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Au collège chez les frères, nous allions faire une promenade qui était obligatoire. Pour atteindre la montagne des pins but de cette ballade nous devions faire plus de cinq kilomètres. En arrivant notre surveillant nous donnait quartier libre pour plus de deux heures. Nous pouvions gambader dans cette forêt magnifique et nous monter plusieurs scénarios.
Avec Bernard, un copain depuis le primaire, nous voulions escalader un grand chêne qui dominait seul cette étendue de résineux. Il faisait beau nous étions en short et tee-shirt. Mon camarade prit les devants et commença à escalader notre arbre. Très vite nous prenions de l'altitude. je suivais Bernard qui, à chaque point de montée laissait bailler l'échancrure de son short, ce qui me laissais apercevoir ses parties intimes qui débordaient du slip. Des parties lisses et imberbes qui m'ont excitées malgré l'effort à chaque enjambée. En arrivant au sommet, son pied s'est coincé entre deux branches et le garçon ne pouvait ni monter ni descendre. - Aide-moi, me dit-il !
-Non lui ai-je répondu, je préfère que tu restes dans cette position ! - Tu es malade, c'est très inconfortable!
- Alors ne bouge pas et accroche-toi à la branche que tu tiens.
Tout doucement ma main se posa sur l'intérieur de sa cuisse et lentement remontait vers l’entrebâillement de son short.
- Mais que fais-tu là ?
- J'ai vu tes roubignoles et je veux les caresser.
- Tu es malade François. Tu es pédé ou quoi ?
- Je ne sais pas mais je veux profiter de cette position pour toucher.
Ma main était remontée et atteignait son sexe et ses deux servantes. Il s'était figé et me laissait faire. Je l'entendais respirer très fort et par moment il lâchait quelques petits gémissements. Son sexe imberbe se dressa sous ma caresse. Il n'était pas très gros mais lisse et très mignon. Je l'amenais à sortir de sa prison et je l'avais tout près de mon visage.
- Que fais-tu ? me dit Bernard
- Tu vas voir, je vais te sucer !
- Non pas ça, c'est sale !
- Mais non, tu vas voir !
Lentement je fis pénétrer sa teub dans ma bouche et je commençais à la sucer avec délectation. Je lâchais prise pour aller caresser ses deux petites boules puis je revenais gober sa tige.
- Tu me feras voir la tienne aussi ?
- Tu aimes ce que je fais ?
- Oh oui, ta bouche est chaude et je commence à aimer ça.
je faisais tourner ma langue autour de son gland et reprenais le pompage avec beaucoup de lenteur.
- Attention François je vais jouir, lâche moi !
Je ne faisais plus attention à ce qu'il me disais et je reçus plusieurs giclée de son jus sur ma langue, et j'avalais tout ce nectar avec délice. J'aspirais légèrement pour ne rien gaspiller et mon Bernard laissait échapper quelques gémissements.
- Oh, que c'était bon dis donc ! ! !
- Allez décoince mon pied et remonte sur la branche dessus.
Ce que je fis. J'escaladais et quand mon bassin arriva à hauteur de sa figure, il dégrafa mon short, baissa mon slip et caressa mon sexe tendu.
- Elle est mignonne aussi, la tienne.
Il me décalotta et me caressa longuement les boules. Puis il ouvrit la bouche et goba mon gland chaud et raide. Sa bouche chaude enveloppait bien ma tige et il appliqua ce que je venais de lui faire.
Nous faisions tous les deux nos premières pipes. Il continuait à caresser mes boules et suçais avidement sue ma queue. Ne pouvant plus me retenir je lâchais tout mon jus et comme moi il avala avec plaisir.
Nous avons échangé nos sensations sur ce que nous venions de vivre, et très vite nous refaisions la même chose.
Le coup de sifflet de notre surveillant nous obligea à arrêter nos plaisirs et à redescendre de l'arbre. Avant de quitter notre perchoir nous nous sommes promis de recommencer et d'aller plus loin.
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