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La reine du Poudre
La fiction finit par abolir la réalité: depuis ce jour, le plaisir les enveloppa en abondance et sans fin, tout fut chaud, gratuit et frissonnant, un pur jeu d’identités alternatives sous tension érotique continue, sans le moindre risque de coupure. Ils se draguent perpétuellement heureux et parfaitement livres. Ils faisaient de chaque parade la première: une aventure amoureuse inédite, à la fois légère et grave, où le seul risque était de déplaire. Un vrai bonheur de vivre avec pareille coquine qui commence vraiment à se libérer petit à petit! De reste seulement actes criminels, assassinâts, trafic de drogue dans le monde du banditisme.
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Elle s´appelait Rosaly Pereira du Brésil, née pauvre et riche egalem,ent, não n´est pas mauvais mais riche c´est mieux, d´oirigine de la ville de Belfort Roxo la baixada fluminense la capital des voyous du trafic de cocaïne Cone Sud, EUA et Europa et Asie. Elle tiens le plus grand empire de drogue dans l´hémisphère Occidental. C´est vrai dire qu´elle est une pauvre vivant de la rêve américain est vivant et bel et bien vivant et elle devenue douée. Personne accepte son parcours, mais elle s´en fiche. Personne ne devrie juger. Grace à elle, les choses changent pour les stupides fêtes et week-end. Ou un gramme pour votre enterrement de vie de la jeune fille. De rien. Mais le truc, c´est qu´il faut reste vivant assez longtemps pour savourer le fruit de ce dur labeur.
Dans ce commerce votre durée de vie a une limite. On savait que ce jour viendrait. Les gens essayent de faire cela depuis de Belfort Roxo. Les hommes se retournent à son passage finissent par avoir des idées, et parfois des initiative osées. Elle était découverte de dons et un penchant pour l´exhibitionnisme.
- Bonjour! Combien?
- Mille.
Elle voulait rester à l´écart. En gros. Elle avait une drogue de predilection. Son nom était Ciro de Búzios.
- Besoin de change de monaie?
- Te regarder échanger l´argent me suffit.
- Combien?
- Ciro Qu´est-ce que tu fait? Demande une jeune fille lesbo dans une Ford Maverik.
- Mon Dieu? Regarde comme tu es belle, regardes ses jambés. Regarde comme cette fille est Jolie. Chérie tu es trop jolie pour travailler ici.
- Quoi, tu es Jolie, et toi, tu es belle.
Rosaly Pereira est une femme au charme incroyable et à la sensualité à fleur de peau. Dans cette petite histoire coquine, elle va vivre des expériences torrides au gré de ses envies… Amour. C´est fou l´avalanche d´émotions que peut déclencher un simple mot de cinq lettres: Du bonheur, du désir, de la cólera… Même de la peur.
- Vous pourriez être jumelles, dit un voyou de dans de la voiture.
- Il exagere toujours, carlos, ça fait mal.
- Ne fais ça. Ça ne me plaît pas dit la lesbo.
- Je te paye pour échanger mon argent, pas pour que tu dragues.
- Si tu fais çe à une autre fille je te trouverait dit Ciro frappant le voyou.
- Ça c´est bon? Je dois être hônnete, ce fût la chose plus adorable que quelqu´un ait jamais fait pour moi.
- Donc. Maintenant que tu n´as plus de boulot, Tu viens avec nous?
- Merde, quand je suis tombée amoureuse, je suis vraiment tombée amoureuse. Je n´ai jamais eu d´amis, ou une famille. Ciro son cousin et Berta.
Ciro, son corps fin et musclé était presque totalement tatoué, des écarteurs dans les oreilles et un piercing sur le nez, les cheveuz ras, une espécie de crête décoloré, Le luque grunge parfait. C´est au premier regard qu´elle s´est senti attirée par lui. Une attraction animale, irréflechi. Un peu instinctive, sexy, divine.
- Tu plaît vraiment, dit la lesbo. J ele sais car je suis comme une sorcière. Je peux t´apprendre plein de chose.
- Qui penses-tu de Carlos? Il est bavard, c´est un homme. Tu doit être du genre, tu es si beau. IL a une grosse bite et bla,bla,bla.
- Ce n´est pas plus inteligente, mais ou moins, il n´est pas complique.
- Tu me fairais un faveur? Je dois arrêter. Je crois que je suis encore enceinte.
- Félicitations.
Les hommes que elle connu avant l´ont maltratée. Mais Ciro est différent, C´est comme s´il la voyait. Il la protegeait. Rosely a toujours été extêmement vorace sur e plan sexual étant elle-même três vicieuse. Elle s´était faite toute belle, sexy à limite de la provocation. Cette perspective éclaire le visage de la femme sensuelle et désirable qui a enfin décidé de ne plus s’opposer son désir.
- Merci.
- Il vendait drogue et alors?
- Tu aurais fais la même chose, repondait Ciro.
- C´etait comme d el´héroine. Je voulais que ça dure toujours.
Une indescritible tension sexuelle crepite entre eux. Tout laisse à penser qu´elle se trouve dans un revê aussi érotique ou étrange, mais il s´agit pourtant de la réalité impossible que la beauté fatale en compagnie de Ciro traficant de drogue même chose qu´elle, passe inaperçue. Ils sont seul tous les deux dans une garage qunad il veut la baiser. Il profite de son long corps transpirant, sa sensualité naturelle illuminant les lieux, la beauté de ses cheveux attirant les beaux bruns ou noirs irrésistiblement sexy vers elle. Sans qu’elle s’en rende même compte, son corps est particulièrement réceptif aux phéromones libérées par le mec parfaitement conscient de sa puissance sexuelle. . Là, elle pose ses lèvres sur son gland et lui prodigue la plus savante fellation qu’il l’ait été donné de connaître. Sa langue passe de son gland à ses couilles. Il accélère ses mouvements et la laboure maintenant avec régularité, les effets ne tardent pas à se faire sentir il explose en elle en de longs jets puissants. Il glisse une main entre ses
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cuisses. Ses doigts s’activent sur son clito dur et gonflé. Elle ne tarde pas à jouir à son tour!
Beaucoup de gens pensent aux drogues et fusils dès qu´ils entendent Cartel. Mais pour elle, être avec Ciro. Était la première fois qu´elle s´est sentie connectée à quelqu´un. Pour être le premier Noël, Ciro l´a fait rencontrer son parrain, Don Evaristo le chef du cartel. Il était um homme avec pouvoir, mariée avec une belle Femme et bisexuel au même temps. Ça voulait dire quelque chose.
- Pardon, je m´excuse.
- Don Evaristo et ses tueurs à gages te recherchent, Ciro.
- Je reviens dans une minute. Ne te perds pas, lui dit Ciro.
- Cette année à venir, tu nous verras de moins en mois. Je me suis un peu inquiet avec vous. Tu es agressif. Je te couvrais jusqu´ici. Cela cessera si je ne suis là. Joyeux Nöel.
- Bien ça fait plaisir de te revoir chef.
- Tu sais que tu as une belle vie. On doit tout mourir un jour.
- Parle pour toi mec. J´ai une Femme qui j´adore.
- Tu vas me remercier. Croi mois. Dit le chef.
- J´ai hâte de retrouver les bonnes choses qui m´attendent l´année prochaine.
- C´elle que tu me parlait? Demande Evaristo.
- C´est ça, maintenant mon épouse.
- Quand votre épouse doit utiliser un portable pour vous appeler depuis votre propre maison, parce que votre maison est trop grande.
Le tétléphone portable d´Evaristo sonne. C´est sa belle épouse Michelle de 42ans. Ce jour-là,il y a tout ce son sourire, son regard, qu´elle était lumineuse et sombre qui était tormenté son vice pour sexe. Belle elle est belle. Une princesse insouciante. Elle qui avait rompé avec son mariage au passé. Elle qui aime les jeune hommes beau. Une des femme plus riches du Brésil. Cet vie incroyable un scènario qui est composé de tous éléments d´une tragédie, l´amour, richesse, tout sera un jour brisé. Elle allait rencontrer dans le couloir du palace de son mari Ciro, un jeune homme beau, sexe compulsif, yeux sur les yeux, yeux sur le corps, et elle l´invita à un verre puis baise avec lui. Il savait du danger de son acte. Ex-femme de son patron. Un mafieu sanguinaire.
- Cette-fois je ne vais pas descendre et être l´hôte de ta soirée. Vient au haute, maintenant.
- Rosali, regarde cet endroit. On dirait un château, je veux vivre ici dit Berta.
- On devrait retourner à la fête Berta. Je n´aime pas fouiner.
- Cabrona, les riches aiment qu´on fouine dans leurs maison.Regarde ses chaussures.
- Qu´est-ce quélle font là? Il ne se passera rien, relax.
- Ne Touche rien, dit Rosaly.
- Je dois faire pipi. C´est bon?
- J´ai construí cet empire et tu es prêt à l´abandonner et à t´em laver les mains, di Evariste. Tu seras à mês côtés ou pas? Demanda à as belle Femme.
- Je ne le ferai pas, dit son épouse. Portant une petite robe d´été sans rien dessous excitant à souhait dans ses chaussuresà talons hauts.
- Pourquoi tu es très sexy?
- Tu sais... Je vais me rencontrer avec mon amant.
- Une année en foction, peut- être deux, pouquoi?
- Il a la plus grosse bite et j´aime baiser avec lui. C´est ça.
- Quelle ironie, tu veux me demander d´arrêter de baiser avec un amant que t´enculait un bon temps. Tu m´a force à avoir cette vie.
- Tu dis des choses blessantes.
- Bien, si la vérité fait mal. Je suis désolée. Je vais continuer avec la chatte pleine de sperme de mon chéri amant. Je n´a pas peur de vous.
- Mais c´est comme ça, dit Evaristo
- C´est la verité lui fait mal,je suis déssolée..
- On l´intention de user la rota du Panamá.
- J´aime l´idée. Je suis favorable.
- Je prefere loin de toi.Tu me fourniras le produit dont je besoin.
- La pension alimentaire c´estnon négociable, Evaristo.
- Tu reviendra? Tu te trompes.
- Je t´appelerai quand je serai installée. Ne me cherche pas.
Evaristo imagine son long corps transpirant, sa sensualité naturelle illuminant les lieux, la beauté de ses cheveux attirant les beaux bruns ou noirs irrésistiblement sexy. Il sent l’érection monter, Rosely a trop envie de se promener avec, s’exhiber, sentir les regards.
- Evaristo dit-il au voir Rosaly.
- Rosaly Ferreira.
- Je sais. Ciro m´a dit de bonnes choses sur vous, desolé qu´on se reencontre dans les pareilles circunstances.
- Mais allez-vous, amusez-vous. Je vous rejoins.
- Merci.
- C´est incroyable, il y a le chauffage, l´essuyage, le lavagem.
Ciro a grimpé les échalons du cartel rapidement à partir d´il baiser la belle Femme du chef du crime organisé. Cette robe de Michelle s’arrête au-dessus du genou, et devant une fermeture éclair part du bas pour remonter un peu plus haut que son pubis. Ciro est fou d´elle. Le chef avait prendre connaissance de la baise de son épouse avec Ciro.
- Qu´est-ce que se passe? Demande Rosaly à Ciro.
- On nous a tendu une embuscade à la piste d´atterrissage, tout le monde est mort. Il ya tureur à gages d´Evaristo par tout, et ils l´ont tirés dessus. Je ne sais pas ce qui se passe, où ça finira, Mais je veux que tu est preparée. Si sonne. C´et parce que je suis mort. Tu doit trouver refuge em lieu sûr. Tu auras de l´argent et de la cocaïne, a ucas où, et tuas aussi um passaporte. Si tu es dans la merde prends ce cahier et donne à Don Evaristo et sauve ta vie. Ne fais pas confiance à personne. Va chea Don Evaristo.
- Qu´st-ce qu´il y a dedans?
- Tu ne veux pas savoir. Je suis serieux... Ne le lis d´accord?
- D´accord.
- Donc, il t´aidera.
- Tu veux savoir la vérité? Ce truc m´excitait. Ce mec doit sûrement m´aimer.
- Joyeux anniversaire dit Rosaly à Ciro.
- Ça te plaît?
- J´adore. Ça m´inquiète quand même un peu. Tu as fait ça sans que je m´en rende compte? Pour mon travail, je dois dormir avec un oeil ouvert.
- Un ver vendeur de drogue. Toujours à chercher une sortie.
- Pas avec toi.
- Je suis surprise, d´habitude, tu ne disc es choses que quand je suis à poil.
- Qui sortira à poubelle? Qui t´emmenera à nager.
- Quoi d´autre?
- Ne baisse la garde. Le futur il est à nous.
Elle croyait vivre un rêve. C´est trop beau pour durer. Elle avait raison. Un portable sonna et...
- Tu ne me connais pas Rosaly. Ciro est mort. Quitte la Maison maintenant.
- He mec tu m´as fait peur. Je suis vendeur de drogue du Ciro.
- C´est quoi tout ça?
- Un marché du cocaïne de Ciro, voua avez compris?
- Tu vas mourir lentement si tu nedit pas la vérité. Où est Rosaly?
- Je ne sais pas. Elle ne vient jamais ici.
- Ciro est mort et vous aussi.
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Un tir sur ta tête et il était mort. Rosaly entre dans une Jeep Cherocki et part en velocité. Maintenant Rosaly est sous une fusillade sur elle.
- Il avait promis jamais il me mettrait en danger. Je ne suis pas folle. Ciro est un fantasme.
Rosaly avait entre dans une maison abandonnée à se cacher de ses ennemis. Ils vont la trouver dans cette maison dans sa chambre. Deux bandits avaient entre dans la chambre de Rosaly et un d´eux resoudre la violenter. Alors elle prend une pistolet 9mm du bandit et le tue avec um tir sur la tête. L´autre tente enfuir mais elle lui donne plusieurs tirs et il est mort aussi. Autre foi le chemin est libre. Alors elle allait jusque la maison d´Evaristo le chef de les bandits.
- Mon mari est mort?
- Oui... Tu as de la chance. Pour l´instant, tu es vivante.Tu connais ces gens. Ils doivent faire un exemple quand les gens baisent les épouses d´autres. Ciro était um taré sexuel.
- Je ne sais rien de ça. Je sais que tu ne sait rien. Ce n´est pas le problème.
- Ciro m´a dit que vous m´aideriez. C´et qu´il m´a dit.
- Je suis desolé, Rosely.
- Je n´ai personne d´autre. Vous devez m´aider. Je mourrais ici si vous dites non. Je vais me suicider devant vous.
- Baisse l´arme Rosely. Si je déjà morte, je ferai moi même le travail et ce sera sur votre conscience. Parce que d´une façon ou d´une autre, je vous poursuivrai partout. Ce ferai quoi?
- Tu as un passaporte?
- Oui...
- De l´argent?
- Oui....
- D´accord.
Alors elle lui a donné l´arme et ensuite elle avait entre dans la voiture du mafieu e la drogue.
- Arrête la voiture.
- Rosaly. Ti fais quoi? Rosaly tu es en sécurité, ici.
Elle prend sa pistolet autre fois et commence à tirer, L´um des tirs sur la tête du chauffeur.
- Arrête la voiture.
La voiture est acidente. Le mafieu est blessé et Rosely qui avait échappée illese l´aide à sortir de la voiture. Dans un lieu loin de là elle est ataque pour plus deux bandits et elle est mené dans l´autre voiture. Alors elle est devant la belle femme épouse du chef du trafic.
- Donne moi ta main. Donne la moi.
- La station d´essence que tu as visite est sur mon territoire de mules. Mes hommes me disent toujours, tous les choses étranges qu´ils voient. Bizarrement, c´est toi que les as trouvés. Mon mari m´a laissé des messages. Il di avoir eu un accident et il Cherche une fille. Quelle coincidence. Tu es cette fille, je te connais? Où s´est-on déjà vues?
- Je vous ai rencontré chez vous pour Noël. J´étais l´épouse de Ciro.
- Était?
- Il est mort.
- Qu´est-ce que tu faisais dans un lieu si peu fréquenté? Tu fuyait?
- Non mari t´a vraiment poursuivie dans le desert?
- Emmène-la au rez-de-chaussée.
- Oú suis-je?
- Où sont mes manières?
- Tu es en Angle des Rois.
- Bienvenue au littoral du Rio de Janeiro.
Le jour suivant une femme l´appela:
- Réveille-toi. Écoute c´est l´heure de se réveiller. Tu es courageuse dit Michelle à Rosely.
Michelle exhibe un portable allumé devant Rosaly.
- Allô, Evaristo.
- Michelle! Mon amour.
- Pourquoi tu m´envoies des messages débilles la nuit?
- Elle est avec vous et s´appelle Rosaly Ferreira. Elle est trop dangereuse.
- Elle était la femme de Ciro qui est mort pour cause de vous. Continue vivante pour qu´elle est diabolique.
- Oui, je crois.
- Je peux faire quelque chose pour toi?
- Pourquoi son mari est mort?
- Je ne sais rien.
- Pourquoi il veut tant te voit morte?
- Je ne sais pas.
- Drogue-là et mettez-la au travail.
- Non...Non...Non ne fais pas ça.
- Tu te rappelles de quelque chose? Tu as fait quelque chose à Evaristo? Ensemble. Avec son copain.
- Attendez! Je peux être plus utile. Je ferais la livration que votre mule n´as pas fait.
- Je suis face à um défi. On l´a dit que vous aimez les défis.
- Ce sont les meilleurs nageurs qui se noient.
- Je veux que tu fasses ça sans laisser d´indice.
À ce soir Michelle, un personnage de séduction tout à fait magique. Une provocation également une méthamorfose, incassable, indefenissable, la grande et belle brune allait au Bahamas, célébre boïte de libertinagem et sexe libre. La voilà dans la superbe Porsche noire. C’est vrai, Michelle, du haut de son mètre soixante-dix-huit, ses jambes superbes entre lesquelles son sexe rasé luisait encore un peu toujours perchée sur des escarpins à talons hauts, était superbe. Et les ongles rouges vernis. Brune aux yeux verts, son corps bénéficiait de rondeurs excitante: une généreuse poitrine aux lourds seins en forme de poires; de larges hanches et un cul qu’elle l’avait confié trouver trop volumineux, accentués par une jolie cambrure de reins. Elle bénéficiait de magnifiques jambes qu’elle ne manquait pas de mettre en valeur par des robes s’arrêtant à mi-cuisses. Ses deux jolis pieds portaient toujours gracieusement avec classe des escarpins à talons hauts. Quand elle marchait, elle savait des yeux mâles rivés sur les roulements de ses globes charnus. Elle en usait et en abusait même parfois au point de passer pour allumeuse. Avec son sourire éclatant elle arrive comme ça, elle deboule dans cette robe courte et sexy. C´est un petit sourire satisfait et de malice aussi. Le lieu était un peu vieillot, mais plutôt sympa, avec de jolies pierres. Le bar se trouvait dans la cave et il y avait peu de monde. Quelques jolies femmes accompagnées par des hommes sont au bar. Les serveuses sont habillées de manière très suggestive. Il ne manque pas de leur envoyer des sourires coquins en commandant une bière. Plusieurs personnes ne font que regarder. Michelle croise quelques femmes qu´elle ’aimerait voir se faire baiser.
-?C’était superbe à voir, tu étais sexy au possible, tu es le désir incarné ce soir dit le serveur black.
- J´ai envie de m´amuser, dit la belle Michelle.
-?Ici, les femmes sont reines et elles ne font que ce qu’elles acceptent de faire.
- T’es vraiment un petit pervers toi?! dit-elle en éclatant de rire.
Elle lui répondit qu’elle avait elle aussi senti ces regards et que ça l’avait bien échauffée. Il prit sa main et la posait sur son sexe bandé à mort. Elle se passa la langue sur les lèvres, but une gorgée de Mojito, et repartit sur la piste profiter de la musique. Le black abandonné son servisse et la veut se directionner vers les toalettes. Une vague d’émotions lui traversa, son excitation se rendit fou et son sexe voulut traverser son pantalon tellement il était bandé. Il était assez petit et fin. Son sexe contrastait avec son corps. Il était maintenant en érection totale et avait vraiment une queue hors norme.
- Que veux-tu faire maintenant, mon amour?
- J´ai envie de m’amuser comme jamais ce soir.
- ?Je crois que je n’ai jamais eu une queue aussi grosse sous les yeux.
-?Elle est magnifique, mon amour, tu as raison. Vas-y, découvre-la, amuse-toi, mon ange.
- Allons entrer dans une cabine.
Elle caressa cette queue, soupesa les bourses, et lui fit un regard de braise avant de passer le bout de sa langue sur toute la longueur et d’emboucher le gland dans la foulée. Christophe laissa échapper un long gémissement. Elle alterna les longues succions avec les coups de langues sur le gland, puis elle se mit en tête de l’avaler en entier. Lentement, elle s’enfonça cette grosse queue au fond de la gorge, une main sous ses bourses, l’autre se posa sur son sexe et elle commença à lui branler. Elle regarda fixement cette colonne la pénétrer tout doucement… entre sa salive et son sexe trempé, il la prit très lentement mais d’un seul mouvement, jusqu’à la garde. Alors elle leva les yeux vers moi, tout son corps répondant à ce sexe en elle, et lui dit :
- ?Elle est si grosse, merci, mon baiseurr, comme je aime.
De petits cris sortaient de la bouche de Michelle, à chaque pénétration les cris s’intensifièrent. Il allait maintenant à fond, fort et sans
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arrêt, en accélérant toujours. Une frénésie de sexe s’empara alors de les deux, la longue queue plantée au plus profond d’elle. Les contractions de son sexe lors de cet orgasme eurent raison de la résistance de son amant qui dit dans un souffle. Elle était féline, allumeuse, sexuelle, et s’amusait visiblement avec la énorme bite noire, observant, fasciné, cette grosse queue lui écarter les chairs à chaque mouvement qu’elle faisait. Il la baisait hyper fort et elle hurlait…
-?Oh, putain, elle est vraiment grosse?! Vas-y, bouffe-moi les seins, plus fort, je vais te baiser jusqu’à plus soif de, cette queue dans ma chatte la rend folle.,
-?Je vais jouir.
-?Je veux votre sperme dans moi.
La jouissance fut longue, très longue, elle était assise et bougeait uniquement son bassin, Il vit ses yeux basculer alors que l’orgasme la balayait, merveilleuse déesse du sexe. Michelle était impressionné par la quantité de sperme qu’il avait éjaculée.
Dans sa maison elle allait passer un coup de fil à son ex-mari Evaristo. La sonnerie du téléphone retentit, mais se tait presque immédiatement.
- Allô! Evaristo?
- Michelle.... Oui c´est moi, chérie. Écoute, je veux être bien clair, sur cette fille que je Cherche. Coûte que coûte, tu me comprend?
- Je te comprends.
- Ça va être importante pour valor un deuxième appel. J´aime te parler. Je commence à te parler que je te manque. Tu devait peut-être rentrer.
- Pourquoi prendre ce risque? Tu vois, on s´entend si bien, maintenant. Le charme de la distance. Ecoute, j´ai demande par cette fille, personne ne la vue.
- Je suis censé mettre combien d´hommes à la tâche? Jusqu´où ça doit aller? Je ne veux pas que tu m´em veuilles. Je te connais et je ne veux pas que tu penses que je ne prends pas ça au sérieux. Si j ela trouve tu la veux morte ou vive?
- C´est importante?
- De préférence vivante.
- Je te demande une dernière fois: Qu´est-ce qu´elle signifique pour toi?
- Je te l´ai déjà dit.
- Donc tu ne vas me dire de quoi s´agit. Je suis censée chercher cette fille que ne signifique rien pour toi. Qu´il te faut vivante, de préférence, et dont il faut faire un exemple?
- Merci. Je savais que tu me comprendrais.
- Si tu refuses mes termes, cette fois nous aurons une sepation bien moins amicale. On voyait bien d'ailleurs qu'il manquait cruellement d'affection mais nous nous étions surtout aperçu qu'il manquait également de sexe..
- Donc c´est des dure négotiation et des termes plus durs?
- Comment tu crois qui je bâti notre entreprise à la base?
- Je ne voudrais pas être um de tes concurrents à Búzios.
- Dois-je comprendre par là que tu acceptes mes conditions?
- Je suis d´humeur sentimentale, aujourd´hui. D´accord, douze moi.
- On reverras les termes l´an prochain.
Le type est resté debout et immobile un moment, puis, comme se décidant soudainement, a repris son chemin. Un parcours le menant directement à elle. Maintenant elle est devant de son avocat dans son bureau. Michelle n’avait jamais vraiment prêté attention à ses yeux sombres pénétrants derrière les lunettes bleues ni à son bouc parfaitement taillé. Il a les traits fins, des cheveux coupés courts. Séduisant. Tiens, une chemise marine, aujourd’hui. Et ce parfum, il sent vraiment très bon… Il la dévisage et révèle une jolie rangée de dents nacrées en lui souriant.
- ?Assieds-toi, si tu veux… Evariste accepté nos termes, dit Michelle.
- Tu n´as pas l´air contente?
- Je ne pensais pas qu´il cederait aussi facilement.
- Peut être qu´il veut faire un geste. peut-être sa façon de faire ela paix.
- Tu sais que cette fille Rosaly est disparue, Garde un oeil sur elle. Je pense qu´elle sera plus utile que je pensais. Il faut qu´elle te fasse confiance.
- Si elle pense aller voir la police.
- Il l´enverront à l´immigration.
- Et plus tôt que tard, mon ex-mari la trouvera. Di-lui que si elle veut mourir, elle devrait s´échapper. Si elle veut vivre, elle devrait rester avec moi.
Loin de là, Rosaly était avec as amie Berta dans une voiture dans la route.
- Arrête la voiture, Rosaly. Qui est le proprietaire de cette voiture?
- cette voitute appartien de la Michelle
- C´est dingue. Regarde-moi. Tu fuyés de Evaristo
- Elle tué son mari Ciro et tu travaille pour la pute?
- Elle ne la pas fait.
- Ils ont tue Ciro. Tous les deux. Evaristo veut notre mort.
- Nous sommes avec la drogue. On peut se faire de l´argent et disparaître.
- J´aurais dû être tuée et je ne le suis pas.
Michelle rencontré le black qui l´avait baisée dans les toalettes de la boïte de nuit. Elle était dans un bar restau de la mode au centre ville. Elle, sexy à souhait, a sorti sa belle robe noire qui met en valeur sa silhouette, un peu échancrée, ses jambes sont mises en valeur par des bas noirs et des talons. C’est devenu inhabituel, elle ne fait plus les efforts de s’habiller ainsi, mais là, Lorsqu’elle s’aperçoit, elle se lève d’un bond avec un grand sourire, se pend à son cou et l’embrasse à pleine bouche sans aucune retenue. Elle accepte tout en jetant des petits regards vers moi pour voir ma réaction. Il en est presque gêné. Elle sent l’alcool et elle a fumé, ce n’est pourtant pas dans ses habitudes. Elle se laisse faire. Ils échangent, lui murmure à l’oreille et la fait rire, sa main se pose sur sa cuisse, elle laisse faire, elle a les yeux qui pétillent. Elle lui demande une seconde et se lève en se dirigeant vers le vestiaire.
- J’ai une violente envie de me faire baiser, Et bien baiser, sévèrement baiser comme en rêve.
Il fait glisser son boxer trop petit et son membre sort. Pas encore en érection, il est déjà magnifique. De belles veines le parcourent. Ses couilles sont rasées , comme son pubis, ce qui fait ressortir son organe. Les testicules bien gros pendent dans de grandes bourses. On dirait les couilles d'un taureau. Audrey sent sa force, elle s'allonge sur le dos, ouvrant ses cuisses apétissantes et implorant l'étalon de l'honorer.
Michelle la robe relevée jusqu’à la taille, les jambes écartées pour lui montrer comme les doigts de l’inconnu fouillent son intimité. Elle lui prend la tête et la dirige vers sa chatte. Il retire ses doigts trempés de la chatte et dégage le tissu de son tanga.
- Mon sexe est comprimé dans mon pantalona.
Il la redresse et la fait se cambrer, sa main claque une de ses fesses puis finalement, il la fait mettre à quatre pattes. Il vois sa bite glisser sur la chatte de la femme tout humide de l’avoir bien léchée puis s’introduire avec un jeu de va-et-vient doux, puis de plus en plus fort, de plus en plus profond. Les seins de la femme s’agitent dans tous les sens. Il s’agrippe à ses hanches comme pour se retenir. Elle crie «?plus fort?» au rythme des coups que sa bite assène. Cela l’excite, et elle aussi, face à cette scène surréaliste. Il s’enfonce en elle par des coups secs et ressort doucement.
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Plusieurs fois, puis reprend un rythme très soutenu. C’est qu’il sait s’y prendre. Il la culbute avec frénésie, que dis-je, il la baise comme une vulgaire poupée. Il finit par jouir en elle, son torse s’abat sur son dos. Ils sont en sueur tous les deux. Cette situation la plonge dans un monde de fantasmes et de luxures qu’elle n’a jamais connus. L’idée a germé dans son esprit. Ces réflexions travaillaient en sourdine dans l’esprit de Félline, et allaient la conduire à de regrettables conséquences, mais en attendant elle fit mine de n’en avoir cure, et se voila la face.
L´avocat du trafic est devant Evaristo son chef:
- Chef! J´ai entendu la nouvelle après de notre ami aux stups. C´est fait. Sa coke colombienne est partie. Ils ont toute, et ils disent merci. On a gagné de la crédibilité. C´était une dure leçon pour elle.
- Et on ne fait que commencer, dit Evaristo.
Rosalye avait mis en place pour la faire maigrir et lui rendre son ancienne beauté, Sa peau est douce comme la soie , pas besoin d’épilation. Elle était redevenue une jeune fille belle à regarder mais plus perverse que les autres. Après lhumiliation qu’elle avait subie dans le parc, Rosaly devait régulièrement faire du sport et se soumettre aux règles établies par les trafiquants. Elle se rappel toujours de ses rêves d’où l’exactitude des ses souvenirs et elle arrive même à rêver la suite de ces même rêves.
Le téléphone portabled´um trafiquant sonna:
- C´est Michelle. On a eu un problème. Un autre retard.
- Tu me mets dans une situation très dangereuse, Michelle.
- Oui, je comprends. Mais je te demande de être plus um peu patient. Je gère la situation. Tu sais que cette affaire sera réglée.
- C´est que j´ai dit à tous mes acheteurs qui n´attendront pas plus longtemps.
- Tu fais une erreur.
- C´est une fois. Une seule. Tout ira mieux entre nous, losque tu auras retrouvé la forme. Pas de problèmes. Tu en fais un tas, mais c´est pas la peine. C´est toi mon fournisseur.
- Ferais mieux de le savoir. Fais em sorte qu´il le sache.
- Oui... D´accord. Je le ferais...
Dans le bureau de Michelle. En temps normal, bien que libertine depuis quelques années, elle est en général une personne assez prude dans ses élans affectivo-sexuels.
- Il est passé quoi? Demande Michelle.
- Les federaux saisit une tonne de coke colombienne. Ils savaient de la drogue.
- Quelqu´un a dû leur dire.
- C´est obligé.
- Seras pire lorsque les Colombiens seront au courant. Qu´on leur a perdu un million de dollars.
- Il reste combien de coke, en comptant les réserves?
- Evaristo nous envoie une cargaison ce soir. On peut la vendre, et rembourser les Colombiens. Tout ira bien.
- Evaristo? Il n´a pas été très faible dernièrement. C´est la raison pour laquelle on est dans ce bordel. On perd des clientes, on doit un million de dollars aux Colombiens. On n´a rien...
- Tu as une idée? Alors, parle...
- Vend Rosely à Evaristo pour um million de dollars. Paye les Colombiens avec l´argent, et on reprend nos activités.Tu tiens plus à ton business qu´à Evaristo.
- Tu as peut-être raison.
Maintenant Michelle aller à un bar en banleuse se trouver avec un cliente de la drogue... Michelle, vêtue d’une robe blanche qui lui arrive aux genoux, presque moulante avec un boutonnage devant. L’ensemble lui va à ravir. Son visage semble jeune, mais certaines petites rides précisent son âge. Le maquillage est tout à fait à son goût, mais pas le parfum.
- Tu n´étais censé faire des affaires qu´avaic moi. Je t´ai demande d´attendre 24 heures. Tu n´as pas pu honorer cela? Tu achetés le produit d´autre máfia.
- Ce n´est pas personnel. Tout le monde achète aussi du produit des italiens. Mês gars lui ont acheté une brique pour la tester. Elle est pur 90%.
- Tu étais un de mes premiers clientes. J´attendais plus.
- C´est juste cette fois. C´est plus facile de demander pardon que de demander permission. Je suis venue personnellement t´informer que tous est sous contrôl.e.
- C´est pas lui le problème, c´est Rosaly disparue.
- C´est pas logique. Je perd l´argent.
- C´est atroce... Ce n´est pas une question d´argent.
Elle prend dans sons ac son portable, un coup de fil à Evaristo, son ex-mari.
- Bonjour, mon amour. Ça doit être sur ta livration.
- Tu lis dans les pensées maintenant? Quand arriverra-t-elle?
- Je te réjouiras de savoir que je me suis occupé des fèdéraux, Et Rosely a Franchi la fronteire hier soir. Elle devait être au point de rendez-vous dans Quelques heures.
- Bien. Mais ce n´est pas seule raison pour mon appel.
- Tu passes une mauvaise journée, mon amour.
- J´ai besoin de plus.
- Pourquoi?
- J´ai besoin de plus parce que j´ai besoin de produit plus pur.
- C´estle distribuiteur, il continue à être un problème. Il livre une qualité que je ne peux égaler.
- Il faut qui j´aille. Puis je vais t´aider.
Il y a des règles dans leur aventure. Relativement simples à retenir. Un contrat pas vraiment ciselé pour l’équilibre de forces précaire. La première, sans doute la plus importante: jamais sans Le black Chris jamais.. Une histoire d’attraction et de réception sans réelles certitudes, où l’inconscient et les phéromones prédominent, tyranniques. Comment tombe-t-on amoureux? Une belle idée, cette soirée. Il est à l’âge de l’enfant dans un corps devenant adulte, et ne semble pas tout comprendre de ce qui lui arrive. Ça me fait sourire. La température qui monte n’est pas une vue de l’esprit, ou l’effet de l’alcool, mais une habitude de le black à monter le chauffage. Elle est perverse et machiavélique. Pourquoi elle est aussi belle et pourquoi les gens autor d´elle sont invisibles. Il entendit autre chose. Il donne chance au hasard, elle est une criminelle. Cet universe du contraire, blanche et noir l´attire énormemente. C´est vrai un universe. Elle a envie toujours de draguer. Elle a peur de son obsession. ne rencontrerait aucune résistance. La tentation est forte, et je suis en pleine confusion. Il se demande si c’est une épreuve qu’elle l’inflige, pour tester sa volonté face à la chair. elle aime les grosses queues noires, c’est une chienne en chaleur. Puis de la séparation de son mari Michelle se montrait plus sensuelle, plus féminine, plus coquette dans ses manières et dans ses tenues vestimentaires. Elle osait des jupes ou des robes de plus en plus courtes qui la mettaient en valeur, s’était acheté des ensembles de sous-vêtements magnifiques et avait remplacé ses éternels collants par toute une collection de bas de divers coloris avec lesquels elle pouvait rendre fou de désir n’importe quel mâle rien qu’en relevant sa robe de quelques centimètres dessus et son parfum l’avait déjà ensorcelé. Elle s’était découvert des dons et un penchant pour l’exhibitionnisme et s’amusait à les provoquer dans divers endroits publics en croisant très haut ses cuisses ou en simulant de ramasser quelque chose pour dévoiler à tous les yeux bien placés une vue érotique de son entrecuisse.
Ultra sexy! Michelle enfile une jolie paire d’escarpins avec des hauts talons, et un imper sur le tout, pour ne pas être agressée dans la rue, en Route. Elle enlève son imper et Michelle sonne à sa porte. Il vient l’ouvrir et siffle d’admiration devant sa tenue. Il l’embrasse à pleine bouche sur le palier et lui fait rentrer dans son salon.
- Qui est que vous ferais plaisir. Qu’est-ce qu’il t’arrive ce soir? Tu as rêvé de sexe ou quoi?
- Ta queue! Je veux ta queue ! implore-t-elle entre deux râles.
- Je vais m´en occuper. ?Ça y est ma chérie! Je vais la pénétrer au fond de ton cul, en entier.
- Tu vas aimer m’enculer?
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- ?Putain oui! Ça sort du cœur.?Je t’ai entendue, si ça te fait plaisir de te faire prendre par des blacks. Tu sens comme je te baise? Ça glisse tout seul, jusqu’aux couilles!
-?On va dans la chambre, on sera mieux.
- Je n’en crois pas mes oreilles, c’est moi qui viens de dire ça! ?Oui j’avoue que j’adore ta queue, mais c’est toi que je veux et seulement toi. Si tu veux me revoir, il faudra que tu m’obéisses!
Il avança la main. Les seins de Michelle le fascinaient. Ils étaient lourds au point de marquer un pli sur le dessous, mais les tétons pointaient droit devant avec, peut-être, un léger strabisme divergente. La pose était trop obscène. L’épouse avait fermé les yeux et respirait par râles. Ses jambes tremblaient. Elle finit par décollson ventre de l’orifice pariétal pour reprendre souffle. Elle était tellement bien lubrifiée qu´il n’eut aucun mal à la sodomiser. Alors elle prit la queue et la guida vers son petit trou qui, malgré le volume de cette bite, fut avalé sans trop d’effort. Elle bougeait dans tous les sens, criait.
Elle était naturelle comme une enfant et belle comme une déesse.
- J´ai decide ce qu´il faut faire au sujet de Michelle. On ne lui dirá rien.
- C´est dangereux, non?
- Nous ne lui dirons pas que nous savons qu´elle reçoit la cocaïne directement des Colombiens, qu´elle garde Rosaly et nous ment. On em dirá rien.
- Je t´ai dit. Je l´ai vu de mes propres yeux. L´affaire de Rosaly est trois fois plus grande que ce que tu imagines. Elle a grandi sans que tu ne le saches.
- Au fait, elle m´a dit qu´elle compte tout prendre. Cela m´affecte aussi.
- J´ai vingt ans d´expérience avec cette Femme. Pourquoi elle garderait-t-elle Rosaly vivante? Dit Evaristo.
- Je ne sais pas.
- Provoque-t-elle une ataque contre moi? Elle a toujours été forte pour déstabiliser les gens. Tu vois avec qui j´ai dû vivre durant toutes ces années? C´est épuisant. C´est épuisant et très dangereux. Mon ex-épouse est un monstre mais, j´étais toujours bon à combattre son feu avec feu.
- Donc, qu´est-ce qu´on fait? Vous venez de faire quoi?
- Regarder par la fenêtre. On va l´épuiser, lentement...
- Je vois qu´on ne se voit plus dans ton bureau.
- Tu es là. J´aime ta façon de penser en quitter la ville.
- Maintenant, c´est un erreur;
- C´est pas grand chose. Tu ne veux pas que j´apparaisse dans le liste des visiteurs?
- Tu vois comme elle est bonne? Elle t´a atteint aussi?
- Où est-tu?
- Le camion avec la drogue n´est pas arrivé.
- Viens au club maintenant, dit Michèlle.
- Salut mon amour, dit Evaristo à as ex-épouse.
- Tu es retire du business maintenant, ou quoi?
- Que veux-tu?
- Ce fut un temps où tu savais avant quiconque, Quand le livaisons sont en retard. dit Michelle.
- J´allais t´appeler, mais je viens de découvrir que la livraison allait être en retard.
- Tu trouves ça drôle? Je peux à peine contrôler l´approvisionnement.
- Tu sais que je suis pris. Tu le sais déjà, beaucoup de gens veulent me voir échouer.
- C´est vrai? Incroyable, mais vrai. Quel est le problème, Evaristo?
- Les fédéraux regardent partout. Je ne pouvais pas laisser partir les camions. Quelqu´un nous balance. Je ne sais pas qui c´est, mais je vais trouver.
- Entretemps? Comment survivre sans cargaison?
- Je vais voir ce qui se passe.
- D´accord.
- Viens à ma maison. Je te parlera. Admets que tu as besoin de moi, et viens à la maison.
- Je dois y aller.
Michelle veut tout l´etat du rio de Janeiro pour vendre sa drogue. Elle aurait le feu vert, c´est juste une question de temps. Elle allait parler avec les trafiquants Colombiens en Bogotá par téléphone.
- Je voulais savoir si tu peux accélérer sa prochaine livraison?
- Elle est déjà en route, mon amour.
- Combien de temps?
- Quarante huit heures au maximum.
- Peut tu la faire em vingt quatre heures?
- Pour toi? Je peux essayer.
- Merci. Cela m´évitera beaucoup de soucis. Tu me tiens au courant?
- Comme ci c´était fait. Ma petite poupée.
Courbée avec ses mains sur ses genoux Rosely happe de grandes bouffées afin de reprendre son souffre coupé par le sprit de fin de son jogging noctune. Elle s´assied ensuite sur un banc installé sur la promenade pour les passants pour profiter de la delicieuse brise marine qui apaise la poussée de chaleur occasionnée par sa ccurse.
Maintenant deux hommes autor d´elle la saisirent brusquement et ne la libérer, en depit de tout le tapage qu´elle faisait.ènt pas malgre ses cris et ses cousps de pied. L´un d´eux lance un seul regard dans sa Direction:
- Vous pouvez la silencier?
- Calmez-vous, Michelle veut lui parler.
- Viens Rosely, Michelle veut te voir. On est bien ensemble. Yoi. Tu ne sais pas qu´elle a pu l´aider.
- Assieds-toi, dit Michelle.
- Je sais que tu es sous le choque après ce qui s´est passé ce soir et avec deux cadavre l´autre jour dans l´embuscade. Si j´était toi. J´aurais probablement pensé: Demain au lever du soleil, Dès qu´il fait jour, je vais me sauver. Tu comprends maintenant que tu m´es importante à cause de ce que tu as contre Evaristo.
- C´est quoi qu´est-ce que tu veux? Demande Rosely.
- Au moment rie, rien... Sans moi tu es um cadavre à la morgue.
- Vous pouvez m´expliquer que se passe? Jen´em ai aucune idée.
- C´est pas égoiste de ma part quand je dis que si tu te sauves et que l´aurai à te tuer, J´avais pensé à toi... Je serais deçue, pas seulement à cause de ce que tu as contre mon ex-mari Evaristo, mais parce je commence vraiment à t´aimer. Tu vois, ce qui s´était passé aujourd´hui, C´est pas quelque chose que tu pouuras fuir. Ta famille pourrait t´abandonner, mais celle là non. Tu n´as pas à avoir peur d´Evaristo. Je m´ occuperai de lui.
- Je ne peux oublier de vous appelez.
Dans ce moment Evaristo parle avec le chef de Cali en Colombie.
- Je veux te parler. C´est quelque chose d´important à propôs de mon épouse. Je sais que tu l´as approvivionnée.
- Oui. Et alors?
- Alors je veux que tu arretes. Je prepare quelque chose pour mon épouse et tu ne voudrais pas en faire partie.
- De mon côté, les gens ne sont pas si patient que ça. Ils veulent la drogue, si j´ai pas la came à temps, mes clientes vont juste aller chercher ailleurs. dit un trafiquant à Michelle.
- Asseyez-vous... T´en aura bientôt. Essaie d´allonger tes reserves.
- Déjà fait, y a trois jours de retard. J´ai des engagements, et des acheteurs qui savent la difference entre les produits. Michelle, ces gens ne sont pas pacientes.
- Les profesionnels comprenent les problèmes de livraison. Tout est sous contrôle, je m´en occupe.
- Vous m´avez pas repondu. Combien de temps à plus? Je n´en doute pas, mais.... Son ex-mari a proposé ses services. Il pourrait m´aider, cette fois-ci seulement.
- Ce que te cherchais, c´est... C´était juste de la maladresse.
- Tu as des jambés superbe, mais je besoin travailler.
- Mon ex-mari t´appelé?
- Il m´appelle souvent. Je ne réponds jamais d´habitude. Mais là je besoin de came, tu ne vois pas?
- Mon ex-mari n´a pas le droit de te vendre de la dope, tu comprends?
- Oui, je comprends, mais ça, c´est entre toi et eux, pas moi.
- Tu es un de mes gros clientes. J´ai confiance en toi. Ne sois pas ridicule. On a une bonne relation, et j´ai toujours livré.Tu sais beaucoup de sang sera versé quand ça se saura qu´il essaie d´empiéter sur mon territoire.
- D´accord, mais tu peux me garantir quoi?
- Je peux t´offrir quelque chose. Tu auras ta came. La livraison arrive.
- Alors elle prend son cellulaire et parle avec l´un de ses hommes.
- Rubens, où est ma livraison?
- Elle est en chemin, c´est tout que je sais. Mais elle sera en retard.
- Sans exiter. La situation est très critique.
- La police nous cause des problèmes.
- Don Evaristo est lui-même en train de négocier avec la police. Il doit faire attention. Il dit que ça ne sera pas long. Tu as l´air nerveuse.
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- Ca va. J´aimerais tout éffacer. Tu crois tous les yeux rivés sur vous.
- J´ai cru un moment que ma marchandise était en retard. Parce que tu lui avais parlé.
- Le retard de tes camions de livraisons? Je pense que ton ex-mari Evaristo serait beaucoup gentil que ça, S´il savait que tu mijotes, tu ne crois pas?
- Dis à Evaristo de m´appeler le plus rapidement possible. Prend soi de toi.
- Toi aussi.
Don Evaristo parle avec Michelle:
- Allô! Mon amour.
- Écoutes-moi. Tu me crées beaucoup de problèmes, mon amour. De sérieux problèmes.
- De quoi tu parles? Ton convoi est en retard. C´est ton problème.
- Je ne t´appelle pas que pour ça. Je t´appelle pour cause de la drogue. Tu sais. Je veux ta permission pour faire ce que j´ai à faire.
- Tu connais la réponse.
La cargaison de drogue colonbienne à Michelle est saisie par la police.
Ce soir-là, il y avait quelque chose de spécial au programme. L´ appartement de Michèlle se situe au deuxième étage d’une rue très tranquille, il est un peu en retrait du trottoir dont un petit jardinet sépare les murs et la rue. Il était magnifique, meublé avec recherche, dans un goût contemporain et très branché, sans pour autant être ostentatoire. Les lieux respiraient la beauté, l’harmonie.Sa pièce principale a une baie vitrée qui donne vue sur l’immeuble d’en face. Il avait peur d’un ensemble chargé à souhait, baveux de dorures et de décorations clinquantes, d’antiquités et d’œuvres d’art, mais il est agréablement surprise. Ils entraient en silence dans un luxe discret, mais bien présent.L´appartement a un salon/cuisine qui donne sur la terrasse. La cuisine est équipée d’un îlot central, une sorte de buffet qui arrive à hauteur de la poitrine. Du salon ou de la terrasse on ne voit pas ce qui ce passe derrière, elle se prolonge d’un banc sur lequel reposent quelques coussins et deux grandes serviettes artistiquement repliées sur lesquelles il glisse la main pour confirmer leur douceur. Une douche à l’italienne spacieuse, large d’au moins deux mètres, trône de l’autre côté. Elle est carrelée en bleu ciel et blanc avec goût. Une immense vitre en partie dépolie l’isole du reste de la pièce. Le côté sauna est empreint de chaleur, le côté douche de fraîcheur. Un contraste très réussi, mais qui ne m’attire pas ce soir.elle se tenait là, comme convenu à l’abribus, vêtue d’une mince robe d’été un rien transparente, sans soutien-gorge sous la robe ni même de culotte, comme elle l’avait rêvé, et consciemment ou pas, elle resta les cuisses légèrement écartées, pour sentir chaque souffle de vent caresser sa chatte soigneusement rasée pour la circonstance. À ce genre d’exhibitionnisme, le grand Candaule en personne n’aurait même pas songé!
Elle attendre son amant Chris, le black Michelle était devenue totalement accro à sa voix. Sa voix, grave, diablement envoûtante, qui pénétrait profondément dans la tête de Michelle comme aucune autre, et qui, lentement, hypnotiquement, semblait glisser à travers son corps. Elle se sentait attirante et désirée, et consciente qu’elle ne pourrait pas résister : il était trop beau, trop fort, il l’avait complètement envoûtée par ses pouvoirs étonnants. Son sourire très vicieux et son air gourmand parlent pour elle. Du haut de son 1,70 m pour 60 kg, elle exhibe une longue chevelure brune. Bon, ne nous voilons pas la face, ce qu’elle aime exhiber le plus c’est surtout son 95B et son minou entièrement épilé.
- ?Vous êtes belle, Michelle. Sexy même, dans cette robe. Plus mignonne encore... La déesse de la beauté et du désir.
-??Tu es un gros pervers. Mais j’aime bien l’idée. Venez,?Je veux te sentir en moi tout de suite !dit-elle, aimablement..
- J’adore la voir tripatouiller sa chatte baveuse, j’adore admirer ses doigts danser entre ses lèvres, près de ma bite en folie, contempler ce mignon clitoris en train d’être titillé. J’adore entendre sa respiration se saccader, prélude qu’un plaisir ne va pas tarder à jaillir!
-?J’ai envie, mon chéri…Je sais ce que tu veux. Il lui suffit d’adresser un regard
La voilà totalement décomplexée, féline comme jamais, chienne comme jamais, à sucer cet black avec autant de vigueur et de passion qu’elle le fait avec lui.
Sa verge, énorme, roide et dure comme jamais. Son sexe était ouvert et se mouillait. Elle lui mordillait l’oreille. Il sentait son souffle s’accélérer. Il laissait un peu ses tétons et descendis sa langue sur son sexe et, toujours deux doigts dans sa chatte. Il entend les gémissements sourds de Michelle rythmant chaque poussée qu´il devine longue, pénétrant l’antre de sa chérie plus loin que jamais elle n’a connu avec lui jusqu’alors. Il n’était plus que son sexe, sa verge énorme qui entrait dans le vagin. son champ de vision se restreignant à ce sexe qui entre et qui sort de la chatte déformée de sa chérie, les bruits, le glissement sans fin…
-?J’ai envie de toi, là, maintenant Si tu savais comme je me sens!
-?Quelle giclée, c’était fort…
Michelle est totalement déchaînée, sa voix monte dans les aigus à chaque coup de reins coordonné, jusqu’au moment où, dans un râle il devine sa jouissance, unique forte, inhabituelle.
- Vas-y, encore… encore… ouiii… prends-moi fort.
À chaque va-et-vient Michelle gémissait et laissait réagir son corps, comme des secousses, elle tremblait et ses fesses. La jouissance arrive doucement, puis monte vite, très vite. Aux premiers signes d’explosion, Il mets fin à son supplice. L’homme se retire doucement de Michelle, lui souri.
-?C’était… C’était vraiment super, merci.
Michelle sentit une goutte de liquide couler à l’intérieur de sa cuisse et l’essaya avec la dernière lingette. La preuve que c’était vraiment arrivé… Il la regardait, elle se tenait devant lui, fine belle, nue et il voyait encore les traces de son sperme sur sa poitrine, elle ne s’était pas essuyée. Il remarquait aussi que ses cuisses en étaient brillantes et cela se ficha un coup de la voir aussi lubrique et obscène. Elle se colla contre lui et il sentit sa peau mouillée et froide.
Fin
Ivan Ribeiro Lagos
teresinapr@hotmail.com
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Suit....
Fin
Ivan Ribeiro lagos
Ivanribeirolagos1@gmail.com
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