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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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Je m'appelle Sandrine et je me suis mariée à l'homme de ma vie depuis plus de huit ans. Il n'a pas été mon premier homme, j'en ai connu plusieurs dès mes 19 ans, mais rien pour me stabiliser comme ce fut le cas avec lui depuis mes 22 ans.
Nous avons eu quatre enfants et tout va pour le mieux comme dans un couple normal avec ses hauts et ses bas. Et je suis satisfaite sur tous les plans. Mon mari, Hervé, âgé juste de quelques années de plus que moi, est assez sportif et est très penché coté sexe. Il en réclame au moins chaque jour, et j'en profite de temps à temps pour utiliser cela comme moyen de pression sur lui pour obtenir certaines faveurs, bien que je ce petit jeux me mettent en manque de baise, car j'aime aussi autant me faire prendre par sa grosse bite.
Il y a deux ans, durant une période de pareille de pression, ou je lui privais de baise, dans un pure hasard de circonstance, je croise Vincent, un mes dernier ex que j'ai eu avant mon mariage. Nous nous sommes croisés dans le supermarché du quartier et ravi de ses retrouvailles surprises, je ne sais pas ce qui me poussait, je l'ai fait visiter mes bureaux, car j'exerce dans mon propre business. Nous nous sommes relatés nos différents parcours et il m'a raconté ses déboires avec les femmes et n'avait pas eu la chance de se caser comme moi. Nous nous sommes séparés ce jour par une simple bise à la joue, qui m'a fait des effets. De retour à la maison ce soir, j’avais le feu au ventre et d’habitude passive, je me suis faite désirer par Hervé, à qui je me suis donnée totalement. Durant tous nos ébats, se défilait mes beaux souvenir avec Vincent. Vincent me prenais partout, dans le couloir qui mène à la maison familiale, sur le balcon du salon de l’appartement de mon père en toute discrétion. Ses souvenirs intenses m’ont fait jouir plusieurs fois, et Hervé bien que surpris par ces orgasmes répétitifs ne pouvait comprendre l’origine, et je ne lui ai rien dit.
Le weekend passé, à la première heure de la matinée, à peine ai-je allumé mon ordinateur de bureau que je remarque la présence de messages sur mon Messenger. Je l’ouvre, et je suis à nouveau plongée dans mon passé.
Vincent: je te vois enfin
Moi: hi!
Vincent: bonjour Sandy (mon petit nom avec lui) on dirait que t'es fâché. Quoi de neuf?
Moi: Bon je préfère aller cash avec toi; on se connaît suffisamment.
Je sais pas pour toi, mais moi ça ne va pas depuis qu'on s'est revu ; tu me manques et je trouve ça pas normal; pour quelqu'un qui va se marier bientôt je ne préfère pas venir mettre le bordel dans ta vie encore une fois Vincent.
Mais tu me manques, ça va pas ; je ne suis pas une femme infidèle; et j'ai jamais eu de sentiment pour personne depuis mon mariage mais là je ne sais pas; je suis vraiment troublée et j’ai fait l’amour cette nuit en pensant à toi.
Je sais que ce n’est pas bon signe. Voilà ce qu'il y a de neuf! Il est bon que je t'évite; en fait je me fâchais d'avoir pas de nouvelles et puis en même temps c’est fou non!
Vincent: Oui Sand je le comprends et je puis t'assurer que le sentiment est réciproque.
J'avoue que tu me manques aussi mais je ne sais pas trop comment on pourrait faire. Tu ne sors pas du bureau ce matin ?
Moi: Et c’est mieux comme ça Vincent. Enfin je ne sais pas !
Vincent : Tu es mariée et c'est à toi de faire plus attention quoi. Certes je vais me marier mais c'est plus facile pour moi à gérer. Moi j'ai envie de toi si tu veux savoir.
Moi: Je pensais que tu me serais d'un grand soutien, mais là non plus tu ne m’aides pas
Vincent: C'est à dire?
Moi: Je sais plus Vincent ; je ne veux pas tomber dans l'infidélité; comment je vais me sentir !
Vincent: S’il te plait je vais à une réunion, je devrais y être depuis 9h00. Je passe te voir aussitôt après si tu veux.
Je ne sais plus quoi répondre en espérant que le destin lui donnera ma réponse.
Il est presque 12.00 je m’apprête à sortir du bureau, me disant que le destin m’avait protégé de mes envies. Mon assistante vient subitement m’annoncer la présence d’un monsieur qui veut me voir. Je lui dis de laisser venir. Assise derrière mon bureau, ma porte s’ouvre et c’est Vincent qui entre. Mon cœur se met à battre plus vite, je me sens toute mouillée et en même temps confuse.
Je me lève, vais vers lui pour recevoir sa bise, mais non, il m’attrape par les hanches, pose ses lèvres sur ma bouche que j’ouvre dans un réflexe pour lui laisser passer sa langue. Notre étreinte dure ainsi quelques minutes, sans un autre mot. J’ai juste le temps de refermer la porte derrière lui, qu’il se colle à mon derrière et je sens sa verge dure sur la raie de mes fesses serrées dans un pantalon jean moulant. Je n’ose pas croire qu’il veut me prendre ici. Mais sans rien me demander, il défait mon pantalon et le descend sur mes cuisses. Je sens ses doigts dans ma fente toute trempée. Je me mis à gémir, et je suis obligée de porter ma main à ma bouche pour étouffer mes gémissements qui peuvent éveiller mon assistante sur ce que j’étais en train de faire dans mon bureau, tromper mon mari ici, moi la dure patronne.
D’un coup sec, il me pénètre. Je me cambre pour mieux le sentir entier dans moi. Je le sens bien au fond de moi. A peine une dizaine de minute nous explosons ensemble, je sens son foutre dans mes entrailles. Je me sens heureuse ! J’ai oublié de me protéger et il n’y a pas pensé non plus. Rien de grave, me dis-je ! Il se retire de mon vagin, et je prends sa verge de ma main droite et je me retourne, accroupie à ces pieds et je lui fais une pipe pour la nettoyer avec ma bouche. Je sais qu’il aimait cela, et il apprécie. Il tient ma tête de ses deux mains et m’impose un rythme de succion. Je ressens sa verge reprendre du volume dans ma bouche et se dresser à nouveau.
Mes premiers mots de surprise :
Moi : tu avais vraiment aussi envie de mon cul !
Vincent sans dire un mot, me soulève et me pose sur ma table de bureau. Je sais ce qu’il veut me faire. Je me débarrasse de mon pantalon et j’écarte les jambes à 180 degrés pour lui donner une bonne vue de mon vagin bien rasé. Il vient à moi et me laboure le cul à une fréquence tellement folle que je ne peux m’empêcher de soulever mon bassin à chaque fois pour intensifier le plaisir fou de ce contact violent de nos deux chairs. Je suis à nouveau comblée. Je vis cet instant de bonheur!
Ma fidélité pour Hervé vient ainsi de prendre fin depuis notre mariage. Vincent se retire et me bascule vers l’avant, pour mieux me prendre en levrette. Notre étreinte dans cette position dure encore une dizaine de minutes avant qu’il n’explose dans mon vagin une nouvelle fois.
Je me redresse, prends mon pantalon, l’enfile pendant qu’il remet son troisième pied à sa place.
Je ne sais plus comment recommencer la conversation après cet acte, moi qui avait été si fidèle depuis huit années de mariage, et qui exprimait un bonheur avec mon mari.
Vincent à toute suite compris ma confusion et sans dire un mon me fait une bise d’au revoir. Il ouvre la porte de mon bureau et s’en va.
Je reste au bureau encore quelques minutes à me trouver des raisons, en même temps je me sens encore en feu. J’ai encore envie de faire l’amour, avec Vincent et aussi avec Hervé.
Je me décide enfin à rentrer aussitôt à la maison, pour me nettoyer car je sens mon pantalon humide dans mon entrejambe. Et finalement, je décide de me préparer pour une baise torride avec Hervé, afin d’essayer de me faire oublier pendant quelques jours cet égarement.
Depuis ce jour, j’ai compris que Hervé ne me suffirait plus, j’aurais envie de plus et risquerait de mettre mon mariage en péril. Mais je n’y pouvais rien dorénavant, mes désirs sexuels me possédaient à nouveau.
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