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L´enfer ou paradise
Préface
Ils s´attendront à des vices, à des crimes, à des complcations, à des recherches, à des raffinements, à tout le tremblement du mélodrame moderne, qui se fourre partout, même dans le roman. Monstre même à part ils présentent un effectif de bons sentiments et constraste dans la société, car toutes choses sont doublés, Albert Spazzio, braqueur de banque dénué de scrupules. Son épouse Julie, dope et plongée dans le mal. Un polar qui défie les lois du genre. La présence probable, lors du crime, d'une très jolie femme, Julie épouse d´Albert braqueur de la banque. Il y rencontre une femme belle, sombre et mystérieuse. Où le conduira ce chassé-croisé amoureux et sensuel? Elle a été assassinée, meurtre... La peur s'était profondément installée dans ses yeux grands ouverts de Albert. Des cartels de la drogue en Amérique latine au milieu de la finance italienne, en passant par le monde ouvrier, la jeunesse dorée ou la police, cet or blanc s'insinue partout, dans toutes les strates de la société. C'est un cristal aux multiples facettes qui gangrène le monde et pour lequel nombreux sont prêts à mourir. Quand production, exportation, consommation riment avec corruption et perdition, découvrez la cocaïne dans tous ses états. On ne peut pas ne pas apprécier les héroïnes du livre, Une femme à la recherche permanente de sensations fortes...
1
L´individu s´appelle Albert Spazzio. Il sème la terreur chez les banques de la ville, et qui face une banque par moi. Il voulait vivre en marge de la societé. Il cultive l´art de passer inaperçu. Il ne possède aucune caractéristique physique distinctes et n´affiche aucun tatouage.
- Julie! Est elle là?
- Non, elle est sortie.
- Ah bon, c´est n´est pas grave.
- Dois je l´appeler?
- Non, dit lui que je l´attendrais pour le dîner.
Julie rentre vite à sa maison. Dans ce moment elle est arrivé.
- Il n´a pas un voleur de banque qui travaille aussi dur que moi. Nous allons braquer la banque. C´est du gros pognon. C´est un jeu d´enfant.
- Je fais ce que tu veux, je te dire une chose, cette poussée d´adrénaline, ces talons me ruiné mes pieds. J´ai envie de m´amuser, de vivre plus intensement. J´ai des désirs étranges que deviennent plus forts, plus pressants jour à jour, dit Julie.
- C´est onze heures. Je sens l´odeur l´autre mec sur tes lèvres.
- Satisfait? Tu voulais être cocu. C´est ça. Un baiseur sauvage. C´est seulement pour faire mon plaisir. C´est quelqu´un qui m´attend et qui est pour moi.
- C´est une bonne nouvelle. Il s´appele le prince charmant? Tu es une grosse salope. Raconte moi tout... Donnes-moi les détails. Sale chienne.
- On s´est toujours amusés avec mes aventures. Je voulais juste te dire ce qui s´est passé. Eh bien, tu n´as rien vu. Si vous jouez avec le feu, vous risquez se bruiller.
- Qu´est-ce que j´aurais du voir?
- Pas de culotte! De tout façon Je n´aurai pas mis. Je suis disposée a faire n´import quoi. Il a touché mon cul par exemple. C´est different avec lui.
- Il a découvert que tu etais sans culotte.
- Je me suis pressé trouvé contre lui sans m´en rendre compte, sa bouche est collé sur la mienne, sa langue l´a balayé avidement et la poussé dans ma gorge dessequee, jê ne pouvais plus repirer, mais je n´ai pas cédé j´ai senti ses muscles saillants contre mes seins, je respirais son odeur, ses gemissements remplu mes oreilles, il a chuchoté que j´étais une prostituée. Mais tout cela semblait si insignifiant pour moi. La main de l´étranger sous ma robe et mon cul... Était tout qui m´importait, ces mains forts et maladroites que me pressaient conte son estomac et mon contrainte à me frotter contre sa bite qui semblait prete à éclater de son pantalon, ces mêmes mains qui ont envahi ma culotte et a attrapé ma chatte. J´ai laissé coller deux doigts dedans. Son doigt à pénétré ma chatte comme une fléche.
- Je suis Sûr que tu étais toute mouillée.
- Comme le Venise em marpe haute. J´était moitte, ouverte, facile, il n´a rencontré aucune résistence.
- Est-il devenu dur?
- Et comment... Plus raide que la tienne. La queue durcie de Jupiter. Oui la queue je dis la queue. C´est merveilleuse de le dire, La queue.
- Oh! Julie tu ne rends fou, d´être baisée par un étranger.
- Je peux encore ressentir maintenant, son doigt maladroite sur ma chatte et le frisson qui a parcouru mon dos. Il a defait son pantalon et a enleve ses chaussures. Mon souffre était court et ma chatte était mouillée. Je me suis me senti libre de montrer mon impatience et mon désir sans honte. J´ai presque été violée aujourd´hui! Cette petite chatte a été transpassée comme um oiseau sur une brochette. Est-ce que tu entendu mon chéri?
- J´ai compris...
- Presque ou réellement? Tu ne me crois pas?
- Bien sur que si, chérie, par qui? Ce serveur marrocan de l´hôtel?
- Non, par un étranger. Les fantasmes d´une épouse délaissée. Regarde, j´ai même apprecié.
- Ah! Vraiment... Car si tu es si scandaleuse, ne porte pas de culotte à la fête.
- Tu dis comme si je n´en serais pas capable. Va te faire foutre. Je voudrais mettre um amant em face de l´autre et dire: Est-ce que c´est La tendance actuelle?
- Le cul est um grand niveleur. La chatte est l´oeil des esprits.- Il était un étalon incroyable.
- Tu te sens coupable de tromper son mari?
- Je me sens vraiment bien. Je ne sais pas même son nom.
- Quelque fois tu n´as pas besoin de nom ou un long moment. Tu as besoin de quelque chose d´autre qui est long. Tu es une belle salope. Une sale pervertie. Ne dis pas que tu aime.
- Eh bien, je suis une femme aussi, n´est-ce pas?
- Tout d´abord, tu es ma femme.
- J´avais oublié.
- Les hommes comme ça sont interesses par des putes.
- De la façon ddont il me serrait, je vais être três putain.
- Tu es super beau quand meme... Personne me surveille? Je observe toutes nos régles je ne fais pas de conneries.
- Bien sûr. La plus sinistre femme sur la face de cette terre, satanique.
- Je vis u periode un peu dingue. Il voulait trouver um coin a l´écart où il pourrait me baiser sans que les autres nos voient. Je n´ai pás résisté quand il a poussé ma tête contre sa bite. Mais il me baisé dans la poulet rôti comme un taré et je lui fais la nettoyage de la bite avec ma bouche. J´ai laissé baiser par l´étranger.
- Vasy, jê veux tus lês détails.
- J´ai fais exactement comme tu l´avais dit, j´ai mêes priorités. Et il a apprécié, plus que jamais. Il est génial avec sa língua. C´était celui que tu voulais!
- Le cochon gourmant.
- Je n´aurais pas l´esprit à un petit plan à trois. Toi lui et moi. Je sais três talenteuse tu sais.
- Je n´en doute pas, mais... Tu es píer que moi. Tu ne pense qu´au sexe.
- Moi, vous et son amant comme l´enfer. Je suis d´accord. Mais... Je veux photographer pendant que tu baises.
- Tu aimerais tu vas voir.
À quelques dizaines de mètres de là, sur la rue sainte Catherine deux braquers se prepare la sucursale d´assaut, descent de la voiture un bandit arme d´une carabine tronçonnée de calibre 12 fidèles à leurs habitudes se dirigent dans un pas decides vers une pick-upe rouge, mais ils doivent tout de même demeuré discret afin de ne pás éveiller les soupçons... Le banlieuse de la ville merveilleuse, les convoyeurs. Ils étaient venus réapprovisionner le distribuiteur qui se trouve à l´intérieur. Des suspects après avoir pris toutes les mesures de sécurité nécessaire le bandit s´est porte à l´estérieur de la banque pour surveiller la rue que pendant que des hommes postent les sacs que contenait l´argent à l´intérieur, et c´est le exact moment qu´ils voient deux hommes surgir de l´arrière d´une pick-up rouge stacionnée sur sa gauche. Les deux hommes étaient armes et portaient cagoules. Le chauffeur du fourgon a pu voir les deux hommes dans son rétrouviseur et il a su qu´il s´agissait d´un braquage. Il y a tout de suíte quitté les lieux et a constate la Police de l´informer qu´un vol à main armée était en train de se produire. Les deux voleurs entrent em silence dans l´établissement. Les hommes se sont precipites à l´intérieur de la banque l´un d´eux reste derrière la porte pour surveiller les allées et venues des employés pendant que son complice se rende directement au bureau du comptable adjoint pour aller dans la chambre forte, mail ils n´ont pas eu le temps de fermer la porte derrière eux.
Un des voleurs a ouvert la porte quand le premier coup de feu a été tire par l´un des malfeiteurs. Il a menacé les deux convoyeurs pour qu´ils lui donnent l´argent qui se trouvait dans les sacs à l´intérieur de la chambre forte. Ils faisent feu sur se proteger, Dans la fusilage le voleur a tente de pénétrer dans la chambre forte pour attraper les sacs. L´une des balles est passe près de la tête du convoyeur qu´il a pu sentir la chaleur du projetille qui fusaient croire qu´il allait mourir.
Il s´est apperçu qu´il ne lui restait plus qu´une balle dans son arme. Il savait qu´à la première occasion il devait tirer sur l´homme cagoulé. Il y a eu un silence dans la banque et le convoyeur en a profité pour recharger son arme. L´un des criminels lui a crie qu´il allait mourir pour avoir oser faire ça. “Tu vas mourir, me donne mon argent”. Il a grippé Du sac contenant l´argent est là viser et tirer sur l´agresseur. Elle a cru toucher une courte pause et les convoyeurs ont compris que les deux hommes étaient partis dans la Pick-up rouge.
- Vite... demarre la voiture...
2
Le convoyeur a essayé de relever la plaque d´immatriculation mais il est trop loin.
“ Dans La TV: Bienvenue aujourd´hui enquête sur la casse Du siècle. Une affaire absolument incroyable. Des malfeiteurs pénètrent dans une agence de banque et se font ouvrir les coffres. Ils emportent 100.000 euros quelques minutes et disparaissent dans la ville. Un plan millimitré du travail de pro... La baraquage d´une extreme violence déroulé en quelques minutes faisant preuves d´un sang froid exemplaire. La Police scientifique se rendent immédiatement sur les lieux pour recueillir les premiers índices. Un des voleurs il y a sans doute laisser sa carte de visite sur le sol de la banque”.
Dans la centrale de police criminelle.
- Nous savons pour l instant ce qu´ils ont moins de trente qu´ils n´ont peur de rien, qu´ils ont du roller comme de dieux, un impératif rien de doit filtrer pas un mot à la prense. Ils sont excellents. Ils sont dangereux. Ils sont faits comme des rats et je les veux, dit le chef des enquêteurs.
L´enquête ne fait que commencer. Ils s´approchent de la scène du crime de la même façon qu´on approche d´une scène de meurtre. Immédiatement pour relever les índices comme des empreintes digitales ou l´ADN.
Ainsi se déroula notre vie pendant quelques années. Le temps de l’inconscience, celui où elle n’était qu’une infime partie d’un tout harmonieux, tourné vers une finalité évidente, mystérieuse et acceptée, est terminé. Sa liaison avec Julie a duré environ cinq ans. Ce sont de bons souvenirs. Elle venait chez moi de temps en temps. À chaque fois elle lui donnait quelques centaines d'€uros. Elle l'est arrivé de penser que l'on pourrait l'accuser de proxénétisme. Il ignorait qu'elle se livrait à des activités sexuelles à but lucratif. D'affirmer qu´il n'a jamais entendu parler de son pseudonyme. La blonde lui payait ainsi peut-être parce qu'elle avait le sentiment qu'elle lui devait bien ça, peut-être aussi parce qu'elle appréciait scompagnie, mais plus sûrement parce qu'elle avait encore besoin de lui pour que leur système continuât.
Aucun problème avec ses divers abonnements ni avec ses impôts et taxes mensualisés. Seules la Compagnie d'électricité et la Compagnie des eaux auraient pu remarquer qu'il ne consommait rien, mais pour éviter ça il avait laissé entrouvert deux robinets d'eau chaude qui coulaient en goutte à goutte, ce qui assurait une consommation d'eau et une consommation d'électricité par le chauffe-eau électrique en plus de celle du frigo.
Ainsi Julie et Albert, chacun de leur côté mais en sortant ensemble de temps en temps et en ayant parfois de longs moments d'intimité, ils vivaient une vie agréable et tranquille avec un complément de revenus appréciable, environ trente-mille dollars par an. Elle se serre contre lui, lui faisant ainsi apprécier la fermeté de ses seins. Il avoue que c'est très sexy. C'est son truc lorsqu'elle veut lui contredire sans être vraiment sûre de son argument ou pour lui dire quelque chose de déplaisant. Elle susurre à son oreille:
- Mon tendre voyou craint-il que j'avoue avoir un complice? Tu n'as pas confiance en moi?
- Je t'aime beaucoup mais j'ai confiance en toi ni plus ni moins que tu aurais confiance en moi dans la situation inverse.
- Comment peux-tu penser ça? Salaud!
- Merci de reconnaître qu'il y a un risque. Et toi tu m'énerves.
- Dans le fond, tu as peut-être raison: je ne suis pas sûre, moi-même, d'être capable de cacher aux enquêteurs.
- Non, ça ne marchera pas.
- Un peu égoïstement, c'est vrai.
- Ah bon, tu es bisexuelle?
- Oui, mon cher. Ne me dis pas que ça t'étonne?
- Non, en effet ça ne m'étonne pas. Cependant c'est la première fois que tu m'en parles.
- Non, en effet ça ne m'étonne pas. Cependant c'est la première fois que tu m'en parles.
Cette expression d’ironie infernale était augmentée peut-être par le contraste de ses yeux incrustés d’argent et très brillants avec la patine d’un bleu noirâtre que le temps avait donnée à toute la statue. Ces yeux brillants produisaient une certaine illusion qui rappelait la réalité, la vie. En voyant l’expression diabolique de la dame, il croirait plutôt que l’artiste a voulu mettre en garde le spectateur contre cette terrible beauté. Le monde était d’ailleurs, de son côté, tout préparé à aller vers eux. Il en était encore à les considérer comme des gens chez qui n’allait personne de la société mais qui n’en éprouvent aucun regret.
- Non, je crois ne pas être jaloux. Pour ça il faut être amoureux et
- Même si j'apprécie beaucoup ta compagnie et ta tendresse dans l'intimité.
- Moi non plus, je ne voudrais pas me retrouver dans une situation impossible. Je ne suis pas trop naïve, comme tu sais, alors j'ai pris mes précautions.
Le temps était frais et calme. Entre les feuilles qui frissonnaient à peine, apparaissait un ciel de cristal bleu. Fin prête, légèrement vêtue par Agent Provocateur, sexy en diable. Balayées ses ultimes barrières, elle veut de la bite, être prise comme une chienne et se faire sauvagement baiser. Elle avait un mari qui voyage très souvent cela veut dire une liberté totale pour elle. Cette obsession me prenant véritablement la Tetê. Elle ne se cachait jamais rien et l’expliquait souvent ses envies et fantasmes, et son penchant prononcé pour les jeux d’exhibition, en particulier dans les lieux publics! ce fantasme serait de voir un inconnu te caresser les seins et constater ainsi ton excitation en voyant tes tétons pointer sous ses caresses. Et du même fait, voir une forte érection de la part de l’heureux câlineur. Julie aime voir les regards des hommes s’exciter en la regardant.
Julie suivait au pas des allées sinueuses qui la conduisirent, au bout d’une demi-heure, dans la belle, sexy blonde tente de marcher normalement, avec l’impression que tout elle monde la suit du regard. Les voilà qui se regardent, l’œil allumé. Elle feint, pour elle-même, une assurance qu’elle n’est pas sûre d’éprouver. Le hasard fait bien les choses… La blonde avait choisie une mini-robe, elle a cinq boutons devant plutôt chic, tout en étant un peu sexy qui mettait en valeur ses longues jambes d’un érotisme torride avec un décolleté profond en angle aigu, qui séparait ses seins comme un canyon. Si cette robe est belle et sobre en apparence, elle sait également qu’elle est souple et très légère. Le moindre souffle de vent aura tôt fait de soulever le tissu et de permettre à ces fameux hommes de découvrir son magnifique corps. La blonde remarquait la présence d’un homme qui la suivait. Julie marchait maintenant tranquillement sur le trottoir en directement de l’arrêt de tram.
La tenue très légère est parfaitement adaptée à la circonstance, car elle se sent vraiment bien malgré la chaleur ambiante. Le vent léger te rafraîchit doucement les mollets, le bas des cuisses et le haut du buste et cela te fait un bien fou. Cela te procure un réel plaisir, car son sexe intégralement rasé n’offre plus aucune protection à ces attouchements naturels. C’est tellement bon! Elle se sait femme, Elle se sait fine, Elle se sent belle et désirable. Ses petites fesses et tes cuisses longues et fines, son sexe nu, son vagin qui est resté étroit, comme un appel à la pénétration. Un sentiment presque orgasmique. Il fallait être aveugle pour ne pas la remarquer. Et l’idée que les gens puissent être réceptifs à sa nudité et l’observer ainsi l’excitait au plus haut point. Elle était belle sur ses escarpins et semblait se complaire de la situation en pivotant sur elle-même pour montrer toutes les facettes de son corps.
Le groupe lui croise maintenant et la blonde n’a pas besoin de se retourner pour savoir que les hommes, eux, se sont arrêtés pour continuer à lui regarder s’éloigner. Elle n’osait pas croiser le regard d’autres personnes, mais elle sentait qu’elle était observée. Alors, elle a vu de près un enorme Black que la regardait avec un sourire de malice. Malgré elle, offrait selon sa position une vue imprenable sur son décolleté, Grande, élégante, une certaine classe, ses beaux cheveux blonds légèrement frisés l’avaient envoûté.
3
Le black pouvait quasiment distinguer la totalité de ses gros seins magnifiques et même parfois ses tétons, ses nichons, ses plus beaux atouts, presque sans pudeur. Comme elle a de belles jambes fines et bien fuselées, le noir profite parfois un peu du spectacle. La femme lui sourit, comme si elle lui adressait un signe de complicité solitaire. Et sa perversité naturelle lui pousse à vouloir faire sexy avec cet homme que la mate. “Mon Dieu, qu’elle était belle! Quelle salope!” Il était fou, il savourait ce spectacle, son sexe était tendu dans son jean qui se déformait tant l’excitation grandissait. Julie se délectait de cette vue exceptionnelle de son erection. À un moment, elle releva sa tête, lui vit tout près d’elle, et il ne put s’empêcher de lui dire discrètement à l’oreille:
-?Belle tenue. Tu es superbe. Laisse-toi complètement aller. Ta robe plaît beaucoup. Merci, ma chérie, tu m´offres un beau spectacle…?Bon dieu, tu es bonne, toi, dit-il.
-?Tu as encore envie, hein? Moi aussi, lui souffla-t-elle à l’oreille.
-?Viens à côté de moi. ?Tu vas le faire rêver de profiter de cette bouche si fine!
-?J’espère bien! ?Si tu veux. Mais s’il te plaît… Dit-elle dans un petit rire d’excitation.
?- Viens, Chérie, je vais m’occuper de toi. Tu ne perds rien pour attendre. Tu vas voir, une fois à la maison…
Le chemin n’est pas long, mais elle coule d’envie. Alors c’est un feu d’artifice. Cela a eu le don de réveiller chez elle une envie irrépressible de jouer avec cet homme. Un noir plus noir que toute nuit. Ils sont des pervers, mais que c’est bon! Ils sont donc retrouvés dans une maison abandonnée, elle était avec un grand black bien membré. Ses talons claquent doucement sur le carrelage et elle ouvre la porte de la petite pièce où elle a vécu son aventure. Une fois entrés et la porte close, Libérant les fines bretelles de sa petite robe, il avait empoigné ses seins et les tripotait doucement; il caressait ses tétons dressés.
J-?’aime trop la bite pour me contenter d’une seule, J’ai envie que tu me prennes par-derrière, j’adore ça.
-?Les femmes pas exprimer leur bestialité. Tu veux qu’il t’encule aussi??
- ?Arrête de parler sont aussi bestiales que les hommes, Mais elles n’osent pas ou ne veulent comme ça, tu es encore en train de m’échauffer. Non, juste qu’il me prenne comme une chienne. lui avait-elle glissé, un sourire en coin.
-?Suce-le bien, ma salope, tu aimes ça, hein, les grosses queues!
-?Qu’elle est bonne! Qu’elle est grosse!
Elle est belle, longue, élégante comme elle en avait le souvenir. Mais maintenant elle n’est qu’à quelques centimètres surtout que sous son poids le mandrin se tient horizontal, poussant vers elle son extrémité, une pointe arrondie, parfaite, sans aucun fil de peau disgracieux. Julie s’en saisit. Tenant la queue bien serrée dans sa main, elle frotte le gland entre ses lèvres, Le gland est dans ma bouche. Les lèvres se sont arrêtées au sillon. Sa langue explore la douceur.
- Ouvre-toi bien. Prends le temps de découvrir ton corps qui se réveille. Concentre-toi sur tes sensations.
Julie le positionne face à son entrée sacrée, et redescend en s’empalant lentement sur le bel étalon. Centimètre par centimètre, elle voit la queue de noir investir son intimité. Son pubis touche enfin le pubis de son partenaire, il est à fond. Elle tourne la tête vers lui, son regard est vide, elle ne lui voit pas. Sa respiration s’est accélérée, faisant danser sa poitrine sous le regard de baiseur qui apprécie la pose. Il a beau être professionnel, il n’en est pas moins homme. Elle commence alors un long va-et-vient de son bassin, en avant, en arrière, infatigable. Remonte un peu, pour redescendre en engloutissant la tige qui disparaît à nouveau dans ses chairs sautant avec joie sur les cuisses de son partenaire qui l’aidait en la tenant par les hanches, s’enfonçant à chaque fois un peu plus. Elle guide encore la tige en elle, se laisse remplir et s’empale jusqu’à la garde. Les yeux révulsés, ivre d’intenses sensations. Son front est couvert de sueur. Il la laisse respirer.
-?Personne n’a jamais réussi à me faire jouir comme toi.?Tu es vraiment un gros cochon, toi. Mais tu baises bien.
- ?Et toi, une vraie salope.
L’expérience a réussi une nouvelle fois. Mais cette fois-ci, mais avec un Black sachant qu´elle n’a rien pour empêcher la cyprine de couler le long de ses cuisses. Ouf! Quelle aventure! La belle ne pensait pas pouvoir vivre une sensation d’une telle intensité! Julie adorait s’éclater dans des lieux insolites.
Le rendez-vous est à onze heures. Bien sûr elle était en retard, comme toujours! Elle a chaud, son cœur s’accélère… Julie commence à lui demander si c’était vraiment une bonne idée. Ses talons claquent sur le sol. Toujours dans les toilettes femmes, Julie tente de reprendre ses esprits, effrayée et honteuse de ce qu’elle vient de faire. Comment elle, si maîtresse de ses nerfs, a-t-elle pu se laisser aller à faire ça dans un tel endroit, se…
Les essuie-glace arrivaient à peine à faire leur job et les trombes d’ eau s’abattaient sur sa vieille Renault Clio. De temps à autres, une grosse goutte d’eau froide venait tomber délicatement sur son épaule, conséquence d’ un joint à moitié pourri sur sa portière. Mais qu’ est-ce qu´il était venu faire dans cette galère? Un braquage à banque. Plusse au ciel qu’il y ait encore bien d’ autres Quentin Tarentino pour le mener droit à l’ essentiel. Un brin rebelles et idéalistes, les cinq comparses décident de se lancer dans le grand banditisme. Mais e?videmment rien ne va se passer comme pre?vu... Hilarant, frais, dejante... Comment braquer une banque sans perdre son dentier nous de?roule les aventures de la plus improbable bande de malfrats: cinq bandits attachants, lance?s a? l’assaut...
- Ça marche?
- Voilà. Tiens mec. Les gans pour la vaissele.
- Putain, c´est quoi ça? J´ aurais pu prendre de gans d´hôpital en latex?
- J´espère que vous savez ce que vous faites.
Entre-temps, Jean Paul quitté sa borne et dégainé tout comme Albert avec une carabine à canon scié. Des cris en commençait à se faire entendre, quand Julie, elle même s´est redressé, aidée pour Jean Paul et a sortit un pistolet mminiature de son sac.
- Respire un coup, on va l´ai d´amateurs, dit Jean Paul.
De loin, il a vu Julie tendre son téléphone au directeur adjoint qui est devenu tout blanc à son tour en quelques secondes.
- C´est quoi ça? Tu veux vraiment faire ça? Demande le directeur.
- Oui... Un assaut... On veut le moins de blessés, possible. Alors, déconnez pas. Restez calme, lâchez tout et personne será blessé.
- Si on tire sur quelqu´un, on va tuer tout le monde, cri Albert.
Tim et Albert étaient pile-poil dans les temps. Au bout de fil deux types violents, dont un à qu´il manquait la moitié des dents, se trouvaient dans le salon à des kilometres de là. Albert n´a pas entendit l´échange, mais la méthode à semblé convaicante, car il a rendu l´appareil à Julie sans rien dire et s´est tourné illico vers son écran tactile. Ses joues étaient trop roses et ses yeux, trop brillants. Elle ouvrit les yeux, l’air coupable et remarquait, soulagée, que tout le monde la tournait le dos. Ce qui venait d’avoir lieu resterait donc secret. Pendant qu´elle lui dictait quelques chiffres. Il a pu voir qu´il se activait comme un fou et qu´il n´ avait pas l´air de vouloir gagner du temps. Jusque là, tout se passait bien. Tim les avait dit que l´effet de surprise jouerait à leur faveur. Il faut dire que c´était le premier braquage de banque, depuis plus quinze ans, si il se trompe. Ils avaient entres avec visages dissimules par des foulards, tênues sombres et gants avec un sang froid implacable. Le précedent date d´avant la reforme globale du système pénal. À une époque où on pouvait encore taper une pomme sur un étalage sans prendre six mois ferme.
4
Aujourd´hui, il faut être fou pour s´en prendre à un épicier et il ne lui parle même pas de banque. Fou ou complètement désespéré, comme ils étaient.
- Je surveille l´entrée.
- Mains en l´air... Tout le monde.
- Vous mains en l´air, putain! Du calme... Arrête de me regarder t´ es fou, ou le quoi? Si vous bouger je tue.
- Et maintenant jê veux tout le monde derrière le comptoir, pas autre côté, et s´assoir par terre. Bougez pas. Personne bouge.
- Vous allez mettre le poignon devancé.
- Les trois contre mur.
L´avantage pour ce lui qui on a dans le ventre, c´est que la sécurité est devenue une plaisenterie. Un true que sert de décor, qui rappelle ancient temps, rien de plus. Il comptent uniquement sur l´argument de la dissuasion et ça fonctionne parfaitement. Le vol s´est transformé en exception puisque la repression est sans pietié. Qui prendrait le risque de partir immediatement croupir à l´ombre pour le restant de ses jours. Au siècle dernier il paraît que la loi fonctionnait sur la base d´un truc qu´ils appelaient la présomption d´innocence. Un procès pouvait prendre des années et les accusées avaient des droits. Aujourd´hui, les peines sont appliquées imediatement, grâce à l´ efficacitée du module que centralise tous les données. Celui que vole le lundi et se faire choper le mardi se retouver en tôle le mercredi, pour six mois au minimum, mais plus souvent pour vingt ans. Simple, rapide, efficace. Sauf si on parvient à ne pas se faire pincer. Ceux qui essaient sont de moins en moins nombreux et ils se contentent de petits délits que limitent la casse. Personne n´est assez dingue pour imaginer mettre la main sur cent mille d´euros.
Ils avaient été les seuls tarés de la planète à envisager la question sans parler de sauter le pas. Et aujourd´hui? Il ne reste que lui, sur la trappe. Quand il dit que tout s´est bien passé, il parle de transfers d´argent. Julie a obtenu les milles en moins de trois minutes et il ne peut rien lui rapprocher. Le deuxième bandit cherche la chambre forte et cinq minute de terreur et l´homme n´a pas de choix que d´ouvrir le coffre fort. Il est cible par le voyou. Son arme sur la tempe et sur le front avec kalachnikovs au dessus de lui. Coups sur la tête il disait qu´il allait lui remettez d´applomb. .
- Tu vas ouvrir la chambre forte ou on met la balle à la tetê.
- Calmez-vous, s´il vous plaît.
- Tout vas bien, c´est fini.
Il l´a donne um coup de grosse sur la tetê. En quelques minutes le l´argent em poche 100.000 euros. Une attaque foudroyante qui laisse des victimes traumatisés. Le gang de malfeiteurs n´a pas perdu de temps une attaque éclair, pas de chance pour les policiers. Mais Jean Paul a eu envie de jouer au caïde devant les caméras de surveillance, plutôt que de bien faire gaffe aux types qui se trouvaient dans les box derrière le guichet. Il n´a pas vu exactement ce qui c´est passé, mais l´un deux a dû appuyer sur le bon bouton avant que Tim ait le temps de repatrier tout le monde dans le hall. Quelqu´un avait informé la Police.
- Police! J´avais um problème qu´il y a trois mecs et une femme blonde armés qui est em train de braquer le banque de Boston.
Le résultat, c´est que les flics du quartier sont arrivés deux minutes trop tôt.
- C´est les flics, quoi faire? Qu´est-ce qu´on fait?
- Allons-y. Nous avons des gilets pareballes. Au passer la porte d´entrée nous allons commencer la fusilage sur les policiers. Nous allons sortir sans plus personne blessé.
- C´est une bonne décision, dit Tim.
Ils avaient besoin que de ses deux minutes pour ressortir, monter dans la camionnette et filer. Ce con de Jean Paul à vouloir jouer au maligne et narguer le systhème de controle plus tôt que de bien faire son boulot, les a privés de cette avance, en franchissant les portes, ils avaient entendu des cris et les tirs de sommation, et comprit que ça allait mal se passer, surtout que Julie ne pouvait courir très vite. Après, il ne le souvient plus de tout. Jean Paul a crié à Tim de ne pas jouer au con et filer rejoindre Tony, qui attendait sagement derrière le volant. Mary a traversé en spritant et il se rappelle avoir pensé que les braqueurs de l´anciens temps avaient bien du courage. La situation approche de son dénouement. Ils commence à sortir du banque. Parce qu´il avait fallu faire la même chose avec des sacs pleins des billets sur le dos, personne n´aurait jamais réussi à attendre le véhicule. Forcément. Tim n´a rien écouté et s´arrêté en pleine milieu de l´avenue en guelant “ je vous couvre! ” Avec un pauvre flingue contre les impulses laser, il n´a pas couver grande chose. Il se fait découper en un rien de temps, pendant que Jean Paul tirait Mary par la main pour la faire acélérer. Albert quand il a vu les morceaux de Jean Paul par terre, il a perdu la tête et commencer à tiré partout en direction des flics tout en continuant de courir, alors que Tony démarrait déjà.
- Pourquoi ils ont fais ça?
- Ils sont fous.
Il croit avoir touché des vitrines, une voiture et une grosse benne à ordure. Dans la panique, il a aussi faillit se tirer dans le pied. Mais les tirs sont passés à plusieurs métres de la police, qui a du vite comprendre qu´ il est un pauvre amateur et qui lá bizarrement épargné. Beaucoup de coups de feu ont été tires après les suspects sur le trottoir. Heureusement, Tim et Mary avançaient dans son dos et il ne les a pas touchés. Mais ils étaient beaucoup trop lents et Tony n´a pas voulu les attendre. Albert a juste eu le temps de se jeter par la porte latérale, où Tony lui tendait les bras, avant que la camionnete se lance en fumant les pneus. En tournant la tête, il a vu derrière lui, Tim que les regardait partir, alors que Julie se jetait à genoux les mains en l´air pour échapper au laser.
- Fonce. Prenez à droite et roulez un peu.
Lorsque la première balle l’a touché à la poitrine, elle avait pensé à sa mère. Elle aime donc à croire que quand les deux balles l’ont transpercé le corps. Elle a dû se mettre à pleurer. Elle avait cligné des paupières. Elle aurait bien levé la main pour se protéger les yeux, mais elle n’avait pas la force d’exécuter ce simple geste. Sa gorge était toujours sèche comme du papier de verre. Deux policiers s´approche:
- Que s’ est-il passé? a-t-il demandé.
- On vous a tiré dessus.
- L’une des balles vous a éraflé le crâne.
- Une blonde blessée frappé pour balles ne bouge pas, dit um policier.
- Il y ait un homme blessé à l´intérieur. Il a reçu plusieurs balles. Il est peut-etre mort j´em sais rien. Il y a d´autre suspect complètement immobile dans la rue.
La rage et la peur bataillaient contre l’engourdissement dans lequel son cerveau était plongé. La croisée des chemins, tout le monde connaît ça. Des portes qui s’ouvrent, d’autres qui se ferment, les cycles de la vie, les changements de saisons. C’est plus que surréaliste. Du moins, elle voudrait le croire. Car elle avait vite perdu connaissance. Pour être encore plus précis, elle ne se souvient même pas de rien. Elle sait qu´elle avait perdu beaucoup de sang. Elle sait qu’une seconde balle a frôlé sa tête, bien qu´elle a été déjà dû être HS à ce moment-là. Il sait que son cœur s’est arrêté de battre. Mais elle aime à croire que, sur le point de mourir, elle avait pensé à sa mère. Pour votre information: Elle n’ a vu ni tunnel ni lumière blanche. Ou alors elle ne s’en souvient pas non plus. - Dites-moi ce qui est ses amis de crimes?
5
- Elle est morte, a répondu le médicin du Samu.
Il croit que le vieux a lu sur son visage à quel point il était désolé, mais peut-être qu´il se fait des idées. La vie de Albert ne serais plus jamais la même. Pas le moins du monde impressionnés par ses acts em l´occurrence l´avaient condamné. La seule chose que l´empêchait encore de mourir d´ennui ou de devenir fou. Les flics n´ ont même pas cherché à les poursuivre. Ils devaient compte sur Tim Babon et Julie pour cracher rapidement le morceau à leur sujet. Mary a donc eu la bonne idée, d´appeler secours. D´après ce qu´il a entendu Tim était méchamment en colèra et il lá fait savoir. Mais il a finit par confirmer l´adresse de remplacement en guelant, avant de lui raccrocher au nez. Lorsqu´ils sont retrouvés là-bas, trente minutes plus tard, ils n´étaient plus que cinq et ils avaient un gros problème sur le bras, S´ils parlaient Tim et Mary commenceraient par donner la palanque principale, comme cela était convenu. Mais, ils finiraient aussi par donner certaines d´autres adresses, quand les flics rentreraient bredouillés et énervés. C´est n´était q´une question de temps. Il avaient passés une sale à envisager un tas de possibilités. La méthodes qu´ ils avaient finalement choisie a sans doute été mal appliquée, car le lendemain, ils avaient deux morts de plus au compteur. Tim, Jean Paul et Julie ont été assassinés. Julie a été inhumée au cimetière familial.
C´est un type d´explosion de braquage à banque en première ligne vulnérables peu ou pás de tout protége leurs remplis d´argent liquide attise les convoitises et pour mettre La main sur le magot certains malfeiteurs sont prêt a tout. La braquage à tout, Un crime parfaitemet organisés três rapides que en general ne laisse pas le moindre índice. C´est de l´argent facile en quelques secondes le malfeiteur s´empare de plusieurs miliars d´euros menaçant tout le monde avec ses armes. Un méthode redoutablement efficace. Ils jouent sur la peur et la menace une barraquage à l´armes lourdes. Un gang particulièrement dangereux equipés d´armes de guerre. La Police pour savoir ou chercher des empreintes.
La rue Mount Auburn est calme. L’épicerie vient de fermer et la nuit est tombée. Dans sonrétroviseur, Albert regarde la Première Église Baptiste transformée en appartements. C’est le décor parfait pour les drames modestes, parfait pour l’alcoolisme de celuici, la passion du jeu de celui-là, les tromperies, il allume ses phares. Il va repartir quand il aperçoit la silhouette d’une femme qui remonte vers Mount Auburn depuis le bout de la rue Parker. Une femme qui n’ est pas de ceux qu´il croise. C’est une belle femme. Ses cheveux sont foncés. Ses yeux clairs. les traits sont réguliers. Elle est entourée d’ une palissade en fer sur laquelle est fixée une pancarte « à vendre ».
- Bonsoir!
- Albert ? C´est vous?
- Et de où venez-vous?
- De New York, Albert.- Vous êtes vous en transit?
- Je suis là pour quelques jours.
- Mon Dieu! C´ est rare que cela se produisi ici, murmure Albert.
- Cela doit bien se produire quelque part.
Ils ont bien entendu les sirènes, tout à l’heure. En s’avançant vers la route, ils distinguent les lumières bleues et rouges des gyrophares, plus loin, à quelques blocks, à la hauteur de Park des princes. Banlieue de Paris, novembre 2013. Un retraité sans histoire Tony décadent et cocaïnomane, est retrouvé dans son pick-up sauvagement assassiné. Il a déjà vu des cadavres à banlieuse: résidus tragiques de bagarres alcoolisées à l’entrée des bars ou des boîtes de nuit, crimes crapuleux commis par des toxicos en manque ou par des clandestins sur le point d’être expulsés; il a aussi eu affaire à des règlements de compte entre bandes de motards; et il a même aperçu le corps sans vie du braqueur de banque, Tony Bergame.
Elle apparut, délicieuse dans la petite robe légère. C’ est vrai que comme ça c’était un vrai appel au viol. Elle se tient devant lui, mise en valeur par la minuscule robe qui la découvre autant qu’elle la couvre. De fines bretelles qui laissent les épaules à nu et s’ évasent sur les seins, le dos nu. Son équilibre est incertain avec ses talons si hauts. Ce qui rend la chose si excitante, c’est la texture du tissu si fin qu’ il épouse ses formes.
- Tu es très belle; tu dois être fière de toi, tu n’as aucune raison de cacher toutes ces belles choses. Tourne-toi, Mary, que je puisse te voir et t’apprécier à ta juste valeur.
- Tu es très belle; tu dois être fière de toi : tu n’as aucune raison de cacher toutes ces belles choses. Tourne-toi, Mary, que je puisse te voir et t’apprécier à ta juste valeur.
Elle se tourne, et au moment où elle fait face à lui. Mary, était toxicomane. Et la drogue avait partie liée avec la criminalité. Jeune femme d’ une grande beauté, est férue de liberté, d’ égalité (féministe). Elle est secrètement amoureuse de Albert Spaggiare, maintenant un mafieux de renom. Dès la mort de Julie qu´il était seul. Le goût irrépressible de la beauté du plaisir charnel a supprimé en lui la tendance naïve et excessive d´être amoureux de l´amour et de sublimer un état en trompe-l´oeil ou il est rassurant de se réfugier. Ce qui ne l´a pás anéanti l´a rendu plus fort, au point désormais de ne privilégier que le plaisir des sens à l´état primaire et sans idéalisme amoureux qui n´attire plus ytop souvent que désillusion et regrets. Il ne croit pas qu´aux plaisirs physiques à l´état brut qui ne sont pas moins intenses que ceux qui juggèrent aussi une intetntion intellectuelle susceptible de perturber un accouplement plus au moins bestial, mais puissant.
Elle a une façon spéciale de tourner la tetê pour lui. Regarder avec dês yeux à la fois naïf et experimentes qui aiguisent et irritent leur imagination comme les crissements d´une craie sur un tableau, insupportable et attirants.
- Pour quelle véritable raison êtes-vous revenu ici?
- Pour faire la paix… Pour vivre là où je suis né et où je me sens à ma place.
- Mon Dieu, Mary, comme je suis heureux pour toi! Vous êtes ravissante; je ne vous voyais pas ainsi, mais vous êtes charmante.
- Merci. Vous n’êtes pas mal non plus.
- Habillée comme ça, t’aurais pas préféré un club un peu osé? Je vais faire un peu pute, ici.
- Une très jolie petite pute, il répond.
- Tu es sûr que tu veux que je me conduise comme ça?
- Aucunement. Vous êtes toujours prête à jouer avec moi?
- Oui, je suis là pour ça.
Dans la vie il a plusieurs grandes passions: l’histoire, les voyages, Julie, sexe partouse, les grandes balades à pied, sans oublier les discussions autour d’un verre où l’ on peut facilement refaire le monde. Il faut bien sûr y ajouter les femmes, de tous types, de tous âges, de toutes origines, de toutes professions, de toutes confessions… Pourvu qu’elles soient belles, sensuelles. D’une manière générale, il les préfère plutôt quadras, cultivées, décidées, et sur le plan physique avec un peu plus qu’un peu moins. Mary était comme lui intéressée par les jeux d’exhibition, et il avait envie de réaliser celui de dîner au restaurant avec elle. Il avait ainsi aiguisé sa curiosité. Elle se disait prête à satisfaire ses désirs, mais l’a demandé une compensation financière qu´il devait définir. Elle a cette cambrure propres des danseuses de flamenco et le port altier d´une Andalousie. Un regard à la fois tueur et protecteur au crê e ses humeurs. Une presence animale qui lui seduit et lui retient à la fois, sans qu´il sache qui sortira vainceur de ses étreintes primaires.
- Alors, que me proposes-tu? demanda-t-elle.
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- J’ ai eu cette idée: je te propose de t’acheter les vêtements que tu enlèves. 100 euros pour le premier, 200 pour le deuxième, 300 pour le troisième.
- Pourquoi pas? Il nous faut organiser cela, voir selon nos disponibilités et trouver un endroit…
- Oui. Mais si tu es d’accord sur le principe, c’est le principal.
- Oui, je suis tentée… Si tu m’invites au resto, c’est pour me baiser.
- Je… Enfin, c’est pour…
- Oui, dit-elle en riant, tu es comme tous les mecs.
- Voilà. À présent les choses sont claires. Donc, après le restaurant, on va chez moi.
- Tu as une femme dans ta vie?
- Non, mais… J’ espère que tu ne vas pas t’ offusquer; je suis bisexuel. Un de mes fantasmes, c’ est qu’ avec un mec, on fasse un plan à trois avec une de mes copines, juste pour le fun, juste une fois pour s’éclater.
- J´en sais... Tu fais comme tu veux; n’ est ce pas, Gerald.
Mais il continuait d’ y aller, conscient que la « bonne surprise » pouvait se cacher n’ importe où, n’ importe quand. Il était seul et cherchait plutôt une femme de profil « amante », une relation régulière, discrète, complice. D’ être l’homme qui l’aiderait à révéler le potentiel sexuel déjà présent en elle, qui l’aiderait à découvrir le plaisir, devenait très agréable… Et tentante! Elle était jolie de visage, brune aux cheveux mi-longs, avec des yeux bleu foncé. De taille moyenne, elle avait une poitrine assez importante, des hanches étroites et des jambes plutôt fines aux cuisses et aux mollets bien galbées. Mary avait un regard franc et direct, de beaux cheveux ondulés qui lui arrivaient au milieu du dos, plutôt fine, mais il devinait de jolies courbes qu´il qualifierait d’ appétissantes… Deux longues jambes fines jaillissant d’ une courte robe moulante et qui s’ épanouissent sur cul bien proportionné. Et le nombre de bijoux! Collier, bagues, bracelets, broche, boucles d’oreilles, tout y était. « Belle fille, se dit-il », il aimerait bien nouer des relations un peu plus intimes. De son côté Mary estime qu’elle a eu raison de venir ici et surtout la chance de tomber sur un mec aussi sympathique. Pour elle l´amour est un jeu, presque une frivolité. Elle s´amuse à parcourir tous les champs du plaisir, seule à deux ou à plusieurs abusant de son beau visage enfantin et faussement naïf pour duper les plus experimentes.
- C’est presque ça, ma compagne de route a disparu.
- Tu devrais essayer, tu pourrais apprécier autant que moi, dit Mary.
- Hum, je n’ai pas bien compris, pourriez-vous me réexpliquer, s’il vous plaît? Tu veux vivre de nouvelles expériences, ce serait une de plus...
- Je vois que tu es en forme, tu as raison, Non, c’est parfait, dit-elle en immortalisant le moment..
- Mary est vraiment une belle femme. Tu as de la chance.
- Tu es adepte de sexe partouse? Tu vas voir, ça va te plaire, c’est tonique, prenant, et en plus, y a des beaux mecs, des belles femmes dans la salle!
- Excuse-moi, je n’ai pas été discret, mais avoue que c’était tentant..
- Nous pouvons être un couple moderne, décontracté. Je vois bien que tu apprécies que moi se mette nue dans la plage.
- Tu es bien pressé, un peu de patience.
- Pourquoi attendre, si vous êtes d’accord tous les deux?
- Tu ne pensais même pas que tu m`en parlerait. Tu es plus maligne que moi. Tu étais une belle femme. D’ailleurs, tu es toujours une très belle femme.
- Merci du compliment, ça fait toujours plaisir. Juste quand on commençait à s’amuser... Euh... Oui. Coiffeur, esthéticienne, robe, chaussures, traiteur japonais, vin, saké, petite vaisselle, j’ai dépensé tout mon mois en une journée.
- Tu es folle!
- Oui, mais ça tu le savais déjà. Tu sais, je me suis fait plaisir aujourd’hui.
- Quelle misère! Une si belle fille, folle à lier...
- Est-ce que tu veux rester seule un instant?
- Non, surtout pas. Reste à côté de moi, j’ai envie de ta présence.
Albert décidait d’ assumer ce rôle d’ accompagnateur sur les chemins du vice et du plaisir. Il faut bien avouer son fantasme ou sa perversion. Au final, ce n’est pas mal monté, plutôt astucieux comme façon d’assouvir ses penchants. Malheureusement elle devient trop faible pour lutter contre le vice, devient le plus mauvais parti qu’on puisse prendre et que dans une société entièrement corrompue le plus sûr est de faire comme les autres? Mary connaissait pas la dureté de l’âme de cet homme et la dépravation de ses mœurs. L’orgueil peut-être en était un instant flatté, mais comme il n’y a rien de si chimérique et de sitôt dissipé que ses jouissances, on en a voulu de plus réelles, et on a senti qu’avec une femme comme elle par exemple il valait infiniment mieux retirer pour finit de ses avances tous les plaisirs que le libertinage peut donner.
La voiture est arrêtée, Mary prend la pose, les fesses vers la glace passager, en appui sur ses bras. Elle a peur et préfère ne pas regarder à l’ extérieur, mais en même temps elle mouille et frémit dans l’attente de ce qui peut arriver. La salle du restaurant résonne du bruit des conversations. Les deux serveuses circulent rapidement entre les tables, les bras chargés de plats. Il a l’ intelligence, la courtoisie, la finesse de ne pas te traiter d’homme à femme! De ne pas s’ imposer d’emblée la trivialité de sa convoitise. Pourtant tu la devines aux regards appuyés sur le décolleté que il a mis en travers de ses bonnes résolutions. Elle s’amuses de ces distractions qui la rendent attendrissant de vulnérabilité. Il a beau passer la commande, choisir le vin avec autorité et assurance, son ascendant de contenance se fissure à ce désir qu´elle adores lire dans ses yeux.
Quelle retrouvaille, quelle réconciliation avec ce corps assez parfait pour avoir grâce à ses yeux. Et quelle libération de n’être pas coupable, de pouvoir jouir d’une complicité aveugle, sans peur et sans reproche qui fera écho, tout à l’ heure ou demain au plaisir qu´ elle prend ce soir à être une femme en liberté inconditionnelle. Le romantisme plaide encore coupable en ferveur de ce trouble qui tenaille ton ventre. Une petite mise en scène de manège, respectant les codes, les rituels, met vos patiences à rut épreuve. Mais elle est encore timide d’ une telle audace, ce rendezvous préliminaire respecte encore quelques conventions dont ils sont les complices garants. Leur salade-repas étant terminée depuis plusieurs minutes, leur discussion est interrompue par le serveur qui vient les demander ce qu´ils comptent prendre comme dessert. Il les propose la spécialité maison du jour: des fraises de la région accompagnées d’ un sorbet citron et d’une pointe de vodka.
- C’est agréable de pouvoir manger n’ importe quand, on est tranquille et on profite d’une compagnie agréable, lui dit Albert.
- On n’ a pas toujours le temps, ou l’envie de rester en tête à tête avec certains clients. Mais... J’ adore. T’ obéir, c’est aussi excitant que je l’ espérais. Et encore, c’est le début. Mais du coup, je sais que tout ce dont je rêvais avec toi va être délicieux. M´ offrir à toi. Entièrement.
- Aujourd’ hui vous avez le temps et surtout l’ envie de me tenir compagnie. Je suis un privilegie.
- Vous êtes beau, sympathique, et me plaire énormement.
Elle avait un goût absolument divin, et il ne put se priver d’ un autre jeu rapide. Tout était arrivé si brusquement. Avant de commander le café, Mary lui tend quelque chose dans sa main fermée: sa culotte qu’elle vient d’ ôter sans qu´ il s’ en rende compte! Elle s’ est assise près de lui du côté de l’ allée, ce qui donne lieu à quelques coups d’ œil, des tables voisines ou de clients circulant, sur ses jambes bien découvertes. Elle apprécie ces regards mais bien sûr, ils sont beaucoup moins excitants que ceux du serveur. Les yeux dans les yeux, elle renverse alors la corbeille à pain et appelle le serveur.
- Et ce que je t’ai dit sur ton désir pour d’autres qui vont me baiser… c’ est vrai? Je voudrais que tu me laisses être une vraie femme! Je peux?
- Peut-être bien!… Allez-y. Il faut d’ abord que tu vives ton expérience!
7
- Tu vas voir, je suis sûre que ça va l’ exciter et lui plaire.
- Mmmhhh...
- Tu sais que le serveur n’ a pas arrêté de mater mes nichons et mon cul?
- Il me semble que ce n’ était pas pour te déplaire, qu’ il admire ton corps ainsi.
- C’est vrai. C’ était même agréable de sentir sur moi un regard d’ envie. J’ avoue que je suis un peu exhibitionniste. Tu n’ en es pas fâché?
- Pas du tout, ma chérie. J’ai beaucoup aimé ton petit numéro quand tu te baladais en t’ exhibant.
- Je crois que nous sommes vraiment faits pour nous entendre, mon Albert. Tu aimes tout ce que j’aime.
Elle exprimait tout ça sans émotion apparente. Mais, la passion se matérialisait dans l’attrait qu´elle avait pour lui, attirance physique qui entraînait naturellement le désir charnel. Elle était amoureuse de Gerald Spaggiare; en aucun cas il ne s’ agissait d’ une attirance passagère. Il y voyait comme un aveu supplémentaire de son forfait. il faut dire que la robe est remontée au ras de l’entrejambe. À voir les yeux qu’il jette sur les jambes d´elle, Mary s’assied alors au bord de la table et fait signe à le serveur de venir à elle. Pendant que celui-ci s’ accroupit pour ramasser, sans toujours quitter ses yeux il voit Mary pivoter légèrement et écarter ses cuisses face au visage du jeune homme! Il doit avoir une vue magnifique sur les cuisses ouvertes, la dentelle des bas et, tout là-haut, le sexe deviné. Cuisses argement écartées pendant que le serveur, perdant toute réserve, se déshabille en un clin d’œil et elle découvre une fort belle verge dans une érection parfaite. Elle voit un petit sourire satisfait s’afficher brièvement sur le visage d´Albert. Rouge comme une tomate, le jeune homme se relève au bout de longues secondes et file chercher ses cafés. Albert trouvait tout ça un peu surréaliste. Intéressant... Il semblait alors que leur attirance animale devrait durer toujours…
- J’ en étais sûre que ça l’ exciterait, de se savoir matée!
- Mmmh intéressant tout ça. On dirait, dit-elle, aussi rassuré que réjoui.
- Ça l’ excite?
- Oui. Tu es très belle; je suis heureux de te voir. Tu as envie qu’ on continue cette aventure?
- Si tu as en as envie aussi, oui.
- Tu veux dire que tu feras tout ce que je veux?
- Tout à fait.
Après de longs échanges sur ses désirs et ses envies. Il avait fini par avouer son fantasme d´être enculé. Rentrer chez lui fut laborieux. La porte d’ entrée... Au moment où elle referme la porte, elle croise le regard de son amis qui paraît totalement dépassé de la voir, alors que tout indique qu’elle est en train de baiser avec le serveur black à celle de l’ escalier qui conduit au sous-sol, petit-Poucet abandonnant sa robe, une chaussure… Résister? Mais pour quoi donc? Par le fenêtre entrouverte, les bruits de la ville pénètrant à l´ intérieur du salon et envahissent le silence confiné, étouffant, telle une bouffée d´oxigène pur qu´il faudrait inhaleret que brûllerait les pulmons.
- Ma verge n’a donc pas cette élégance? Dit le black serveur.
- Ce n’est pas cela. Toi, tu es jeune et tu es bien membré. Tu serais un modèle parfait. Il n’y a pas que ton sexe qui est beau: tout ton corps est admirable. Un vrai corps pour artistes, je comprends pourquoi Mary t’a choisi.
- Faites l’ amour devant moi.
Les deux hommes sont mal à l’ aise. Ils se concertent du regard. Il est temps qu’elle s’occupe de lui. Le black se déshabille face à elle. Il veut qu’elle voie son corps de jeune homme éclatant de vigueur. Il lui présente sa queue. Mary la prend en main et commence à la branler. Il lui demande de la sucer; elle hésite un court instant, puis dépose sur le gland quelques baisers avant de prendre la verge en bouche. Mary sent son sexe gonfler sous l’effet de sa fellation. Alors qu’elle s’applique à aller et venir sur sa hampe, il parcours son corps de caresses et de baisers, jusqu’à plonger la tête dans la forêt vierge des poils de sa chatte. Il atteint son sexe qu´ il ouvre délicatement pour y découvrir des lèvres humides et un clitoris… Elle se réveillai soudain, le sexe bandé: ce n’était qu’un rêve. Maintenant, Mary ferme les yeux et se laisse aller au plaisir qui l’envahit. Albert la regarde se donner entièrement à le sexe du black. Cherchant à le faire pénétrer profondément en elle. Quel homme peut rester insensible à ces mots que la femme qu’ il baise lui prodigue?
- J’ aimerai te voir le sucer, me glisse-telle à l’oreille, ça m’excite!
- Hum! Tu suces bien! Tu es une véritable salope toi aussi.
- Que je lui demande de… Enfin, de me sodomiser. Que on vous me prennez par mon petit cul étroit.
- Oui, c’est cela.
- Salaud! Tu veux prise par derrière? Lui reprocha-t-elle.
- Je ne demande jamais à une femme l’autorisation de me sodomiser. Oui, c’est cela. Je vous choque.
- Non, non, pas du tout.
- Qu’ est qu’ il y a?
- C’ est magnifique. Chérie, tu es magnifique comme cela. C’est super érotique. Attends, je vais compléter avec le truc.
Sa cadence devient infernale. Il avait fermé les yeux. Lorsqu´il les ai rouverts, le black se trouvait à cheval au-dessus de lui. Il n’a pas pu résister. Son sexe était trempé de mouille et il sentait l’humidité couler le long de ses fesses. Il ne voulait plus rien lui interdire, s’ouvrir totalement sans tabou.
8
- Ne t’ inquiète pas, je vais y aller tout doucement, à ton rythme, dit le serveur Black.
- Ne bouge pas trop vite, que je te sente bien. Laisse-moi m’ habituer, tu es gros comme un âne!
Très doucement, alors que ses mains caressent le bas de mon dos, Le black entame un va-et-vient mesuré, ne reculant que de cinq centimètres à peine. Il aime beaucoup partir du fond et ensuite revenir, plutôt que de rentrer peu d’abord, et c’est bien qu’il opère ainsi ce soir. Tout en lui prenant, son enculeur lui parle, lui demande de lui décrire sressenti, ce qui visiblement l’éxcite, puisqu’il recule déjà plus. Il est bien large, et frotte confortablement son trou en poussant bien de son poids pour accentuer le phénomène.
- Ton cul, putain, ton cul... Qu’il est bon! Je vais te baiser jusqu’à ce que tu boites, dans toutes les positions, ton cul le mérite. Tu l’aimes, ma grosse queue? Tu aimes la sentir?
- Bien sûr que je l’aime beaucoup, sa queue. Oui, vas-y, baise-moi, prends-moi fort, tu vas me faire jouir comme ça.
Lentement, il se retire pour abandonner le cul toujours entrouvert, bâillant une dernière fois dans un mouvement délicieusement obscène avec un filet de sperme qui s’ écoule. Albert venait de rencontrer cette femme hors du commun. La vie à deux, avec Mary, est un pur bonheur. Sexuellement.
- Tu sais que tu est un mauvais mec.
- J´ ai fais ma dernière connerie.
- Es-tu prête? Mary, je peux piller avec vous, la banque?
- C’est quoi piller la banque? Ça veut dire voler.
- D’ accord, Un véritable jeu d’ enfants! Le braquage n’a pas duré plus de deux minutes! finitil par dire en souriant.
- Bien Monsieur, je suis toute à vous.
Au moment de lui dire au revoir, son regard rencontre le sien et y lit une profonde mélancolie. Elle n’a pas le cœur à l’abandonner et lui propose de tailler la route avec lui sans la moindre réflexion préalable. Son visage passe quasi instantanément de la tristesse à la joie. Depuis, jours et nuits, Ils sont ensemble, pour le meilleur et pour le pire. Il est 8 h 53 à l’ horloge de la caisse. Il vient de couper le moteur de la 205 GTI que nous avons tiré à un couple de jeunots la veille à Rodez. Les rayons du soleil réchauffent nos corps à travers le pare-brise en cette fin de mois d’octobre. Dans deux minutes, peut-être moins, Mary et Gerald pénétrent dans la petite poste du village, ses visages dissimulés derrière les cagoules. Dans trois minutes, son fusil à canon scié et le pistolet de Mary se dirigeront vers le sommet du crâne du chauve qui accueille les clients derrière son guichet.
- Tais-toi, ce n’est pas le moment, nous parlerons de tout ça plus tard. Ta gueule, tais-toi! Contente-toi de la braquer! Mary braque la dame. Lève les bras, dit-il à l’employé de la Poste.
Il attrape un sac plastique qui pend à une chaise, vide son contenu un magazine de modélisme et un autre de bricolage) et commence à le remplir de billets.
- Y’ a combien dans ton tiroir?
- Quelques milliers d’euros.
- Allez, fais vite, on a pas que ça à foutre!
- Les mains en l’air les rigolos! Ordenna Mary.
L’évènement fut cependant largement couvert par les médias. Puis, bien entendu, tout le monde oublia ce tragique fait divers. Dans environ cinq minutes, il espère moins, ils devraions quitter le lieu avec quelques milliers d’euros et ils s´ enfuirons de ce trou paumé du fin fond de l’ Aveyron pour eux rendre dans un autre village, tout aussi perdu. Il a garé la voiture, comme lors de sa première expérience, dans une ruelle située derrière la Poste. Mary glisse son flingue factice (bien qu’ il ne le sache pas) dans son jean qu’il recouvre de sa chemise polaire. Il est assis à l’arrière du véhicule. Il retire la clé du démarreur et observe dans le rétroviseur le visage enfantin de ce colosse de plus de deux mètres dont le poids avoisine les cent quarante kilos. Il ne le connait que depuis une semaine, mais il se laisse l’étrange impression d’être un ami de toujours. Il avait croisé la route de Mary, à quelques kilomètres de Decazeville, dans la campagne profonde. Il vadrouillait depuis deux jours à la recherche d’une baraque isolée. Après un premier casse, plutôt réussi, il avait besoin de liquidité pour ses dépenses quotidiennes et, dans le trou du cul des départements français, les fermes perdues au milieu de la pampa étaient légion. Lorsque il a frappé à la porte, il avait l’intention de piquer un peu de pognon aux agriculteurs. Lors de ses repérages, il avait remarqué que le couple de paysans était absent de la maison toute la matinée et ne rentraient que vers dix-neuf heures, voire bien plus tard si les tâches agricoles étaient conséquentes. Arrivé à 7 h du mat, les mains gantés, il sonne, tambourine contre la lourde, demande s’il y a quelqu’un, insiste en braillant plus fort. Personne ne répond. Pourtant, son oreille capte de l’autre côté de la maison du bruit qu´il assimile rapidement à des cris. En contournant la bâtisse par le jardin, il s’avance vers ces cris qui se muent en couinements.
Un cochon, peut-être? Il progresse le plus lentement possible, évitant de faire le moindre bruit. On ne sait jamais, les agriculteurs sont peutêtre présents et nourrissent leurs animaux. Au fur et à mesure qu´il s’approche des couinements, il réalise qu’ils sonnent étrangement humains. Un enfant qui chouine probablement. Il entends aussi une voix masculine qui hurle quelque chose d’incompréhensible. S’il y a une chose qu´il déteste, ce sont les salauds qui s’en prennent injustement aux gamins. Ces gens-là le poussent à devenir violent. Plus il se dirige vers le bruit et plus il est convaincu qu’il s’agit d’un enfant qui pleure parce qu’on le tabasse. Une rage dévastatrice monte en lui. Il la sent se diffuser à l’intérieur de son corps, se propageant dans ses membres. Ses poings se ferment et s’ouvrent afin d’assouplir les articulations, sa glotte fait le yo-yo dans sa gorge.
Si quelqu’un frappe un gosse, il va se ramasser une avoinée qu’il n’est pas près d’oublier. Quelle n’est pas ma surprise en apercevant un géant, à quatre pattes, vêtu d’un simple caleçon, qui chiale de douleur sous les coups de bâton administrés par un homme d’une soixantaine d’années! Derrière ce sadique se trouve une femme du même âge, contemplant le spectacle, un large sourire accroché aux lèvres. Dans sa main droite, elle serre une cravache. Il reste plusieurs secondes à se demander ce qu´il va faire, ce qu´il doit faire. Il hésite à profiter de la situation pour explorer rapidement l’intérieur de la ferme et le tirer avec des bibelots de valeur, voire même avec un peu de fric. Mais le gaillard à terre se met alors à geindre et ses sanglots accompagnés d’un affreux hoquet lui fendent le cœur et l’âme. En choississant quelques affaires typiques que illustrent les remarquables qualités mentales de son ami Gerald. Mary a autant que possible accordé la préseance à celles qui, moins sensationelles peutêtre offraient à ses talents le meilleur champ de manoeuvres. Il est toutefois malheureusement impossible de séparer tout à fait le sensationnel du criminel, et le chroniquer se débat dans un dilème: ou sacrifier des détails eseentiels et donner ainsi du problème une présentation inexacte ou bien se servir de la matière que le hasard, et non un choix, lui fournit. Une chaîne d´êvénements étranges et particulièrement terribles. C´était une journée de aout; il régnait une chaleur torride. Le banlieuse parisienne resemblait une fournaise; la réverbération du soleil sur les brique jaunes de la maison d´en face était pénible pour l´oeil. Mary avait la peine à croire que s´était les mêmes murs qui surgissaient si lugubrement des brouillardes de l´hiver. Les stores étaient à demi tirés. Albert était roulé en boule sur le canapé. Il lisait et relisait une lettre qui lui avait apporté le courrier du matin. Quant à lui, l´avait entraîné à mieux supporter la chaleur que le froid et une température de 33º ne le pouvait nullement.
9
Mais le journal du matin n´avait aucune nouvelle intéressante. Un compte en banque réduit à zéro l´avait obliger à retarder ses vacances. Il vivait de petits larcins, fréquentait les bars gays mais n’ assumait toujours pas son homosexualité sa vie entre cocaïne, back room et travail. Leur rencontre avec Mary été pure coïncidence. Mary vivotait de la prostituition de ses prestations de danseuse, dans une boìte de nuit à Pigalle. Elle avait passé de longues heures à se préparer, n’arrivant pas à se décider sur la tenue adéquate, l’ esprit perturbé par ses aventures de la veille. Elle s’ était finalement décidée pour une robe noire à volant, courte et ample, façon tutu, descendant en corolle jusqu’ au milieu des cuisses.
Elle avait pensé que ce serait plus facile pour courir et utiliser ses jambes en cas de combat au corps à corps. C’est aussi la raison pour laquelle elle avait opté pour de petites bottines aux talons raisonnables qu’ elle portait sur des bas nylons noirs, décorés d’un imprimé d’inspiration tribale. Un bustier de velours noir lui aussi, lacé sur le devant et décoré de dentelle violette, offrait une élégante corbeille à ses deux fruits juteux. Ses cheveux sombres, coupés au carré, s’arrêtaient juste audessus de ses épaules et encadraient son visage artificiellement pâle, au centre duquel ressortaient des yeux verts soulignés au crayon noir et une bouche aux lèvres carmin. Elle était explosivement sexy, comme un personnage de manga, avec un côté enfantin et en même temps vénéneux qui lui donnait une allure terriblement sensuelle. Fragile et dangereuse à la fois, parfaite pour le type de soirée auquel elle devait se rendre. Sapée comme une femme du monde, elle avait une allure superbe quand elle deambulait sur le trottoir de Pigalle, lieu de drague. Les premiers regards se portait sur ses jambe, des chevilles aux genoux et au dessous de sa petite robe. Cet examen lui donnait des frissons dans les reins.
Les deux whiskys qu’elle avait avalés d’une traite avant d’entrer en scène n’étaient pas tout à fait parvenus à faire disparaître la boule d’angoisse qui lui tordait le ventre, mais ils avaient malgré tout réussi à lui donner le courage nécessaire pour affronter cette épreuve, à des années lumières des missions qu’elle imaginait. Et c’est ainsi qu’elle se retrouvait ce soir-là, avec trois autres danseuses, sur l’un des podiums du Mambo, accrochée à sa barre métallique, cambrant les reins et offrant le spectacle de ses fesses rondes et musclées aux clients assis quelques mètres en contrebas. Tandis qu’elle ondulait sensuellement au rythme de la musique, elle ressentait un plaisir aussi surprenant que délicieux venir lui chatouiller la chatte, sentant le regard de ces inconnus qui la mataient dans la pénombre et fantasmaient sur ses chairs dénudées.
Son plaisir s’ était fait plus intense lorsqu’elle avait repéré un client solitaire assis dans le fond du local. Malgré la perruque blonde et la fausse moustache, elle avait immédiatement reconnu le commissaire Jacques Delayé, qui la regardait fixement, ne perdant pas une miette de l’exhibition à laquelle se livrait sa jolie collaboratrice. Les yeux fermés, les jambes écartées, elle faisait glisser son dos le long de la barre métallique, la main glissée sous le mince triangle de satin dissimulant sa chatte. Sa langue courait sensuellement sur ses lèvres tandis qu’elle balançait son bassin au rythme de la musique et des caresses humides de ses doigts.
C’était pour lui qu’elle dansait, pour lui faire comprendre qu’elle n’avait pas besoin d’un chaperon et que si, comme tous les autres clients, il pouvait mater ses formes envoûtantes, son corps n’appartenait qu’à elle. Un sentiment étrange, mélange de colère, de honte et de désir, lui avait enflammé le corps et l’esprit, lorsque ses yeux avaient rencontré ceux de son supérieur. Mary n’avait pas eu le choix. Mary enlaçait la barre d’acier comme s’il s’agissait du plus excitant des amants. À moitié nue, vêtue d’un minuscule string noir assorti aux pompons noirs s’agitant au bout de ses tétons, elle ondulait sensuellement au rythme d’un air de musique soul. Ses longues jambes s’enroulaient autour de la tige métallique contre laquelle elle frottait sensuellement sa chatte. Une vraie pro, cela ne faisait aucun doute. Un tourbillon de pensées traversait son esprit tandis qu’elle revenait dans le bar sous les regards et les commentaires admiratifs des hommes qu’elle croisait sur son passage. Tout allait trop vite. Elle se revoyait vingt-quatre heures plus tôt, acceptant sa mission, sans réfléchir à ce qu’elle impliquait. Et c’est donc avec un sourire de ravissante idiote qu’ elle s’ était avancée vers sa cible.
- Excitant, n’est-ce pas?
- Assieds-toi ma jolie.
- Je dois te laisser un instant. Je te retrouve tout à l’heure, c’est promis. Je vais d’abord me rhabiller. Dites-lui que je le rejoins dans cinq minutes.
- Je ne vais rien lui dire du tout! Tu y vas tout de suite. Après tout, tu n’as rien à cacher pas vrai? J’ aime mieux ça. Je voulais vous féliciter pour l’excellent boulot que vous avez fait ce soir. Et aussi… Pour l’excellente soirée que vous m’avez fait passer.
Il avait un délicieux accent latino et un charme indéniable, il lui fallait en convenir. Un côté Andy Garcia auquel, en d’autres circonstances, elle n’aurait probablement pas été insensible. Elle était à la fois furieuse et incroyablement excitée. Après tout, elle s’était plutôt bien débrouillée, en obtenant déjà l’occasion de pénétrer dans la tanière du serpent. En plus, elle y avait pris un plaisir intense et jusqu’ici inconnu, que ce soit en s’exhibant sur la scène ou en offrant son corps aux caresses du dangereux policier.
Albert est présent cette nuit. Il est là, il est là criait Mary. « Je peux partir? » « Non, toi tu reste là ». Pour eux, la beauté des femmes était inversement proportionnelle à leur intelligence. Il comprenne que ce n´était pas le moment de la contrarier. Il l’avait regardée en souriant. Son regard bleu acier ancré dans les yeux vert émeraude de la jeune femme, il lui avait expliqué la mission qu’il souhaitait lui confier. La pointe d’ ironie et de provocation dans la question de son chef n’avait pas échappé à la jeune femme. Patron de boîtes de striptease pour le côté pile, proxénète trafiquant de drogue et malfrat particulièrement dangereux pour le côté face.
- Mary, te voilà enfin!
- Viens ma belle, je vais te faire faire le tour.
- Vous voulez que j’aille risquer ma peau en jouant à la stripteaseuse.
- J’ai besoin de vous, Mary.
- Ok, ça marche, s’était-elle entendue dire comme dans un rêve.
Sa voix était à la fois sensuelle et glaciale, ne laissant aucun doute sur le sérieux de sa menace. Et, même s’ il n’ était pas trop futé. Si elle ne voulait pas que sa première mission se termine avant même d’avoir commencé, elle n’avait pas le choix. Il vu ses mensurations et son visage mi-ange mi-démon, l’ audition n’aurait dû être qu’une formalité. Elle était beaucoup plus jeune qu´Albert, mais il avait un style calssique. C´était une étrange situation entre Albert et Mary, La compatibilité était evidente.
- L’ obstacle entre nous est la morte de Julie.
- Tu persistes à me soupçonner?
- Tant que la police n’aura pas desmasqué leur meurtrier, tu sera suspecte à mes yeux.
- Mais porquoi veux-tu qu la police découvre un quelqueconque meurtrier puisqu´il n´y a pas eu de meurtre? Il ne s´ agit là que dans triste accident de travail. Mais, enfin se tu me hais tant, pourquoi ne pas séparer ?
- J´ai mes raisons. Me menacerais-tu, par hasard?
- Non. J´aimerais pouvoir le faire, mais la rage qui me fait écumer n´est rien devant celle,mille fois plus fort et mille fois plus incompréhensible que je met à t´ aimer.
- Ce que je sais c´est que je suis une femme libre. Mon pauvre Albert! C´est toi que te couvres de ridicule.
- Tes menaces ne m´impressionnent guère. Ne me pousse pas à bout. Le destin peut être changé.
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- Chéri... Tu ne crois pás que sniffer une dose de cocaïne nous remettrait d´applomb?
- Pourquoi pas? T´inquiete pas tout va bien. Regarde-moi ça, quelle élégance, cette petite robe te vas à merveille..
Alors, il se dirige aux toilettes vers son veston fouille dans la poche intérieure em sort deux doses em envoie ine l´aveuglette à elle et suiffre l´autre. Ces drogues les rendaient euphoriques avec une sensation de bien être tout em le stimulant, mais leur effet très temporaire le contraignait à en prendre une dose à intervalles ne dépassait six à huit heures. Il s´enfonçait peu à peu dans la dépendance, Mary s´en rendait bien compte mais hesitait à cause de ses sautees d´humeur qui les faisaient brutalement d´un état euphorique à une état de cólera noire à tirer la sonnete d´alarme.
Il est onze heures et demie, ce jeudi 2 novembre, et les artères commerçantes du dixseptième arrondissement sont quasi désertes dans le frais matin parisien. En cette période de vacances scolaires, nombre de propriétaires, gérants et tenanciers sont partis quelques jours au soleil ou dans leur famille pour la Toussaint.
De nouveau chez lui, Gerald dut subir la voix de son immeuble et passa une soirée maussade à regarder la télévision sans le son. Gerald était une fois un jeune homme à la recherche de son destin. Sa vie était insipide et monotone, il lui fallait un but. Son avenir étant obscure, il souhaitait découvrir une lumière pouvant éclaircir son futur. Les idées se mélangent inlassablement dans sa tête. Mais, aucune de correcte. Le jour suivants, il ne quitta pas son domicile. Il avait délibérément choisi cette vie carcérale. Détaché de tout, y compris de ses propres émotions, il avait mené une étude sur sa psyché sans éprouver de transgression, se guettant. « La femme c´est le mal depuis que le monde est monde! »
Assis dans un fauteuil en cuir, il réalisait pour la troisième fois le rapports de ses opérations que son associé avait remis. Enfin, ils touchaient au but. Les plus dur avait été réalisé et desormais plus rien ne devrait empêcher la mise en oeuvre de l´objetif de sa vie. Il rira nerveusement sur la pipe pleine de marijuana en laissant échappeer une série de voutes régulières qui montaient à la verticale. Il aimait cet espace qu´il considérait comme etant une partie de lui-même. Il y avait rassemblé toute la mémoire de ses travaux depuis dix ans. Il raccrocha vers son fauteuil, le combine du téléphone pose sur la table et appuya sur une touche. Quelques instants plus tard, une voix à l´acent germanique lui pria:
- Albert! Tu veux quelque chose
- Non Mais je ne veux surtout pas être dérangé.
- Comme tu voudras. Il raccrocha. Cette diablesse allait bien finir de danser sa gigue!
La possédée - car c'était bien à une possédée du diable que le 'sujet' ressemblait à présent avait ouvert les flacons et traçait des signes étranges, son instinct lui soufflait que tout ne se passerait pas comme prévu, qu'une menace planait sur cet endroit.
Cette femme était fascinante de beauté et de contradictions: elle était mesurée, rationnelle et réfléchie dans ses comportements de tous les jours, mais elle aimait également le déraisonnable: tout ce qui brillait luxueusement en parfaite démesure. Mary était jeune et le feu qui ardait dans son cœur amoureux désespérait de trouver à qui vouer sa flamme. Les remords passent pourtant très vite lorsqu'ils sont embarrassants et elle ne songeait plus a cesser de l'embêter le lendemain.
“Ne laissez aucune trace, aucun témoin derrière vous! Vous m'avez compris? AUCUN! Rien ni personne ne doit pouvoir témoigner.” Son organisation n'avait rien avoir avec une quelconque association mafieuse.
Ces derniers temps, les soirées étaient plutôt monotones, les journées aussi d’ ailleurs. Non que le train-train les engourdissait, mais ils n’ étaients vraiment pas sur la même longueur d’ onde. Il en était arrivé à avoir plus de relations masculines qu’avec sa chère et tendre Mary. Elle, blonde, était jeune et très belle, la taille fine, mais ayant des formes là où il fallait, deux seins pas très gros, mais aux pointes saillantes et haut perchées. Elle était magnifique, encore plus désirable que dans ses souvenirs. Comme la dernière fois elle s’était maquillée, cette fois avec un rouge à lèvres couleur sang, et avait dessiné le contour de ses yeux d’ un trait de crayon sombre. Une touche de fond de teint sur les joues à peine perceptible. De grands anneaux aux oreilles et un serre cou en cuir noir sur lequel figurait également un petit anneau. Elle portait une robe légère grise à travers laquelle il distinguait la pointe dressée de ses seins.
Maintenant, il faut assumer. Très ouverte, ex- femme Julie l’était, et surtout très sexy. Il dirait même trop sexy. Très provocatrice, Mary aime allumer. Cet air rebelle, voire sauvageonne. Une tigresse prête à mordre ou à griffer. Depuis de quelque temps Mary vivait sa vie sur un petit nuage. Depuis qu´elle avait rencontré Albert. Un homme formidable, sympathique, drôle, intelligent, beau, en bonne santé, en três bonne santé. Mary 30 ans, il en avait 45! Albert disait que c´etait la meilleure chose qu´ils pouvaient vivre. Mary pensait qu´il n´avait pas tort, quelle fougue, quelle jeunesse, qu´elle virilité! Elle avait déjà eu des amants, des aventures sans lendemain avec des hommes interesses uniquement par les plaisirs de la chair de leur corps. Équilibre! Tout était bien dans le meilleurs des mondes! Mais cette fois ci, c´était quelque chose de plus violent, de plus fort! En amour, généralement c´était elle qui était demandeuse; mais cette fois-ci. Albert était infatigable. Il lui faisait l´amour avec un petit côté de violence qui ne lui déplaisait pas. En général, elle considère les hommes comme des individus parfois intelligents, mais grossiers, laids et immarquablement machos, c’est-à-dire, imbus d’eux-mêmes, et pas seulement de leur virilité. Peu de représentants de la gent masculine échappent à ce jugement sévère. Alors là, c’est vrai, Albert est un mari atypique.
Il faillit la rater, ne pas le voir. Une chatte a surgi dans la lumière de ses phares au dernier moment. Il faut dire qu´il pleuvait et il faisait nuit. Il y avait... Goutte! Il a donné un coup de volant pour l´éviter. Un réflexe inutile, evidente. Elle est debout immobile sur le bas-côté. C´est la peur qu´il a fait donner un coup de volant. Un peur primale, réflexe inutile. Son coeur se sont arrêtées simultanément dans un soupir. C´est tout. Cela n´avait été qu´une griffure identique à celle qui veut échapper du bras qui la retient. Il y a fermé les yeux le temps de eprendre le controle. Il les a rouvelts bon Dieu qu´il pleuvait! C´était comme si tous les anges du ciel s´étaient mis à pisser en même temps, une pluie diluvienne comme se dit ça. La nuit, la lune qui jouait à cachê-cache qui disparaissait derrière des nuages invisibles et qui réaparaissasit, blafarde, c était effroyant. Il aurait du de croire seul au monde, Seul dans un monde qui avait cesse d´éxister, enfin pas vrement seul puisqu´elle était là. Qu´est-ce qu´elle faisait là? Debout sous une pluie battante em pleine nuit au milieu de nulle part a attendre il ne sait le quoi? Qu´est-ce qu´elle attendait d´ailleurs? Tout ces pensées et tous ces mots dans sa gorge... Que vouliez-vous qu´il fasse? Il a tourné la clé de contact et il a demarré...
En décembre au tour de 14h50 Albert Spazzio pénétre à l´interieur de la sucursale du banque Meridionnal. Cette fois–ci n´a pas l´intention de se contenter du contenu du coffre fort qui requier seulement cinq minutes d´attentes sac de sport il le laissait pas de la porte d´entrée s´est dirige au comptoir ayant commandé une traite de bain puis un coup qui a été servi et retourné à son circle près de la porte d´entrée de la présence d´Albert Spazzio. L´adjoint s´execute immédiatement. Les autres personnel ignore tout ce qu´une epée de Damoclès est suspendu au dessus de leur tête, mais le directeur s´en est allé il y a mille avait sonné peu malins qui était penché il demande les gens et il répond directeur en sortant le revolver de son sac ainsi qu´une granade, une arme qu´il s´est penché sur 100 mètres mais pas grasse en lui l´employé. Elle demande d´avertir lês policiers u´il jamais utilisé à jour , mais il y a toujours une première fois, maintenant il prend le directeur en otage.
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Le directeur dans le milieu de la place réservée à la clentèle, il a pri comme otage puis on l´a que quelqu´un il cherché son sec qui apporte à ses pieds. Tenant toujours le directeur et le menaçant de se servir de La grenade qu´il tient dans l´autre main lui ordonne de fait ouvrir tous lês coffres fortes du cubicule centrale dont celui qui peut contenir jusqu´à 75 mille dollars et qui est doté d´une minuterie de 15 minutes. Le directeur et les deux employés allainte ouvrir lês coffres. Il pense que peut-être qu´une fois la porte d´entrée verouillér les policiers ne seront pas en mesure d´entrer dans la banque. De toute façon le bandit n´a pas rien à perdre. Il même prêt a amener um otage avec lui si les patrouilleurs l´attendant à L´extérieur. Il a d´ailleurs apporté des mots note à cet effet. C´est le coût de sa vie c´est risquer le tout pour le tout et avait dês menottes qui avait sûrement des intentions. Les policiers arrivent le premier policier est devant lui dégaine via le jeu neuf juste des gens des aventures quand il voit dans une grenade dans l´aube. Puis au lieu de sommer s´est avancé l´heure le policier, Albert Spazzio a avance froid là il est y proche possible. La tension est palpable à l´intérieur de la banque tandis que les deux hommes se dévisagent immobile pendant d´interminables secondes employés clients retiennent les souffles seulement les nerveux et puis personne tard.
- Tu ne pas d´autre choix, dit le policier.
- J´ai une grenade. Aujourd´hui meme tu serás avec moi au paradise.
- Arrière, attend...
C´est le silence complet dessus on entendait une mouche voler le seul membre suivre. Le bandit fait un pas vers le policier se sentant menacé celui-ci ouvre le feu et latin en plein coeur Albert Spazzio s´écroule sur le sol, sa peau était lent et humides et des gémissements de sombres heures d´agonie et poussé son dernier soupir. Ce jeudi c´est terrible. Albert Spazzio est mort comme il a vécu.
Fin
teresinapr@hotmail.com
Ivan Ribeio Lagos
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