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J’avais 16 ans à l’époque, et j’étais très copain avec un garçon de ma classe qui habitait à 50 mètres de chez moi.
Nous allions régulièrement à la piscine, le dimanche matin mais pendant les vacances on y allait au moins deux fois par semaine.
Un jour, au début des grandes vacances, dans les premiers jours de juillet, nous nous sommes retrouvés dans la piscine que nous fréquentions.
Elle se trouvait au 4ème étage d’un grand bâtiment et les étages intermédiaires étaient réservés aux thermes (douches, baignoires, sauna) et aux cabines pour se changer, les hommes et les femmes étant bien entendus séparés par des entrées différentes et par un étage différent.
Ce jour à, il y avait pas mal de monde et nous avons rencontré Nathalie, une fille que nous connaissions et qui n’habitait pas loin de chez nous. Ses parents étaient commerçants.
Nathalie avait un maillot une pièce blanc avec des grosses lignes vertes horizontales. Quand elle sortait de l’eau, son maillot était relativement transparent, pas comme certains maillots de notre époque, mais on voyait parfaitement bien les deux mamelons roses et surtout, sa toison qui formait un grand triangle noir. En outre, des poils sortaient de son maillot, au niveau de l’aine. C’était très excitant.
Inutile de vous dire que je bandais en voyant cette toison pubienne. Un moment donné, Nathalie a vu la grosse bosse que j’avais dans mon aillot et elle m’a dit :
- Oh ! Je vois que tu bandes.
- Oui, on voit tes poils car ton maillot est légèrement transparent, suffisamment pour ne rien cacher du beau triangle qu’ils forment.
Mon pote Michel, était plus loin, il papotait avec un autre pote à nous. Quand on s’est retrouvé dans l’eau, Nathalie et moi, elle m’a dit, plonge et mets ta tête sous l’eau. Je me suis exécuté et elle a écarté son maillot pour que je voie sa toison très fournie. Je bandais de plus belle. Puis, peu de temps après, elle est partie car elle devait rentrer aider un peu ses parents.
Il y avait deux niveaux. Le grand bassin était en haut et on descendait un escalier pour accéder à la piscine de petite profondeur pour les enfants.
Il y avait aussi une porte qui donnait accès à quelques urinoirs puis un escalier qui descendait aux vestiaires communs, où chacun se déshabillait devant le autres.
Je suis allé devant un urinoir et j’ai descendu un peu mon maillot pour permettre à ma queue de se déployer à l’aise. Elle était collée contre mon ventre. A 15 ans, on a la queue vraiment à la verticale, ceux qui me lisent s’en souviendront avec nostalgie.
Un moment donné, Michel est arrivé.
- Je te cherchais, je me demandais où tu étais passé. Tu pisses ?
Je me suis légèrement écarté et je lui ai montré ma queue tendue à l’extrême.
- Waaaaooouu ! Tu bandes à mort. Qu’est-ce qu’elle est grosse !!!
- Elle est normale.
- Moi je la trouve super grosse.
Il a mis sa main dessus et l’a serrée entre ses doigts.
- Eh. Qu’est-ce qui te prend.
- Allez, ne fais pas de manières, il n’y a rien de mal.
J’ai rigolé mais j’étais troublé. C’était la première fois qu’une main autre que la mienne avait touché ma queue.
Nous avons continué à nager et à papoter puis, l’heure passant il nous a fallu rentrer.
Je me suis mis à bander en pensant que nous allions nous retrouver nus dans la cabine individuelle où nos vêtements se trouvaient, cabine fermée à clé par une employée à cet usage.
La préposée a déverrouillé la cabine, et nous sommes entrés.
J’ai immédiatement enlevé mon maillot et je me suis retrouvé nu avec la queue raide comme pas possible. J’avais la gorge sèche, en attendant ce qui allait se passer, et que j’ignorais.
Michel regardait ma queue en se passant la langue machinalement sur les lèvres. Il y avait un banc pour s’asseoir et je suis monté dessus.
Ma queue était maintenant presque à hauteur de bouche. Michel l’a prise en main et l’a caressée. Il a sorti mon gland. Sa bouche se rapprochait dangereusement, j’étais dur comme du bois.
A un moment donné, il s’est approché et a englouti mon membre dans sa bouche chaude.
Il a commencé à sucer ma queue, à la sortir de sa bouche pour en lécher les côtés et le gland avant de la reprendre toute en bouche. C’était fabuleusement excitant et bon. J’avais les jambes flageolantes mais je voulais qu’il continue. Ce qu’il a fait.
A un moment donné je l’ai repoussé.
- Pourquoi, m’a-t-il dit ?
- Parce que sinon je vais juter dans ta bouche.
Il m’a donné mon essuie et a recommence sa fellation. J’ai mordu l’essuie-main et que j’écrasais contre ma bouche et j’ai giclé tout moi foutre dans sa bouche. Il a tout avalé et a nettoyé ma bite avec sa langue.
Je n’ai pas débandé, tellement j’étais excité.
- C’était bon ?
- Incroyablement bon. Tu l’avais déjà fait.
- Non, pas du tout, c’est la première fois.
- Cela t’a plus de me le faire ?
- A crever.
Sa queue était dure dans son maillot. Il y avait une grosse bosse.
- Tu aimerais que je te rende la pareille ?
- Si tu veux, mais tu n’es pas obligé.
- J’en ai envie, maintenant je veux goûter une queue bien raide.
J’ai descendu son maillot et il est monté sur le banc.
J’ai touché, palpé et regardé son membre, a peine plus court que le mien, mais cela n’avait vraiment aucune importance.
Je l’ai pris en bouche et je l’ai sucé du mieux que je pouvais. Pour moi aussi c’était une première.
Il m’a demandé son essuie et il a envoyé toute sa jute dans ma bouche. Je l’ai avalé avec plaisir.
- Tu suces bien, m’a-t-il dit. C’était la première fois qu’on me le faisait mais j’ai adoré.
On s’est rhabillé, sans rien dire et on est rentré chez nous, un peu sonnés par ce que nous avions fait. Je l’ai quitté devant chez lui. J’avais fait deux mètres quand il m’interpelle :
- Alain, on recommencera ?
Je l’ai regardé un moment
- Avec plaisir.
Le lendemain, vers 10 heures, il m’a téléphoné pour me proposer de passer. Je savais ce qu’il avait en tête, j’en avais aussi envie.
J’ai sonné chez lui, il m’a ouvert, il était à poil avec la queue raide. Il a fermé la porte, je l’ai plaqué contre le mur et j’ai pris sa queue dans ma bouche. Je l’ai sucé un petit moment mais il m’a proposé d’aller dans sa chambre.
Je me suis déshabillé et ma queue a tout de suite pris la position qu’elle préférait : raide et verticale.
On s’est jeté sur le lit et on a immédiatement fait un 69, il était au-dessus de moi. En le suçant j’ai caressé sa rondelle et j’ai introduit mon index dedans. Il a poussé un gémissement et m’a sucé de plus belle.
J’ai fais des mouvements de va-et-vient dans son cul, je tournais mon index dedans, je le sortais et le rentrait jusqu’au bout.
Après un certain temps, je me suis redressé et je l’ai mis en levrette. Je suis venu derrière lui et j’ai placé mon gland gonflé de plaisir contre sa rondelle, je l’ai poussé tout doucement et ma queue a commencé à entrer dans son cul. Il soupirait de plaisir. Petit à petit ma queue est entrée en lui et je me suis retrouvé le pubis collé contre son cul.
J’ai passé ma main devant et j’ai senti sa queue dure come du bois et raide au maximum.
J’avoue que j’étais fou d’excitation. Je l’ai limé un bon moment, me concentrant pour ne pas éjaculer trop vite. J’y suis parvenu et j’ai eu une sorte de vitesse de croisière. Je le limais en cadence, je sortais de son cul et je replantais ma bite dedans, d’un coup sec. Il se tortillait de plaisir et gémissait.
Mais est arrivé le moment où je n’en pouvais plus et j’ai giclé tout mon foutre dans son cul.
- Oh ! Que c’est chaud, m’a-t-il dit. Ton foutre est chaud et j’ai senti les saccades de ta queue. Putain ! Que c’est bon.
J’ai sorti ma queue trempée de foutre et je me suis couché sur le lit, pour reprendre mes esprits.
Il était toujours en levrette, la tête entre les mains et le foutre coulait de son cul. C’était un spectacle affolant d’excitation.
Il est allé se lavé le cul, moi la queue et on s’est reposé. Mais ma queue était raide. La sienne aussi.
Je l’ai sucé avec passion, passant ma langue sur toute sa tige, devant, derrière, léchant ses couilles, en le doigtant.
- Laisse-moi t’enculer, a-t-il dit.
Je me suis mis en levrette et à son tour il a pris possession de mon cul. A moi, maintenant d’apprécier les mouvements de va-et-vient de sa pine dans mon cul.
Je peux le dire : j’ai immédiatement adoré sentir un membre en moi.
Enculer c’est merveilleusement bon, être enculé est encore meilleur.
Durant toutes les vacances, tous les jours, nous nous sommes retrouvés chez lui ou chez moi et on s’est sucé et enculé deux fois par chacun par jour, parfois trois fois.
Durant les trois semaines de juillet et les quatre semaines d’août, à raison de cinq jours semaines, je me suis fait enculer et j’ai enculé entre 80 et 90 fois.
Après l’école a repris, je suis sorti avec Nathalie, lui avec une autre fille et on a fait l’amour avec des filles. Mais durant les vacances, il nous est arrivé de nous retrouver chez lui ou chez moi et on se sodomisait l’un l’autre, mais plus du tout au même rythme effréné que durant l’été 1970.
Le temps de l’université est venu, il a fréquenté celle de notre ville, je suis allé étudier dans une autre université du pays, et on s’est perdu de vue.
Il vit maintenant dans la capitale et travaille dans un ministère. Moi, après mes études je suis retourné dans ma ville natale, et je me suis marié.
J’ai la chance d’avoir une femme très chaude qui a toujours adoré se faire sodomiser, c’est même ce qu’elle préfère.
Je n’ai jamais avoué à ma femme le fait que je m’étais fait sodomiser et que j’avais sodomisé ce copain de classe, jusqu’au jour où, par une concours de circonstances, je lui ai raconté tout.
Nous étions devant l’ordinateur et on regardait du porno amateur, des petites vidéos de femmes matures.
Ma femme jette son dévolu sur une vidéo et on voit une femme d’environ 60 ans qui fait l’amour avec un homme d’une trentaine. Elle suce, se fait sucer, se fait prendre et enculer. Un moment donné la caméra montre le mari qui arrive, nu, et qui regarde sa femme prendre réellement son pied. Madame soupire, gémit, se gode la chatte pendant que l’amant lui bourre le cul.
Un moment donné, madame suce l’amant et son mari la regarde, tout près de l’action. Madame sort la queue de sa bouche et la met dans la bouche de son mari.
- Suce-la bien, elle est bonne.
Quand la femme avait poussé la queue de l’amant dans la bouche de son mari, j’avais voulu changer de vidéo, sachant que ma femme n’était pas attirée par ce genre de situation.
Mais elle avait refusé et disant qu’elle voulait voir la suite.
Le mari a sucé l’amant, sa femme le regardait faire et puis elle est venue sucer avec son mari. Ils se partageaient le membre dur et gros.
- Je veux qu’il t’encule, tourne-toi.
Le mari s’est mis en levrette et l’amant est venu lui remplir le cul et l’enculer longtemps. Le mari gémissait et sa femme se masturbait en regardant ce très excitant spectacle. L’amant a rempli le cul du mari de sperme et la femme est venue lécher son homme.
A la fin de la vidéo, ma femme m’a regardé et m’a dit :
- Je mouille comme une folle. Cela m’a excitée au dernier degré. Je ne pensais pas que voir un homme se faire enculer me ferait cet effet.
Pendant l’heure suivante, nous somme allés sur les pages « bisexuals » et on a regardé des vidéos mettant en scènes des couples ou des trios homme-homme-femme, toutes des vidéos où les hommes se suçaient et s’enculaient. Ce furent aussi les pages « pegging » ou « strapon man » où des femmes munies d’un gode-ceinture enculaient des hommes.
Je voyais bien que ma femme était hyper excitée.
Le soir, on a fait l’amour. Elle a commencé à me écher le cul, à me doigter, comme ce qu’elle avait vu dans les vidéos mais qu’elle n’avait jamais voulu me faire. Elle m’a demandé si elle pouvait m’enculer avec son vibromasseur.
- Oui, mais avant cela j’ai quelque chose à t’avouer.> Rassure-toi, rien de grave.
Alors, je lui ai raconté ce que j’avais fait avec Michel et aussi qu’à 20 ans je faisais l’amour avec Jean-Marc et Christiane, un couple d’amis mariés, que Christiane me sodomisait avec son gode-ceinture et que Jean-Marc et moi, on se suçait et on s’enculait pour notre plus grand plaisir et celui de Christiane.
- C’est génial ! Pourquoi ne m’as-tu jamais rien dit ?
- J’étais un gêné et je ne savais pas comment tu prendrais la chose. C’est le passé, cela date, il y a maintenant 38 ans.
Elle m’a regardé avec un grand sourire et est venue m’embrasser. A l’oreille elle m’a murmuré :
- J’aurais aimé te voir avec la queue de ton ami dans le cul. Tu accepterais que je t’encule avec un gode-ceinture ?
- Bien sûr ma chérie, j’aime te faire plaisir. Et c’est si bon.
- Et même qu’on invite un homme pour une partie à trois et qu’il t’encule devant moi ?
Je ne reconnaissais plus ma femme. Plus du tout. Elle adore le sexe, est toujours partante, mets de la lingerie, est épilée. Mais ce qu’elle demandait était totalement différent. Je lui avais proposé d’inviter une femme pour qu’elle fasse l’amour avec elle mais elle toujours refuser.
- A une condition, ai-je répondu.
- Laquelle ?
- Qu’on invite, à un autre moment, une femme pour que je puisse vous voir faire l’amour. Je rêve tant de te voir frotter ta chatte contre celle d’une femme, tu le sais il y a longtemps que je te l’ai avoué.
- C’est d’accord.
Elle a pris son smartphone et a formé un numéro. Elle a mis le haut-parleur
- Allo ?
- Salut Olivia, c’est Donatella. C’est d’accord, j’accepte de faire l’amour avec toi.
- Tu es sérieuse ?
-N’est-ce pas ce que tu m’a avouée ? Que, quoique mariée, tu avais envie de coucher avec moi.
- Oui.
- Je t’aime bien, tu es une super collègue, une superbe collègue même et j’accepte mais à une condition.
- Laquelle ?
- Mon mari assiste à nos ébats.
- Pas de problème, c’est encore plus excitant.
J’ai donc eu le plaisir de voir Olivia lécher la chatte et le cul de ma femme, frotter, sa chatte contre celle de ma chérie, l’enculer au gode-ceinture, utiliser un double-dong, bref, la totale.
Je bandais comme un fou, elles m’ont même invité à les rejoindre. Ce fut magique. Depuis, elle vient régulièrement dans notre lit. Mais cela c’est une autre histoire que je vous raconterai.
J’ai tenu ma promesse et un homme m’a enculé devant elle. Mais cela aussi fera partie d’une autre texte.
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