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MA PREMIERE SODOMIE
Je devais entrée dans la puberté, et je ne le cache pas j’étais déjà très intéressé par tout ce qui était en rapport avec le sexe et les attirances sexuelles. Ce jour là toute ma famille avait été invitée chez des amis pour un repas dominical. Evidemment à la fin du repas, nous les enfants, avions du mal à rester assis à table. Il nous fallait bouger et rien de mieux qu’un tour à bicyclette pour se dégourdir les jambes.
Nous étions à l’approche de Noël, et évidement nous étions très excité par les prochains cadeaux que nous aurions au pied du sapin. Je dis cela car nos parents respectifs tenaient absolument à ce que la tradition soit respectée, même si pour mon frère et moi le Père Noël n’existait plus depuis quelques années. J’avais très envie de montrer à mon copain ce que j’aurais sous le sapin. Je savais où mes parents cachaient nos cadeaux.
Sous un fallacieux prétexte, je demandais si je pouvais aller à la maison chercher mon maillot de bain pour me baigner dans la piscine des amis. Et pour ne pas me laisser y aller tout seul si Alain, le garçon de la famille qui avait mon âge, pouvait m’accompagner. La maison étant distante de 3 kilomètres environ, cela rassurait mes parents que je ne sois pas seul en vélo sur la route. Aussitôt leur accord donné nous enfourchâmes nos bicyclettes et nous voilà parti.
Nous n’avions pas fait cinq cent mètres qu’un homme d’une vingtaine d’année nous rattrapa et se mit à notre hauteur. Surpris nous avons tourné la tête vers lui et là encore ennorme surprise il montrait fièrement une queue turgescente et raide, sortie de sa braguette. Tout en roulant de concert à notre hauteur, il se branlait et se touchait le gland. Il passait son indexe sur le méat. C’était fascinant. Après un petit moment où nous avons roulé de concert ainsi, et lui observant notre intérêt juvénil pour son penis, il nous demanda d’une manière douce de nous arrêter et que nous pourrions ainsi la voire de plus près et même la toucher si cela nous faisait plaisir.
Il voyait bien que notre curiosité de gamin devant un tel engin était exacerbée. Nous longions un petit bois et nous décidiâmes de nous y arrêter. Alain et moi et d’autres petits camarades aimions jouer à touche pipi entre nous, aussi l’occasion de poser nos juvéniles petites menottes sur une bite pareille d’adulte nous faisait déjà dresser nos petites zigounettes dans nos slips, avec des picottement dans le bas ventre.
Elle avait vraiment fière allure, tendue, bien droite vers le ciel, le gland rouge et turgescent, son casque bien dessiné. Luisante de mouille ou peut être de lubrifiant.Elle faisait une bonne vingtaine de centimètres. Impatient nous posions nos vélos contre un arbre sans quitter des yeux l’objet de notre curiosité. Ne parlons pas encore de désir. L’homme nous adressait des paroles réconfortantes de peur que nous nous ravisâmes et prenions la fuite. Il arborait fièrement sa bite, sa main droite enroulée autour et lui servant d’écrin. Il faisait des allés et retour, de la base juste au dessus d’une belle paire de couilles bien pleines puis remontai jusqu’au gland rouge, gonflé à bloc et cramoisi d’un rouge violacé, pour le recouvrir avec la peau, ce qui mettait bien en évidence son gland turgescent et de couleur vive vriment très impressionnant. Personnellement je restais la bouche ouverte devant ce spectacle. Petit à petit il était arrivé à nous apprivoiser et après plusieurs invites, il nous demanda de le toucher. Nous avons osé poser nos petites mains aux doigts si fins et si légers sur son membre attirant. C’est la que tout à basculé.
Quelle merveilleuse sensation de sentir vibrer ce manche de chaire à la peau douce, chaude et mouvante en même temps… Nous pouvions poser nos deux petites mains dessus sans se gêner tellement elle avait une belle taille. Il nous aidait à la manipuler. Ses mains posées sur les notres, en effectuant des mouvements de va et vient, et à lui glisser des caresses sur le gland un peu humide brillant de muille et avec une perle blanchatre à la sortie du méat. Il avait des petits soupirs de contentement et de plaisir pour nous inciter à continuer.
Après un petit moment nous sentant sous influence certaine, il nous demanda de voire nos petites zigounettes. Nous étions trop dans l’ambiance pour reculer. Après un rapide regard interrogateur et de conivences, sans hésitations, nous baissâmes nos fermetures éclair et sortîmes de nos braguettes, nos mignonnes petites queues en érection,. Je trouve qu’elles avaient quand même belle allure pour notre âge. Il approcha, sans précipitation et avec douceur, une main pour caresser nos petites bites en érection.
Moi je suis circoncis et Alain avait encore son prépuce. Un peu jaloux je trouvais qu’il passait plus de temps sur la queue de mon ami qu’avec la mienne. Il jouait à le décalotter et relâcher son prépuce. Il essayait avec délicatesse de le décalotter et mon petit camarade avait l’air de bien apprécier la douceur avec laquelle cet adulte se comportait. Mais moi aussi j’aimais bien le contact de sa main qui descendait et au passage passait un doigt dans ma braguette histoire de me chatouiller les couilles.
Evidemment il n’était pas à l’aise pour faire ce qu’il voulait de nos intimités. Le premier à ce faire surprendre fut Alain. Avec un tour de main et des doigts digne d’un expert il déboutonna son short qui lui tomba sur les pieds et pour l’empêcher de le rattraper il glissa sa main entière dans son slip, passant par l’élastique, tenant d’une main ferme mais tendre sa verge de gamin libidineux.
Ainsi bien dégagé son sexe tenait en entier dans la main de l’homme. Celui-ci s’attachait surtout à jouer avec son prépuce laissant apparaître le bout rougi de son petit gland. Mais je voyait bien que sa petite verge était bien tendue, heureuse du traitement de faveur qui lui était prodigué par cet adulte.
Pendant ce temps la tête bourdonnante et l’esprit plein de stupre je m’efforçais d’imiter ses gestes en branlant la queue de cet inconnu, et surtout caresser son gland impressionnant. J’aimai bien passer mes petits doigt tous fins sur son gland qui paraissait grossir au fur et à mesure que mes doigts le pianotaient et titillaient son méat de plus en plus humide. Un petit jus blanchatre scuintait de son méat et le rendait encore plus doux à caresser. Il prenait une belle couleur grenat comme s’il s’étranglait de plaisir et la tige avait des soubresauts de plus en plus forts.
N’y tenant plus il défait son pantalon qui lui tombe sur les pieds. Il ne porte pas de sous vêtement.
Ainsi libéré son sexe bondi tel un diable de sa boite et par son importance était encore plus attirant avec sa touffe de poils bien noirs qui lui faisait une couronne. Maintenant il nous caressait à pleine main. Il passait sa main sur nos sexes, attrapais dans la paume de ses mains nos couillettes, et nos fesses, mais ce que j’aimais le plus c’est quand il passait du haut de la raie des fesses jusqu’au gland, avec un doigt se détachant des autres pour insister en passant sur ma petite rondelle encore vierge. C’était doux et voluptueux J’ai adoré. Je pense que ces sentations sont certainement à l’origines de mes tendance homosexuelles. J’ai toujours aimé quand ma mère prenait ma température. D’abord elle enduisait bien de vaseline mon anus de gamin et le bout pénétrant du termomètre avec noisette (parfois généreuse), puis me l’enfonçait délicatement mais assez profondément dans mon petit trou du cul. Tout le temps qu’il était dans mon étroit conduit anal ma pensée était concentré sur sa présence Et mon plaisir était aussi égal en sensation quand elle le retirait. Je resserrai bien les fesses et contractai bien mon anus pour bien le sentir passer l’ouverture.
J’avais plein de nouvelles sensations qui se révélaient à moi, à hauteur de mon bassin. Cela se répercutait avec plein de picottements dans mes petites couilles, et ma queue et par des contractions de mon anus. Je suis sûr qu’il en était de même pour mon petit copain Alain.
A un moment l’homme dit à Alain de s’accroupir, il se plaça derrière lui et adopta la même position. Ainsi placé, il le coinça entre ses jambes largement ouverte et projetant par en dessous en avant son énorme mandrin. Je voyais les petites fesses de mon ami qui venaient se confondre avec le pubis poilu de l’homme. Alors il commença à exécuter des mouvements de va et vient, le repoussant en avant puis le ramenant vers lui. Je regardais tantôt les fesses de mon ami qui venaient buter sur le pubis velu et tantôt le gland de l’homme qui dépassait en avant sous sa petite queue. En fait il était en train de se frotter le sexe entre ses fesses. En un mot il se masturbait entre ses deux petits globes fessiers. Ce qui ne semblait pas du tout déplaire à mon ami.
Au bout d’un petit moment je réclamais ma part de plaisir. Nous échangeâmes nos places . Il avait toujours la même position accroupie et les ayant bien abservé je vins me placer devant lui, lui tournant le dos, mes fesses se posant sur sa queue bien raide et tendue. Puis je senti sa tige, aller du début de la raie de mes fesses à la pointe de ma verge en caressant au passage ma petite rondelle anale, mon périnée, et bousculant mes couillettes pour finir en caressant avec sa queue la mienne bien raide maintenant. Il venait taquiner mon gland avec sa grosse fraise bien cramoisie d’envie de me dégueuler son sperme entre mes fesses de petit garçon libidineux et elle était déjà tellement humide de désir et saturée de foutre bien gras. Puis retour à son point de départ. J’aimais bien ces sensations nouvelles, et je sentais que je bandais de plus en plus fort. Il me poussait la tête en avant pour bien faire remonter mon petit derrière enfantin et le dégager le plus haut possible en l’air. Peut être espérait il apercevoir ma pâquerette d’un rose juvénile encore vierge? J’aimais beaucoup quand il revenait vers ma queue et qu’au passage il se frottait de façon plus ou moins intensément à mon anus. Parfois il était tellement tendu et me poussait tellement en avant que j’avais l’impression qu’il me forçait un peu mon trou du cul. Sur le coup j’avais envie qu’il me déplisse la pâquerette pour la pénétrer.
Mais nous avions certainement fini par l’avoir tellement excité qu’il finit par éjaculer une bonne rasade de sperme chaud et gluant entre mes deux globes fessiers. J’en avais pleins mes petites fesses et ma petite pâquerette anale mais cela ne me dégoutait pas. C’était bien chaud. Bien au contraire j’aurai aimé qu’il y en ai plus. Pourquoi ? Sans doute la découverte de ces nouvelles sensations et de l’adrénaline ressentie à cette occasion. Ce qui provoque bien sûr l’envie de recommencer.
L’homme comme tous les pervers, ayant pris son plaisir, se sentant coupable de son audace, envers ces deux gamins innocents (enfin pas tout à fait innocent), remonta promptement son pantalon enfourcha son vélo et disparu dans la nature. Il ne nous restait plus qu’à faire comme lui. Mais la tête pleine d’envie de revivre ce moment et pourquoi pas plus. Bien entendu nous étions convenus de ne pas en parler à nos parents, ni à personne. Mais nous devions passer à la maison pour récupérer mon maillot de bain et surtout mettre un peu d’ordre et de netteté dans ma toilette. Arrivé dans la salle de bain je me défaisais de mon short pour me nettoyer les fesses encore un peu gluantes.et changer de sous vetement. Je me passais les mains sur les fesse et y recueillait une substance grasse et ayant déjà un peu séchée mais très odorante. J’aimai bien je reniflais mes mains avec insistance et j’aimaisbien cette odeur de sperme
Alain se tenant derrière moi en profita pour me passer lui aussi une main investigatrice entre mes fesses à la découverte des restes de sperme. Excité moi aussi je lui caressais la queue à travers son short. Mais maintenant il préférait le contact direct. Il se défit de son short qui tomba à ses pieds exhibant sa pinette tendue et dressée bien raide. Je pouvais tenir sa mignone petit queue dans ma menotte douce et caressante et lui faire une petite branlette comme nous avait montré l’homme. Nous bandions ferme tous les deux. A un moment je me suis penché en avant pour me libérer de l’entrave de mon short à mes pieds. Mon mouvement rejetant mon derrière en arrière ,Alain qui était derrière moi,s’en approcha et donna un coup de reins (était il inspiré par le souvenir de l’homme se branlant entre mes fesses accroupi derrière moi), je sentis sa pinette franchir directement ma petite rondelle, et se frayer un chemin direct dans mon conduit anal. Cette sensation est toujours restée dans ma mémoire jusqu’à ce jour et me donne des envies de me faire enculer par de grosse bite bien tendue et bien justeuses. Une introduction directe et en douceur passant sans retenu et hésitation le scpincter de mon anus . Ce fut ma première sodomie, bien involontaire certainement. Ne pensant pas à une douleur possible car méconnaissant ce qui m’arrivait et la dimension de sa petite zigounette, de plus je n’avais eu aucun reflexe d’auto défense et c’est avec un grand plaisir que je senti son pénis passer ma bague anale et faire quelques allés et retours. Une révolution dans mon esprit. Puis malheureusement il est ressorti. J’aurais tant aimé le sentir continuer cette intromission et son va et vient.
En tout cas il m’en ait resté une sensation agréable évidente, se faire sodomiser c’est bon. Evidemment telle que cala venait de se dérouler, j’avais beaucoup aimé, mais c’était une petite pinette. Comment cela pouvait-il être avec une grosse bite comme celle de cet homme ? J’en avais envie, sans imaginer que ce serait un autre calibre et que le passage ne serait peut-être pas aussi aisé et donc moins agréable. J’ai attendu une cinquantaine d’année et deux divorce pour recommencer volontairement. Et quel bonheur ça a été. Mais c’est une autre histoire.
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