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Cette histoire erotique a une note de : 10/20
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Maud et moi, nous avons une parfaite complicité, dans un profond amour réciproque. Très vite, nous avons fixé nos limites : je ne la trompe pas, un jour peut-être elle désirera me voir prendre du plaisir avec une autre femme autant que j'en prends à la voir jouir avec un autre homme. Pour l'instant, c'est elle seulement qui fait des écarts dans notre couple. Souvent, c'est moi qui lui propose un partenaire, quelquefois c'est elle qui me demande de pouvoir se donner à un homme qu'elle désire. Généralement, c'est une rencontre d'une seule fois.
J'aime être présent. Je ne participe pas, je reste habillé, mais je suis très près d'elle et j'aime qu'elle me tende ses lèvres après avoir sucé la verge d'un autre, ou qu'elle pose la main sur mon pantalon, au niveau de mon sexe, pour constater l'effet que cela me fait de la voir écarter les cuisses pour quelqu'un d'autre.
Mais quelquefois, elle est seule avec son amant, à l'hôtel, ou bien chez lui ou encore chez nous, en mon absence mais avec mon accord. Cette formule est plus dure pour moi, elle provoque une plus forte jalousie, mais beaucoup de plaisir. Je m'efforce de ne pas me masturber, j'attends qu'elle en ait fini avec son amant, qu’elle ait assez joui de lui, qu’il ait assez joui d’elle et que nous nous retrouvions elle et moi. Nous nous aimons alors avec une passion toute particulière.
Cette variante, renoncer à être présent quand elle jouit avec un autre, s'est imposée à nous quand je lui ai fait avouer qu'elle souhaitait quelquefois être seule avec son amant, pour se donner à lui différemment, peut-être mieux, plus librement et sans doute pour partager avec lui un peu d'intimité, ce que j'admets très bien. Elle m'a avoué que c'est en mon absence qu'elle avait accepté d'être enculée pour la première fois par un autre. En ma présence, ni elle ni l'amant n'auraient osé.
"J'ai joui encore plus fort que si tu avais été là", m'a-t-elle dit un soir en rentrant, ce qui, étrangement, m'a aussitôt provoqué une violente érection.
C'est une expérience de ce genre que nous avons vécue aux sports d'hiver, en février dernier. Nous avions fait la connaissance d'un jeune célibataire très beau, meilleur que moi en ski et Maud l’avait tout de suite remarqué. Nous prenions le téléphérique ensemble, nous nous retrouvions à la même table pour le repas du soir à l'hôtel. Un matin, Maud et le beau skieur ont pris de l'avance sur moi dans une descente assez raide, je les ai perdus de vue et retrouvés seulement en fin de matinée. Quelque chose s'était passé, peu de chose, m’a-t-elle dit, un très long baiser sur la bouche et quelques attouchements.
"Je lui ai laissé entendre, a-t-elle ajouté le soir dans le lit, que j’étais décidée à lui accorder beaucoup plus".
C'était une promesse, elle ne me déplaisait pas et Maud l'a compris : nous étions dans les bras l'un de l'autre et elle a senti mon sexe se redresser contre son ventre. Nous avons décidé ceci : le lendemain, je descendrais dans la vallée juste après le repas de midi pour aller au cinéma et je ne serais de retour qu'en fin d'après-midi. Les amants avaient ainsi quelques heures devant eux. Nous devions nous retrouver au restaurant tous les trois.
Les choses se sont bien passées ainsi. J'ai quitté Maud vers une heure. Elle prenait un bain et se préparait pour lui. Je l'ai aidée, passant le gant de toilette sur ses seins, son sexe, ses fesses en insistant sur l'anus.
"Tu vas lui donner tout ça ! Tu le désires vraiment ?
- Beaucoup, m'a-t-elle répondu.
Je l'ai embrassée sur la bouche avec frénésie.
"Donne-toi bien, donne-toi à fond, mon amour, jouis bien." Au moment de quitter l'appartement, j'ai ajouté : "et fais-le jouir très fort."
C'est une part de ma folie : non content de jouir du plaisir que ma femme prend avec un autre, je jouis également du désir que mon rival éprouve pour ma femme et du plaisir qu’il prend à la baiser. Je suis bouleversé à l'idée qu’il la désire, qu’il bande pour elle, qu’il la déshabille et découvre son corps, qu’il lui met sa verge dans la bouche, dans le sexe, dans l'anus et qu'il éjacule en elle et halète de plaisir.
J'ai été malheureux tout l'après-midi. Je bandais. Je me disais : que font-ils à cet instant ? Il l'a déjà déshabillée ? Elle le suce ? Elle écarte les cuisses ? A-t-elle encore sa culotte ? Un jour, j'ai suggéré à Maud de se rendre chez un amant nue sous sa jupe. Elle a secoué la tête négativement, avec son petit sourire pervers : "Jamais de la vie mon chéri ! J'aime tellement me faire retirer ma culotte, c'est l'un des trucs qui me fait mouiller le plus."
Je suis allé au cinéma, je n'ai pas fait attention au film dont j'ignore même le titre. Vers six heures du soir, je les ai retrouvés au bar. Nous avons dîné à la même table. L'après-midi s'était bien passée pour eux. Il y avait beaucoup de monde sur les pistes, le temps était beau etc. Le skieur était décontracté. C'était vraiment un beau mec, le genre de moniteur du Club Med par lequel toutes les filles rêvent de se faire baiser. Je regardais ses mains fines qui avaient caressé les seins de ma femme, j’enviais sa bouche qui s'était mêlée à celle de Maud et qui s'était sans doute aventurée sur les lèvres de son sexe, sur son clito rougi de désir.
Le soir dans le lit, j'ai eu droit au récit. Serré contre Maud, je la laissais parler. Inutile de lui poser les questions habituelles du candauliste : combien de fois il t'a prise ? Combien de fois tu as joui ? Tu l'as sucé ? A fond ? Avalé ?
Maud est toujours parfaite dans ses récits. Ils sont diaboliques, présentés avec un réalisme, un soin du détail et un choix des mots irrésistibles. Silencieux, je la caresse pendant qu’elle raconte. Quelquefois, sa main effleure ma verge, peut-être pour mesurer l’érection que ses mots me procurent. Elle effleure aussi mon gland, décalotté et déjà bien lubrifié. Le soir du beau skieur, elle m'a d'abord dit qu'elle lui avait avoué que j'étais au courant et qu’elle avait reçu l’autorisation de faire l’amour avec lui. Au restaurant, il connaissait donc mon fantasme. J'en étais un peu honteux.
Le beau skieur l'avait conduite dans sa chambre et pas du tout sur les pistes de ski. Il l'avait comblée, à plusieurs reprises. Plusieurs fois, il lui avait procuré l’orgasme sans jouir lui-même car il se contrôlait très bien. Il avait une verge de très belle dimension, m'expliquait Maud, verticale quand il se tenait debout, des couilles importantes, pas flasques du tout, et dont elle avait ressenti les battements contre le haut de ses cuisses quand il l'avait prise en levrette. Il ne l'avait pas enculée. Simplement, il lui avait enfoncé un doigt très profondément dans l'anus pendant qu'il la pénétrait dans cette position, et Maud trouvait ça délicieux. Vers cinq heures, ils étaient fatigués tous les deux.
"J'étais allongée dans ses bras, m’a-t-elle expliqué, et je jouais négligemment avec sa verge qui n'avait plus beaucoup de rigidité. Nous nous disions des choses gentilles, il parlait de me revoir. Mais moi j’avais envie que sa verge se redresse pour me faire jouir encore. J'en avais besoin, je la voulais entre mes cuisses, dans mon ventre, la sentir aller et venir puis se contracter et décharger en moi. Elle avait éjaculé si fort les premières fois qu’elle méritait bien un peu de repos. Alors, je l'ai masturbée pour lui faire retrouver sa raideur. Elle s'est un peu tendue, a un peu grossi, mais pas assez pour me pénétrer. J’ai eu l’envie subite de faire jouir tout seul ce très beau mec et de le regarder jouir. Tu sais que j'aime voir les yeux d'un homme chavirer quand il éjacule. Je me suis donc accroupie entre ses cuisses pour le sucer et le masturber. Le gland se gonflait, il était bon, tout mouillé, il sentait un peu fort, j'aimais bien. Je lui léchais les couilles, puis je remontais la langue le long de la hampe qui, peu à peu s'allongeait. Mon beau skieur a commencé à gémir. J'alternais la masturbation avec ma main et l'action avec ma bouche. Quand sa verge s'est crispée, sur le point d'éjaculer, il a gémi comme une femme, je l'ai fixé dans les yeux, je les ai vus chavirer et le sperme a jailli. J'ai refermé les lèvres sur son gland pour le sentir gicler dans ma bouche. Je l'ai avalé, mon chéri. C'était tiède, douceâtre, légèrement poivré. Je n'ai pas joui dans mon ventre cette fois, mais dans ma tête. C'était fascinant ce beau mec qui jouissait, qui se tordait et gémissait de plaisir en se vidant dans ma bouche !"
Comme Maud me caressait légèrement en faisant son récit, je n'ai pas réussi à me contrôler. Mon sperme lui aussi a jailli à ces derniers mots, entre les doigts de ma femme. Elle m'a longuement embrassé sur la bouche et m'a dit qu'elle m'aimait. Et je savais que c’était vrai.
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