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Que faire de mon samedi soir ? Seule dans ma chambre, comme l'étudiante de 21 ans que j'étais, j'essayais alors de passer le temps en me laissant bercer par la musique. Affalée sur mon lit, je rêve de l'homme qui viendrait me défaire de ma nuisette de satin pour plonger dans les profondeurs d'un océan de plaisir. Je m'y serais bien volontiers noyée, afin que mon beau maître-nageur vienne me sauver avant de me laisser m'évader, à nouveau. Entre les vagues, je divague. Je cours, je vole, je m'échappe, jusqu'à ce qu'il me rattrape.
« Passez-moi les menottes monsieur l'agent, ne me remettez pas derrière les barreaux. Promis, je serai sage... »
Chemise cintrée, pantalon serré, matraque contre la cuisse, je ne voulais pas que ça se finisse.
J'ai toujours eu une attirance pour les uniformes, sans pour autant avoir de fantasme sur une de ces professions qui font tourner les têtes. Mais ça, c'était avant. Avant que...
Ma musique se coupe, laissant place à la sonnerie de mon téléphone. Je jette alors un coup d'oeil à l'écran. Tout étonnée, je déchiffre alors le nom de l'appelant : Caserne des pompiers. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Aussitôt, je décrochai pour entendre :
« Salut Claudia, c'est Alex ; dis moi, qu'est-ce que tu fais de beau ce soir ? »
Il avait une de ces voix graves qui me faisait vibrer. Ravie qu'il m'ait rappelée, j'acceptai de passer le voir vers dix heures à la caserne. Je raccrochai et me précipitai dans ma salle de bain. J'avais tout juste le temps de faire ce qu'il faut pour me rendre... irrésistible. J'optai pour une robe cintrée, fermée sur toute la longueur par une fermeture éclair. Un détail qui faisait tout son effet. Assez courte, elle laissait dévoiler le début de mes bas, soutenus par un porte-jarretelles en dentelle. Ne manquait plus qu'une paire de talons (aiguilles, s'il vous plaît!), et me voilà partie pour une soirée qui s'annonçait plutôt torride !
En marchant, je me remémorai la façon dont il m'avait abordée la première fois. C'était il y a environ un mois. L'idée m'avait pris de me remettre au roller. En plein après-midi, la circulation était plutôt dense. Je longeais le cours, à l'ombre des arbres. Musique dans les oreilles, je me laissais glisser en rythme, coupée du monde.
Une camionnette rouge passa près de moi, en sens inverse. Le véhicule s'éloigna avant de s'arrêter quelques mètres plus loin et... fit soudain marche arrière, à toute vitesse, afin de revenir à ma hauteur. Intriguée, je tournai alors la tête en enlevant mes écouteurs, afin d'entendre ce que les deux hommes, des pompiers qui plus est, avaient à me dire.
« Pas trop dure la montée ? Parce que ça grimpe quand même... » me demanda le conducteur, un brun, cheveux rasés très courts, aux yeux bleus. Son collègue, aux cheveux plus longs et rangés à la cire,me regardait tout aussi intensément.
« ça me fait les jambes, c'est pas plus mal » leur avais-je répondu avec un clin d’œil.
« Et les fessiers ! » poursuivirent les deux hommes en chœur.
Au premier abord, leur technique de drague était plutôt douteuse mais, amusée, j'acceptai de passer à la caserne plus tard dans la journée. En cette première soirée, ils me firent faire le tour des locaux, des fameux camions rouges, sous les yeux ébahis de leurs collègues, et m'invitèrent même à manger à leur table. En bons gentlemen, ils ne me firent aucunement sentir leur envie (certainement furieuse!) de me sauter dessus. C'était tout à leur honneur, bien qu'ils cherchaient évidemment à gagner ma confiance. Je les quittai alors tout sourire, ravie, mais sans le laisser paraître. Je leur avais laissé mon numéro, en laissant planer un « peut-être ».
Finalement, j'étais revenue quelques fois, lorsque l'un d'entre eux m'appelait, et que je me laissais tenter par une nuit enflammée. Bizarrement, c'était toujours le même, le conducteur de la camionnette, qui me recevait, seul à l'appartement où il était de garde certaines nuits. Il ne voulait apparemment pas avoir à me partager avec son collègue. Oui, il était malin, et ça me plaisait... La preuve : en ce samedi soir, me voilà de retour.
Parfois, il m'attendait au coin de la rue, près du bâtiment. L'entrée était relativement bien cachée de la caserne, grâce au couvert dense des arbres. Seulement, ce soir-là, je le cherchais du regard. Serait-il en retard ? Bizarre...
J'avançais, un peu plus près encore de l'immeuble, l'air perdue. Tapis dans l'ombre, le loup attendait sa proie. C'est lorsque j'arrivai aux escaliers qu'il fit son apparition, dans mon dos, soufflant à mon oreille un « bonsoir » bouillant.
« Tu fais la timide ? Tu aurais pu monter à l'appart directement » continua-t-il.
Oui j'étais timide, mais après tout, cela peut aussi avoir son charme ; ça vous donne ce petit côté « inexpérimentée » qui donnerait à un homme l'envie de vous donner quelques cours particuliers...
Oui Ah ! Prends-moi...
Laissant glisser ses mains sur ma taille, il me fit doucement pivoter pour m'avoir face à lui. Dans un rayon de lumière, j'aperçus son regard bleu, perçant. Sans attendre, il déposa un baiser chaleureux sur mes lèvres désireuses. On peut dire qu'il savait s'y prendre avec les femmes. Je me laissais de nouveau aller entre ses griffes, sans plus aucune résistance... Lui qui m'avait avoué redouter le mystère que je laissais planer depuis le départ, m'avait finalement domptée. Il me faisait désormais terriblement envie à chaque fois que je le revoyais, et la braise qui demeurait en moi se ravivait instantanément. De l'amour ? Il n'y en avait pas entre nous. Bien qu'il ne me l'ai jamais dit, j'avais deviné à l'anneau qu'il portait au doigt qu'il était casé. Logique, en même temps, pour un gars de 35 ans (J'ai toujours été attirée par les hommes mûrs). J'aurais pu m'en vouloir, mais j'avais choisi d'arrêter de réfléchir et de me perdre dans les profondeurs de ce désir qui me dévorait toute entière.
Me tenant la porte de l'ascenseur, je le remerciai d'un murmure, teinté d'un léger sourire. Refermant la porte, il appuya sur le septième, alors qu'il était au cinquième. Me dominant du regard, le voilà qui s'avance vers moi, me plaquant mon corps contre la paroi, et se lèvres, brûlantes, contre les miennes. Une main dans le creux de mon dos, l'autre défaisant ma fermeture éclair, l'arrêtant juste en-dessous de ma poitrine. Libérant mon épaule d'une bretelle, et mon sein de son carcan, il en embrassa vigoureusement la pointe, mordillant astucieusement. Je laissai échapper un soupir. Le thermomètre vit tout à coup le mercure grimper de plusieurs dizaines de degrés ! Sa seule volonté ? Attiser le feu pour mieux l'éteindre. Il était maître en la matière.
Je laissai ma tête vaciller, et il poursuivit son baiser affamée le long de ma gorge, avant de revenir à mes seins. De l'un à l'autre, il les fit se dresser du bout de la langue, tandis que sa main frôla mon bas-ventre, défaisant entièrement ma robe. Ses doigts experts se faufilèrent sous la dentelle avant d'atteindre le point sensible. Je retins ma respiration, comme un réflexe. Mon corps reprenait ses droits, me faisant peu à peu perdre la raison. Délaissant un instant mes tétons, il porta le pouce de sa main libre à ses lèvres avant de me l'introduire, doucement mais sûrement. Je gémissais sans pouvoir m'arrêter. Je n'étais plus qu'une poupée à la merci de son extrême adresse. Dans un moment de lucidité, je réussis à glisser une de mes mains sous le tissus de son short. Cherchant son membre, à l'aveugle, je me rendis compte qu'il ne portait rien dessous. Découvrant la base, je laissai mes doigts l'enserrer délicatement. Sa dureté me surprit. Par de légères pressions, de haut en bas, je tentais le diable à mon tour. La température était désormais trop haute pour en supporter davantage. Aussitôt, il souleva mes cuisses, et mes jambes trouvèrent appui sur la paroi opposée. Ainsi suspendue, il se défit de son short, dévoilant son érection, qu'il empoigna d'une main. Approchant son bassin du mien, il vint mettre en contact le gland contre ma vulve, qu'il avait pris grand soin de préparer. D'un mouvement assuré, je sentis toute la longueur de son membre s'introduire en moi, frottant délicieusement mon intimité. Mes reins se cambrèrent sous l'effet des vas-et-vient rythmés. Soudain, se retirant entièrement, il ouvrit d'un bras la porte de l'ascenseur et, m’entraînant par la taille, il me guida jusqu'à l'appartement, plus précisément à la cuisine. Sans lumière, j'étais complètement déboussolée. Faisant confiance à mon guide, je le suivis. Il me fit reculer contre un meuble, que je devinai pas plus haut que le bas de mon dos. Soudain, il me souleva de nouveau pour m'installer sur le rebord du meuble, jambes écartée, et me pénétra avec force. Dans cette position, je sentis son gland m'atteindre en profondeur, comme s'il cherchait à me prendre toute entière. A cet instant alors, je lui appartenais. Jusqu'aux tréfonds de mon âme, il me possédait. Mes soupirs devinrent des cris, des exclamations d'un désir complètement réveillé. De ses doigts, il s'amusait encore à provoquer les vagues de plaisir, qui me submergeaient sans relâche. Je ne parvenais plus à maintenir la tête hors de l'eau, et buvais la tasse. Cette fois-ci, il choisit de me porter secours, glissant les mains dans mon dos pour m'attirer à lui puis, plaçant les mains sous mes fesses, me souleva, contre son torse musclé. Je passais alors les bras autour de ses épaules et le laissais me sauver de la noyade, en héros qu'il était. Il me porta ainsi jusqu'au salon, où il se baissa en me fit basculer sur un matelas au sol. Sans hésiter, il attrapa mes épaules pour me faire tourner, et me placer sur le ventre. Il saisit ensuite une de mes jambes pour la faire glisser sur le côté. Instinctivement, je remontai les fesses en l'air, lui offrant ma féminité. Agrippant mon derrière de ses mains, il me prit par l'arrière, et ses mouvements répétés me firent onduler jusqu'à ce que la houle me dépasse de nouveau. Je laissai mon corps se cambrer au cours de cette danse incendiaire. Ma longue chevelure rouge, qui cascadait à la manière des flammes, léchait mon dos, brûlant ma peau. En cet instant de folie, je hurlais de plaisir. J'étais devenue une sirène, la sirène des pompiers.
Tu me vois me noyer, écoute moi crier. C'est un appel au secours, fais moi l'amour ou baise moi tout court. A toi de choisir : me faire sombrer ? Me réanimer ? C'est tout à ton loisir ; ce soir, c'est toi le capitaine du navire. Le héros laissa la place au dominant, et c'est sans aucune pitié qu'il s'empara plus vigoureusement de mon corps, m’entraînant avec lui dans les profondeurs après m'avoir fait monter au septième ciel. A défaut de vagues, la pression augmentait a fur et à mesure de cette descente aux enfers. En apposant son pouce contre mon clitoris, il me donna le coup de grâce, et mon corps tout entier fut pris de convulsions. Mes muscles enserraient son membre dans un rythme effréné, et c'est dans un dernier coup de reins qu'il vint éteindre le feu en moi, dans un rugissement de plaisir. Tel le calme après la tempête, il tomba à mes côtés. Encore sous le choc de ce tourbillon infernal, je sentais mon corps trembler, mais la chaleur irradiant de ses muscles après l'effort me détendit jusqu'à me laisser m'évader dans la nuit.
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