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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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Ma voisine Danielle
Nous sommes au début des années 80. J’suis à peine âgé de 16 ans. Nous habitons dans un complexe de maisons de ville à prix modiques. La plupart de mes voisins connaissent une situation de vie semblable à la nôtre. Aide sociale, familles reconstituées ou monoparentales, des veuves avec enfants et petits enfants.
La voisine qui habite directement à côté de nous est seul avec un garçon de 3 ans. Tard le soir, j’ai crû l’entendre jouir à quelques reprises. Sa chambre est de l’autre côté de celle de mon frère et la mienne. Elle doit être 7 ou 8 ans plus âgée que moi. Un vendredi, peu après le souper, elle sonne à notre porte et demande de parler à ma mère. Elle voulait savoir s’il serait possible que je garde son garçon ce soir là, elle aimerait sortir et célébrer l’anniversaire de sa sœur cadette. Je suis un bon garçon habitué d’être avec de très jeunes enfants, j’ai plusieurs neveux et nièces en bas âge. Mais garder un enfant seul je n’ai jamais fait cela. Puisque que ma mère est juste à côté elle dit à Danielle qu’il ne devrait pas y avoir de problèmes. Danielle m’avance même un billet de 10 dollars pour me remercier.
Vers 19h30 je me présente chez elle. Elle me dit de descendre au sous-sol, qu’elle terminait justement de donner le bain à son enfant et qu’il irait se coucher immédiatement après. Je lui lis une petite histoire pendant que sa mère se prépare pour sortir. Puis, elle m’offre d’allez au salon pour trouver de quoi regarder sur la télé pendant qu’elle endort le petit Sébastien. À ma grande surprise, la télé s’allume sur une chaîne payante. À la maison, nous n’avons pas le câble. C’est un luxe que l’on ne pouvait pas s’offrir. Plusieurs de mes copains du lycée parlait des films cochons qu’on y présentait tard le soir… L’ado de 15 ans était déjà essoufflé rien qu’à penser à ce que j’allais découvrir.
Danielle remonte enfin. Elle est différente de la voisine que je côtoie à l’occasion. Ses yeux sont maquillés, son regard est perçant. Ses vêtements sont collés à sa peau. Ses cheveux aussi lui donnent une apparence différente. Mais ce qui à laissé chez moi une trace qui allait modeler l’homme en moi, est son parfum. Dieu qu’elle sentait bon! J’avais envie de m’agripper à elle pour la renifler de la tête au pied.
La porte d’entrée refermée, je cherche une chaîne porno à la télé. Mon engin est déjà tout gonflé et mouille même mon jeans. Malheureusement, il est trop tôt. Pendant plus d’une heure et demie je change de chaîne sans relâche. La frustration bien installé, je vois soudain apparaître un avertissement que le film qui suivra s’adresse à un public adulte. Bon Dieu que je suis excité. Dès les premières images je pouvais voir un homme debout derrière une belle blonde. Sa queue s’enfonçait dans elle. Quelques secondes plus tard la blonde se la fourrait dans la bouche. Un chatouillis envahissait tout mon gland. Je savais ce qui allait arriver ensuite. J’suis donc descendu à la toilette pour y pisser un grand coup. La verge raidit, je réussi à peine à l’aligner vers la bolle. La brûlure de l’urine me fit débander rapidement. Armé de mouchoir, je remonte au salon pour m’installer devant le téléviseur. Mon engin dans la main, mon bras se fait aller. Un homme poilu est couché sur le dos. Pendant qu’il dévore la chatte d’une Asiatique, ses mains caressent les hanches de la belle blonde empalée sur sa queue. Il l’a défonce à grand coup de reins pendant qu’elle se frotte les mamelons sur ceux de l’Asiatique. Le son de leur jouissance est assez pour faire déloger le sperme de mes couilles. Il tourbillonne jusqu’à mon gland et s’éjecte. Mon jus se disperse, maladroitement, éclaboussant tout sur la petite table du salon. Les magazines à potin et de mode, et le plat d’arachides qui s’y trouvaient sont arrosé de ma semence. Tant bien que mal, je nettoie du mieux que je peux. Les mouchoirs laissent une trainée de poussière collée sur les magazines. Ma queue dégoutant encore, j’emprisonne mon membre d’acier dans mon slip et mon jeans et part chercher un linge dans la cuisine pour me débarrasser de ce foutu dégât.
Dans les heures qui suivront, mon manche se fera user. Mes boules se serreront plusieurs fois et mes éjaculations se répèteront tour à tour. Putain, mais c’est un puits de spermes que j’ai entre les jambes! Échauffé, je dois m’arrêter. D’ailleurs la voisine pourrait rentrer d’un instant à l’autre. La fatigue ayant eu raison de moi, je m’endors sur le sofa, un film de Stallone éclaire le salon.
Le bruit d’une clef dans la serrure me réveille. Il est 1 heure 40 du matin. Danielle entre et est un peu chancelante. S’excusant d’être plus tard que prévu elle enlève difficilement ses souliers. Elle me répète sans cesse merci. Saoule, elle s’appuie sur moi pendant que je mets mes espadrilles. Sa blouse est entrouverte et son soutien-gorge se pointe à mes yeux. Ma queue commence à se durcir. Son haleine d’alcool et son parfum me font jubiler. Je remarque même que sa poitrine est un peu rousselée. Sans expérience avec les femmes, le moussaillon en moi doit se résilier et partir. Le fantasme bien installé, je ferme la porte derrière moi et commence déjà à espérer une prochaine fois…
Environ deux semaines se sont écoulées depuis ma première expérience avec la porno et le fantasme de ma voisine. Cette après-midi là j’aide ma mère avec l’épicerie. Les chèques d’aide sociale sont arrivés. La voisine aussi a reçu le sien. Elle vient de nouveau demander mes services et maman accepte. Elle l’informe qu’elle risque de rentrer très tard et que je pourrais dormir sur le sofa jusqu’à son retour. Le soir venu me voilà de nouveau chez-elle. Je la voie dans les images torrides de ces films de cul. Saloppe qui aime le sperme. Maîtresse de la branlette qui adore se faire lécher le con. Je reste éveillé. Quand elle arrive enfin, elle est ivre. Sa langue est engourdie. Sa petite jupe laisse voir que ses jambes son molles. Ses pieds sont tournés l’un vers l’autre. Elle me dit qu’elle doit absolument se rendre à la toilette sinon elle risque de pisser parterre. Je ri avec elle pendant qu’elle descend, titubante, l’escalier. Elle tente de me chuchoter quelques mots, mais trop saoule, je n’arrive pas à la comprendre. Arrivé au pied de l’escalier je voie qu’elle n’avait même pas prit soin de fermer la porte derrière elle. Elle tente de s’essuyer la chatte, rousse de poils. Penchée vers la baignoire, d’une main elle se tient et de l’autre, le papier se frotte sur les lèvres de sa chatte. Sa petite culotte blanche gît sur le plancher. Avant qu’elle ne se retourne je me repli dans les marches. Ma queue est emboutie dans mon pantalon qui l’étouffe. La chaîne tirée, elle me dit qu’elle doit aller dans sa chambre. Elle y a laissée de l’argent pour me payer, de bien vouloir l’attendre et qu’elle remonterait tout de suite. Aucun bruit ne sort de sa chambre. J’attends patiemment. Environ 2 minutes passent et je pointe mon nez dans le couloir. La porte de la chambre est complètement ouverte. J’avance lentement vers elle. Mon cœur bât si fort que je crois entendre mes côtes qui claquent! Je peux voir un pied sur le lit. Bon Dieu, me voilà voyeur! Son genou apparaît, suivi de sa cuisse élancée et de son autre jambe. À plat ventre, écartée, elle ne bouge pas d’un poil. En particulier le poil de sa chatte. Sa jupe relevée, mes yeux festoient sur son fessier. Ivre mort, sont corps reste immobile. M’avançant très doucement, je remarque la chair de poule sur ses fesses blanches. J’ai tellement envie d’y plonger ma langue, les séparer et bien la mouiller de ma bave avant de lui enfoncer ma queue d’ado. Peut- être même me branler et larguer ma semence entre ses fesses. Elle n’en saurait rien tellement l’alcool l’a intoxiquée.
Je défais mon pantalon et libère mon général. Je peux sentir l’odeur lourde de mon sexe. Le gland déjà bleuté, quelques coups suffisent pour que j’éjacule à répétition. À son insu, je gicle sur elle. Écume blanche et épaisse, mon sucre vole, s’étire et se fracasse entre ses fesses. Un vrai champion du porno! Sans relâche j’esquive de haut en bas mon manche. La prochaine marée qui monte est encore plus violente. Torrent de champagne mousseux, mon sperme explose et ira s’engluer jusque dans sa chevelure, quelques gouttes se séparent et aspergent ses vêtements et son lit. Mon gland crachotera encore deux ou trois fois sur ses draps bruns pendant que je convulse d’extase. Mes jambes sont, à leur tour, molles et tremblantes.
Elle reste inerte. Au diable l’argent qu’elle m’a promis. Jeune homme galant que je suis, je la borde de ses couvertures. Nerveux de ce qu’elle s’imaginera quand elle arrachera les couvertures collées sur ses fesses, de voir les traces de mon sperme contre le brun de ses draps, je fantasme déjà a pouvoir caresser sa poitrine, ses mamelles, de baiser ses taches de rousseur et sucer ses mamelons. Ou peut-être ne me redemandera-t-elle jamais de garder son petit Sébastien à nouveau…
Une culpabilité passagère m’envahit pendant que je remonte l’escalier et me dirige chez-moi, dans mon lit. Ce qui s’est passé viendra alimenter mes rêves érotiques d’adolescent en pleine croissance. C’est un film qui a joué dans ma tête à maintes reprises. Peut-être aurais-je pue la pénétrer, lui enfoncer ma queue sur tout son long. Qui sais si elle se serait réveillée allumée et prête à tout pour profiter de la queue inflétrissable de son jeune voisin…
Je n’en crois pas mes yeux. Danielle est dans l’entrée de ma demeure. Avec la même requête. Ma mère rit un peu en disant que, bien sûr, je peux aller garder. Danielle sourit aussi et me fait un clin d’œil et lance tout bonnement le nom de petit coquin en parlant de moi. Je suis soudainement rouge comme un homard, la salive a disparu de ma bouche et je ri nerveusement. Je me demande bien pourquoi la voisine a utilisé ces mots. J’ai peur mais une voix en moi me dit qu’elle n’oserait pas dire à ma mère ce qui s’est passé chez elle l’autre soir. Je la rassure en lui disant que je serai chez elle à 20 heures pile!
Avant de partir pour le cinéma avec ses amies, elle s’approche un peu de moi pendant qu’elle couvrira son cou d’une fine pluie, fragrance cochonne et épicée de son parfum. Ses yeux m’épient. Elle sait très bien que je l’observe, que je rêve et nourrit mes fantasmes d’elle. En se redressant après avoir lacée ses bottes ses yeux sont rivés sur sa poitrine. De mains fermes elle tire sur le cerceau de métal de son soutien gorge et secoue un peu ses nichons qui s’étaient déplacés. Je la vois ensuite qui pétrie ses seins de chaque côté. Ses mains descendent sur sa blouse jusqu’en arrière où elle enfoncera celle-ci dans son jeans serré. Le même clin d’œil de sa part m’est offert gentiment avant qu’elle n’ouvre la porte et me dise ˝à plus tard˝.
Je me sers une bonne dose de cul à la télé mais je veux aussi me garder pour Danielle. Grand rêveur, si. Mais qui sait ce dont elle pourrait se permettre. La télé me lance des images de bonnes baises à train d’enfer, à quatre pattes avec des queues qui s’enfoncent dans les chattes, des doigts qui chatouillent l’anus, les jambes hautes et écartées de femmes qui se zigouille la chatte pendant qu’un grosse bite y entre et sort de tout son long. De mes 16 ans, je ne sais trop si ma bite saura satisfaire. Ce que je sais, c’est que mon engin peut gicler bien des fois et rester au garde-à-vous sans peine. Si la voisine en veut, sa bouche se rempliera, ses seins se gaveront, sa chatte et son petit cul s’y noieront. Elle s’enfoncera mon général et il cognera sans relâche son sexe comme un dildo chaud et moite. Rêveur. Voyeur.
Le bruit d’une portière me fait sursauter. Celui de la clef survolte mon cœur. Ces cheveux longs pendent pendant que les lacets de ses bottes se font chatouiller par ses doigts. Sa tête se balance vers l’arrière et sa chevelure dance et se dépose sur ses épaules. Elle tire sur sa blouse pour la libérer de son pantalon et se faisant, la peau de son ventre apparaît pour une seconde. J’ai crû remarquer une tâche de naissance…ou est-ce un tatou?
Elle gravi l’escalier et me jette un regard chaud, cajoleur. En allant se servir un peu de vin elle se met à ricaner et me dit qu’elle s’est rendu compte de m’avoir rendu très nerveux plus tôt devant ma mère. “ Tant fait pas ton petit secret est aussi le mien. L’autre soir, la chaleur de ton sperme qui dégoulinait sur mon cul froid est venue me sortir de mon ivresse. J’étais si embarrassé de mon état que j’suis resté là sans bouger. Je pouvais entendre le va-et vient de ta main qui folâtrait sur ton manche. Quand ta queue à crachée jusque sur mes cheveux j’ai voulu me retourner pour voir ce guerrier se battre et te sucer un bon coup ”. J’avais un sourire accroché sur les lèvres, si fière de moi. Sa main gauche pianotait sur les boutons de sa blouse. Un à un ils laissaient s’ouvrir le vêtement de Daniel. Les mamelons de ses nichons apparaissaient au travers sa brassière de dentelle. “Il faudra faire vite pour pas que ta mère s’inquiète”
Je pense que ce soir là ma queue a grandit de quelques centimètres de plus tellement Danielle m’a fait bander. Comme par magie son soutien gorge a disparu et dans sa blouse ouverte, ses seins se dandinaient devant mes yeux. Son bas ventre était tatoué d’une tête de lapin, emblème érotique depuis si longtemps. Elle fit tomber mon pantalon parterre pendant qu’elle s’agenouillait. Ses mains ont rampé sous mon caleçon pour m’agripper le sac et la verge. Du pouce tournoyant sur le gland de mon pieu, elle vint cueillir de ma cire qu’elle porta ensuite à ses lèvres. Ses yeux ont grossi d’un coup, ses dents mordillaient sa lèvre d’en bas. Elle me complimenta de la grosseur de ma bite et qu’elle n’était pas sûr de pouvoir toute la prendre en bouche. “ Ta chatte dois être assez profonde elle, tu ne crois pas? ” Avalant de sa bave qui n’en finissait de couler, elle me regardait de ses yeux cochons. Mon caleçon est allez rejoindre mon pantalon et mon ensemenseur se faisait charmer par la bouche brûlante de ma voisine. Ses yeux me disaient combien elle était ravie de ce qui se passait entre nous. Elle poussa le manche gonflé de ma queue contre mon nombril et alla siphonner mes couilles. Elles se roulaient sur sa langue et elle les suçait sans arrêt, tour à tour en étirant le sac de ses lèvres rouges. Adroitement, sa langue pointue s’aventurait juste à côté de mon trou du et se faisant, mes couilles se mettaient à bourdonner telle une ruche remplit d’abeilles en colère. La tête vers l’arrière, mes entrailles me faisait gémir.
À nouveau dans sa bouche, le miel clair de ma queue coulait à flot. Réceptacle buccale, sa gorge en était saturée et elle réussissait à m’enfoncer encore plus creux. Elle se régalait de moi. Mes orteils se crochirent et je lui ai dit que j’allais dégainer. Folle et insatiable, elle branlait mon poteau la bouche grande ouverte, elle jouissait dans l’attente de mon jet. Il arriva et déversa dans sa bouche une quantité démesurée de sève dès le premier coup. Un carambolage de liquide chaud et visqueux frappait sur tout quand les autres trémeurs se succédaient. Sa bouche ingurgitait tout et laissait échapper les gémissements de l’orgasme. Ses doigts essuyaient son menton luisant de jus fécond. Je m’asseyais sur une chaise et l’aida à se relever. Mon sexe se dressait tout droit, prêt pour sa chatte. Son jeans se mêla au vêtement déjà sur le sol. Sa petite culotte était si trempé qu’elle-même en était surprise. Ses mains se placèrent sur mes épaules, tenant fortement ma peau humide. Jambes écartées, elle s’accroupie tout doucement au dessus de ma verge. Les lèvres pendantes de sa chatte sont suspendues et frottent mon gland. Elle s’y berce sans descendre plus bas. La moiteur de son sexe est gracieuse contre mon gland. Le miel de la dame enrobe les rebords de la tête de ma queue quand elle l’enfonce de plus en plus dans sa caverne. Ses pieds ne touchent plus le sol et mon général masse tout à l’intérieur de cette chatte tendre. Douillet espace, ma queue veut l’enduire de sa semence. Fugace état d’extase, le bassin de ma voisine se transforme en marteau piqueur. Ses seins, coriaces et entêtés, se font lécher au passage et font monter chez leur propriétaire des vagues de chatouillantes caresses. Je goûte de mon jus épaissit qui embabouinait sur les taches de rousseur de sa poitrine. Comme si ma queue la torturait, des mots saccadé se succèdent en me disant “ Allez, arrose-moi de ton jus, je le veux ce putain de jus, mitraille ma chatte jusqu’à ce que tes boules et ton cul sois beurrés de toi, je veux déborder de toi”. M’exécutant, les premières perles se fondent dans elle. Ses épaules et tout son corps se tordent. Mes spasmes douchent toute sa chair et l’électrocute. Son orgasme s’accole au mien et nos corps s’accouplent. Des gémissements, longs et charnels, sortent de ses entrailles. Ma semence coule au milieu de la sienne et vient rattraper le bas de mon manche lorsque ma partenaire de jeu continue de danser sur ma queue. Notre décharge, molasse chaude d’orgasme, ruisselle sur mes couilles. Pendant que Danielle jouit encore empaler sur ma verge, ses spasmes laisse pleuvoir l’écoulement de notre envie de cul. Ah oui, son cul. Son cul se tortille avec mon majeur qui s’y glisse. Il est venu remplacer le sien plus tôt…
Ma queue est venue fouetter mon ventre quand tout doucement elle en extirpa sa chatte. De nouveau elle s’agenouilla et commença à tout nettoyer avec sa bouche. “Comme on goute bon toi et moi”. Bon Dieu mais quelle femme! En la regardant, j’entend sa succion, elle lèche et avale encore et encore. Ma queue un peu ramollit se fait polir et laver dans sa bouche Elle me fit descendre les fesses un peu plus basses que la chaise et, m’écartant les jambes, insista pour tout gober sur mes boules et mon cul. Dites-dont, mais c’est qu’elle aime le cul cette femme…“ Hmm que c’est bon, la chienne en moi est si heureuse aaahhh “. De ses lèvres pinsantes, le caramel de nos sexes est extirpé du peu de poil qui recouvre mes couilles. On se rhabille. Des fous rires émanent de notre bouche. Nos regards se croisent, fuyant. Elle me dit que j’ai fait ça comme un champion et qu’elle est ravie de la manière que je l’ai prise. Elle est épaté de ma retenu, que plusieurs femmes vont adorer se faire baiser par moi. Je réalise qu’elle sait trop bien qu’elle vient de me dépuceler. “ J’ai bien aimé me faire, euh, tu sais, euh, tout euh ”.
Je reparti chez-moi fière de l’homme que j’avais été malgré mon jeune âge. Ma bite pourrait satisfaire des femmes. Le seul regret qui m’habitait était de n’avoir pût gouter sa chatte, découvrir ce joyaux, du moins, pas encore…
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