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A l’époque, je dirigeais le service « comptabilité-contrôle de gestion » d’une grande entreprise de transport. Cela me convenait. J’aimais les chiffres. En cherchant les raisons d’une dérive des dépenses sur tel ou tel poste de charges, j’avais l’impression d’être un détective appliqué à résoudre une énigme particulièrement ardue.
Depuis quelques jours, Françoise L. effectuait un audit de mon service. Pour ceux que cela intéresserait, son travail consistait à vérifier que mes agents et moi-même respections les procédures adéquates dans l’exécution de nos tâches. Faisons simple : que nous obéissions aux règlements. Seins pointés droits sur l’horizon, cul haut perché, l’auditrice financière avait des courbes propres à faire rêver un statisticien. Elle portait le tailleur en usage dans sa profession mais avec une jupe écourtée à mi-cuisse. Nous étions très vite devenus amants. N’y voyez pas une basse manœuvre de ma part visant à m’attirer les bonnes grâces de mon inspectrice. Autant ma conduite pouvait se révéler légère dans le privé autant elle était marquée du sceau du sérieux dans le monde professionnel. Je n’avais rien à craindre de cet audit. Nous nous étions très vite découverts, Françoise et moi, un grand nombre de points communs. Le même goût pour l’analyse financière, les bilans comptables, Serge Gainsbourg, les Rolling Stones, la bière et le vin blanc.
Nous étions à la mi-juin et le soleil se montrait généreux sur la Bretagne. Il était un peu moins de quatorze heures et j’étais dans mon bureau. Françoise L. frappa et entra.
- Je viens d’acheter un maillot de bains. Un deux pièces rouge et noir. Slip mini.
- Je suis impatient de voir ça !
Françoise alla chercher son acquisition dans le local que j’avais mis à sa disposition pour la durée de sa mission. Elle étala le deux pièces sur mon bureau. Une petite tenue pleine de promesses. Les poissons allaient s’en mettre plein les mirettes.
- L’affaire se présente bien, mais il te faudrait faire un petit essayage pour que je me fasse une opinion définitive.
C’est le genre de proposition que ne refusait pas Françoise. Hop, en un éclair la veste de tailleur, le chemisier, le soutif atterrissait sur une chaise, suivie de la mini-jupe et du string. Elle enfila le maillot, se présenta recto, puis, verso. Le slip était du genre rentre-fesse mais avec deux globes bien fermes et d’une rondeur idéale, Françoise pouvait se le permettre. Je me levais, me lovais contre elle, la félicitait.
- Il n’attendait que toi. Du sur mesure.
En même temps, mes mains se promenaient sur le maillot.
- Tu crois que… ? interrogea Françoise.
- Allez, juste un petit coup rapide.
J’approchai une autre chaise tandis que Françoise se débarrassait des quelques centimètres carrés de polyamide. Elle s’assit sur la chaise. Je me baissai et commençai à lécher sa petite fente. Elle tendait le pubis pour faciliter la chose. Au bout de quelques instants, j’avais mal à la nuque. Je lui dis de se mettre debout et mon approche buccale en fut facilitée. Françoise me dit d’arrêter, que c’était son tour de s’occuper de moi. Je m’assis sur la chaise, baissai pantalon et slip sur un sexe qui étouffait. Françoise se mit à genoux et me prit dans sa bouche. Elle enveloppait avec art et savoir- faire mon gland et de temps en temps délivrait d’habiles coups de langues à sa base sur le frein. Le frein ! Pourquoi ce terme, alors qu’il s’agissait plutôt d’un accélérateur ! Le temps passait, nous n’avions pas l’après-midi devant nous, je fis signe à Françoise de s’asseoir sur moi. Elle se trouvait aux commandes et ça ne lui déplaisait pas. Je l’empoignai par les hanches. Empalée sur ma tige, elle donnait de grands coups de fessiers de bas en haut. A un moment, je glissais un doigt dans son petit trou. Elle changea de mouvement. Au lieu des allers-retours verticaux, elle se mit à osciller sur moi à l’horizontale, tournant sur mon sexe comme une toupie. Elle y allait goulument. De toute façon, elle faisait tout goulument Françoise, manger, boire, baiser. Je la prévins que je n’allais plus me retenir, elle fit oui de la tête. Nous jouîmes ensemble, le plaisir surtout sublimé par les conditions extravagantes de notre étreinte.
Je sortis une boîte de kleenex d’un tiroir. Nous nous essuyâmes l’intime et rhabillâmes en silence. Je revins m’asseoir derrière mon bureau, Françoise remisa son maillot dans son sac et s’installa devant moi.
- C’était reptilien, constata-t-elle simplement.
Sur ce, j’entendis toquer à ma porte et Berrocheau, le directeur-adjoint fit son entrée. Ce ne fut pas son arrivée inopinée qui me sidéra mais le fait que je n’avais pas pensé à fermer mon bureau à clef ! Son bureau étant mitoyen au mien, avait-il entendu des bruits suspects ? Humait-il une étrange odeur, mélange de sueur et de foutre ?
- Madame Françoise L. est chargée d’auditer mon service, dis-je en désignant Françoise.
- Oui. Je sais. On m’avait averti de votre venue, madame.
Tout en parlant, de toute sa hauteur, Berrocheau plongeait les yeux dans le décolleté de Françoise. Curieusement, il ne savait plus que dire. Avait-il oublié les raisons de son intrusion ?
- Bon, eh bien, je vous laisse travailler, dit-il en quittant mon bureau.
La porte se referma.
- J’aurai quand même besoin de boire quelque chose de frais, remarqua Françoise.
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