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La nuit, toutes les chattes sont grises

Ecrit par Ivan
Parue le 11 octobre 2024
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Cette histoire érotique a été lue 105 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14.5/20

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La nuit, toutes les chattes sont grises

Préface

Il a aujourd’hui quarante-et-un ans, son épouse quarante. Elle fait beaucoup d’efforts pour rester jeune et il doit dire qu’elle y parvient très bien. Elle est petite, bien foutue, blonde, mignonne. Souvent elle sort avec des copines. Elles se font un resto, et finissent généralement en boîte. Il la laisse s’amuser. Elle est fidèle, peu attirée par le sexe, et sa réelle intention lorsqu’elle sort est de danser, de s’amuser. Il n’en éprouve aucune inquiétude. Il est d’un naturel jaloux, mais il adore qu’on regarde sa femme avec envie. Peut-être le sentiment d’une puissance liée à son attractivité… 
  Comment le corps de l'épouse est utilisé comme objet à profaner, ce que signifie ce rituel destructeur au sein du couple, en quoi cela le fait fonctionner et le renforce... Sous la plus troublante des confessions apparaît la plus intense des histoires d'amour. Marielle Ferrety faisait toujours fort impression aux hommes. L'épouse avertie et subtile se plie aux rituels dégradants que lui propose son mari mais n'y trouve qu'un plaisir ambigu, loin de la pleine sensualité qui est la sienne. Elle s'y soumet malgré tout, sachant que cet érotisme exacerbé participe d'une lutte à mort contre le vieillissement et le déclin du désir. La magie sexuelle des mots, tous à doux, crus tendre, obcènes, enjoleurs ou pervers, ils féron découvrir la littérature érotique sous un jour nouveau.
L´auteur va donc très modestement tenter de démontrer l’influence des changements sociétaux sur les comportements sexuels et les fantasmes qui les accompagnent et plus particulièrement, celui ayant trait au candaulisme.  C’est là qu´Ed Wilson lui a révélé ses penchants vers le candaulisme et que lui-même profitait avec grand plaisir à ses penchants. Ils vont connaître un grand Black d’au moins 1 m 95 hyper musclé appellé Pablo. Heures brulantes déjà de l’apprentissage du corps de l’autre,  s'abandonner à la magie sexuelle des mots. , jusqu’à ce qu’elle croise de nouveau ce dieu du sexe aux yeux chatains et séduisant à en mourir. L’homme qui ne jouait pas franc-jeu. L’homme qui s’était joué d’elle. Séduisant, riche et arrogant. Marielle avait touché plus frofondement, quelque chose qu´il crroyait intouchable. Son objetif qu´elle tombe amoureusement de lui. Tour à tour doux, crus, tendres, obscènes, enjôleurs ou pervers, ils vous feront découvrir l´expérience érotique sous un jour nouveau.  Voici de l’érotisme pour tout le monde, et pour toutes sortes de goûts.
Un
Les immeubles étaient sutués dans les Quartier d´affaire florissant de New York. Un peu après 8h du matin, Ed Wilson Ferrety s´assis à son bureau surplombant la rue fourmillante. Les gens et les taxis jaunes ressemblaient à des fourmis em mouvements constant, toujours affaires, toujour tendus comme la ville. Ed Wilson avait déjà été vibrant de vie. Vivre avec intensité, travailler avec encore plus d´intensité. Un silence suivit cette révelation. Peu après un verre à la main, une belle blonde d´une étourdissant beauté s´encadra dans l´embrassure l´une des portes. Elle devait avoir dix ans de moins que son mari. Elle est blonde, mince et grande avec une poitrrine lourde qui bourgeait quand elle marchait. C´est la sensualité animal qui émmanait d´elle et la durété impitoyable de son regard. Quand elle sortit de l´ombre son t-shirte s´arretait en haute de ses cuisses nues et tout d´abord interloqué ne sachant em posé ses yeux. Il crut qu´elle ne portait rien d´autre. Quand elle s´assis sur um fauteuil de jardin, assez bas en osier et qu´elle croise ses longues cuisses couleur de miel. Il entrevit à leur naissance quelque chose de noir qu´il prrit pour des poils
- Je vais vous donner une preuve indubitable de ma complaissance à satisfaire votres désirs, dit Ed Wilson son mari.
- Tu me ferais um devoir de détailler les libertés scandaleuses d´une vie débordée avec mes amants.

Au premier étage, Marielle défait tout ses boutons de sa robe. Elle laisse choix le tissu de long de ses épaules et va chercher l´agrafe du soutient-gorge avec ce geste que Ed son mari appris à mettre en valeur. Quand elle fait glisser la culote le long de ses jambés, son coeur se met à battre. Elle est nur dans le pays de la libertinage.Un long moment elle reste ainsi suspendue dans l´attente. Le sang le ronfle aux oreilles et un serpent love et délove ses anneaux dans son ventre.Elle s´approche enfin de la fenêtre et appuie son front sur la viitre froide. Une image lui revient, c´est le premier été qu´elle a besoin d´un amant. Elle sourit avec synisme. Quand le hasard et l’enchaînement des situations fait basculer Marielle dans des envies et des désirs, elle offre généreusement des émotions inoubliables à ses rencontres fortuites.


- Je ne sais pourquoi, mais j’ai le fantasme de te regarder faire l’amour avec un autre homme. Il éjacule enfin, de puissants jets de sperme viennent s’écraser sur le bas de ton ventre, sur ton pubis, les derniers finissent sur tes lèvres écartées. Son sperme chaud est brûlant sur ta peau. Toi en grognant son plaisir. Les sons qu’il émet sont tellement grotesques. Toi aussi tu grognes de soulagement. Il se retire de toi et je vois distinctement un flot de sperme s’échapper de ta chatte. Souillant ta robe et le skaï de sa voiture. Quelle quantité.
- Ça fait longtemps que tu traînes ce fantasme.J´espère que vous prendez autant de plaisir de m´offrir à vos regards avec un autre.
- ?Si ça vous tente, d’ailleurs…

Marielle est en train de s´habillée et comme chaque fois qu´elle est face à un miroir, elle est hypnotisée par son propre image. Le couple de millionnaires. La blonde enfile une robe rouge de Ralph Lauren et se regarde avec une moue. Elle a le look cheveux mouillés. On croyait qu´elle était clone de Sharon Stone dans le film Basic instict II.
- Un amant c´est plus sexy qu´un mari. Je savais que je serais une autre femme.
- Vous-êtes superbe avec beaucoup de conviction. C´est três sexy. Si tu veux on le fait, dit le mari.
- Pourquoi pas? Je veux avoir un amant. Tu veux ou tu ne veux pas.
- Un étalon que baise tous les deux.
- Pas de chance.
- Tu ne sais ce que tu perds. Je léche super bien une grosse bite. Tu es libre, fais ce que tu as envie de faire.
- Si je suis avec un amant que tu vas faire?
- J´ai beaucoup aimer voir ma Femme se faire prendre par um autre homme devant moi à la fin qu´il lui gicle son sperrme au fond de son vagin. C´était tellement excitant que je n´ai pas résister à lécher son sperme. Ça c´est réalisé.
- S'il te plaît, ne sois pas en colère contre moi. Qu´est-ce que vous excite tellement à propos de ces trucs de cocu? Pensez-vous que vous voudriez vraiment que je baise d'autres hommes et que vous vous laissiez nettoyer leur sperme de ma chatte? 
-  C'est ce que tu veux vraiment?  Je suis un peu nerveux, mais je veux vraiment sentir à nouveau une grosse bite en moi, et je sais que je suis prêt pour ça..
- Toi aussi? Je suis d´accord.  J'étais excitée juste en entendant parler de ces queues noires et brunes.
- Je pense dans un avenir proche, passer à l’acte en m’offrant ma première fellation devaant toi, car je m’en sens le besoin. Cette sensation d’avoir un pénis dans la bouche doit être super excitante, je pense que je ferais des merveilles avec la langue.
- Jusqu’ici, je me prêtais sagement au jeu. 

Marilia... C'est une femme blonde, sexy 1.m75, bien faite avec de magnifiques seins en bonnet DD et un gros cul saillant. Elle est une femme au foyer normale, de tous les jours, avec un mari qui m'aime. Elle s'appelle Marielle, et elle a toujours l'air très bien à trente-deux ans avec des cheveux blonds naturels et des yeux verts étincelants. Son mari, Ed, a trente-cinq ans et travaille comme éditeur pour une maison d'édition de livres, et il lui dit toujours à quel point elle est jolie et sexy.
- Tu veux quoi? Tu veux que je me fasse baiser des hommes?
- Ça va aller," lui dit l´époux.

Cela s'excitait un peu de savoir qu'un homme viril comme ça ferait tellement attention à elle, et la blonde doit admettre que ça lui mouille la chatte.  Ed l'a toujours encouragé à s'habiller de façon provocante, et il aime voir d'autres hommes baver sur elle quand ils sont en public. Mais jusqu'à ce que les événements décrits dans cette histoire, il ne permette jamais rien d'autre que de regarder ces autres hommes. il pourrait intérioriser ces fantasmes cocu comme il l'a fait.  Il pouvait comprendre cela puisqu´elle était presque nymphomane. Même si elle ne l'encourageait pas à le faire cocu, Marielle doit admettre qu´elle commençait à penser à quel point ce serait amusant de baiser un ou plusieurs hommes, juste pour la variété.

Ed Wilson Ferrety est un bel homme mesurant six pieds et pesant cent quatre-vingt-cinq livres, et c'est le mari parfait pour elle, à une exception près. L'époque, Wilson portait un collier en or et pierres précieuses ainsi qu'une montre en or. Il a une bite de taille plus petite que la moyenne, et même si il prend du plaisir à la baiser, ils obtiens généralement ses orgasmes en suçant sa chatte après qu'il ait éjaculé en elle. Le fait qu´elle a épousé un homme avec un petit pénis petit. Marielle doit admettre que sa petite bite ne lui satisfaisait pas pleinement après toutes les grosses bites qui l'avaient baisé, mais il était déterminée à être une épouse fidèle. Il était et continue d'être très enthousiaste à l'idée de lui sucer la chatte et ne semblait pas se soucier du fait qu'il avalait son propre sperme.
Un vendredi soir, au mois de juillet Marielle ressentait une très forte envie de sexe. Elle avait coiffé ses cheveux avec soins et même sa toison intime avait été correctement épilée. En sortant de la salle de bain, elle a enfilé une paire de bas soyeux couleur gris clair Dior, très doux, un porte-jarretelle blanc, le string tout mini assorti complètement transparent devant et c’est là que son époux a vu qu’elle avait sa chatte en superbe. En haut un soutien gorge blanc complètement transparent aussi on voyait ses tétons gonflés d’excitation à travers.  La blonde se préparait comme à son habitude dans ces moments là dans la salle de bain, huile parfumée partout, parfum Chanel 5. Elle se maquille avec application, fond de teint, fard à paupières, rummel, contour des yeux, sourcils et enfin rouge à lèvres.Ses gestes étaient précis et délicats.

  - Laisse-toi faire… Tu ne le regretteras pas, dit le mari.
- Cet insatiable n’en avait jamais assez, dit l´épouse.
- Cette petite robe rouge... Ce n’était pas vulgaire, c’était érotique.
- Je ne sais pas pour les autres hommes, mais moi, ça m’excite beaucoup de me exhiber, beaucoup… Finalement, c’est amusant de jouer à la salope. Dit-elle avec un petit rire.
- C’est réellement très agréable, comme sensation.  Un sexe est quand même plus beau quand il est bien rasé. T´as envie de faire l’amour avec un autre homme.
- Je me disais juste que ce serait amusant, et même peut-être excitant d’aller y faire un tour. C’est de la curiosité, rien de plus.
- Moi mettre une robe courte
- Avec rien dessous?
- Oui si tu veux... Ne vous inquiétez pas, on va rentrer, mais je ne voudrais pas que vous soyez tentées de vous cacher si j´ai rencontre quelqu'un.
- Tu sais bien que l’on ne peut plus attendre. Je ne pensais qu’à ton plaisir.
- Tout est merveilleux chéri! Vous êtes en passe de réussir cette folle aventure.

Elle aimait les montées d´adrenaline. L´homme allait lui offre une vie à deux cent à l´heure. De par conséquent elle souhaitait sucer et se faire baiser comme une chienne dans un lieu public. Sur le trajet en voiture, sa légère robe sexy remonte sur ses cuisses nues, et son décolleté me permet d’apercevoir la naissance de ses seins. Elle était de plus en plus excitée. Elle est garé dans le silence de la nuit. Ni un chat dans les rueles, ni un passant noctamble aux alentours de la place du village ne vint violer la calme ambiant. Accompagnés d´un mouvement de hanches à chaque pas, Seule ses talons aiguilles foulant le sol avec la sensualité qui les caractérise alertèrement les oiseux de nuit de leur venue. Ses pieds tels de pates de félin, sur les marches tentaient d´être discrets avec des touches de sensualités. Arriverait-elle à se abandonner au libertinagem? Autour d´elle, um flot de voitures multicolores déverse des hordes de touristes à la peau blanche, rouge, bronzée. Sur le trottoir, en fumant une cigarette. Une frisson courut tout le long de sa colonne et brusquement se belles pensées s´envolèrent. Habillée d´une robe Chanel de 10.000 euros elle était divine. Elle se mit à scruter les lieux. Silvie se sentait espionnée, analisée, comme si pour quelqu´un dans cette immense ville. Tous les faits et gestes avaient de l´importance. Quand elle avait sortit de l´ascenseur, ses yeux passaient d´un visage à l´autre tentant... Elle se mordit la lèvre inférieure, étrécit ses yeux et regarda l’homme de haut en bas. Elle était de nature prudente, mais il ne semblait pas dangereux. Il semblait plutôt… À bout de nerfs...

- Madame… Je suis Pablo
- Oui, qu’est-ce qu’il y a?
- J’ai une proposition indécente à vous faire.
- Une proposition indécente? Et en quoi est-elle indécente? Pour une tone cache que vous avez…. Je vous attends dans la bar d´hôtel.
- Ok…

Mais elle ne haïssait rien autant que la presse. Des sangsues qui mettaient leur nez dans les affaires des autres, qui dévoilaient des secrets en première page et qui propageaient des rumeurs à n’en plus finir. Des photographes avides qui envahissaient son intimité, qui traversaient les haies et escaladaient les murs pour une photo floue qui ferait scandale. Les journalistes, les pigistes à potins, les paparazzis, tous ces connards sans conscience qui détruisaient des vies avec des propos déformés et des photos nulles. Sans aucun remords.


À ce soir une superbe femme aux cheveux blonds est assise au bar avec un cocktail à la main. Sa robe rouge sexy é, bouffante sur les épaules, présente un profond décolleté en V, révélant juste assez de sa poitrine releve la tetê pour examiner discrètement l´ensemble des pigeons potientels de la pièce. Ses yeux passent ainsi sur elle, sans qu´elle ait l´air de lui marquer un quelconque intérêt. Une femme aussi belle qu´elle, assise seule au bar, dans une robe aussi sexy? Il est certain que sa compagnie risqué de lui côter pas mal et, bien qu´il soit tout prêt à payer, il ne sait pas comment il va aborder le sujet.


- L’endroit te plaît-il? Demande Pablo un black merveilleux..
- Beaucoup, c’est chaud. J’ aime cette ambiance mystérieuse et j’ai hâte de voir ce qui va s’y passer.

Marielle et lui étaient sexuellement très excités, et on avait envie de fumer un peu d’herbe pour les détendre et faire l’amour tranquillement. Il chuchote quelque chose. Dans ses suprêmes illusions. Quant à sa robe rouge à pois blancs, elle ne cache pas grand-chose de ses cuisses bronzées sitôt qu’elle croise les jambes. Quand il détourne les yeux d’elles c’est pour tomber sur le décolleté généreux de son hôtesse et sa voix, peu à peu, se brouille. Dans un boudoir de l´hôtel, meublé d’un luxe extravagant et raffiné, se tenait une belle femme aux yeux bleus du type Sharon Stone, étendue sur un divan recouvert d’une grande peau d’ours plus rien dessous. Chaque fois qu’il arrive, c’est la même chose, la même sensation… Une délicieuse douleur dans le bas de son dos, juste à la naissance de ses fesses, fait naître une vague d’émotions. elle se sent se cambrer, sa croupe se tend… Ses jambes s’arquent. Ses seins gonflent, ses tétons durcissent. Un désir fou d’être nue, de la mettre à quatre pattes,

- J’ai une bouteille de JB sur la table. On pourrait peut-être l’ouvrir?
- Pourquoi pas?
- Permettez-moi de vous dire que vous êtes absolument ravissante. Savez-vous, Silvie, que vous êtes une très belle femme?
- Merci, c’est gentil.
- Je vous trouve vraiment très attirante.
- Vous êtes charmant, vous aussi…
- Moi aussi, j’aime bien parler avec toi.
- Tu méritais mieux. Une belle femme comme toi.
- C’est vrai, tu me trouves belle?
- Et comment! T´as une poitrine de folie.
- Vas-y salope, suce la grosse queue d’un black, pompe encore, t’as encore envie de pomper de la grosse queue, hein? Salope! Marielle n’arrêtait pas de pomper la bite de Pablo qui commençait enfin à se dégonfler.

Son portable sonnat est son mari.

- ?Tu es où là, Marielle?
- Dans un l´hôtel.?Je marche dans le couloir.
- ?Et lui, il est où?
-?Il est sur le lit avec une enorme queue noire dur comme fer.
- ?Tu as envie de quoi maintenant ?
- ?Ben, je t’ai dit. Je vais devoir laisser tomber. On n’a pas de capote et ça me crispe. Du coup, il éjacule et je n’ai pas le temps de prendre du plaisir
- ?Détends-toi, laisse-toi aller
- ?Tu sais bien que je ne peux pas. Je suis déjà allée trop loin.
- ?Mon amour, je sais que tu en as envie. Sa queue. Oui, sa queue paraît plus dure, plus longue, plus grosse que d’habitude.
-?C’est pas le problème.
-?Justement si. Tu es déjà allée très loin. Tu dois aller au bout.
-?C’est trop risqué.
- ?Dis-moi, ma chérie. Tu attends mon autorisation pour le laisser jouir dans ta petite chatte, c’est ça?
- … Mais il ne faut pas…Il est un mâle en rut.
-?Sois honnête, c’est ce que tu veux ou pas? Oui ou non?
- ?C’est pas si simple. Si j’étais protégée, oui mais là c’est risqué !
- ?Merde tu veux son sperme ou pas?

Ed a vu que Pablo était sous le charme et en même temps, il ne pouvait pas cacher son émotion, son sexe se tendait, Ed avoue qu’à ce moment-là j’ai observé ses attributs discrètement il a des attirances bisexuelles inavouées. Sa verge était longue et grosse, son pubis coupé court. Par contre, ses bourses étaient petites, mais complètement lisses. Cette vision l’électrisa, lui non plus il ne pouvait pas cacher son excitation, son short léger était déformé par son érection, Ed avait enclenché cette situation, fallait qu´il assume. Le black passait ses mains le long du corps de Marielle, sur ses hanches, ses fesses, sur son pubis. Sa femme avait les yeux fermés, il sentait qu’elle prenait plaisir, son amant lui donnait des petits baisers dans le cou.Quand elle se place à quatre pattes, son superbe petit cul tendu vers lui, ses yeux semblent prêts à jaillir de ses orbites. Nul besoin de guider, son sexe coulisse en elle sur toute sa longueur en un seul mouvement. Planté jusqu’à la garde, son pubis excite son clitoris. Pablo a fermé les yeux appréciant le moment. Il se positionne derrière elle, enduis sa grosse queue de son miel juste pour le plaisir de l’entendre gémir, puis viens s’enfoncer en elle. Elle pousse un long gémissement et lâche un «?he’s so big?» à son homme qui se passe de traduction. Le black la saisist aux hanches et entame une délicieuse chevauchée, d’abord lente, le temps qu’elle s’habitue, puis quand elle la sent bien en phase, de façon plus puissante. Pablo avait donc des gestes sensuels et diaboliquement précis. Pourquoi lui refuser cette satisfaction ? Mon plaisir montait à la vitesse grand  Puis en amples mouvements, il s’active suivant le rythme donné par ses jambes dans son dos. Le souffle court, Elle inspire et expire à chaque pénétration.
- ?Oui, oh oui, comme ça, encore, Pablo, plus fort, ouiiiii… Ahhhhh, C’est bonnnnn...
Tous deux, on s’exprime à grands cris. D’un coup, elle se crispe, ne bouge plus et puis lance un grand cri de plaisir. Son sexe se resserre sur la verge, il explose dans un jouissance qui dans l’instant lui laisse sans force. Cette vision hard lui rendait fou, il se masturbait à lui faire mal. Sa femme était au bord de l’orgasme, elle criait de plaisir, Paablo grognait. Il a joui en elle. Sa douce pleurait de plaisir, son corps faisait des soubresauts, Ed avait jouit aussi, c’était irréel.

- Hummm… Ta peau est douce, sa queue est dure, chaude. Je voudrais voir si je t’excite toujours. Tu imagines! J’ai en même temps dans mon lit un mari impuissant et un amant bien viril comme vous.

Marielle, son épouse, est une femme charmante, , cheveux courts, des yeux bleus magnifiques, un visage doux, un large sourire permanent la rendent encore plus lumineuse. Elle pratique la gym plusieurs fois par semaine, malgré les années qui passent, elle garde un corps superbe. s´habille et s’apprête à partir. Elle s’était faite toute belle, sexy et à la limite de la provocation. Une petite robe courte de couleur rouge dont le devant pouvait s’ouvrir par de petits boutons dont elle avait pris soin de laisser les trois du haut ouverts. De cette façon, même si elle était menue, sa poitrine serait malgré tout visible par celui qui le voudrait. Pablo s’est assis au bord du lit, son sourire lui dit son bonheur. Elle se penche, lui fait une bise sur le front. Nu, il la suit.

-?Vous êtes très jolie, et vos jambes toutes bronzées sont splendides, dit l’homme.
- ?Merci, dit la femme tout en recommençant à faire voyager sa main sur une de ses cuisses.
-?Au revoir, Pablo et merci pour ce bon moment.
-?C’est moi qui te remercie. Maarielle, tu m’as donné envie de revivre.
- Voilà mon numéro du portable, appele-moi si tu souhait enculer aussi mon mari dans chez-nous.
- J´aimerais beaucoup, Marielle.

Elle va poser sa sacoche sur la table et vient vers lui. Elle lui fait une bise appuyée et lui susurre à l’oreille:
- Je suis pleine de sperme d´un merveilleux black, te raconterai tout à l’heure, au coucher.

Dans sa maison, elle claque la porte derrière elle, fit valser ses escarpins défit son chignon. Sa chevelure blond chuta en cascade de long de ses reins. La belle femme déboutonna sa robe dévoilant une grosse poitrine haute et ferme. Liberes ses mamelons durcirent. Elle passa à la salle de bain pour se mettre à son aise. Fière de son corps, le miroir chaque jour offrait à sa vue une image désirable: des fesses rondes, une taille fine, des hanhes bien dessinées et des seins magnifiques. Mais est-ce suffisant pour avoir une vie sexuelle épanouie? Marielle alors, passe du temps sous les jets d’hydromassage d’une bonne douche a? se de?tendre et se de?lasser.La blonde’enfile ensuite un peignoir en tissu-e?ponge et, munie de cre?me solaire et d’un drap de bain, avec aussi une boisson frai?che, un magazine et un roman de Victor Hugo, elle part s’installer sur un bain de soleil au bord de la piscine. Comme a? chaque fois, elle quitte son maillot de bain pour se retrouver entie?rement nue. La voila? pre?te pour une journe?e...

- Aurais-tu attisé des appétits?
- Plus que tu ne peux l’imaginer, mon chér.
- Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise!
- Allez, Marielle! Dis-moi, qu’est-ce-que c’est?
- Surprise, surprise, surprise… Re?pliquait-elle en souriant.
- Nous sommes allés dans sa chambre, d´un hôtel cinq étoiles, il m’a dorlotée, choyée, caressée et on fait l’amour jusqu’à l’orgasme.?Humm… oui… mon chéri… je rêve chaque fois que c’est lui qui me baise… Sa bite me fait peur et m’excite terriblement en même temps… je suis toute trempée dès que j’y pense.?Oui, mon amour. Il vient de poser sa queue devant ma petite chatte.  Il commence à s’enfoncer dans mon ventre. C’est bon, mon amour, C’est trop bon. Ça t’excite, hein! Mon chéri, dis-le-moi. Oui. Dis-moi tout. Dis-moi si tu aimes. Oui, mon amour. Aaaaaahhhh... J’aime ça... Il est en moi maintenant. Je sens sa queue qui m’ouvre le ventre. Il est gros, tu sais. Ça me fait un peu mal mais j’aime ça. Ouaaaaaah! Putain, qu’il est gros!
- ?Si gros que ça?
- ?Ouaaaaaaahh?! Énorme! Oh, doucement, Pablo doucement, t’es trop gros. Il me baise bien, je sens que l’envie de jouir revient.
- ?Sens comme il a bien joui, nettoie ce qu’il a laissé dedans, et touche ma chatte, elle est encore tout endolorie. Lèche-moi pour reprendre ce qui t’appartient et viens me prendre ensuite pour que tu sentes son sperme au fond de moi.
- Tu penses à lui?
- Pas forcément, non, mais tu m’en parles alors j’y pense.
-Menteuse!
- T’as bon. J’arrive même pas à bosser…
- Et tu penses à quoi?
- À ton avis?
- À sa queue?
- T’as encore bon. Je le sens encore en moi.
- À ce point? Tu mouilles?
- Héhéhé, moui.
- Appelle-le! Fais une pose. Appelle-le.
- Je l’ai appelé ce matin sur la route. Et on s’échange des SMS.
- Ha… vous vous êtes dit quoi?
- Il dit qu’il veut me revoir, qu’il est amoureux de moi.
- Aie aie aie. Amoureux ? et toi tu lui as dit quoi?
- J’ai pas répondu. J’ai juste dit que moi aussi je voudrais le revoir.
- Quand?
- Dès que je peux.
- Ce soir?
- Je sais pas. Ce soir c’est compliqué.
- Ouiii. Merci mon amour.

Une semaine plus tard son portable sonna, après un long soupir elle le décroche:

- Oui, allô, Bonjour.
- C´est Pablo. Boujour ma chérie. Où est tu?

La blonde a garde le silence querques secondes.

- Je t´ai dit que je ne suis pas ta chérie. Je suis chez-moi.
- Il y a des choses qui ne change pas em un claquement de doigts. Tu sais très bien que tu es faites pour moi et je n´acceprerais pas le contraire. Nous sommes faites l´un pour l´autre.
- Peut-être dans un rêve loigtains.
- Comment oses dire cela? Je te proposes du plaisir, de la joissance à la volonté. Je sais que tu aimes ma grosse bite.
- Je suis une Femme mariée.
- J´ai déjà parle avec son mari. Il m´avait iinvité chez-luio 22h.
- Tu lui as dit quoi.
- Rien de rien. Mais il avait sucé ma bitte.
- Ok. Tu peux venir chez-moi. Je t´attend. À plus...

L’ambiance est feutrée, paisible, naturelle, comme elle aime… Un sourire un peu sadique se dessine sur ses lèvres. Elle enfile ses plus belles vêtements, três provocatrice elle aime allumer.
Marielle espère vraiment qu´après avoir eu un rappport sexuel avec lui et son mari dans sa maison, une relation va naître entre eux. Elle est folle du sexe du black. Marielle cherrchait un black bisexuel pour assouvir leur fantasmes comuns.
La nuit était étrangement tranquille, laissant naître en douceur ce dimanche de fin d’été. Marielle Habille?e très sexy, elle porte une petite robe de couleur rouge lui arrivant a? mi-cuisses, des bottes en cuir noir montant au-dessus du genou, Marielle est une belle femme, 1 me?tre 75, pour 65 kg, des cheveux blonds tre?s ondule?s qui lui tombent sur les e?paules et une peau dorée par le soleil lui venant de son pe?re brésilien. Un corps bien sculpte? avec de belles courbes.

- Tu es trop sexy dans ta tênue, tu es encore em train de baiser avec son amant mystérieux? observe son mari.
-?Moi aussi, j’ai envie qu´il me me prenne… Mais pas tout de suíte.
 - Ah, tu veux jouer, ma belle.
-?J’adore! J’ai un peu peur d’être vue ainsi, mais ça m’excite beaucoup, lui dit-elle.
- ?Ma chérie, tu es magnifique! Tu vas encore mettre le feu à son amant black avec sa petite robe.?Tu es vraiment la reine des…
-?Salopes? Garces? Putes? coupa-t-elle, oui, c’est vrai… mais je suis à toi et rien qu’à toi, mon chéri.

À lui l´idée de recevoir son amant chez-eux est séduisante. Pablo gare sa voiture devaant l´entrée de la garage. Un bouquet de fleurs roses rouges sur le bras. Il toque contre la porte déjà ouverte. Il est là, les bras embarrassés par un magnifique bouquet et un carton à bouteille.

-?Entrez Pablo, dit-elle.
- ?Vous avez trouvé facilement?
-?Oui merci. On pourrait peut-être se tutoyer?
- ?Bien sûr, dit-elle.
- ?Merci, elles sont magnifiques.
- ?Merci, je complète, acceptant la bouteille de champagne d’une grande marque.


Elle lui avait lancé son regard de braise. Elle sourit et tourna les talons. Ils faisent quelques pas dans l’entrée puis franchissons la porte du salon. Pablo regarde autour de lui, découvrant leur chez eux. Son homme la suivit des yeux alors que la belle traversait la salle d’un pas lent et chaloupé. Il se mordit les lèvres à la vue de son joli cambré et l’espace d’un instant se dit qu’il allait se lever et la rejoindre. Une combustion spontanée et emminente. Elle avait abusée de l´alcool de la cigarrette et elle veut beaucoup de plaisir charnel. Un silence chargé de pensées érotiques passe. Mais, si mon envie de voir à nouveau ma femme avec Serge est forte, fort aussi est le fantasme de faire durer le plaisir avant de passer à l’acte. L’attente est toujours délicieuse lorsqu’on devine que ce n’est que "du bon" qui va venir. Que va penser Ed de ce mari candauliste si peu viril qu’il se fait enculer. Pendant quelques minutes la conversation se traîne. Marielle et Pablo semblent déjà dans un jeu de séduction, c’est évident. En posant sa main sur la cuisse de sa femme devant le mari. Mais, si la mise en scène peut paraître un peu théâtrale, elle est chargée d’un symbolisme et d’un érotisme torrides associés à une charge émotionnelle plus que forte. Il suis le mari qui offre sa femme à un autre. Qui lui offre déjà le plaisir de pouvoir se remplir les yeux de sa beauté, beauté soulignée et amplifiée par ce qu´il a lui-même choisi. Elle l’a oublié. Seule la bite de Pablo l’intéresse.

- J´ai vu lá bosse grossir dans son pantalon et c'était excitant pour moi de pouvoir l'exciter si facilement..
- Arrête, tu m’excites.
- ?Difficile de ne pas le voir.

Deux verres à pied trônent encorre sur la nappe immaculée qui retombe em plis soigné sur le sol. Leurs vapeurs énivrantes du vin jaune embuent les regards des amureux.

- Ce soir tout est permis, dit Ed Wilson.
- ?Je voudrais te voir faire l’amour avec mon black. ?Vas-y, si ça te fait plaisir.
- ?Tu sais, ta femme est formidable.
- ?Je vous veux tous les deux… Ensemble.
- J´adore ce couple avec le mari candauliste à l’extrême et cette femme avec un lâcher-prise sensuel et sexuel incroyable, dit Pablo.
- ?C’est pour ton mari ou pour tes amants que tu t’épiles?
- ?Mon mari n’a jamais vu mon minou tout lisse ; c’est la première fois que je m’épile intégralement. Je voulais faire bonne impression ce soir; j’espère que ça te plaît.
- ?Ce sont toujours les maris les derniers informés! Je te remercie, ça me fait plaisir. Tu es toujours aussi chaude ou tu es en manque?
-?J’aime le sexe.
-?Ton mari ne te baise jamais?
-?Si, bien sûr qu’il me baise, souvent et bien

Marilia était donc nue sous sa petite robe qui était relativement courte.  Ce jeu de caresses du regard, alors que la conversation était anodine, mit ton corps en éveil. Un foyer naissait dans son ventre. Cette sensation poussée par la conviction de ton charme te donna une assurance nouvelle. Elle commenças délibérément à libérer ses charmes: sourires et regards longs, poses te mettant à ton avantage, croisement et décroisement de jambe… Et ce changement d’attitude eut l’effet escompté, la conversation glissa lentement mais sûrement sur la sexualité. 
Une belle bosse déformait son pantalon et elle commençait à l’ouvrir. Elle le baissaiti un peu et son sexe apparut, tendu au maximum. Pour la seconde fois, elle posait sa main sur un sexe masculin et començait à le caresser.
- ?Tu as de très belles fesses, presque comme une femme, douces et sans le moindre duvet et ton petit trou est soyeux.
-?Tu vas voir mon chéri, c’est magique t abite.

Alors que je sens des mains ouvrir ma raie, le mari voit Pablo s’approcher pour y laisser tomber de sa salive. Mais vue de sa position elle lui paraît bien longue et grosse cette verge, cette tige déjà tendue, bâton de chair que l’homme bouge en la frottant à sa raie, concentrant sa salive vers son petit trou. Il sent bien le gland se frotter. C’est plus doux, plus chaud que le gode, même si d’habitude Marielle se charge de l’ouvrir le cul avec sa langue dans une feuille de rose perverse et cochonne. Mais ce n’est pas une langue qu´il voit dirigée par la main de Pablo. Il se place sur lui, s’accroupissant plus que s’agenouillant, dirigeant l’extrémité de son dard vers un objectif qu´il ne peut pas voir. Le miroir me montre un homme outrageusement cambré, vulgaire avec une épée dirigée vers son cul. Une épée qui pousse, dilate, force un passage qui ne résiste que par éducation, le temps d’un soupir, le mien, alors que je sens la bite entrer.
- ?Chéri, je le sens, il te cherche. ?Chéri, mon amour, il est en toi, je le sens. Ça va chéri?
- Oui... Ton amant a une bite delicieuse. ?Oui… C’est bon… J´arrive à dire entre deux couinements.
- ?Mon amour c’est bon, c’est beau, merci, merci.
Son cul est un brasier allumé par ce tison de chair. Pablo lui possède depuis un long moment lorsqu’il s’arrête. Aussitôt il sent sa jouissance se répandre. C’est donc cela se faire rincer par le foutre d’un homme. Cette humidité particulière qu´il ne connaissait pas.Mais c’est bien sûr! Il comprend pourquoi çui aussi je devais faire baaiser par lui. Depuis le début son épouse envisageait cela, voir son mari enculé par son amant. Enculé mais aussi inondé sans la frontière d’une capote. La coquine, la cochonne, la salope. En parallèle avec le libertinage, l´époux poursuit son apprentissage en découvrant puis appliquant de nouvelles techniques d´être enculé par des grosses bites.

  - Tu sais comme moi que les fantasmes stimulent la libido, mais souvent ne se concrétisent pas, que c’est souvent bien mieux ainsi. Es-tu sûr de ne pas avoir à regretter un jour la réalisation de ton fantasme? Demanda Pablo.
- S’il s’avère qu’il est meilleur amant que toi ou si tu constates que ma jouissance est plus forte, mais parfois l’homme que j’aime doit s’absenter, parfois il ne satisfait pas toutes mes envies; aussi je te propose de Pablo devenir mon amant, dit Marielle. 
-?Humm, j’en avais trop envie, lui dit le mari.
-?Moi aussi.
- Pablo n’est pas un bon amant?
- ?Oh, mais si. Il m’a tout appris. Il a fait de moi, chrysalide désordonnée et insouciante, une vraie femme. Voulez vous de l´argent?
- Non... Je veux uniquement une relation à trois.
- ?Oh. Quelle belle idée. Que de plaisirs en perspective. Mais toi, chéri, qu’en penses-tu?Demaande Marielle.
-??Attends, j’ai une autre surprise. C’est une très belle proposition. ?C’est toi qui décides. Oui, je les accepte. ?J’espère que le spectacle t’a plu? ?N’est-on pas mieux comme ça, Marielle?
- ?Euh, si…?C’est nettement mieux comme ça.  Son allure est virile et son sexe est rasé. 
-?Ta femme est une merveille mon ami.
-?Si votre épouse le souhaite, elle peut rester et vous vous retrouverez dans quelques jours.
- Quelquyes jours? Comme ça...
-?Ce week-end elle est à toi.
- ?Il a raison, tu excites les autres hommes, moi en premier! Dit l´amant.
-?C’est parfait. Tu as enfin trouvé le style qu’il te faut. Salope parmi les salopes, perverse parmi les perverses, pute parmi les putes.
- Tu rêvais toujours avec ça.
- ?Viens… Quel homme résisterait à cette demande? Quel homme n’apprécierait pas de voir son sexe avancer dans la gorge proposée? Quel homme résisterait à la tentation de se servir de la bouche et de la gorge, dans un alignement parfait, comme d’un fourreau sans fond?

En revenant à la maison, il trouve Pablo assis sur le canapé, une bouteille de whisky à moitié vide à ses côtés. Ses yeux rouges lui fixent avec une intensité qu´il n’avait jamais vue auparavant. Il se lève brusquement, renversant la bouteille. Le liquide ambré se répand sur le sol, mais il n’y prête pas attention. Il lui fixe un long moment, puis un sourire étrange se forme sur ses lèvres. Avant que je ne puisse réagir, il l’attrape par les cheveux et lui traîne vers la chambre. Ses gestes sont brusques, mais il sent une excitation monter en lui. Il lui jette sur le lit, déchirant ses vêtements avec une ferveur presque animale.
Ed s’agenouille. sa femme lui regarde, l’air de dire. Tu vas voir comme il est avec lui… Elle guide sa queue vers sa bouche et lui dit:
- ?Suce-le doucement et profondément, il aime ça! En amour, tous les coups sont permis.

L´époux prends sa place et elle se relève. Son sexe lui remplit la bouche. Son gland est bien dessiné et large ; je ne peux m’empêcher d’imaginer et de désirer qu’il l’encule. Pablo l’enfonce progressivement dans sa gorge pour lui faire plaisir et il sent sa main qui appuie sur sa tête pour mieux l’enfoncer.Il ’étouffe un peu, mais il se sent à lui et il fait ce qu’il aime. Ed fait ce qu´il aime aussi: sucer et exciter un homme pour qu’il ait envie de lui. Il sent les tressaillements, les mouvements instinctifs de son bassin qui veut baiser sa bouche.

-?Tu m’as bien sucé. J’ai très envie de te baiser et que ton mari te voie telle que tu es quand tu as envie. Mais... ?Je sens que tu es comme elle. Tu aimes te faire enculer et sentir la queue d’un mâle qui te baise. Tu aimes t’offrir à un homme et surtout à celui qui baise ton épouse.
- Baise-moi, j’ai envie de ta queue, d’être ta salope et de sentir la bite qui fait jouir ma femme. 
- Tu seras ma pute aussi et j’ai envie de te baiser.
Il présente son gland à l’entrée de son cul et il n’a qu’une seule envie, Il lui pénètre violemment, ses mouvements rapides et brutaux. Il crie de douleur et de plaisir, ses ongles s’enfonçant dans le drap. Chaque coup est un mélange de colère et de désir, et il sent son corps réagir avec une intensité qu´il n’avait jamais connue.c’est qu’il lui pénètre comme elle, qu´il est sa salope et qu’il sente qu´il se donne à lui comme Marielle. Il veut qu’il sache qu’il dispose de deux salopes pour son plaisir. Il lui pénètre et Ed sent le gland qu´il a sucé et excité s’ouvrir encore plus. Il y a cette douleur qui lui rappelle qu´il est un homme et que il aime se sentir rempli par un mâle et que cette douleur, ce sont les prémices à être enculé. Il aime cette douleur qui est de plus en plus fugace mais qui lui rend salope.

- ?Baise-moi! Encule-moi! Je veux sentir ta bite et que tu aies envie de moi.
Il jouit alors, son corps se cambrant sous le sien. Il continue de lui prendre, son rythme ne faiblissant pas, et il sent une deuxième vague de plaisir monter en lui. Ed crie son nom, le suppliant de continuer, de ne jamais s’arrêter. Finalement, il jouit en lui, son corps se tendant avant de se relâcher. Il reste un moment au-dessus de lui, respirant lourdement, puis se retire et s’effondre à côté de lui.
La maison dorée s’illuminera de mille feux, embrasé par le désir et la luxure qui enflammeront les cœurs. Après des années de liberté sexuelle, riches es conqiuêtes et en nuits torrides, elle avait décidé de ne plus faire amour qu´a avec son époux, élut de votre coeur, votre petit mari.

Fin

Ivan Ribeiro Lagos
ivanribeirolagos20@gmail.com










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