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J'avais à l’époque 17 ans et je passais mes vacances d’été chez ma tante Marianne. C'est à cette occasion que j'ai connu l'une de ses amies, Patricia une jolie brune de 25 ans environ avec des taches de rousseur sur son visage et ayant une bouche sensuelle avec un petit air coquin qui ne laissait pas indifférent.
Après m’être promener dans le bois le jour ou mon oncle s'était absentè
j'entends des rires féminins et que je m’aperçois qu'ils proviennent de la chambre conjugale; j'avance sans faire de bruit et par l'interstice de la porte je vois ma Marianne et Patricia nues toutes les deux en train de s"embrasser passionnément tout en se caressant mutuellement leurs chattes, ma tante est une femme rousse aux formes épanouies ayant une poitrine lourde et des fesses bien rondes. je ne perdais rien du spectacle qui s'offrait à moi.
Je pouvais à la fois regarder et entendre les cris de satisfaction des deux amies.
Patricia en a profiter pour prendre un gode de taille moyenne qui se trouvait à coter d'elle, elle l’introduisit dans la chatte de Marianne tout doucement, en faisant des mouvements de va et vient lentement et de plus en plus en vite par la suite. Patricia la traitait de salope lui disant qu'elle aimait se faire tringler , ma tante de son coté émettait des halètements je voyais sa tête tourner de droite à gauche et vice versa, le rythme de sa respiration s’accélérait. Marianne poussa un cri annonçant un orgasme des plus intenses je pus voir ses jambes avoir des spasmes musculaires.
Patricia lui retira le gode se lova contre le corps de son amie et en profita pour lui lécher les seins , faisant gémir de nouveau ma tante.
Elles s’embrassèrent de nouveau fougueusement et je pouvais entendre les bruits de succion émis par les deux femmes. Marianne demanda à Patricia de s'allonger sur le dos pour lui permettre de se positionner en 69.
j'ai pu voir ma tante à l’œuvre elle commença par décalotter sa vulve et lui donna des coups de langues extrêmement précis et rapides.
Les deux femmes s'en donnaient a cœur joie.
Cela me faisait plaisirs d'entendre les cris de plaisirs de deux femelles en chaleurs, Patricia ayant les fesses de ma tante sur son visage sa langue allait de sa vulve à l'anus.
Il n'y avait aucun doute, les deux coquine aimaient cela et devaient entretenir cette liaison depuis un certain temps mon oncle, étant le roi des cocus.
Marianne si timide avec les gens était devant moi une affamée dévorant la motte de son amie avec gourmandise et ceci jusqu'a la jouissance finale des deux femmes.
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Ecrit par Fab
Parue le 18 08 2018
