Elle est habitée de lumière tamisée, d’une petite fontaine d’eau et de grands miroirs tout le tour. Aux toilettes, le bain est gigantesque. C’est un bain pour deux, des accessoires le décorent. Je pisse. Ma queue me parle, elle veut se faire aller. Après avoir tiré la chasse, je me dirige dans la chambre de Sylvie. Une odeur de vanille caresse mon nez. La garde-robe est presqu’aussi grand que ma chambre à coucher! Ses habits noirs, bleus, gris et beiges sont soigneusement étalés. Mais c’est la section tout au fond qui m’attire. Des soutiens-gorges de toutes les couleurs, de toutes les textures, flottent côte à côte. Leurs dentelles hypnotisent mes yeux et font étirer ma queue. Juste à gauche, des tenues légères se bercent sur des cintres. Excitantes de noir, blanc et de couleurs exotiques, elles éclairent mes yeux et font gonfler mon gland. Des jarretelles pendent ne demandant qu’à être allongées sur des cuisses. Je fantasme de les voir sur les jambes d’une femme bien écartée qui attend de se faire manger par ma bouche vierge de chatte chaude. Mes couilles sont en effervescences. Mon gland baigne dans un miel léger. Emprisonné dans mon pantalon, il cherche à respirer. Je sors de la garde-robe, cette cochonne caverne de fantasme, et me dirige vers le grand lit. Du côté de la fenêtre, la table de chevet est couverte de chandelles et de bouquins. Mon cul s’enfonce sur la paillasse. Doucement, ma main ouvre le tiroir de la table de chevet. Un coffret brun orné d’un miroir y prend toute la place. Je soulève le couvercle et mes yeux festoient sur le trésor qu’il renferme. Remplie de jouets érotiques de toutes sortes, cet arsenal aiguise la tête de mon général qui perce mon jeans. Je délie le bouton d’attache et dégage ma chair humide de mon caleçon. La paume de ma main est inondée de liqueur graissante. Mon gland fuse sans arrêt. Jamais je n’ai tant mouillé. Je répands ce miel sur mon manche. Crépitant, chaque glissement convulse ma chair. Le ventre crispé je regarde un vibrateur. Le saisissant, je le porte à mon nez et je peux sentir une odeur familière. Je gicle déjà. Ma semence monte toute droite comme une fusée! Tombante, elle s’écrase sur mon genou et viendra même imbiber le vibrateur encore dans ma main. Image inscrite à jamais dans mon esprit, son mirage vient encore nourrir mon imaginaire.
Assis devant la télé, je suis ébloui des images qui déferlent devant mes yeux, je suis envouté par un mystère. Que vas-t-il se passer quand Sylvie reviendra? La réponse n’allait pas tarder. La soirée a dû être bien arrosée. Elle s’assoie sur une marche pour défaire les ganses de ses souliers à talon haut. Perché plus haut mes yeux déguste la dentelle qui dort sur sa poitrine. Sa brassière tien ses seins gonflés bien en place. Son tailleur est moulé sur ses courbes. Le seul bouton qui le garde refermé est délicatement dégagé par ses doigts longs et fins. Elle me demande s’il y avait un bon film à la télé. Puis son corps parfumé de vanille charnue plane devant moi en se dirigeant vers le comptoir de la cuisine où le Merlot l’attendait toujours. Une coupe se remplie de chaque culbute du vin qui dévale de la bouteille. Elle m’offre une bière. Timide et nerveux je dis non. En ouvrant le réfrigérateur elle me lance :“Un jeune homme galant comme toi ne va sûrement pas me laisser boire seul”, puis le son de verre d’une bouteille se fait entendre. Elle vient prendre place sur la causeuse en face de moi. Déposant sa coupe de vin sur la table elle tient la bouteille de bière entre ses mains et l’ouvre. Mon regard fuie sous sa jupe. De belles cuisses disparaissent dans l’obscurité qui mène vers son bassin. Le son de la pression qui s’échappe de la bouteille de bière me ramène les yeux plus hauts. Une mousse onctueuse se pointe et se met à dégouliné vers la main de Sylvie. “Où là là, je vais devoir faire vite“-lance- t’elle tout bonnement. Elle approche la bouteille de ses lèvres et sa langue lèche la mousse vers le haut de la bouteille. S’exécutant elle me regarde. Puis elle fourre la bouteille dans sa bouche. D’un air cochon l’incère dans sa bouche. Y extirpant une bonne gorgée, elle la ressort et me la tend. Je me lève pour allez la chercher. En arrivant tout près d’elle, une de ses jambes se lèvent. Elle y déposera son bras qui s’affaire à défaire ses cheveux. La lumière perce l’obscurité de sa jupe et une petite culotte de dentelle rouge écarlate s’allume sur le bas de son ventre. Elle joue le jeu à perfection.
Tapotant le cuir de la causeuse de sa main, mon corps se pose tout près du sien. Après avoir gavée sa bouche de Merlot, elle lèche les gouttelettes de cépage qui s’évapore du rebord de Crystal dans sa main. Mon sceptre est dur comme l’argent. D’ailleurs, les yeux de Sylvie le dévorent déjà de désir. Elle rêve de mettre mes raisins mûris dans sa bouche. Nos langues se touchent enfin. Le mélange alcoolique de nos haleines est divin. Panache enrobé de désir sexuel, la chimie de nos deux corps se fond de nos sécrétions buccales. L’exhalation de nos poumons se fait entendre. La chaleur qui déguerpie de nos corps brûle nos vêtements. Humides, ils sont collés à notre peau. Soudain elle insère ses doigts dans ma bouche. Ils sont ensachés du jus de son sexe. Le compte à rebours est déjà avancé et mon pieu bien enduis, ne peut plus reculer. “Ton jus sur tes doigts me fait déborder. Je vais éclater dans mon pantalon”. Debout devant elle, mon jeans est éventré. Habiles, ses mains rusées contrôlent mon sexe. Réalisant qu’il ne reste que 3,2 et 1 au décompte, sa bouche est presque disjointe tellement sa mâchoire est ouverte. Mes mains accrochent la chevelure de Sylvie. Mon corps se cabre et en un instant une première fuite viendra chatouiller loin derrière sa langue. La bousculade de ma semence descend dans sa gorge. À peine à-t-elle pue avaler que déjà la houle de mon gland viendra assaillir les lèvres fermées de Sylvie. Tel un projectile, tout le jus aplatis sur sa peau rejaillira tout autour. Sa langue arrivera tout juste à la sorti de secours sur mon gland bleuté que la marée montera une dernière fois dans sa bouche. Elle murmurera, ravi de la gâterie qui lui a été offerte. Mon général prêt pour la suite redouble d’ardeur. Elle s’excuse de devoir me quitter pour quelques instants, elle souhaite enfiler quelque chose de plus confortable et plus appétissant. Je jubile. J’ai peine à croire la chance que j’ai une fois de plus. Décidemment, elle et Danielle ont partagées de leurs secrets…
Du salon je peux entendre l’eau du lavabo. Soucieuse de plaire, elle prépare sa chatte. Le goût de son nectar sur les doigts que j’ai sucé tantôt coule dans mes veines. Sa main apparaît dans le couloir et son index me fait signe d’approcher. Je retrouve sa chambre, l’odeur de vanille, la fontaine d’eau qui cascade doucement. Son corps mature est allongé sur les draps rouges vin. Sa poitrine et ses fesses sont englouties de dentelle jaune pâle. Des jarretelles noires définissent ses cuisses. Je viens vers elle, laissant tomber tout mes vêtements derrière moi. Quand l’ombre de mon corpus touche sa peau, ses jambes s’ouvrent au ralenti. Sa main frôle sa cuisse et viens caresser ses seins. L’entrecuisse complètement écarté, sa petite culotte sans califourchon expose une chatte radieuse. Lisse et sans poils sur ses lèvres poisseuse, son sexe est rembourré et moelleux. Je m’allonge à plat ventre sur le lit et peint la peau de ses jambes de baisers. Mes oreilles efflorent les côtés de ses genoux envoyant des ondes électriques dans son corps. Son entrecuisse se cajole de mes joues, de la salive de ma langue. Mes lèvres cueillent la peau molle et suce délicatement son plumage. Le son de l’étirement de la peau entre mes lèvres la fait marmonner de plaisir. Ses mamelons se font masser de ses mains, elle les tires jusqu’à sa bouche et les mouillent de sa langue. Un filet de bave est tiré et tombera sur son sein. Ma langue et mes lèvres sont dans le creux des cuisses, tout près d’où ses fesses se vont voir. Je peux voir la rosée se former sur la chair brunâtre de sa chatte. Elle fait travailler ses muscles, sa bille pointe sous son chapeau. Elle se tire d’elle-même vers le haut et se faisant laisse s’échapper des perles de nectars de son sexe. Mon manche est restreint sur les draps et mon corps allongé entre les jambes de Sylvie tire constamment la peau de ma verge vers le bas. Je jouis déjà et la chaleur de mon sperme est si bonne contre ma queue qui y glisse. Quelques secondes plus tard mes cheveux se font sauvagement tirer. Elle ne peut plus se contenir et presse mon visage entier dans la moiteur de son sexe. Je la goûte enfin cette chatte, ma première. Ma langue trempe entre ses lèvres chaudes. Elle cherche sa bille. Sillonnant dans la vallée du plaisir ma langue s’engouffre dans l’entrée de sa caverne. Elle tourne sans effort dans son puits inondé de nectar visqueux et si succulent. Guider par mon intuition mon nez entier viens s’y fourrer et pousse contre son col. Ma langue est étirée et masse l’entrée de son cul qui mouille. Sylvie jouie et se fait entendre : “ Suce ma bille je t’en supplie, roule la sur ta langue, tète la, mange moi ahhh ahhh”. Ma bouche arrivée, l’inexpérimenté s’exécute. Ses mains tirent de chaque côté la peau qui entoure sa bille. Je la vois qui se dresse. Sur ma langue, elle est dure et glisse dans tout les sens. Elle disparaît soudainement. Je sens la frustration qui monte chez la dame. Comme un chien qui sape, ma langue est folle. Mes mains gravirent son corps pour allez pétrir ses seins. Je les brides fortement ensemble en pinçant ses mamelons quand soudain son clito se déploie sur ma langue. Il m’apparaît difforme tellement il s’est gonflé rapidement. Cette fois ça y est, les pieds de Sylvie sont courbés vers l’intérieure, ses orteils sont croches. Ses mains tirent ses jambes comme si elle enfantait et ses murmures émanent de ses entrailles. Bon Dieu mais quelle jouissance elle connaît. Ses délectations se répètent encore et encore. “Défonce-moi de ta queue de fer. Frappe le fond de mes tripes, empale- moi. Fais-moi jouir encore”. Ses mollets reposent sur mes épaules quand mon pieu s’enlise dans son ventre. Je meurtri sa taille de mes mains quand elles glissent sur sa peau humide. Elle en portera des marques pendant quelques jours. S’agrippant à elle, j’enterre mon manche dans son jardin et j’y pioche sans relâche. Ses mamelles se branlent tellement que c’est à peine si je vois le rose de ses mamelon embrouillés. Ma queue masse dans sa crevasse. Mon gland frotte l’intérieur de sa plotte. Mes couilles frappent l’entrée de sa trappe. Son orgasme monte. Son corps est tordu de plaisir. Ses jambes vont de disloquer tellement elle les écarte pour déloger son extase. Ses yeux sont presque fermés quand la détonation rupture tout son corps. Ses cris de jouissance étant abondant elle couvre sa bouche de son oreiller. Pendant ce temps je me suis retirer pour me branler le moine. La satisfaction arrive vite et quand son visage échauffé réapparait je gicle déjà sur son ventre. Son nombril se rempli vite. Elle en cueille et s’en masse les mamelles pendant que l’on reprend notre souffle…
Après m’être rhabillé, elle sort du lit. Nue, elle a de la difficulté à marcher tellement ses jambes sont faible de jouissance. Elle ricane en plaçant sa coiffure. Je rie aussi, timide, ne sachant quoi dire. Elle avale sa dernière gorgée de Merlot et marmonne que c’était très bon. Ne voulant pas être mal comprise elle me dit qu’avant qu’elle ne quitte pour la soirée elle avait laissé quelque chose dans mon espadrille. En arrivant près de la porte je vois l’argent promis pour veillez sur son fils. Je lui ai dit de ne pas s’en faire, que tout était cool. Elle me demanda : “ Si j’ai besoin de tes services je peux t’appeler encore? ”. Je lui réponds par la positive. Elle me lance un clin d’œil juste avant que je sorte…
Ce soir là, mes rêves érotiques m’ont fait goûter de sa chatte encore une fois… Sylvie, ma première chatte…
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