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Cette histoire erotique a une note de : 14/20
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Avant de lire ce texte, je vous invite à lire ma première contribution : Câlins avec ma voisine.
Dans ce texte-ci, je vous relate la suite des évènements.
Après que Véronique nous ait espionnées, ma sœur et moi et que nous soyons allées chez elle avec ma sœur Juliette, j’attendais impatiemment de pourvoir l’entendre baiser. Comme je l’ai déjà écrit. Ma chambre est contiguë à la sienne et je ne perds jamais rien de ses ébats sexuels, avec son mari ou avec ses amants.
Deux jours après avoir été chez elle, un matin, ma mère est sortie pour aller travailler. Je l’ai accompagnée sur le seuil de la maison. Elle a vu véronique qui lavait le pare-brise de sa voiture. Elle est allée lui faire la bise. Je suis allée les rejoindre.
- Salut Véronique.
- Bonjour Aurélie, déjà levée ?
- Oui, je n’ai pas besoin de beaucoup d’heures de sommeil. J’aime me lever tôt.
Ma mère et elle ont papoté un petit quart d’heure de choses et d’autres et je regardais Véronique dans les yeux, ce qui la troublait un peu. Elle me jetait de brefs regards.
La collègue de travail de Véronique est arrivée et ma mère l’a saluée puis elle est partie travailler.
- Bonne journée, ai-je dit à ma voisine ?
- Je ne travaille pas aujourd’hui, j’ai pris un jour de congé que je vais passer avec ma collègue.
Je l’ai regardée avec un petit sourire :
- Vous allez baiser, pas vrai ?
- Oui, j’ai envie de sexe.
- Hummmm, j’ai l’impression que je vais aller dans ma chambre avec ma sœur et qu’on va écouter vos ébats.
- Excellente idée.
Je suis rentrée chez moi et je suis allée dans ma chambre. Une demi heure plus tard, j’ai entendu Véronique et sa collègue parler. Elles étaient dans la chambre. J’ai collé mon oreille au mur et j’ai écouté.
Véronique et Fanny ont fait l’amour. Elles étaient follement excitées. Gémissements, râles soupirs, cris, c’était une symphonie sonore hyper excitante. Je mouillais comme une folle. Je suis allée cherchée ma soeur Juliette qui était dans sa chambre et elle est venue dans la mienne. Elle a collé son oreille au mur pour mieux entendre encore.
Ma voisine et sa collègues se broutaient la chatte et poussaient des cris de plaisir.
- Continue, Elodie, j’aime ce que tu me fais. Tu as une merveilleuse langue.
- Toi aussi. Mets-toi en levrette, je vais te bouffer ton abricot, tu veux ?
- Et comment, j’aime trop ça. Bouffe-moi vite ma fente de salope.
Fanny a commencé à lécher l’anus de Véronique qui n’arrêtait pas de soupirer de plaisir.
- Oh ooouuuuuiiiii, ma chérie, plante bien ta langue dedans, j’adore. Putain que c’est bon !
Ma sœur Juliette se caressait le bouton. Je la regardais faire avec un petit sourire.
- Elles m’excitent, ces salopes. Elles sont chaudes à mort.
- Oui, je sais. Mais c’est tellement bon ce qu’elles font. Demain, je propose à mes copines Julie et Yasmina de passer et on fera la même chose, tu veux ?
- Oh oui !!!
J’ai collé à mon tour mon oreille contre le mur et on a passé un moment à écouter ma charmante voisine et sa collègue se faire du bien.
Tout y est passé, cunnilingus, léchage de cul, doigts dans la chatte, dans le cul, et gode-ceinture.
Quand elles ont eu fini, j’ai pris deux de mes vibromasseurs, j’en ai passé un à ma sœur et chacune de notre côté, côte à côte, on s’est donné du bon temps. On gémissait comme des dingues, sans retenue. A un certain moment, Juliette a giclé de puissants jets de mouille en criant comme une folle. Sa chatte était dilatée de plaisir et son clitoris pointait sa tête. Mon drap de lit était mouillé comme si j’avais renversé une bouteille d’eau.
J’ai continué à me pénétrer pendant que ma sœur me regardait et à mon tour j’ai giclé en criant.
Après avoir repris mes esprits, j’ai collé mon oreille contre le mur et j’ai entendu Véronique dire que « ses petites voisines étaient deux petites garces très chaudes ».
Il ne s’est plu rien passé jusqu’à 12 heures trente, heure à laquelle deux hommes sont arrivés chez Véronique.
Ce sont des collègues de travail. Tous ont immédiatement rejoint la chambre de Véro et une formidable séance de sexe a commencé.
Hommes et femmes se sont embrassés et ont commencé à se déshabiller. Rapidement leur queue s’est retrouvée dans la bouche des deux chaudasses qui les ont fait gémir de plaisir pendant qu’elles les pompaient.
- Pendant que tu me la bouffes, mets un doigt dans mon cul, a dit un des deux mâles.
- Tu aimes ça, hein, te faire doigter le fion, a dit Véro.
- Oui, c’est délicieux.
Fanny se faisait lécher la moule et n’arrêtait pas de pousser des petits gémissements
Ma sœur et moi étions nues et nous écoutions, excitées à mort, ce qui se passait de l’autre côté du mur pas bien épais.
J’avais envie de creuser un trou pour les voir et j’avais surtout envie de vivre un tel scénario.
- Je mouille comme une folle, m’a dit ma petite soeur. Je suis excitée à crever et j’ai envie de d’une queue.
- Tu n’es pas la seule, soeurette, moi aussi j’ai envie de me faire défoncer tous les trous. La prochaine fois que je ferai l’amour avec Mikka, tu viendras nous rejoindre et tu pourras goûter sa queue. Je te le promets.
- Quand tu fais l’amour avec lui, je viens vous écouter près de la porte de ta chambre, et je me touche en même temps.
- Tu as raison de le faire. Maintenant, tu participeras à nos ébats.
A côté, l’ambiance était montée d’un ton. Les deux femmes se faisaient prendre par leurs amants et elles gémissaient fort.
- Bourre moi fort, ne t’arrête pas, continue bien à me limer, c’est trop bon disait Fanny
- Je la sens bien, ta grosse bite, elle me fait du bien, disait Véronique.
Les hommes s’activaient dans les chattes de ces dames et soupiraient de plaisir.
- Fanny, je te pique ton mec, j’ai trop envie d’être prise en sandwich, tu veux bien me le prêter ?
- Bien sûr, d’autant qu’après, ce sera à mon tour.
- Charles, mets-toi sur le dos, je vais venir m’empaler la chatte sur ta queue et Frédéric viendra me prendre par le cul.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Véronique s’est laissée descendre sur la queue de Charles et a dit :
- Viens dans mon cul, Frédéric, entre en moi doucement, je veux bien sentir ton membre entrer et aller jusqu’au bout.
Frédéric s’est exécuté et sa queue s’est retrouvée dans le trou de balle de mon excitante voisine.
Véro frémissait de plaisir, poussait des petits cris. Mon sexe était trempé, la cyprine coulait le long de mes cuisses. J’ai regardé ma sœur Juliette, elle était rouge comme une tomate et s’astiquait le bouton comme une folle en écoutant les deux hommes coulisser dans les trous huilés de Véronique.
- Putain, que c’est excitant, j’aimerais être dans la chambre et voir ça.
- Tu aimerais surtout faire la même chose petite garce. Pas vrai ?
- Oh oui ! Exactement comme toi, petite pute, m’a-t-elle dit en rigolant.
J’adore cette complicité avec ma sœur. On s’entend super bien et une profonde affection nous lie. On est hyper complice et on se dit tout.
Fanny s’est déplacée et a commencé à lécher le cul de Frédéric.
- Oh oui, Fanny ! Fais-moi une feuille de rose, j’adore ça, ma femme refuse de me le faire. Elle aime quand je le lui fais, mais refuse de me rendre la pareille.
- C’n’est pas gentil, a dit Fanny. Heureusement, je suis là pour te faire connaître ce plaisir.
- « Fais-moi quoi ? », a dit ma sœur Juliette ?
- Une feuille de rose, c’est le terme utilisé pour dire lécher le cul. C’est délicieux de sentir une langue chaude sur ta rondelle. J’adore quand Mikka me le fais, et j’adore le lui faire. Il est fou quand je lèche sa petite pastille.
- Putain, tu m’excites grave Aurélie.
La langue de Fanny glissait entre les fesses de Frédéric. Pendant qu’il enculait Véro.
Frédéric s’est retiré car il était trop excité et ne voulait pas juter maintenant.
Tout le monde a fait une petite pause pour se calmer. Tous sont descendus dans la cuisine pour boire un café.
Quand ils sont remontés, un petit quart d’heure après, ils ont repris les festivités et Fanny a pompé les deux queues avant de faire à son tour une double pénétration chatte-cul.
- Vas-y, Fanny, laisse-toi bien aller, je suis certaine que mes petites voisines sont en train de nous écouter - et de mouiller comme des dingues en nous entendant. Ce sont deux superbes filles et déjà deux petites chaudasses, crois-moi.
Allez-y, les mecs, faites-la crier de plaisir et ensuite vous exploserez en elle. Ensuite, je nettoierai vos belles queues à coup de langue et à mon tour vous défoncerez mes orifices en feu.
Les mecs ont limé Fanny un bon moment. Son plaisir montait progressivement et à un certain moment elle a crié sa jouissance dans un orgasme long et intense
- Ooooooouuuuuuuiiiiiiiii…. Ooooohhhhhhh que c’est boooooooon, que j’aime çààààààààà.
Ce fut au tour des mâles. Ils ont giclé dans les trous de Fanny en râlant et gémissant de plaisir.
Je me suis couchée sur le dos et je me suis branlée. En moins de deux j’ai poussé un râle de jouissance. Juliette m’a suivi de quelques secondes. J’avais la chatte en feu et je suais tellement mon excitation était à son comble. Ma sœur avait les joues toutes rouges et des perles de sueurs roulaient sur son ventre.
Véro a léché les membres toujours durs de ses amants et elle a exigé son dû.
Cette fois-ci l’enculeur a été Charles et c’est Frédéric qui s’est retrouvé sur le dos, la queue dans la fente trempée de la belle mature Véronique.
Comme ils avaient éjaculé, elle a été limée durant une vingtaine de minutes non stop. Les mecs inversaient les places de sorte que chacun passait dans les deux trous.
Pour l’éjaculation finale, c’est Charles qui a eu droit au cul de Véro.
Elle était déchaînée :
- Je suis votre grosse putain, baisez-moi, faites crier votre pute et balancez-moi votre boni jus de couille. J’aime sentir le foutre gicler dans les trous.
Les hommes ont accéléré la cadence et se sont répandus dans le corps de mon excitante voisine.
Ce fut au tour de Fanny de nettoyer leurs queues à coups de langue. Ensuite tous à la douche et les hommes sont repartis au travail.
Fanny est encore restée un peu puis Véro a proposé d’aller faire un de shopping.
- Je suis en chaleur ai-je dit à ma sœur ? J’ai encore envie de jouir.
Je me suis couchée sur le dos et j’ai introduits mes doigts dans ma fente trempée et aux lèvres gonflées de plaisir. Rapidement toute ma main s’est retrouvée dans ma fente et je me suis limée. J’ai hurlé de plaisir et un jet de liquide a jailli de ma fente pour aller mouiller les draps et au-delà, le sol de ma chambre.
Ma sœur me regardait, rouge d’excitation.
- Putain, Aurélie, tu n’as pas mal, avec la main dans la chatte.
- Mal ? Tu rigoles, c’est trop bon, mais je n’abuse pas de ce plaisir. Je ne le fais qu’épisodiquement, quand je suis hyper excitée.
Ma sœur est retournée dans sa chambre.
J’ai repris mes esprits une petite demi-heure, couchée sur mon lit, en repensant à ce que je venais de vivre. Ensuite j’ai pris le sèche-cheveux pour sécher mon drap de lit. J’ai essuyé ma mouille sur le parquet et je me suis rhabillée.
Ma sœur est retournée dans sa chambre.
Quand je suis sortie de ma chambre et j’ai entendu Juliette qui se masturbait et gémissait sans pudeur. Elle avait bien raison d’évacuer toute l’excitation accumulée.
Voici donc à quoi ma voisine passe la pause de midi. C’est quasiment tous les jours de la semaine. Il est rare que la pause midi ne soit pas un moment de sexe. Parfois elle est avec Fanny seulement, parfois elles sont quatre femmes. Mais la plupart du temps, elle baise avec deux ou trois mecs.
J’ai toujours été un peu surprise de son appétit sexuel. D’autant plus surprise qu’elle fait l’amour avec soin mari 4 ou 5 fois par semaine et qu’elle prend un pied monstrueux.
Mais je suppose que le faire à plusieurs est incomparablement meilleur qu’à deux.
Je vais poster cette histoire et la prochaine fois je vous raconterai ma séance de sexe avec mon petit ami Mikka et la première pipe et la première feuille de rose de ma sœur.
Bonne lecture.
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