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Sorti tout droit de l’Ecole Normale, je faisais souvent des remplacements de professeurs dans les lycées et dans ma discipline, Math et Physique, cela me permettait de vivre correctement, mais sans plus, aussi je donnais des cours particuliers à des élèves de 6 ème jusqu’en terminale, pour arrondir mes fins de mois.
Il me restait un cours a donné à une élève de terminale, il fallait que je sois à l’heure car sa mère, madame B. était très à cheval sur les horaires, aussi j’avais écourté un cours de math que je dispensais à une gamine de 5 ème, tous les mercredi en début de l’après-midi.
En arrivant chez madame B. je remarque de suite que Mélanie était là, à son accoutumé, elle avait garé sa voiture comme une sauvageonne, empiétant sur le trottoir et sur l’entrée du garage de sa grande maison.
Il n’y avait pas à dire, mais chez les B. on ne manquait pas d’argent, d’ailleurs madame B. est agent immobilier et monsieur B un importateur de vaisselle, ayant pignon sur rue et très connu dans le monde, surtout pour ses porcelaines de Chine.
Madame B. était aussi à la maison, son coupé sport garé dans la rocade du lotissement, flamboyait de mille feux.
A peine sortit de ma voiture, madame B. m’accoste et me fait pénétrer dans sa maison en m’indiquant pour la dixième fois la chambre de Mélanie, qui m’attendait pour son cours de math, les examens approchaient à grands pas et madame B. ne supporte pas l’échec, elle m’avait demandé de donner des cours à sa fille, sur les recommandations du proviseur du Lycée où j’effectuais mes remplacements.
Tout en gravissant les marches de marbre pour me rendre chez Mélanie, je rappelle à madame B. que c’est mon dernier jour et que j’aimerais bien être payé, elle me rassure en me disant qu’elle avait juste un rendez-vous en ville et qu’elle me réglerait mes honoraires dès son retour, soit dans une petite heure à tout casser.
Mélanie assise à son bureau, pianotait sur son PC portable, encore en train de « tchater » avec ses copines sur la messagerie la plus célèbre de notre ère numérique.
Je n’avais jamais vu Mélanie avec un petit copain, mais bon, ce n’était pas le genre de fille qui avait à ses trousses une bande de mâles en rut, elle n’était pas jolie.
Des cheveux raides, un visage grossier et le tout couronné par une paire de lunettes des plus disgracieuses, à croire que madame B. faisait tout pour que s’éloignent à jamais les garçons de sa fille.
De toute façon, je suis là pour donner un cours de math et pas pour trouver une petite amie, je devais penser à assurer le loyer de mon appart et la subsistance quotidienne. Mais je me disais aussi, avec un peu de « relooking » Mélanie serait une jolie fille, car à en deviner les rondeurs de sa poitrine, elle devait avoir de beaux seins.
Nous nous installons au bureau de Mélanie devant le PC, je lui avais laissé quelques exercices à faire lors de mon dernier cours, j’allais donc vérifier si la collégienne avait bien révise.
J’expliquais à Mélanie une formule quand madame B sur le palier de la chambre de Mélanie nous dit au revoir, un peu surpris, je ne l’avais pas entendu arriver.
Madame B. rassurée nous laissa travailler.
Mélanie suivait du regard le pointeur de la souris sur les petites erreurs que je lui signale, elle me pose des questions auxquelles je réponds, c’est mon rôle. Tout en écoutant Mélanie, je remarque que sa robe lui arrive haut sur les cuisses et qu’elle se ferme grace à des pressions.
Elle croise les jambes et dans un éclair j’aperçois une bribe du triangle de son slip noir.
Je vais pour expliquer une formule, quand Mélanie éternue, je sursaute.
Mélanie s’excuse et me demande si elle peut prendre un mouchoir dans sa table de nuit, un comble, elle est chez elle, elle peut faire ce qu’elle désir. Elle quitte la chaise du bureau et se dirige vers son lit qu’elle enjambe en ce mettant à quatre pattes, arrivée au bord du lit, Mélanie se penche sur sa table de nuit pour saisir un mouchoir, quand je lève les yeux.
Mélanie a les fesses à l’air, seul un string noir barre la raie de ses fesses qu’il sépare en deux lobes arrondis, un beau spectacle auquel je ne peux résister. Je ne sais pas ce qu’il me passe par la tête, mais je quitte le bureau et je monte à genoux sur le lit pour saisir les hanches de Mélanie et lui caresser les fesses.
Je m’attendais à ce qu’elle hurle comme une sirène d’alerte au feu, j’aurais trouvé une excuse bidon, mais la tentation fut plus forte que la raison, je laisse mes mains courir sur les fesses de Mélanie et sans réponse de sa part, je passe une main entre ses cuisses pour lui masser l’entrejambe.
Mélanie se redresse, je m’efface et elle s’allonge sur son lit, ma main n’a pas quitté son sexe que je masse avec son slip, je me penche sur la bouche de Mélanie et je l’embrasse, elle me rend mon baiser, ainsi encouragé, je baisse son string sur ses cuisses, Mélanie me donne un peu d’aide en soulevant le bassin, son string vole par dessus le lit, elle a le sexe aux quatre vents, j’en profite pour lui dégrafer la robe, elle ne porte pas de soutien-gorge, je lui embrasse les seins et plus particulièrement les bouts.
Sous ma langue, les bouts de ses seins gonflent, je quitte ses seins et je me penche sur son entrejambe, elle a le sexe recouvert d’un petit duvet de poils noirs, j’écarte les lèvres de son sexe avec mon indexe et mon pouce, pour dévoiler l’intérieur de sa fente et repérer l’entrée de son vagin.
Je pose mes lèvres sur les lèvres du sexe offert et je darde ma langue à l’intérieur de la fente et d’une lente caresse labiale, je navigue de son clitoris à l’entrée du vagin où je fais pénétrer de temps en temps ma langue pour la faire tournoyer dans son vagin.
Mélanie se laisse faire et souffle comme une forge, tant bien que mal, elle se libère de sa robe, elle est nue sur son lit et moi je lui suce le sexe.
A regrets, je laisse son sexe pour ses seins et sa bouche que je dévore comme un varan affamé, mais ma main libre fouille le ventre gonflé par le plaisir montant, d’ailleurs sous mes doigts, le sexe de Mélanie transpire
Mélanie entreprend de me libérer de mon pantalon, je l’aide dans sa tentative et me voici aussi nu devant elle, ma verge tend vers elle, de lui avoir léché la fente de son sexe m’a existé, je m’allonge sur le coté, tête opposée à celle de Mélanie, je veux encore goûter de son sexe.
A pleine bouche je suce son sexe dans les moindres recoins et surtout son clitoris, c’est une zone sensible chez elle, à en croire les souffles rauques qui sortent de sa bouche.
Dans une extase voluptueuse, Mélanie m’a pris dans sa bouche et tel un fourreau ajusté, ses lèvres enserrent mon gland qu’elle suce en s’aidant de sa langue, c’est divin, j’écarte un peu plus les jambes de Mélanie et tout en suçant son sexe, je fais pénétrer un doigt dans son vagin, Mélanie apprécie cette soudaine pénétration dans son vagin, elle râle de plus belle, alors je fais danser mon doigt dans son ventre et j’en fais même pénétrer un deuxième, comme pour bien lui écarter l’entrée de son ventre.
Mes deux doigts dans son vagin, je masturbe mécaniquement Mélanie, je me redresse et je m’allonge sur Mélanie, elle a ouvert les cuisses pour m’accueillir et c’est elle même qui en saisissant ma verge, la pointe vers son vagin, le contact de son sexe sur le mien me provoque une décharge électrique, d’un petit coup de rein, mon gland la pénètre sans retenue, je donne une dernière poussée et ma verge disparaît dans son ventre.
Mélanie a remonté les jambes au plus haut en remontant le bassin, dans cette position, je m’enfonce profondément en elle, allant et venant comme un pilon de forge à haute cadence.
Mélanie crie son plaisir dans mes oreilles en m’encourageant avec des « plus fort », « plus fort ».
Sous cette cavalcade, je sents aussi le plaisir monter dans mes reins, je vais éjaculer dans son ventre, je vais pour me retirer des cuisses de Mélanie, que le muscle de sa vulve se resserre sur ma verge, je sais alors que Mélanie va jouir, aussi je redouble mes va et vient.
Mélanie sans aucune retenue, hurle dans sa chambre son plaisir orgasmique et elle enfonce ses ongles dans mes reins en me criant :
« Ouuuiii ….. Je Jouuuiiiisss … Encore….encore…. ! »
Je laisse Mélanie profiter de son plaisir jusqu’à la lie et quand elle a fini de jouir, je me retire de son ventre, au passage de ma verge, sa fente reste ouverte et son vagin laisse échapper sa jouissance liquide, Mélanie coule comme une fontaine, je lui suce alors le sexe pour terminer son orgasme et à ma grande surprise, Mélanie remonte dans l’extase.
« Ahhh !..... Lèches-moi…. Je vais Joooouiiirr …… Je Jooouuuiiisss : »
Existé au maximum par la jouissance de Mélanie, je la retourne sur le ventre et j’attire son bassin à moi, la croupe tendue vers moi, je me mets à genoux sur son lit et d’une poussée brutale je la pénètre au plus profond dans le vagin.
J’aurai bien aimé que ce plaisir de la posséder dure plus longtemps, mais de mes reins jaillit le plaisir, j’éjacule dans son ventre deux giclées de sperme.
« Tu coules en moi…. Je le sents …. Je vais jouiiirrr »
Avant de finir d’éjaculer mon plaisir, je me retire du ventre de Mélanie et je lui enfonce ma verge dans la bouche pour me vider de deux autres belles giclées au fond de la gorge, quand au dernier soubresaut de ma verge, c’est pour le visage de Mélanie, je lui éjacule en pleine figure un ultime jet de sperme.
Nous avions à peine fini de remettre de l’ordre dans nos affaires et rejoint le bureau que la voiture de madame B arrivait.
Madame B. arriva dans la chambre, nous étions entrain de travailler sérieusement quand madame B. rappelle à Mélanie qu’elle a son cours d’équitation et qu’il ne faut pas qu’elle soit en retard.
Pendant que Mélanie quitte la maison, madame B. m’interroge sur les progrès de sa fille et me serre un jus de fruit, je la rassure de suite, Mélanie est très studieuse et j’en profite même pour argumenter que deux ou trois cours supplémentaires seraient des plus bénéfiques.
Madame B. accepte et m’affirme que c’est Mélanie qui me donnera des nouvelles sur les horaires prochains.
Madame B. sort une liasse de billets de son sac à main et me les tend, cela allait assurer quelques semaines de mon existence, avant que je trouve un poste à temps plein.
Je ne sais pas si c’est le temps qui agit sur les gens, toujours est-il que madame B. en me tendant l’argent s’approche de moi et vient m’embrasser sur la bouche, médusé et tétanisé je n’ose refuser ce baiser.
Comme un collégien à son premier rendez-vous, je me mets à caresser les seins de madame B. en deux ou trois mouvements, elle m’a attiré dans la chambre de sa fille, nus tous les deux, elle me gratifie d’une fellation divine.
Ma verge disparaît dans sa bouche au plus profond que je peux l’enfoncer. Ses seins lourds tombent un peu, mais ils restent fermes et durs, quand au sexe de madame B. il est recouvert de poils en un grand triangle de broussaille.
Accroupie entre les jambes de madame B, Francine pour moi, je lui suce la fente de sa vulve, les grandes lèvres tombent de chaque coté de son sexe et l’entrée de son vagin est ouverte, j’y glisse aisément deux doigts d’un seul coup.
A force de la masturber, Francine halète comme un petit chien, sa vagin s’humidifie abondamment, alors je la pénètre d’une poussée sans retenue, son vagin s’écarte et laisse passer ma verge, je m’enfonce comme dans du beurre.
Tout en pilonnant Francine, je masse son clitoris, elle ne tarde pas à jouir comme si cela faisait des lustres qu’elle n’avait pas fait l’amour avec un homme.
« Tu me baises bien… Va-y, défonce-moi.. »
J’allais et je venais entre les cuisses de Francine et je lui malaxais les seins en titillant les bouts pour les pincer de temps en temps et même tirer dessus, mais sans violence, juste par jeu.
« Oui… comme ça…. Je vais jouuuirr …. Je jooouuuiiiiss … sallaauud »
Avant que Francine ne jouisse totalement, je me retire de son vagin et je la retourne sur le lit de Mélanie, mais je remplace ma verge par mes doigts pour la masturber, afin que son plaisir soit total.
« Ahhhh … Fouille moi la chatte…. Je viens… je coule »
Francine brame dans la chambre sous l’orgasme qui monte dans son ventre, alors dans l’excitation, j’approche ma verge de son anus, c’est une offrande qu’elle me fait en tendant le bassin.
La verge dans la main, je pose mon gland sur l’entrée de son anus et je pousse mon bassin en avant, les muscles de son sphincter résistent, Francine proteste, mais je ne l’écoute pas, je la planque sur le lit et je la sodomise d’une seule poussée pour m’enfoncer dans ses reins jusqu’à la garde.
Francine déchire l’atmosphère de son cri, un mélange de douleur et de jouissance en même temps car à la pénétration, un deuxième orgasme l’envahit du plus profond de son être et je me laisse alors aller à lui éjaculer dans les reins, jusqu’au dernier jet.
Je m’affale sur le dos de Francine, elle transpire, moi aussi, son parfum est enivrant. Nous restons un instant collé l’un à l’autre à savourer notre orgasme profond. Je l’embrasse dans le cou et sur les épaules.
Je me retire de l’anus de Francine, il est dilaté, je vois l’intérieur des reins et doucement, les muscles de l’anus se referment en laissant échapper une vague de sperme qui coule jusqu’au vagin en un ruisseau visqueux.
Toujours en érection, je sodomise une dernière fois Francine qui sous mon assaut brutal, gémit de plaisir, je mis plus longtemps à jouir cette fois-ci, mais je voulais donner encore du plaisir à cette femme.
Tout en lui pénétrant l’anus, je faisais danser mes doigts à l’intérieur de son vagin et quand au bout d’un petit moment, la vulve du vagin de Francine se resserre sur mes doigts, je sais alors qu’elle va jouir, aussi je me retire de son anus pour venir la pénétrer dans le vagin.
Francine ravie de mon initiative, jouit en même temps que moi, j’éjacule alors dans son ventre, quelques gouttes de sperme, sans retenue.
Madame B. me demanda de revenir la voir et de continuer de donner des cours à sa fille, ce que je fis avec empressement la semaine suivante.
Toutefois, je m’attendais à un bon accueil de la part de Mélanie, suite à notre petite chevauchée dernière, mais ce fut tout le contraire.
Interloqué, je demande à Mélanie ce qui n’allait pas, car à mon arrivée, j’avais essayé de l’embrasser sur la bouche, mais elle m’avait repoussé.
C’est alors que j’eu l’explication.
Mélanie était revenue à la maison, elle avait oublié ses éperons pour sa séance d’équitation et elle nous avait vu, sa mère est moi enlacés sur son lit.
Que sa mère fasse l’amour avec un homme ne la gênait pas, mais Mélanie n’avait pas apprécié que sa mère se comporte comme une chienne quand je l’avais sodomisé et qu’elle avait hurlé de plaisir.
Nous avons discuté tout les deux pendant de longues minutes, il fallait que je crève l’abcès, barrière virtuelle entre Mélanie et moi, qui risquait à terme de se fermer à tout jamais.
Lentement, Mélanie accepta tous mes arguments, il faut dire aussi que j’ai joint les gestes aux paroles et de fil en aiguille, entre de chastes baisers sur son visage et des passages furtifs de mes mains sur ses seins et mes doigts dans son vagin à la fouiller comme un archéologue, Mélanie s’ouvrit alors en grand.
Au lieu de révisions, nous avons fait l’amour comme si de rien n’était arrivé et j’en ai même profité pour la sodomiser, comme sa mère, quelques jours auparavant.
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