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Nous venions de déménager avec mes parents pour habiter dans un nouvel immeuble. Nous ne connaissions personne mais le voisin du dessus croisé dans l'ascenseur, la cinquantaine cheveux poivre et sel, nous souhaita la bienvenue. Très vite des liens d'amitié unirent mes parents avec lui. Un monsieur cadre France-Télécom très cultivé et prêt à rendre service. Il nous aida à déménager ; portait quelques paquets et aidait mon père pour les grosses charges comme le réfrigérateur et la gazinière. Tous les deux trois jours nous prenions l'apéro chez lui et réciproquement il venait chez nous.
Un soir d'été, il vint boire le pastis comme d'habitude et demanda à mes parents sil pouvait "m'emprunter" car il avait acheter une bibliothèque assez importante et il fallait ranger une multitude de livres sur les rayons. Mes parents acceptèrent aussitôt et comme c'était les vacances rien ne m'y opposait d'autant plus qu'ils étaient absents toute la journée.
Le lendemain après-midi, je me rendis chez le voisin du dessus, comme nous l'appelions. En fait, il s'appelait Michel. Je sonne et il m'ouvrit. Il portait un short comme moi et était torse nu. Moi j'avais un short aussi et un t-shirt. Il me fit entrer et comme il faisait chaud, il m'offrit à boire. J'étais dans le canapé et lui dans le fauteuil en face. Dans la position où il était je m'aperçus qu'il ne portait pas de slip et j'ai pu voir une couille nue qui sortait du short.Ça m'a émulsionné voire même excité et je pense qu'il s'en est rendu comte et que c'était volontaire. Au bout d'un certain temps, il se le va et me dit : "bon, on va commencer, je vais placer l'escabeau et je vais te passer les livres et c'est toi qui va les placer sur les étagères. OK." Encore troublé, je lui balbutiais un petit oui."
Nous avons commencé, j'étais sur la dernière marche de mon escabeau, un peu en équilibre et lui en dessous qui me donnait les livres que je plaçais au fur et à mesure. Il me dit : "n'est pas peur je suis là et tu ne risques rien". Il en profita pour me prendre la cuisse pour me signifier qu'il pouvait m'empêcher de tomber. À ce moment-là j'ai senti comme une petite vibration. Nous continuâmes et comme il me voyait par dessous, il pouvait voir ce qui se passait sous mon short. Il me parlait et restait là à me reluquer, ce qui n'était pas pour me déplaire. Il a finit par poser sa main sur ma cuisse et lentement la remonta par l'échancrure pour arriver en haut de ma cuisse. Je tremblais un peu et il me rassura. Comme je ne bougeais plus et que je paraissais peu farouche il continua l'aventure pour arriver à mon entrejambe. je me cramponnais à la bibliothèque et commençais à être très excité. Il me palpa le sexe : "hum, c'est très mignon ça !"
Sa main était habile et il caressait l'ensemble, allant de la cuisse à mon sexe. Il glissa sa main derrière l'élastique du slip que je portais et me malaxa ma tige érigée. De toute façon, je ne pouvais plus bouger, sinon c'était la chute. Il fit sortir ma teub par la jambe du short qui se trouva à porter de sa bouche quand il eût gravi une marche de l'escabeau. Il se servit de son autre main pour bien la dégager et après l'avoir bien décalottée il commença à la sucer. C'était délicieux. Sa bouche pleine de salive suçait, léchait, aspirait ma petite tige tendue. Il me caressait les boules avec délicatesse tout en continuant sa fellation. Par moment, il me léchait et sa langue venait tourner autour de mon petit oeillet.
Je ne pouvais plus me retenir et je lâchais tout mon sperme dans sa bouche. Comme un mort de faim, il avalait mon jus avec délice sans en perdre une goutte. Je n'en pouvais plus ! je lui demandais d'arrêter car son aspiration commençait à me faire mal. Il relâcha sa prise et s'écarta. À ce moment-là je descendis de mon perchoir après avoir remis mon sexe dans mon slip, et revint sur le canapé. "Dis donc Petit, on dirait que tu as aimé ça !" Oui, tant mieux ! Il se dirigea vers la cuisine et ramena un jus de fruit pour nous désaltérer et il s'assit à côté de moi. "Tu es mignon et doux comme une fille". "Tu as aimé ?" "Oh oui ! ai-je répondu, j'ai adoré ça! Lentement ma forme reprit de la force et mon sexe de la rigidité. Michel me sourit puis me proposa de me montrer son sexe. J'acquiessais, et en deux mouvements il se leva et se retrouva complètement nu devant moi. Il était bien taillé et un peu poilu. Son sexe fort était à moitié raide et le prépuce laissait découvrir le bout d'un gland bien rond. Il s'approcha de moi et je pus le saisir d'une main. Je le décalottais complètement avant de le prendre entre mes lèvres. Je ne pouvais gober que son gland qui me remplit ma bouche et je le trouvais agréable à lécher et à sucer. Sa bite prit de l'ampleur et j'avais devant moi une belle tige. Pendant que je le suçais, je caressais ses boules poilues, il allait d'avant en arrière et semblait y prendre du plaisir. Puis il me dit : "fais moi jouir avec ta bouche et un autre jour je t'initierai à la sodomie". je continuais à le pomper en accélérant ma branle et émettant un cri de mâle en rut il déversa tout son jus sur ma langue. Un jus épais au goût légèrement salé que j'avalais à chaque giclée. Que c'était bon, je me régalais...
Dés le lendemain, une fois mes parents partis au boulot, je montais les escaliers quatre à quatre pour sonner à sa porte !
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