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J’entends le téléphone sonner dans une semi brume. J’ai dormi d’une seule traite pendant 12 heures et bien sûr, je n’ai pas entendu mon réveil sonner. J’ouvre un œil et tente désespérément de remettre mes idées en place, quel jour sommes-nous ?
Mince ! on est mercredi, et il est… 11h00 !!!! Je saute hors de mon lit, enfin, je crois que je saute hors de mon lit, en fait, je me lève péniblement et me dirige vers la machine à café.
Je fais une toilette rapide pendant que mon café se prépare. Et enfin, devant mes tartines de confiture, la mémoire me revient.
La journée d’hier a été pleine d’évènements surprenants et surtout épuisants, mais tellement… comment dire… oui, tellement inimaginables. C’est vrai, comment aurais-je pu imaginer un instant qu’en acceptant d’aller échanger une enveloppe pour mon patron je me serais trouvée mêlée à une histoire de.. Mais une histoire de quoi au fait ?
Ces flics hier m’ont simplement dit que je devais venir témoigner, mais je ne savais absolument rien de cette histoire. Qu’avait fait mon patron ?
Récapitulons : Hier je me rends sur une aire d’autoroute pour échanger une enveloppe, le type en profite pour m’exhiber et me faire me caresser dans un lieu public, je n’ai pu arrêter que quand j’ai eu atteint l’orgasme. Certes, j’aime beaucoup ces situations qui m’excitent beaucoup, mais je n’étais pas venue pour ça, et je n’ai même pas vu la tête du type à l’enveloppe. Il a profité de mon trouble pour faire l’échange.
En rentrant chez moi j’ai été suivi par deux autres types qui en voulaient aussi à l’enveloppe, ils sont entrés chez moi, j’étais dans mon bain, ils en ont profité pour se faire sucer et me baiser à deux. C’était des flics, ils me l’ont dit seulement en partant, et ils doivent m’appeler pour que je fasse une déposition au commissariat.
A ce moment là de mes réflexions, le téléphone sonne de nouveau. J’ai un peu peur de répondre. Et si c’était mon patron qui réclame son enveloppe ? Comment lui dire que je me la suis faite confisquer ? Et si c’étaient les flics qui veulent me mêler à une affaires dans laquelle je n’ai rien à voir ?
Je réponds tout de même de peur de voir débarquer quelqu’un chez moi.
- Allô ?
- Mademoiselle T. ?
- Oui
- Commissaire D. à l’appareil, nous nous sommes vus hier lors d’une perquisition à votre domicile.
- Oui
- Vous devez vous rendre au commissariat ce soir à 18h00 pour une déposition.
- Euh… Mais, je n’ai rien à dire, je ne sais rien
- Ne discutez pas ! Soyez là à 18h00
Le type raccroche, je fais de même. Et le téléphone sonne de nouveau. Je décroche un peu machinalement.
- Allô
- Allô, c’est moi. Qu’est ce que tu fous ? Tu es allé chercher l’enveloppe ?
C’est mon patron. Qu’est ce que je peux répondre ? Je suis sûrement sur écoute. Je ne sais pas quoi dire.
- Oui, je suis allé chercher l’enveloppe.
- Pourquoi n’es tu pas revenu directement au bureau, je t’ai attendu. C’est très important tu le sais. Je t’attends dans une heure dans mon bureau.
Et le voilà qui raccroche lui aussi. Tant mieux, ainsi je n’ai pas eu à lui dire que la police avait confisqué l’enveloppe par téléphone.
Je me rends à mon bureau un peu comme une automate. De toutes façons, il n’avait qu’à aller chercher son enveloppe tout seul. Je frappe à la porte du bureau de mon patron et j’entre. Il est au téléphone, il ne lève même pas les yeux sur moi. Je m’approche de son bureau, il était là assis, avec sa bite à l’extérieur et une de ses secrétaires lui taillait un pipe. Il avait la main sur ses cheveux. La pauvre fille en avait plein la bouche, il tirait sur ses cheveux pour la faire aller à son rythme, elle avait les seins à l’air. Une grosse poitrine d’ailleurs. De temps en temps, il lâchait sa tête pour toucher ses seins. Elle était à quatre pattes le chemisier ouvert et la jupe relevée sur son string et ses fesses. N’importe qui aurait pu entrer.
Je regardais le spectacle complètement subjuguée. J’en oubliais ma pauvre enveloppe. Il prit une nouvelle fois la tête de la fille dans sa main et la maintint un instant, il était en train d’éjaculer dans sa bouche. La fille ne bougeait pas, docile. Il la lâcha enfin, elle se releva, remit de l’ordre dans sa tenue et me vit. Elle parut gênée, elle baissa les yeux et sortit.
Il raccrocha enfin, il me fait signe de m’asseoir. Je n’attends pas qu’il parle et je lui déballe tout. Le type qui fait l’échange et que je n’ai pas vu (je ne donne pas les détails), les flics qui me suivent et me prennent l’enveloppe (là non plus je ne donne pas les détails) et le rendez-vous ce soir, au commissariat.
Il ne dit rien, il semble réfléchir. Puis d’un coup, il frappe du poing sur son bureau, faisant voler les papiers et tomber les stylos.
Je sursaute et m’apprête à m’enfuir à toute jambes. Il crie que je ne suis qu’une incapable, qu’il m’avait fait confiance pour cette mission et que je ne valais rien. Je n’étais bonne que pour sucer les queues de ses clients pour faire signer les contrats.
Il prend son téléphone et appelle quelqu’un. La personne est sommée de venir tout de suite dans son bureau.
Je me lève et lance un timide :
- Je suis désole, je ne savais pas que les flics me suivaient. Je suppose que cela veut dire que je suis virée ? De toutes façons, je ne peux rien leur dire puisque je ne sais rien. Restons en là.
Et je me dirige vers la porte rapidement.
- Qui est-ce qui t’a dit de bouger ? Reviens ici ! Nous n’avons pas fini de discuter.
Son ton s’était radoucit, mais bizarrement, il me parut plus dangereux comme ça. Le type qu’il avait appelé arriva et entra, me forçant à faire demi tour et me rasseoir sur ma chaise.
Comment ai-je pu ne pas m’apercevoir que ce type était dangereux. Il avait l’air tellement normal. Enfin, je vous l’accorde, normal au tant que faire se peut. Certes il me demandait des choses inhabituelles pour l’aider à signer ses contrats, mais dans le jargon, on appelle ça faire appel à des calls girls, ça se fait dans le métier.
Mais je n’avais aucune idée du genre de business qu’il faisait. Je ne m’en étais jamais soucié. Et me voilà dans de beaux draps ! Je me voyais déjà flottant morte, au milieu d’une rivière ou encore électrocutée dans ma baignoire par mon sèche cheveux, par accident.
J’étais assise, le type était placé derrière moi. Il avait une main sur mon épaule.
- Alors, tu vas me raconter précisément ce qu’il s’est passé hier et tu vas me dire exactement ce que les flics t’ont dit.
- Ben, je te l’ai dit. Je suis allée chercher l’enveloppe, le type a fait l’échange sans que je m’en aperçoive.
Il tape du poing sur la table, ça me fait sursauter de nouveau.
- Comment c’est possible ?!!! Tu te fous de ma gueule !!??
- Ben, ben, je ne sais pas, il a voulu voir si je ne portais pas de micro. Il m’a demandé de me déshabiller. Je l’ai fait. Il a ensuite voulu voir comment je me caressais…
Et je me tus. Je n’avais pas envie de raconter ça devant le molosse qui me tenait l’épaule. J’ai senti une légère pression de sa main quand j’ai dit que je m’étais déshabillée.
- Continue.
- Il en a profité pour faire l’échange pendant que je me..
- Pendant que quoi ?
- Que je me masturbais… dis-je sur un ton à peine audible
- Tu veux me faire croire que le type t’a demandé de te caresser comme ça sur une aire d’autoroute et que tu l’as fait ? Et qu’ensuite il en a profité pour faire l’échange des enveloppes ? tu te fous de moi ?
- Non.. non, je te jure, c’est vrai…
Je commençais à vraiment avoir peur. Je baissais la tête.
- Et bien tu vas nous montrer ce que tu as fait pour que tu sois si absorbée pour ne pas voir un type faire l’échange des enveloppes.
J’allais ouvrir la bouche pour protester quand il cria :
- Maintenant !
La différence avec hier, c’est que là je n’étais pas du tout excitée. Et je n’en avais pas du tout envie. Hier j’étais insouciante, je ne savais pas tout ce qui allait arriver ensuite. Cependant, je comprenais qu’il valait mieux obéir. Et puis, mon patron m’avait déjà vu plusieurs fois nue dans des situations bien plus excitantes qu’une simple masturbation.
Je me levais, retirais mon chemisier et ma jupe, sous l’œil vicieux du molosse. Je retirais mon soutien gorge et mon slip et me plaçait au bord de la chaise. Je fis mine de me caresser pour leu montrer et refermais mes jambes.
- Tu te moques de moi j’espère ? Répète exactement chaque geste. Nous n’en perdons pas une miette.
- Il m’a dit de lui monter ma chatte en l’ouvrant avec deux doigts et de me caresser les seins.
- J’imagine qu’il n’a pas dit ça comme ça…
- Il m’a dit de me caresser la chatte et mes gros seins et que j’étais une salope qui aimait ça, se montrer devant tout le monde et se caresser dans la rue.
- C’est mieux… montre nous
Le type derrière moi s’était placé devant pour ne pas perdre une miette, il fixait mes seins et mon doigt qui caressait mon clito lentement. Je voyais que la situation commençait à l’exciter. Il y avait une bosse qui se formait dans son pantalon.
- Ensuite il m’a dit de me lever et de lui montrer… mon cul, il voulait coir mon trou pour voir si il aimait prendre des bites. Et il m’a demandé si j’aimais ça.
- Et tu lui a dit quoi ?
- J’ai… j’ai dit que j’aimais ça. Que j’aimais sentir des bites dans mon cul. En suite il m’a dit de me mettre des doigts pour vérifier.
- Très bien… montre nous…
Je me suis relevée, je me suis mise debout de dos. Je me suis penchée en avant et j’ai écarté mes fesses. Ils avaient une vision de ma chatte et de mon anus. Le molosse était à peine à 50 centimètre de mes fesses, il pouvait juste tendre la main pour me toucher. Cette situation et l’impression de danger m’excitèrent de nouveau. Mais j’essayais de ne pas le montrer. Je mouillais mon index comme hier et le rentrais dans mon anus, je fis quelques aller retour et le ressortit de nouveau pour le mettre dans ma bouche. Je retournais ma tête pour le faire. Autant leu en donner pour leur spectacle. Et puis ça m’aiderait peut être à m’en sortir.
Le molosse n’en pouvait plus, il avait sorti sa grosse bite et se caressait carrément en regardant mon doigt entrer et sortir de mon cul.
- Ensuite, il m’a demandé de mettre une bouteille de coca dans mon cul et de m’en servir comme d’un gode.
- Très bien… voyons, nous n’avons pas de bouteille de coca… Nous n’avons pas de gode non plus… Et bien c’est Bernard qui va te servir de gode, hein Bernard ?
- Mais, non, je heu, je veux dire, heu.. j’ai du m’asseoir avec la bouteille et me caresser ensuite.
- Mais c’est possible.. Bernard ! vas-y encule-la. Mets lui ta bite bien au fond pour que vous puissiez vous asseoir ensuite pour la suite du spectacle.
Il s’approcha de moi, me pencha en avant, cracha tout de même sur mon anus, et s’enfonça d’un coup. Je criais de douleur, son sexe était énorme. Voilà donc le but. Me punir pour hier. Il avait fait venir ce type pour me punir. Je préférais cela aux coups, c’est vrai, mais son sexe était vraiment énorme. Il rentrait bien au fond de moi, et il fit quelques aller retour rapide pour se faire plaisir. Je restais penchée en avant sans bouger, ce type se servait de moi.
Il nous retourna ensuite pour montrer à son patron.
- Ainsi donc tu t’es assise avec la bouteille dans ton cul et tu t’es caressée… Bernard, je te laisse faire…
Il me souleva comme une plume, faisant entrer encore plus son membre en moi, si c’était possible. Et il me fit faire quelque aller retour sur son membre tendu vers moi. Ca n’était plus douloureux. J’appréciais d’avoir ce gros engin en moi qui bougeait et me procurait des sensations que j’aimais. Je mouillais carrément maintenant et ma mouille coulait sur mes jambes.
Il s’assit en me portant doucement et je me retrouvais assise sur ce type avec sa queue dans mon cul. Elle était un peu ressortie, vu la position, mais elle était tellement énorme que je la sentais bien quand même.
- Vas-y caresse toi.
Je mis ma main sur mon sexe et caressait mes lèvres d’abord puis mon clito lentement au rythme des aller et venues du fameux Bernard. Il allait de plus en plus vite, j’étais comme possédée, je sentais ma jouissance venir, et je me foutais complètement de l’endroit où je me trouvais. Je me caressais comme une folle en criant des « oh oui ! vas-y ! défonce moi le cul ! vas-y plus fort ! oui c’est bon ! ». Bernard m’avait empoigné les seins et les malaxait, ça n’était pas dans le scénario mais c’était trop bon.
Je finis par jouir et les contractions de mon anus sur son sexe fit venir Bernard au fond de moi.
Mon patron nous regardait sans rien dire, j’étais complètement en nage. Je n’osais plus bouger, Bernard se retira avec douceur (bizarre pour un type de cette taille…).et je restais là debout sans bouger. Je sentais le sperme de Bernard couler le long de mes cuisses.
Je savais qu’il y avait un lavabo dans un coin du bureau de mon patron, mais je n’osais pas bouger sans demander la permission.
- Je peux aller me laver ?
- Vas –y, il te reste à me raconter l’histoire des flics et ce que tu leur as dit.
Ah non ! Alors cette fois, je ne lui raconterai pas ce qu s’est passé avec les flics en détail. J’allais vers le lavabo et me nettoyais. Bernard s’était rhabillé et replacé derrière la chaise. Je reviens et fis mine de reprendre mes vêtements.
- Qui t’as dit de te rhabiller ? Tu le feras quand je l’aurais décidé.
Le salaud, j’étais plus vulnérable ainsi, nue devant eux. Et avec ce qui venait de se passer, je l’étais encore plus.
- Les flic m’ont suivi chez moi, ils ne m’ont pas dit qu’ils étaient flics, ils m’ont montré leur flingues et ils ont voulu que je leur donne l’enveloppe. Je l’ai fait parce que j’avais peur.
- Ah ouais, ils sont rentrés comment ? Et comment ça se fait que tu ne m’aies pas appelé ensuite pour tout me raconter ? Et pourquoi j’ai eu le sentiment ce matin en t’appelant que tu venais de te réveiller ? Tu te fous de moi !!! Tu es de mèche avec eux ! salope !
Et vlan ! une giffle, pas du tout méritée et cuisante ! je crie.
- Non, je t’assure, ils sont entrés par surprise, j’étais dans mon bain, ils m’ont forcée à leur filer l’enveloppe. Et ils sont partis.
- Ouais, j’ai pas le temps de m’occuper de ça. Tu vas rentrer chez toi. Ce soir tu vas chez les flics et tu me racontes ensuite ce qu’ils savent sur moi. T’as pas intérêt à leur raconter quoi que ce soit, ou Bernard viendra te rendre visite et il sera un peut moins doux que tout à l’heure. T’as compris ?
J’étais tellement contente de m’en sortir comme ça, que j’acquiesçais et filais sans demander mon reste.
Je sortis nue sur le palier et fonçais aux toilettes me rhabiller. Personne ne semblait trouver ça bizarre. Je rentrais chez moi et me fis un café. J’avais quelques heures devant moi pour réfléchir à tout ça… Comment cela allait-il finir ?
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